
Si ce n’est pas comptabilisé comme violence conjugale, c’est qu’il n’y a pas de conjugalité entre personnes de même sexe… Mais alors, ce fait entre-t-il dans les décomptes de l’homophobie ?
C’est compliqué leur nouveau monde…
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Si ce n’est pas comptabilisé comme violence conjugale, c’est qu’il n’y a pas de conjugalité entre personnes de même sexe… Mais alors, ce fait entre-t-il dans les décomptes de l’homophobie ?
C’est compliqué leur nouveau monde…
Par Didier Desrimais
Tout récemment Benoît Rayski a rapporté dans Causeur l’histoire de « la famille la plus moderne du Royaume-Uni » (selon le Daily Mirror). Pourquoi la plus moderne ? Parce que composée d’un homme transgenre, d’un compagnon non-binaire et d’un enfant issu du sperme d’une femme transgenre mais mis au monde par l’homme transgenre du couple. Tout le monde suit ?
Dans un article du dernier Télérama (n°3651), la journaliste Emmanuelle Skyvington s’interroge : « Et si, à l’aube de la décennie 2020, la société patriarcale et hétéronormée (sic) telle qu’on la connaît était en train de tomber ? » C’est Judith Butler (auteur de Trouble dans le genre, ouvrage dispensable mais qui fait les beaux jours d’une certaine sociologie française et de ses « études de genre ») qui doit jubiler.
En 2019, 523 étrangers ont fait l’objet d’un examen de minorité en Côte-d’Or après s’être présentés comme étant mineurs non accompagnés. 20 % d’entre eux, soit une centaine de jeunes, ont été pris en charge en tant que mineurs à l’issue de cette identification.
(…) Le Bien Public
Près d’un an après la grave blessure d’Olivier Béziade, un Gilet jaune originaire de Bazas, touché par un tir de lanceur de balle de défense (LBD), un policier soupçonné d’être à l’origine du tir qui a touché et grièvement blessé le manifestant a été mis en examen pour violences volontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail de plus de 3 mois, selon des sources judiciaires.
Le fonctionnaire en question, affecté dans une brigade anticriminalité (BAC), a été convoqué devant un juge d’instruction en charge du dossier lundi, mais il n’a pas été suspendu de ses fonctions ni été placé sous contrôle judiciaire.
Olivier Béziade, 47 ans, avait été touché au niveau du crâne par un tir de LBD alors qu’il participait à une manifestation des Gilets jaunes lors de l’acte IX de la mobilisation, le 12 janvier 2019. Grièvement blessé, il avait été placé durant 4 jours dans un coma artificiel. L’homme avait été plus tard entendu par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) qui avait été saisie par le préfet.
Au départ de cette affaire, le lancement par Alliance Vita, au début du mois de décembre dernier, d’une campagne d’affichage dans les gares franciliennes rappelant l’obligation morale pour notre société de respecter la paternité, la maternité ou encore la différence. Sur ces quatre affiches, bien évidemment, aucun appel à la haine, aucune incitation à la violence, et encore moins de message discriminatoire : sur fond de visage d’homme, de femme ou encore d’enfant handicapé, des slogans tels que « La société progressera à condition de respecter la maternité » ou encore « La société progressera à condition de respecter la vie ». Des messages rappelant « quatre principes d’écologie humaine qui fondent la vie en société ». D’ailleurs, on notera que, depuis plus d’un mois, cette campagne n’avait suscité aucune polémique.
Cette hypothèse très crédible est naturellement passée sous silence par tous les journalistes et politiques qui vivent sous l’emprise de Greta Thunberg. Et pourtant, la responsabilité d’une politique imposée par les Verts refusant le débroussaillage pour préserver la biodiversité pourrait être en cause dans le cas précis de l’Australie (sources en fin d’article) :
Pour la presse française, un seul coupable possible : le réchauffement climatique et surtout la posture climato-septique du premier Ministre australien Scott Morrison, libéral de surcroît, qu’il fallait punir.
D’un de nos lecteurs, Thomas Jane :
Oui, les rapports administratifs sont parfois indigestes. Mais ils peuvent remédier à l’indigence de nos médias.
La Cour des comptes publie régulièrement des ‘rapports publics’, qui sont une mine d’information, d’informations contrôlées, d’analyse fouillées, de préconisations informées et réfléchies.
Vous ignoriez que l’ordre des médecins gère un budget annuel de 85 millions d’euros, des réserves de 152 M€ et un patrimoine évalué à 110 M€ ? Vous vous demandez ce qu’il peut en faire ? Rapport sur l’Ordre des médecins !
Christian Chesnot et Georges Malbrunot sont deux spécialistes reconnus de l’islam du Proche Orient et de l’islam de France, par extension. Leur intervention sur le dossier plombé de la construction de mosquées, et en particulier des mosquées cathédrales en France, ne peut pas passer inaperçue, après Nos très chers émirs sont-ils vraiment nos amis ? Ils publient Qatar Papers, une plongée dans le mécénat islamique de Doha et de sa minuscule principauté.
Qatar papers d'où viennent ces papiers ? Nos deux journalistes Chesnot et Malbrunot, ne sont pas très diserts sur leur source le veut la déontologie du métier. Ils invoquent « un lanceur d'alertes » qui leur a fait passer des centaines de dossiers, pour la plupart en arabe, archivés par une ONG au nom parfaitement banalisé Qatar Charity. Il a fallu traduire cette mine de renseignements de première main, pour s'apercevoir que presque toutes les constructions de mosquées importantes en France et en Europe avaient reçu une véritable manne financière, - cela se compte par millions d'euros chaque fois - de cette étrange entreprise islamique de bienfaisance.