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magouille et compagnie - Page 1149

  • La France, Corée de l’Ouest ?

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    Par Jean-Yves Le Gallou – Article initialement paru le 25 mai 2018. La France prend-elle exemple sur la Corée du Nord dans sa manière de traiter ses dissidents ? Si les camps de travail et les exécutions n’existent évidemment pas chez nous, il est malgré tout très inquiétant de constater une hystérisation du débat public et, plus inquiétant, un durcissement de la répression à l’encontre des dissidents.
    Censure contre les Identitaires, agression de Robert Ménard minimisée, condamnation d’Eric Zemmour pour délit d’opinion, lutte de Kim Jong-Macron contre les « Fake news »… La France est en train de devenir la Corée de l’Ouest.

    Un opposant politique molesté dans l’indifférence générale

    Imaginez un opposant à un dirigeant quelconque, molesté par des élus et sympathisants de partis institutionnels alors qu’il se rendait à une réunion publique. Imaginez que des membres du parti au pouvoir aient relayé l’appel à manifester contre lui et soient présents lors de l’agression.
    Imaginez que cet opposant, élu et personnage médiatique, soit jeté à terre et blessé.
    Imaginez, enfin, que l’ensemble de la classe politico-médiatique du pays rechigne à soutenir cet opposant au pouvoir.
    Si cela c’était passé en Russie, en Hongrie ou en Pologne, par exemple, le tollé en France aurait été général.

    Robert Ménard n’a pas eu cette chance. Il n’a pas eu, non plus, la même chance que Nathalie Kosciusko-Morizet, qui avait eu le droit à un hommage national et à une couverture médiatique totale après une légère altercation sur un marché, présentée comme une agression violente.

    Exemple parfait de ce traitement révoltant démontrant l’existence de la Corée de l’Ouest, cet article du Monde qui évoque un Robert Ménard « chahuté ».

    Malgré plusieurs centaines de victimes d’islamistes, Zemmour condamné pour blasphème sur l’islam

    Autre preuve que la France se transforme peu à peu en Corée de l’Ouest, la condamnation d’Eric Zemmour pour délit de blasphème. Dans la France de 2018, critiquer la religion de paix et d’amour vaut 5 000 €. Donner son avis sur la situation française et sur l’impact de l’immigration musulmane, alors que la France est en guerre contre le terrorisme islamiste, n’est toujours pas permis… à moins qu’on donne dans le « padamalgam » bien entendu !

    « On reconnaît un régime totalitaire au fait qu’on ne sait pas si le danger vient d’en haut ou d’en bas »disait Soljenitsyne. Entre les kalachnikovs et les condamnations pour délit d’opinion, la Corée de l’Ouest répond parfaitement à cette définition. Et le sage russe n’avait pas manqué de prévenir : « Aujourd’hui les dissidents sont à l’Est, mais bientôt ils vont passer à l’Ouest. »

    Censure d’Etat contre les patriotes

    Dans la plus pure tradition totalitaire, l’Etat a décidé de jouer un rôle de plus en plus important dans la censure des contenus patriotes et identitaires sur internet. La censure des pages Facebook de Génération Identitaire après leur opération – inattaquable sur le plan juridique – Defend Europe en est un exemple flagrant.

    Un préfet de la République – Frédéric Potier, délégué à la Dilcrah -, a confié à une entreprise privée – Facebook France -, dirigée par un autre préfet – Laurent Solly -, le soin de censurer une page sans procès ni recours.

    De loin, le marché semble limpide, les GAFA, très critiqués en ce moment pour leur irrespect pour la confidentialité des données de leurs utilisateurs, se plient aux exigences des gouvernements afin de montrer leur bonne volonté. Payant très peu de taxes en Europe, ils négocient avec les gouvernements un pacte de troc : censure contre impôt.

    Voilà comment la Corée de l’Ouest s’installe, lentement mais sûrement, par le biais de la plus totalitaire des actions : la censure.

    La lutte contre les « Fake News »

    Dans le même esprit, la Corée de l’Ouest entend indiquer quels sont les médias qu’il faut écouter et ceux qu’il faut mettre de côté. Certes, rien n’est imposé. Mais tout est fortement suggéré.

    La volonté de punir judiciairement les fameuses « fake news », ce que je préfère appeler des « bobards », est d’ailleurs amusante puisque les premiers fournisseurs de bobards sont bien entendu les médias dominants ! Chaque année, la cérémonie des Bobards d’Or est là pour le rappeler !
    Et leurs erreurs (volontaires ou non) sont bien évidemment infiniment plus dommageables que celles (bien rarement) diffusés par des médias alternatifs. D’abord parce que ces derniers n’ont pas les même moyens d’enquête, et encore moins les mêmes budgets. Mais surtout car l’audience des médias dominants est immense comparée à celle des médias alternatifs. Une désinformation de l’AFP est ainsi beaucoup plus grave qu’une approximation de RussiaToday ou de Breizh-Info par exemple.

    Et pourtant, ce sont bien les médias alternatifs qui sont visés.

    Désormais, Facebook propose des liens alternatifs lorsque son algorithme détecte qu’une information pourrait être fausse ou émane d’un média alternatif.
    Et ce fameux algorithme de Facebook ne s’arrête pas là puisque certains contenus émanant de médias alternatifs apparaitront moins dans les fils d’actualité de ceux qui, pourtant, les suivent.

    80 km/h : l’unanimisme des médias

    Une illustration aussi amusante qu’effrayante de la mise en place de la Corée de l’Ouest, c’est l’unanimisme des médias sur des décisions gouvernementales contestables. Exemple avec la future modification de la vitesse maximum autorisée sur les routes départementales. Quasiment toutes les rédactions françaises ont décidé de reprendre les mêmes éléments de langage pour minimiser l’impact de cette mesure.

    On pourrait penser que c’est un sujet anecdotique mais il s’agit en fait d’un signal clair que l’unanimisme médiatique atteint des proportions inquiétantes.

    Orwell en rêvait, la France – bientôt Corée de l’Ouest – est en train de le réaliser !

    Jean-Yves Le Gallou 14/08/2019

    Crédit photo : Montage réalisé par Polémia – Sources : Drapeau de la Corée du nord, domaine public / Emmanuel Macron en Russie [CC BY 4.0], via le site du Kremlin / Kim Jong-un [CC BY-SA 2.0], via Wikipédia

    https://www.polemia.com/france-coree-ouest-rediff-2/

  • Les banques françaises vont-elles taxer les dépôts des particuliers ?

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    L’économie mondiale est dans une période inédite, celle de taux d’intérêt bas qui rendent les prêts accordés par les banques commerciales peu rémunérateurs. En outre, l’argent qu’elles conservent dans leurs coffres doit, dans la zone euro et en Suisse, être impérativement placé auprès des banques centrales, qui lui appliquent des taux négatifs (-0,4 % pour la BCE, -0.75 % pour les Helvètes). Or, les banques sont incapables de prêter tous leurs fonds et doivent, de toute façon, conserver des réserves de plus en plus importantes. On estime, en moyenne, à 10 % l’argent disponible pour rembourser les clients qui reprendraient leurs billes. Ce qui veut dire qu’en cas de panique bancaire et de ruée vers les guichets de particuliers souhaitant récupérer leur mise avant la faillite, les autorités seraient contraintes rapidement de fermer les vannes et de limiter drastiquement les retraits.

    En Allemagne et en Suisse, des banques ont choisi d’appliquer des taux négatifs sur les dépôts à partir d’un certain seuil. Dans la Confédération helvétique, Julius Bär et Pictet vont être rejoints par UBS, qui projette de prélever 0,75 % au-delà de 2 millions de francs suisses. Ces banques veulent obliger leurs riches clients à utiliser les placements rémunérateurs qu’ils offrent par ailleurs. Outre-Rhin, 107 (sur 162) établissements répercutent sur les entreprises en totalité ou en partie les 0,4 % qu’ils payent eux-mêmes à la BCE, et 30 font de même pour les dépôts des particuliers dépassant les 100.000 euros. La fédération allemande des Volks et Raiffaisenbanken (un réseau de caisses d’épargne régionales) menace de taxer ses clients si la politique de la BCE ne change pas. Il s’agit donc d’un mouvement de fond qu’il sera difficile d’endiguer. De plus, la barrière des 100.000 euros risque de céder et les dépôts seront peut-être, un jour ou l’autre, impactés dès le premier euro.

    En France, les banquiers consultés par Les Échos affirment qu’ils n’ont aucun projet de ce genre, car contrairement à l’Allemagne, ils ont déjà obtenu de faire payer (et cher) les services qu’ils offrent. Ils n’ont pas besoin, pour l’instant, de taxer les dépôts, mais rien ne dit qu’ils ne vont pas, tôt ou tard, imiter leurs confrères allemands, d’autant plus que la BCE va sans doute encore abaisser ses taux, menaçant la rentabilité des établissements français.

    La BCE, voyant le problème, réfléchit à un moyen de redonner aux banques une partie de l’argent récolté grâce aux dépôts obligatoires (plus de 8 milliards d’euros par an). Mais la manœuvre est délicate. Il faut écarter, en effet, tout mécanisme qui dissuaderait les banques de prêter aux particuliers et aux entreprises. La BCE n’a pas encore trouvé la martingale idéale. Or, le temps presse. Il faut consolider les revenus des banques avant que la prochaine crise n’éclate et ne les fragilise encore plus. Le risque d’une faillite bancaire plane sur l’Europe.

    Christian de Moliner

    https://www.bvoltaire.fr/les-banques-francaises-vont-elles-taxer-les-depots-des-particuliers/

  • Loi Avia : la liberté de pensée, au goulag

    Loi Avia : la liberté de pensée, au goulag

    De François Billot de Lochner :

    Au début de l’été, 434 députés ont voté en faveur de la lutte contre la « cyberhaine », monstrueux produit de la modernité digitale et connectée. Seules 33 petites voix se sont élevées contre ce projet de loi dite « Avia », du nom de son auteur, le député LREM Laëtitia Avia, qui prévoit l’obligation pour plateformes et moteurs de recherche de retirer les contenus haineux « manifestement » illicites sous 24 heures, sous peine d’être condamnés à des amendes allant jusqu’à 1,25 millions d’euros.

    Un tel unanimisme est confondant, et s’apparente aux plus grandes heures du Congrès soviétique des députés du peuple. Un projet infernal vient d’aboutir, pavé de biens mauvaises intentions : il s’agit de « protéger les Français », au nom de la mission d’un Etat tentaculaire qui ne cesse d’étendre sa mainmise sur les citoyens, et ainsi d’empêcher toute expression d’une parole hétérodoxe.

    En fait de lutte contre la haine, la loi Avia est un outil redoutable au service du contrôle de la pensée et de la parole. La vie politique, la vie publique, depuis plusieurs années, avaient trouvé dans les réseaux sociaux, dans la multiplication des blogs, des forums et des sites internet un formidable exutoire au contrôle des canaux de l’information officielle, dirigée, manipulée, produite par un système politico-médiatique se situant massivement à gauche. Le mouvement de libération de la pensée avait commencé aux alentours de 2005, quand les débats sur la toile au sujet du référendum pour la constitution de l’Europe avaient abouti au rejet du texte, au grand désespoir de la caste dirigeante qui pensait, grâce à la maîtrise des médias, avoir orienté le vote « dans le bon sens ». Puis le phénomène s’était amplifié. Cela ne pouvait plus durer. Il fallait mettre fin à tous ces samizdats numériques, qui permettaient à une information alternative de circuler. Nos gouvernements à l’imagination fertile mirent sur pied les délits d’homophobie et d’injure raciale à sens unique, le concept du « délit d’entrave » à l’IVG, j’en passe et des meilleures.

    Mais cela ne suffisait toujours pas. Alors vint Laëtitia Avia.

    Désormais, tout contenu litigieux, et nous vous laissons deviner la marge d’interprétation que laisse ce terme, pourra légalement être censuré et mis à l’amende, au nom d’un système de valeurs que nous ne connaissons que trop bien. Le délit de blasphème n’existe plus, mais il sera légalement interdit de critiquer, en vrac, Conchita Wurst, Emmanuel Macron, le Planning familial, ou encore, Greta Thunberg, vivante icône du dérangement climatique. Emmanuelle Ménard en a tristement fait les frais, en appelant avec un brin d’ironie à botter les fesses de la collégienne suédoise faisant l’école buissonnière. Twitter a purement et simplement supprimé son compte. L’humour n’a plus le droit de cité dans ce nouveau système. On ne peut rire de tout. Liberté politique sera-t-elle à son tour censurée pour avoir pris la défense de Mme Ménard ? Tout est possible, puisque tout leur est permis !

    Le plus consternant dans cette affaire n’est pas tant ceux qui sont à l’origine de cette loi. Nous sommes habitués au sectarisme de ceux qui nous gouvernent depuis tant d’années… Pas de la liberté pour les ennemis de la liberté : le slogan date d’un peu plus de deux siècles. Le plus grave réside, selon nous, dans les chiffres du vote : qu’il ne se soit trouvé que 33 députés pour s’y opposer. Cela permet d’ôter définitivement le doute sur la réalité de l’opposition à Emmanuel Macron aujourd’hui.

    https://www.lesalonbeige.fr/loi-avia-la-liberte-de-pensee-au-goulag/

  • "Affaire Epstein" : amateurisme et précipitation, puis recadrage cassant; l'image renvoyée par le gouvernement n'est pas très sérieuse...

    Marlène Schiappa, Secrétaire d'Etat à l'égalité entre les femmes et les hommes, et son homologue à la Protection de l'enfance, Adrien Taquet, ont réagi émotionnellement, donc trop vite, lorsqu'a éclaté "l'affaire Epstein"; et ils ont confondu vitesse et précipitation...
    Dans un communiqué commun - publié hier matin, lundi 12 - ils ont réclamé l'ouverture d'une enquête en France à propos du financier états-unien accusé de pédophilie et retrouvé mort dans sa cellule samedi; il y aurait des possibilités pour que le prédateur sexuel ait également sévi en France...

    Bon.

    Mais lorsqu'on est au gouvernement, on réfléchit un peu avant de parler.
    A peine quelques heures après la publication du-dit communiqué commun, Nicole Beloubet, Garde des Sceaux, a dû rappeler aux deux secrétaires d'Etat que "les poursuites ne sont pas des décisions du gouvernement. Depuis 2013, les instructions individuelles sont prohibées, conformément au principe d'indépendance de l'autorité judiciaire". 
    Un "pan sur le bec" en bonne et due forme pour les deux Secrétaires trop pressés; un rappel à l'ordre qui sonne comme un recadrage; et au total, pour l'ensemble du gouvernement, une impression fâcheuse de "pas très sérieux"...
    Ordre plus contre-ordre égale... désordre !
  • Voici comment Wikipedia présente maintenant le « grand remplacement »

    Au fil du travail des militants gauchistes et cosmopolites, protégés par la direction de Wikipedia, la notion de Grand Remplacement (simple et évident constat que la population française de souche est en cours de remplacement par des populations immigrées) est présentée sur l’encyclopédie en ligne de façon de plus en plus mensongère.

    C’est une réalité qu’il ne faut pas nommer, pour les cosmopolites : il ne faudrait pas que les Français s’inquiètent tant qu’ils peuvent encore réagir.

    On passe ainsi d’un simple « concept » à, accrochez votre ceinture, « une théorie complotiste d’extrême-droite, raciste et xénophobe, aux origines néo-nazies et antisémites », ce qui est grotesque en tous points.

    Aucune description de photo disponible.

    Sur ce sujet, on peut bien sûr lire le livre de Renaud Camus (celui qui a popularisé cette expression éloquente), le Grand Remplacement, ainsi que le Grand Remplacement, réalité ou intox ? du spécialiste des migrations Jean-Paul Gourévitch.

    http://www.contre-info.com/

  • Mascarade, fantasmagorie et flon flon

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    Par Jarente de Senac

    Faisons un rêve titrait naguère Sacha Guitry. Ceci s’applique désormais aux trois gugusses qui briguent la présidence des Républicains, parti désormais moribond depuis que les électeurs l’ont déserté. Laurent Wauquiez assurant l’échec a regagné ses pénates rhodaniennes. Ce parti n’existe plus désormais que par ses très nombreux élus à l’Assemblée nationale, au Sénat, en région, aux départements, dans les mairies avec ses nombreux conseillers. Depuis Sarkozy, ce parti manque singulièrement de leader. Et encore, Sarko n’était qu’un feu follet qui n’a jamais su donner corps aux propos qu’il tenait. Propos qui avaient réussi à ébranler l’électorat du Front national.  Seulement de la pensée à l’acte Sarko n’a jamais franchi le Rubicon. N’est pas César qui veut.

    Trois candidats se sont donc déclarés à ce jour pour reprendre le flambeau d’un parti qui se consume : Christian Jacob, Julien Aubert et Guillaume Larrivé.

    Christian Jacob, 59 ans, est l’un de ces nombreux sous-produits du chiraquisme totalement dénué d’idée et peu susceptible d’incarner « une certaine idée de la France ». Cet ancien de la FNSEA n’a finalement réussi qu’à être un habile politique, roué à la tambouille parlementaire. Avoir fait de ce gardien de vaches le patron de son groupe à l’Assemblée en dit long sur le niveau intellectuel de ses membres. On en rigole encore. Julien Aubert, 41 ans, énarque, n’est pas mieux loti. Lui, il ambitionne de revenir aux beaux jours de l’UMP, l’alliance impossible entre centristes et vagues droitistes tendance zombi gaulliste. Quant à Guillaume Larrivé, 42 ans, ex-conseiller de Sarko, il veut redonner toute sa place aux militants sur un axe ni République en marche, ni Rassemblement national. Du chiraco-coco-sarkozisme.

    Certes, l’un d’eux sortira du chapeau. Qu’importe d’ailleurs lequel, car tous trois ont un charisme de poisson rouge. Ces tenants d’une droite dite républicaine, tant elle exclue du paysage le poids électoral du Rassemblement national, est vouée à l’échec. Il n’est pas nécessaire d’être grand clerc pour comprendre que se priver de 20% d’un électorat français dont les abstentionnistes sont majoritaires, revient à se coller une balle dans le pied. Cette droite-là n’a toujours pas compris qu’il fallait revoir ses fondamentaux à l’aune d’un paysage sociologique français qui a profondément changé et tout droit issu des erreurs commises par nos politiques - de droite comme de gauche - depuis cinquante ans. Giscard n’avait déjà rien compris au film, ses successeurs encore moins.

    De cette petite révolution à faire, nos trois gugusses en sont totalement incapables, tant ils ont aux pieds le poids des lobbies. L’avenir, pour l’instant, est toujours macronien. Un Macron qui ne fait que gérer, au jour le jour, les emmerdements de la boutique France. Mais de politique, il n’est toujours pas question !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/13/mascarade-fantasmagorie-et-flon-flon-6169781.html

  • Greta Thunberg promeut aussi les antifas et les LGBT

    La suédoise Greta Thunberg, oracle du réchauffement climatique, a enregistré une chanson avec le groupe The 1975. A cette occasion, elle a posé en portant un t-shirt de la mouvance antifa, extrême gauche connue pour ses violences répétées.

    Dans un tweet, Greta Thunberg promet que tous les revenus tirés de l’enregistrement de cette chanson iront à l’organisation d’extrême gauche Extinction Rebellion.

    En avril, ces extrémistes environnementalistes ont semé le chaos dans les rues de Londres. Cette organisation prévoit également de forcer à fermer l’aéroport d’Heathrow cet automne, à l’aide de drones venant perturber le trafic aérien.

    Avec le groupe The 1975, Greta Thunberg prêche la fin du monde en affirmant que toutes les solutions à la crise climatique ont échoué.

    Un suédois condamné pour des émeutes et n’excluant pas le meurtre
    La section suédoise de Extinction Rebellion est dirigée par le militant d’extrême gauche Jonathan Pye, qui a participé aux émeutes de Göteborg en 2001 , lors d’un sommet européen dans la ville.

    Jonathan Pye a été condamné à quatre ans de prison pour avoir jeté des briques et des pierres sur la police et incendié des meubles de restaurant dans la rue principale de Göteborg, Kungsportsavenyn.

    À l’époque, Pye était un membre actif de l’AFA, une section antifa suédoise. Il n’a regretté aucun de ses actes, a-t-il déclaré à Sveriges Radio en 2006.

    Il a confirmé qu’il utilisait consciemment la violence comme outil de lutte politique. «Si je commets des actes de violence, c’est comme une partie d’échecs. Ensuite, je réfléchis froidement et tactiquement », a-t-il déclaré lors de l’entretien. Cela ne le dérangeait pas non plus d’attaquer des policiers avec des briques et des pierres. Pye a également déclaré qu’il pourrait envisager un meurtre si cela convenait.
    “Cela ne vaut pas la peine pour le moment, pas pour des raisons morales, mais avant tout pour des raisons pratiques”, a déclaré Jonathan Pye.

    Suite à la controverse que cela suscite en Suède, le tweet de Greta Thunberg est maintenant effacé, de même que l’image de celle-ci portant le t-shirt antifa.

    Par ailleurs, une autre photo de Greta Thunberg la montre arborant un drapeau LGBT. Décidément, cette adolescente est de tous les combats subversifs.

    https://www.medias-presse.info/greta-thunberg-promeut-aussi-les-antifas-et-les-lgbt/111271/

  • La carte bancaire offerte aux demandeurs d’asile coûte 42 millions d’euros par mois aux contribuables français

    C’est donc au détour d’une réforme de la carte bancaire des demandeurs d’asile gérée par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) qu’il est possible d’avoir enfin confirmation de quelques éléments concernant la générosité de la République avec les immigrés qui affluent.

    Chaque mois l’Allocation pour demandeurs d’asile (ADA) est allouée à chaque immigré demandeur d’asile pendant la procédure de traitement de sa demande. Cette Allocation pour demandeurs d’asile peut aller d’environ 7 euros par jour, soit quelque 210 euros par mois pour un célibataire, à beaucoup plus pour un couple avec enfants.

    Actuellement, 151.000 personnes bénéficieraient de l’Allocation pour demandeurs d’asile, pour un coût mensuel d’environ 42 millions d’euros.

    Les immigrés demandeurs d’asile reçoivent pour cela une carte bancaire.

    En marge, on apprend aussi que se profile un débat parlementaire sur l’immigration suite, notamment, aux problèmes de campements de rue rencontrés par les élus locaux.

    A suivre.

    https://www.medias-presse.info/la-carte-bancaire-offerte-aux-demandeurs-dasile-coute-42-millions-deuros-par-mois-aux-contribuables-francais/111409/

  • Les radars tourelles arrivent : quelle sera la réaction des Gaulois réfractaires au changement ?

    radars.jpgUn nouveau modèle de radar est en cours de déploiement en France. Il s’agit des radars tourelles (MESTA FUSION 2). Leur nombre devrait s’élever à 400 pour la fin de l’année et à 1.200 fin 2020.
    Ils sont actuellement homologués pour les contrôles de vitesse et le respect des feux rouges. Toutefois, ils ont la possibilité d’identifier le défaut de port de la ceinture, le non-respect des distances de sécurité, le dépassement par la droite ou l’utilisation d’un téléphone portable.
    Ce radar est capable de contrôler simultanément 32 véhicules sur 8 voies de circulation. Une autre particularité des nouveaux radars est l’installation de structures vides. Les radars devraient être installés dans 1 tourelle sur 4 ; les 3 autres serviront de leurre. Les radars pourront être déplacés d’une tourelle à une autre et, ainsi, les automobilistes ne sauront pas avec certitude si le radar est opérationnel.
    Des radars tourelles sont testés dans les départements des Bouches-du-Rhône, du Tarn-et-Garonne, de Dordogne, de Gironde, de l’Allier, du Rhône, des Vosges, du Nord, du Bas-Rhin, de Moselle, de Seine-et-Marne, des Yvelines, du Loiret, du Loir-et-Cher et en Côte-d’Or. Ils sont parfois montés en remplacement de radars dégradés volontairement : environ 60 % des radars seraient actuellement hors d’usage.
    Les prétextes avancés sont toujours les mêmes : lutter contre la mortalité routière, la pollution ou le réchauffement climatique. La propagande opposera les gentils bobos circulant dans les transports en commun ou en trottinette aux méchants automobilistes qui roulent avec de vieux diesels. Mais la véritable raison est fiscale : le gouvernement français est tenu de respecter un taux de déficit budgétaire limité à 3 % du PIB. Il est régulièrement rappelé à l’ordre par la Commission de Bruxelles. Les recettes provenant des contraventions sont un petit complément nécessaire pour limiter le déficit budgétaire.
    Cependant, une question reste en suspens : quelle sera la réaction des Gaulois réfractaires au changement ?
    Jean-Luc Tari pour bvoltaire.fr
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  • Ca, c'est la meilleure ! Avec Erdogan, qui nous fait la leçon, plus c'est gros, plus ça passe (croit-il) !

    A Constantinople, en cette triste année 1453 qui vit la ville (et, après elle, une bonne partie de l'Europe du sud-est) tomber aux mains des Turcs, il y avait 100% de chrétiens comme habitants de la ville.

    Aujourd'hui, le chiffre "tend vers zéro" comme disent les professeurs de mathématique.

    De ce point de vue-là, si on compare les Turcs avec les nazis (la Turquie a été alliée de l'Allemagne durant les deux guerres mondiales...) on peut se dire qu'au fond les Turcs sont des nazis qui ont réussi : là où Hitler a échoué, lui qui voulait une Allemagne sans juifs, les Turcs ont réussi, eux qui voulaient une Constantinople sans chrétiens : c'est fait.

    Moyennant quoi l'actuel maître des lieux se permet de nous donner des leçons : alors que chez lui, en Turquie, en 18 mois d’état d’urgence, 160 000 personnes ont été arrêtées, 152 000 fonctionnaires licenciés, des enseignants, juges et avocats ont été renvoyés ou poursuivis, des journalistes arrêtés, des médias fermés et des sites web bloqués etc... etc... Erdogan a critiqué les pays européens au motif qu'ils étaient présents en Egypte, en février dernier, cautionnant ainsi le régime du maréchal Sissi, qu'Erdogan juge dictatorial !

    Il a tenu ces propos en juillet dernier - hier... - lors du Sommet du Processus de coopération de l'Europe du Sud-est, à Sarajevo, la capitale de la Bosnie-Herzégovine.

    Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd, certes, mais elle est quand même bien grosse, cette grossière "hénaurmité". Mais Erdogan s'en fiche : pour lui, comme pour Goebbels, "plus c'est gros, plus ça passe" (croit-il) !...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/01/ca-c-est-la-meilleure-avec-erdogan-plus-c-est-gros-plus-ca-p-6167773.html