magouille et compagnie - Page 1189
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Le réchauffement climatique : une escroquerie
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Le macronisme, doctrine du suivisme par anticipation
Dans un récent entretien accordé à Valeurs Actuelles, le président Macron a invoqué publiquement la difficulté de gérer une « France archipel », récupérant au passage la popularité de l’ouvrage éponyme à succès de Jérôme Fourquet. Si c’est pour s’en tenir à reconnaître ce que chacun constate au quotidien, c’est un peu court et on en attend bien davantage. On peut d’ailleurs se demander quel est le sens et l’avenir d’une « nation multiple et divisée », tant la contradiction dans les termes est flagrante. Mais cet aveu d’impuissance cache une incapacité plus grave.
Laborantin politique, Emmanuel Macron, soutenu et conseillé par de puissants et discrets lobbies mondialistes, relayé par des épigones et des lucioles opportunistes de tous bords, a inauguré une nouvelle doctrine politique de “suivisme par anticipation”. Sa méthode consiste à observer ce qui se passe et à se déterminer au moment opportun sur tous sujets en fonction du vent porteur qui se lève, sans jamais avoir à trancher.
A l’inverse du principe « diviser pour régner », il s’agit là de coaguler les minorités pour s’imposer en rassembleur, tout en laissant les courants dominants se confronter, pour s’imposer comme solution alternative. Or, on ne crée pas une nation avec des minorités. Benjamin Constant et Alexis de Tocqueville nous ont décrit au XIXe siècle la tyrannie de la majorité comme conséquence indésirable de la démocratie. Il nous faut maintenant affronter la tyrannie des minorités.
La fameuse expression « en même temps » que beaucoup déplorent, révèle une stratégie de communication bien rodée mais lassante car improductive, finalement contreproductive. Entre prudentes non-prises de position et prises affirmées de non-positions, selon le contexte et la détermination de ses interlocuteurs, à vouloir séduire chacun il déçoit et exaspère tout le monde. L’attitude affichée de recul et de hauteur masque mal l’absence de “plan B” de société.
Car de deux choses l’une. Soit Macron le savait déjà quand il s’est lancé dans la dernière corrida présidentielle avec un succès inattendu au terme du lynchage médiatico-judiciaire de son principal concurrent alors en tête, et alors il aurait dû préparer un projet de société en privilégiant la stabilité et la conservation des fondamentaux. Soit il ne le savait pas, coupé du monde réel dans sa bulle merveilleuse de “happy few“, et il devrait moralement reconnaître son incapacité à relever le défi. Dans les deux cas, on ne va pas le plaindre d’avoir réussi un holdup électoral en exploitant le suicide politique, orchestré, de son concurrent.
Mais la question est de savoir si Macron est capable de ressouder la nation française et de la guider vers un modèle nouveau et soutenable de société. Vide de projet sociétal, sa “politique de la culture brûlée” montre qu’il n’en a pas la vision, ni l’envergure. Or, il suffit d’une génération déracinée pour rompre le fil continu d’une civilisation pérennisée par la transmission contiguë des savoirs et des valeurs. C’est ce sur quoi comptent les islamistes, qui préparent leurs bataillons d’enfants endoctrinés à prendre la relève. L’expérience de nombreuses guerres civiles montre que la bombe démographique à retardement est un investissement sur le long terme, à fort taux de rendement garanti.
Fort de son aplomb de débutant, Macron sait par Cocteau que “le talent de l’audace, c’est de savoir jusqu’où on peut aller trop loin”. Il en applique une deuxième maxime: “Ces choses-là nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs”. Ça ne suffira pas et les urnes devront vite parler en conséquence.
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Le premier radar tourelle de Bretagne est (déjà) tombé !
Breizh Info – Le Gouvernement entend poursuivre sa politique de matraquage intensif des Français sur les routes . Son arme ultime : le radar tourelle. Ainsi, 1 200 radars tourelles seraient déployés pour la fin de l’année 2020. Actuellement 150 à 200 radars de ce type sont déjà déployés en France, dont un, à Plémet (22) qui vient de tomber. Le premier en Bretagne (pour cette nouvelle « collection » de radars).
Ce robot policier (il contrôle vitesse, mais aussi potentiellement assurance, dépassement, téléphone au volant). n’aura ainsi pas eu le temps de flasher beaucoup d’automobilistes entre Loudéac et Merdrignac sur la RN 164. Il a été manifestement découpé à la meuleuse, signe que tous les moyens seront bons chez certains usagers en colère pour mettre fin à cette politique répressive en matière de sécurité routière.
Une politique lucrative qui rapporte, si bien que lorsque 75% du parc était endommagé en juillet, la Sécurité routière a estimé un manque à gagner en contraventions à 300 millions d’euros depuis novembre 2018, date du début de la contestation sociale des Gilets jaunes, date à laquelle une grosse partie des radars de Bretagne et d’ailleurs ont commencé à être mis hors service.
Dans le Morbihan, un premier radar tourelle a été installé cette année à Locqueltas, sur la D778 où la vitesse est limitée à 70 km/h. L’appareil flashe dans les deux sens. Dans les Côtes-d’Armor, le préfet du département a prévenu que tous les radars vandalisés seront remplacés par ces appareils nouvelle génération. Deux zones seront particulièrement visées : la D14, entre Lamballe et Collinée, et la D165, entre Yffiniac et Moncontour. Enfin, près de la Baule, sur la route de Guérande, c’est près d’un passage à niveau où la vitesse est limitée à 70 km/h qu’un radar tourelle a été installé, en juin dernier.
Reste à savoir désormais si le Gouvernement est prêt à créer une brigade policière spéciale pour faire des gardes permanentes devant les radars tourelles dans, plutôt que d’envoyer les policiers rétablir l’ordre dans les cités, et dans les centre-villes des métropoles en proie aux violences et aux trafics en tout genre. C’est tout de même en général plus facile de s’attaquer aux automobilistes !
Breizh Info / Crédit photos : DR
https://www.tvlibertes.com/actus/le-premier-radar-tourelle-de-bretagne-est-deja-tombe
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Institut islamique à Lyon : complicité et soumission de la France au grand jour...
Andréa Kotarac Conseiller Régional Auvergne-Rhone-Alpes nous révèle que l’Institut islamique inauguré à Lyon est financé par l’Arabie Saoudite ET la France.
En soutenant ce projet, Castaner et sa clique se rendent ainsi complices des exactions commises par le gouvernement saoudien sur leur population.
En mars 2020, lors des municipales, dans votre ville où votre village, votez utile, votez souverainiste !
Action française Lyon
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HOPITAL PUBLIC : LES VRAIES RAISONS DE LA CRISE (Dr Jean Philippe de la Ribausière)
L’hôpital public traverse aujourd’hui une crise sans précédent, que certains qualifient même d’existentielle, c’est dire ! D’abord révélée par les services d’urgence saturés (chaque année, 21 millions de personnes se présentent aux urgences, dont 4 millions sans en avoir besoin), elle s’est étendue à la majeure partie des services, au point qu’un Collectif Inter-Hôpitaux s’est récemment créé parmi les professionnels de santé hospitaliers et les patients (appelés dans la novlangue « usagers de santé ») afin d’organiser une rébellion contre les politiques d’austérité mises en œuvre depuis déjà de nombreuses années.
UNE CRISE EXISTENTIELLE…
D’après ce Collectif, l’état des lieux est le suivant : les économies demandées aux hôpitaux publics, année après année, ont entraîné des difficultés majeures d’accès aux soins, une dégradation de la qualité et de la sécurité des soins, un épuisement des personnels hospitaliers.
Ils estiment que les pertes de chances pour les patients, par manque de moyens, sont devenues réelles. Effet pervers de cette dégradation chronique, les soignants et les médecins quittent l’hôpital, entraînant des vacances de poste et une majoration des sous-effectifs en personnel dans les services, l’hôpital public devenant de moins en moins attractif.
L’INSUFFISANCE DES CREDITS N’EST QU’UN ASPECT DU PROBLEME
C’est pourquoi ce Collectif associé au Collectif Inter-Urgences demande un plan d’urgence pour l’hôpital public avec un financement à hauteur des besoins de santé.
Ce mouvement de protestation tombe à pic dans le calendrier, avec le vote prochain de la loi de financement de la sécurité sociale qui ne prévoit qu’une augmentation de 2,1 % de l’ONDAM (Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie) hospitalier, alors qu’il faudrait une augmentation d’au moins 5% pour compenser l’argent non affecté des années précédentes.
Si la loi est votée en l’état, les restrictions budgétaires pour les hôpitaux se poursuivront, avec l’aggravation du phénomène décrit précédemment.L’opposition entre directeurs d’hôpitaux et personnels risque de se renforcer, dans la mesure où les directeurs cherchent avant tout à réduire les déficits et n’évaluent les services qu’à partir de lignes budgétaires, ce qui n’empêche pas certains, comme Martin Hirsch, de se gargariser dès lors qu’il peut mettre en avant (avec toute sa coûteuse « com ») la qualité et l’innovation dans les soins dans les hôpitaux de l’AP-HP.
Les directeurs d’hôpitaux, soumis aux diktats des Agences Régionales de Santé (ARS), organisent d’énormes groupements hospitaliers, qui facilitent la fermeture progressive des lits et donc la réduction du personnel, motivant leur décision en ne jurant à l’avenir que sur la prise en charge ambulatoire, alors que cette dernière ne peut en fait s’étendre à tous les types de pathologies ni à tous les patients.
La question des moyens alloués aux hôpitaux publics est certes d’importance majeure, mais ne demeure dans le fond qu’une partie du problème. En effet, si l’Etat se décidait enfin à accorder un budget décent aux hôpitaux, les personnels se plaindraient encore et toujours de conditions de travail dégradées et de souffrances au travail, avec à la clé un manque d’attractivité persistant et préoccupant.
Car l’hôpital public souffre de maux qui sont très rarement mis en avant…
DES PROFESSIONNELS DE SANTE PARASITES
Il y a tout d’abord les nombreux professionnels de santé qui travaillent à l’hôpital public comme des parasites. On peut citer par exemple les médecins dont l’activité est essentiellement libérale et qui profitent de toutes les ressources offertes par leur service. C’est pour eux tout bénef ! Certains ont même le toupet de marchander leurs honoraires avec leurs patients comme dans un souk, d’une façon totalement éhontée. D’autres aggravent leur cas lorsqu’ils sont universitaires, passant leur temps dans des congrès où ils aiment faire les beaux, alors que la majorité des publications scientifiques présentées lors de conférences scientifiques ne valent pas grand-chose…
On ne les voit pas souvent dans leurs services (pourtant, pour l’administration hospitalière, ils sont bien là, sur le papier !). Les hôpitaux publics étant très souvent des centres hospitaliers universitaires, les doyens des facultés des sciences de la santé, irresponsables, favorisent toujours plus le recrutement de jeunes médecins universitaires ayant un pur profil de chercheur, à l’activité hospitalière fantomatique, alors qu’ils sont pourtant payés pour !
DES SOIGNANTS PLANQUES
Il y a aussi tout un tas de soignants planqués. Dans une équipe d’infirmières et d’aides soignantes, il n’est pas rare de voir des professionnels faisant en plus de leur boulot une bonne partie du travail du collègue, la palme de la fainéantise revenant sans doute aux Antillais (qui n’ont un rythme de travail efficace que lorsqu’ils travaillent au black…), très (trop !) nombreux dans nos hôpitaux publics.
Certains sont assez adroits pour faire bonne figure jusqu’à leur titularisation, et après, ne font plus aucun effort. Et sauf faute grave, ils peuvent ainsi glandouiller dans leur service jusqu’à la retraite.
L’idéal serait de pouvoir virer tous ces vilains petits canards.L’ISLAMO-AFRICANISATION
L’autre mal qui mine nos hôpitaux publics, c’est le phénomène d’islamo-africanisation. Au fil des années, il est devenu de plus en plus frappant, y compris dans les hôpitaux parisiens des beaux quartiers. Si, individuellement, cela peut ne pas poser de problème, à plus grande échelle, c’en est toujours un, d’autant plus prégnant dans le contexte actuel où la France est soumise à des attentats de façon récurrente.
Au point de donner presque raison à Brenton Tarrant, qui écrivait en substance dans son manifeste que les allogènes non-armés sont plus dangereux que ceux qui ne le sont pas. Les professionnels de santé de confession musulmane ne sont-ils pas en effet montrés en exemple aux Français quand il est question de « ne pas faire l’amalgame » ?
Pourtant, l’islam est un vecteur constant de violences de toutes sortes, y compris psychologiques, du fait qu’il s’agit d’un système politique et juridique d’essence totalitaire. Ces violences qui n’épargnent personne sont responsables d’une maltraitance chronique des personnels hospitaliers qui finissent par craquer.
Patients ou familles de patients mahométans véhiculent à longueur de temps, en particulier aux urgences, des revendications communautaristes de plus en plus agressives.
Côté personnel, on ose certifier des hôpitaux alors que de très nombreux médecins pratiquent le ramadan, mettant en danger la sécurité des patients pendant un mois chaque année. Sans compter que rien n’empêche que l’un d’eux ne se radicalise (tout musulman étant un djihadiste en puissance) et fasse un carnage dans un hôpital, un fusil d’assaut à la place du stéthoscope.Ce phénomène d’islamo-africanisation des hôpitaux est un facteur majeur de leur perte d’attractivité, sachant qu’il est directement responsable d’un processus de « shitholisation » * au quotidien que tout Français de cœur et d’esprit, même formaté façon bobo gauchiste, finit par fuir comme la peste.
750 M€ DANS LES 2 ANS ? MOINS QUE LE COUT DE L’AME (1 Milliard €) !
Confrontés à cette situation inadmissible (dont certains sont conscients, d’autres encore dans le déni), les directeurs d’hôpitaux, les ARS, le ministère de la santé ne font rien, strictement rien.
Ils accordent tout au plus une aumône, comme l’a fait récemment Agnès Buzyn avec son annonce de débloquer 750 millions d’euros d’ici 2022 pour tenter de résoudre cette crise. C’est en fait se moquer du monde, quand on connaît le montant de l’AME destinée à assurer des soins aux clandestins pseudo-réfugiés toujours plus nombreux ainsi que le coût de l’immigration pour l’Etat, que certains économistes évaluent à plus de 100 milliards d’euros par an.
Une bonne partie de ces milliards pourrait être investie prioritairement dans la santé si la France disposait d’un Etat sain gouvernant selon une politique fondée sur la raison et non sur cette superstition mortifère de la dignité et de l’égalité entre tous les hommes. Il faudrait les consacrer en priorité à la santé de tous les Français respectueux des lois de la République et sachant garder leurs croyances religieuses dans la sphère privée lorsqu’ils consultent à l’hôpital public.
A défaut d’une prise de conscience de nos gouvernants que ce n’est absolument pas le rôle des hôpitaux français de soigner la moitié de l’Afrique (véritable tombeau de l’humanité au XXIe siècle), les professionnels de santé pourraient déjà réduire de façon simple et rapide leur charge de travail, en particulier aux urgences.
Il suffirait en effet de faire appliquer dans les hôpitaux publics des règles drastiques de laïcité, afin que toute manifestation ostentatoire d’une religion soit formellement interdite (en particulier vestimentaire, à commencer par le voile).Emmanuel Macron s’est d’ailleurs lui-même récemment prononcé à ce sujet en soulignant le devoir de neutralité dans les services publics. Les patients de confession musulmane ne seraient pris en charge dans les hôpitaux publics que s’ils font passer les lois de la République au-dessus de la charia. Ceux pour qui la charia passe avant tout pourraient toujours se soigner avec de la pisse de chameau, dont les sciences islamiques ont démontré l’efficacité. Si, si !
L’état désastreux actuel de l’hôpital public n’est que le reflet tragique de notre société en proie à une œuvre politique de destruction amorcée dès les années 70-80.
Il faudrait une révolution pour enrayer le processus, à commencer par une révolution spirituelle.Mais je crains que les choses ne se clarifient qu’une fois nos hôpitaux civils transformés par la force des choses en hôpitaux militaires…
* de l’anglais : « shit hole » ; en français : fosse à purin ; « purinisation », pourrissement…
Dr Jean Philippe de la Ribausière
30 octobre 2019 -
Il faut sauver la France de la mort!
Michel Daniel BatailOn a dépassé le seuil de tolérance, une France que je ne reconnais plus, une France qui a capitulé et laisse ses pompiers se faire agresser à l'arme blanche, à la hache ainsi que des attaques envers sa police, ses gendarmes dans toutes les villes de France.Cette France qui vit dans le déni de la vérité que le Français, lui, vit tous les jours, est bafouée par son élite médiato-politique.Attaquée par des voyous qui se réclament d’une cause religieuse et que les médias ne disent pas, ce n’est plus de l’information.Le peuple français est laissé pour compte, avec les migrants, nous dépassons largement toutes les limites du supportable.Les ingrédients de l’explosion sont tous présents avec une très nombreuse population de plusieurs millions de « jeunes », en croissance constante, d’origine immigrée, très mal scolarisée, dont une bonne proportion se livre à l’économie souterraine (drogue, trafics de biens volés, etc.) et à une délinquance polymorphe, constitue la masse de manœuvre d’un soulèvement général possible.Le territoire a des zones de plus en plus nombreuses conquises, occupées, où les Français de souche ne sont plus les bienvenus.Cette insécurité qui n'arrive pas qu'aux autres, concerne l'ensemble du territoire français, avec un phénomène de sauvagement quotidien de la société française.La justice démolie totalement le travail des policiers.Les délinquants se sentant libres car non inquiétés par la suite, s’en donnent à cœur joie car la justice leur donne raison finalement.L’agression des imams radicalisés qui prêchent ouvertement la violence et avec leur multiplication cela est un grand danger.L'absence de réaction de la communauté musulmane couplée à ces volontés de marcher sur le droit de la République démocratique est inadmissible.Nous avons beaucoup à craindre de cette offensive politique et religieuse qui endoctrine et radicalise. La cause fondamentale de ces faits sociaux majeurs sont totalement occultés par les grands experts du politiquement correct intello- politiciens et autres qui paradent sur les plateaux télé pour bavarder, rassurer et mentir.La langue de bois rassurante de la classe politico-médiatique, faussement optimiste, voulant conjurer ce qui se profile, comme un médecin qui raconte à un cancéreux qu’il a la grippe, ne pourra absolument rien contre les faits.MACRON nous parle de "VIGILANCE" et invite les français à être vigilants avec l'islam.La sagesse voudrait que l'on construise pour la PAIX.L’histoire est ouverte, elle repose structurellement, comme la vie, sur le conflit et nous sommes responsables de notre destin, c’est-à-dire aussi de ceux de nos descendants....!!!! -
Chronique éco de Jacques Sapir - Main basse sur la Sécu
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Impôts : Virginie Pradel dénonce l’« expansion de l’obscurantisme » fiscal
http://www.contre-info.com/impots-virginie-pradel-denonce-l-expansion-de-lobscurantisme-fiscal
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Robert Ménard : « Je suis abasourdi et en colère, c’est un crime de brûler une école, c’est inacceptable ! »
Dans la nuit de jeudi à vendredi, une école primaire, un collège et plusieurs véhicules ont été incendiés dans le quartier de la Devèze, à Béziers.
Le maire de la ville, Robert Ménard, exprime sa colère et son incompréhension au micro de Boulevard Voltaire.
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Édouard Philippe : son plan rantanplan pour la Seine-Saint-Denis
« 10.000 € à celui qui réussit à tenir cinq ans dans le département de la Seine-Saint-Denis ! Approchez, Mesdames, Messieurs les fonctionnaires ! Par ici, les téméraires, par ici, les valeureux ! Qui veut tenter sa chance ? »
Pour les besoins de son plan pour la Seine-Saint-Denis, Édouard Philippe se fait bateleur de fête foraine. À la manière de ces attractions d’antan où, juché sur une estrade, un bonimenteur faisait miroiter une prime mirobolante à toute personne qui parviendrait à terrasser le colosse maison, debout à ses côtés en maillot léopard, le Premier ministre promet monts et merveilles aux agents des services publics qui réussiront à survivre cinq ans dans l’enfer de la banlieue nord.
Dans sa version moderne, l’annonce peut s’apparenter à une épreuve de « Fort Boyard ». En plus difficile. Le colosse, les tigres, les araignées et le saut à l’élastique réunis en un seul lieu. À la porte d’Aubervilliers, Olivier Mine retournera la clepsydre remplie d’eau bleutée et les malheureux entreront dans le département maudit. Sur un écran, quelques collègues restés au dehors encourageront les concurrents… « Allez, tu peux y arriver ! Plus que quatre ans et demi ! »
Vidéosurveillance renforcée, installations des médecins prises en charge jusqu’à 100 %… Des ponts d’or pour les inconscients prêts à s’aventurer en ce territoire hostile. Matignon passe en mode « Française des jeux » : 100 % des gagnants ont tenté leur chance dans le 93. Certains en reviennent indemnes ! Et cousus d’or !
Une fois de plus, le satané Zemmour vient dire tout haut ce que beaucoup osent à peine penser tout bas : « Le problème de la Seine-Saint-Denis, c’est l’immigration, pas la police ou le logement. » Face à lui, sur le plateau de CNews, les mêmes faux-semblants. Pour ceux qui auraient raté les épisodes précédents, revoici la faute à l’urbanisme, la faute aux transports, la couleur des murs, l’âge du capitaine… À venir : la faute au dérèglement climatique.
En tant que copier-coller des gouvernements précédents, la Macronie perpétue le folklore désormais bien établi du plan banlieue. À défaut d’en finir avec le laxisme ambiant, avec la peur de l’embrasement et autres terreurs de poules mouillées, le gouvernement Philippe ressort le biniou cracheur de fric. Cette finance miraculeuse qui, d’un seul coup d’un seul, transformera le loup en agneau, le cannabis en pâte à modeler et la mosquée salafiste en temple bouddhiste.
Dans son numéro de pyromane qui finance la caserne des pompiers, Édouard Philippe fut impeccable. Plan, plan, plan, rantanplan… Et quel sens du rythme !