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magouille et compagnie - Page 1186

  • LAETITIA AVIA A-T-ELLE UNE DENT CONTRE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION ?

  • Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger ?

     
    Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger ?

    De Bernard Antony :

    Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger et des autres grandes villes d’Algérie pour « fêter », avec les formes motorisées de la fantasia, une victoire de l’équipe de France de fouteballe ? Et si, un très grand nombre des plus excités de ces supporters s’avisaient de briser des vitrines, de piller les magasins et d’incendier des dizaines de voitures ? Et si, de plus, cela se produisait le jour de la célébration de la fête nationale algérienne ?

    On imagine sans mal les réactions :

    – des Algériens bien sûr, qui d’ailleurs ont été très fellaghalement éduqués à commémorer ce jour (1er novembre 1954) sans aucune repentance de ce qu’en fut l’atroce réalité, à savoir des assassinats de pieds-noirs et de musulmans patriotes français,

    – de la police et des autorités judiciaires algériennes : les casseurs et incendiaires, de surcroît jugés comme traîtres puisque brandissant des drapeaux français, ne seraient pas prêts de sortir de prison avant des mois, des années et peut-être pas vivants…

    Mais c’est bien la peine pour l’État français d’organiser un beau défilé du 14 juillet avec notre admirable armée et d’inaugurer la veille à Cherbourg le premier d’une série de sous-marins ultra-perfectionnés alors que tant de rues sont livrées à la faune de casseurs, de pillards et d’incendiaires algériens brandissant, conquérants, leurs drapeaux.

    On imagine comment seraient traités de pareils transgresseurs de la paix civile en Russie, aux États-Unis, en Israël ou au Japon…

    La politique qui s’impose à l’égard de ces vandales tient en deux mots : « dedans ! », puis « dehors ! ». D’abord « dedans », c’est-à-dire « au trou » après les justes condamnations qui s’imposent pour saccages, vols et incendies. Ensuite « dehors », c’est-à-dire à leur sortie de prison le renvoi dans leur si prospère Algérie de tous ceux parmi ces délinquants ayant la nationalité algérienne, étant donné que dans les cas très fréquents de doubles nationalité, ils doivent être déchus de la nationalité française.

    Quand donc s’exprimera à la tête de l’État la détermination d’en finir avec les barbares de « Nique la France » ?

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  • Greta Thunberg à l’Assemblée : interdit de rigoler…

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    Ainsi donc, dans quelques jours, Greta Thunberg arrivera en France pour recevoir, à Caen, le prix Liberté… et s’exprimer devant l’Assemblée nationale. Richard Ferrand, sur son perchoir, tel le vieillard Siméon, tendra sans doute une main tremblante vers l’enfançon : « Et nunc dimittis ».

    À la question très sérieuse de Libération – qui a obtenu de haute lutte un entretien – « Vous avez choisi de venir parler devant l’Assemblée nationale le 23 juillet »,  elle répond sans complexe : « J’ai reçu de nombreuses invitations pour m’exprimer devant de nombreux Parlements. J’ai dû décliner pour beaucoup. Cette fois, cela semblait être un bon timing pour la France. »

    On comprend donc qu’il faut, en sus, que nous nous sentions honorés. Peut-être même devrions-nous nous prosterner ? Viva Greta Thunberg, viva notre bienfaitrice !

    « On ne sait pas ce qui va se passer, tout est possible » est la citation de la jeune fille que Libération a choisi de mettre en exergue dans son titre. Merci de cette lapalissade. C’est un assez bon résumé de la condition humaine. Dit autrement par Woody Allen : « Tant que l’homme sera mortel, il ne sera jamais décontracté. » De fait, Greta Thunberg ne semble pas très détendue. Et c’est donc cela que tout un parterre de députés recueillis, la tête penchée, les mains jointes prêtes à applaudir à tout rompre, va devoir se coltiner sans ricaner ?

    Après l’enfant-roi, l’ado-Dieu. Remettre en doute son « expertise » promue dogme de foi – qu’elle reconnaît pourtant elle-même aussi incertaine qu’invérifiable : « On ne sait pas ce qui va se passer, tout est possible » – devient un blasphème, faisant de celui qui le profère un parangon du camp du mal : « Êtes-vous affectée par le fait d’être ciblée par des campagnes de dénigrement de l’extrême droite ? » demande Libération« Bien sûr que cela m’atteint. Mais, malheureusement, c’est ce qu’on doit supporter quand on soutient une cause  : recevoir de la haine, des menaces, être la cible de mensonges. » Greta Thunberg, pour sauver la planète, est prête au martyre. Sous les ors de la République et les ovations des puissants, quand même.

    La petite va prendre une année sabbatique pour aller porter la bonne parole. S’il s’agit de répéter ce fantastique aphorisme ci-dessus cité dans toutes les langues « Wir wissen nicht was passieren wird, alles ist möglich, we do not know what will happen, everything is possible, no sabemos qué va a pasar, todo es posible, non sappiamo cosa accadrà, tutto è possibile… », ma fille qui a peu ou prou le même âge veut bien s’en charger : pour voir du pays, c’est mieux qu’Erasmus. Sauf que ses parents (des tortionnaires) sont plutôt du genre à l’envoyer ranger sa chambre, faire des maths et ne la laisser s’intéresser au climat que pour décider ou non de prendre un parapluie. Ce que c’est, que l’obscurantisme.

    « De jeunes Français engagés pour le climat » seront également là, a précisé à l’AFP le député Matthieu Orphelin, à l’initiative de cette merveilleuse intervention. Choisis, donc, parmi ceux qui, le 15 mars, ont séché les cours pour manifester. Loin d’être sanctionnés, ils se voient dérouler le tapis rouge. Non contente de ne leur avoir pour ainsi dire rien transmis, aucune connaissance ou si peu, notre société les encourage en sus à venir dispenser eux-même leur cours magistral sur la tribune comme s’ils avaient la science infuse et le don de prophétie.

    Sur Twitter, une jeune Martiniquaise répondant au prénom d’Alexane explique doctement, ces derniers jours, avoir « boycotté l’épreuve de littérature du bac L de cette année qui portait sur un roman [Hernanidu RACISTE NOTOIRE Victor HUGO » et initié une pétition. Sa vidéo, vue plus de 750.000 fois, fait le buzz. Un début encourageant.

    Sans doute se voit-elle comme la Greta du racisme ? Et pourquoi n’aurait-elle pas, elle aussi, sa place sur le podium ? Pourquoi ne saurait-elle pas mieux que les adultes le sujet qu’il faut donner et les auteurs à dégager ?

    Chers amis profs, vous avez raison de vous reposer. Dans ce monde de fous, la rentrée de tous ces jeunes promet…

    Gabrielle Cluzel

    https://www.bvoltaire.fr/greta-thunberg-a-lassemblee-interdit-de-rigoler/

  • La profanation du Panthéon, nouvelle étape de la lâcheté des gouvernants ?

    Et si l’injure faite aux grands noms de la France aux marches du Panthéon était l’ultime étape de la lâcheté des gouvernants ?Ces clandestins aux ordres d’associations, qui ont pignon sur rue, illustrent l’ultime dérive de nos institutions.
    Dérive, puisque quiconque s’affranchit de nos lois peut provoquer l’État, souiller la République et ridiculiser la France à l’étranger. 
    Ceux qui commettent un acte empreint d’un tel mépris à l’égard de la France agissent de cette façon parce qu’ils sont conscients de la déliquescence de nos institutions, du silence d’un peuple joué par les « puissants », de la lâcheté des clercs.
    On ne peut que noter le silence du pouvoir face aux provocations de ceux qui ont instrumentalisé ces troupes clandestines. 
    Or, les associations qui les ont encadrés ont désormais des comptes à rendre à la nation.
    Leur activisme d’hier doit conduire le pouvoir à prendre des sanctions propres à mettre un terme à ces provocations, et il ne peut s’agir de menaces verbales mais d’actes de nature à mettre enfin un terme à ces provocations et l’existence même de ces associations.
    Spectateurs aujourd’hui d’actes inadmissibles, parions que les Gaulois se réveillent demain et que les responsables politiques du pays prennent enfin conscience des périls à venir. 
    Général de division (2S) Daniel Roudeillac

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/la-profanation-du-pantheon-nouvelle.html

  • 1, 2, 3, viva l’Algérie ! – Journal du lundi 15 juillet 2019

    1, 2, 3, viva l’Algérie !

    Alors que les deux derniers matchs de l’Algérie ont donné lieu à des scènes de violences et de pillages, les supporters des fennecs ont remis ça dimanche soir lors de la qualification de leur équipe de coeur pour la finale de la coupe d’Afrique des Nations. Un scénario qui laisse présager le pire en cas de victoire vendredi prochain.

    Un 14 juillet délicat pour Macron

    La fête nationale n’a pas été de tout repos pour Emmanuel Macron. Alors que la crise des Gilets Jaunes se poursuit, un comité d’accueil était au rendez-vous pour huer le président et faire du rassemblement une nouvelle tribune de la colère.

    Union Européenne : cordon sanitaire contre les eurosceptiques

    Le Rassemblement National et ses alliés du groupe Identité et Démocratie n’auront pas de responsabilités institutionnelles à Bruxelles. Un revers après les bons résultats électoraux… mais qui peut également s’avérer être un atout pour l’avenir.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/can-les-fennecs-sement-le-chaos-journal-du-lundi-15-juillet-2019

  • Désinformation à rebonds autour du thème du grand remplacement.

    Une courte video punchy, à ne pas mettre à la portée de toutes les oreilles…

  • Le constat d’évidence interdit par la Loi

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    Bernard Plouvier

    Dans la France actuelle, la liberté d’expression n’est pas garantie par la loi. Bien au contraire, certaines réalités, certaines prévisions à moyen ou long termes, qui sont les conséquences logiques de ces réalités, ne peuvent être présentées qu’au risque de poursuites judiciaires. D’autant que nos princes multiplient les lois restrictives quant à l’expression de la pensée non-consensuelle.

    En nos tristes jours, l’on est plus facilement condamné pour l’exposition d’un point d’histoire controversé ou pour la publication du prolongement prévisionnel d’une courbe de statistiques ethniques, que pour avoir détourné des fonds publics ou privés, voire même pour avoir tué. De fait, nombre d’individus – pas forcément des citoyens français de souche européenne – jouissent d’un tel faisceau de circonstances atténuantes – qu’en d’autres temps, on eût jugées aggravantes – qu’ils peuvent narguer la loi en toute impunité, avec la complicité active ou passive des fonctionnaires de Dame Justice, dont la vertu a depuis longtemps disparu.

    Or l’histoire est là pour servir la réflexion sur le présent et sur les conséquences prévisibles des actions ou de l’inaction actuelles.

    Rien n’est plus stupide que les vaticinations sur l’issue d’une guerre, civile ou internationale, de cause économique, raciale ou religieuse. Dans le premier des Cahiers secrets du calotin Marie-Émile Fayolle, un médiocre qui dut son maréchalat à la protection du Maréchal Philippe Pétain sur lequel il bavassa ignoblement, l’on trouve à la date du 4 août 1914 : « C’est le duel décisif, à mort, d’où la nation française sortira ou définitivement abattue ou rajeunie, comme ressuscitée ».

    C’est pure absurdité historique ! Aucune guerre, aucune persécution n’ont jamais anéanti une nation – sauf cas de minuscule isolat ethnique. Seule l’implosion démographique, par refus de procréer, jointe à une immigration étrangère massive est tueuse de nation.  

    En 1918, saturés d’une gloire admirablement acquise, les Français s’avachissent sur leurs lauriers. En 1940, ils s’écroulent lamentablement, à l’occasion d’une guerre inutile, que jamais un homme d’État n’eût déclarée – et l’on eut la stupidité de ne pas exécuter les immondes crétins qui l’avaient décidée sans consulter la nation. Mais, dès 1943, débute le Baby-boom, source du renouveau industriel, scientifique et technique, qui ne s’interrompt qu’avec la propagande féministe soixante-huitarde.  

    L’ignoble décret de regroupement familial de 1976 provoque une immigration incontrôlée d’origine extra-européenne, devenue invasion de masse au début du XXIsiècle.

    À l’évidence, ces deux facteurs annoncent la mort programmée de la civilisation française et le remplacement de la nation par un salmigondis d’ethnies venues des endroits de la planète où, à défaut de croissance économique et intellectuelle, on se multiplie.

    La nouvelle population de remplacement sera, au milieu ou à la fin du siècle, de majorité africaine et moyen-orientale, métissée & islamisée. Et ce ne sera plus la France. C’est un constat d’évidence… interdit par la nouvelle Inquisition !

    Nos petits-enfants, devenus minoritaires – voire citoyens de seconde zone – dans ce qui fut le pays de leurs ancêtres, sauront qui maudire : les pseudo-Français lâches, veules et mous. À moins d’un sursaut des vrais Français patriotes, lucides et tournés vers l’action.   

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/05/le-constat-d-evidence-interdit-par-la-loi%C2%A0-6162253.html

  • 14 juillet: Après les violences à Paris, Marine Le Pen dénonce l’«incompétence chronique» de Castaner

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    Suite aux violences et interpellations ayant eu lieu en marge du 14 juillet, Marine Le Pen s’est interrogée sur le rôle de Christophe Castaner quant à la gestion des événements.

    Après les incidents survenus suite au défilé militaire du 14 juillet, la présidente du RN a fustigé le ministre de l’Intérieur qui, selon elle, est «en dessous de tout» et est «incapable d’assumer la moindre responsabilité». 

    «Comment est-ce possible que des #BlackBlocs et des voyous d’extrême gauche arrivent à tout saccager le jour de notre fête nationale? Pourquoi cette incompétence chronique d’un Ministre de l’Intérieur en dessous de tout et incapable d’assumer la moindre responsabilité?», a écrit Marine Le Pen sur Twitter.

     Voir le tweet

    Christophe Castaner a également été pris à partie par Philippe Goujon, maire (LR) du XVe arrondissement.

    «Le ministre de l'Intérieur une fois de plus échoue à maintenir la sécurité à Paris. Je mets en cause le dispositif policier inadapté aujourd'hui à Paris pour gérer une journée qu'on savait très difficile», a-t-il expliqué à l'AFP.

    Réaction de Castaner

    Le ministre français de l'Intérieur a dénoncé les incidents survenus le 14 juillet à Paris. Selon lui, il faut respecter le «jour où la Nation est réunie».

    «Ceux qui ont voulu empêcher ce défilé devraient avoir un peu honte. Aujourd'hui, c'est un jour où la Nation est réunie, et je pense que la Nation, il faut la respecter», a-t-il appuyé.

    Un 14 juillet agité

    Ce 14 juillet 2019 a été gâché par des affrontements entre forces de l'ordre et manifestants. Des tensions ont éclaté après le défilé militaire sur les Champs-Élysées. De nombreuses barrières métalliques ont été mises à terre au milieu de la chaussée, des poubelles ont été incendiées, conduisant les forces de l'ordre à riposter en tirant des grenades lacrymogènes.

    Au total, dans la matinée et lors des incidents de l'après-midi, 175 personnes ont été interpellées. Parmi elles, certaines figures des Gilets jaunes ont passé plusieurs heures en garde à vue: Jérôme Rodrigues, Maxime Nicolle et Éric Drouet.

  • La chienlit du 14 juillet révèle le discrédit des autorités

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    Alors qu’il descendait les Champs-Élysées, debout à l’arrière d’un véhicule militaire, Emmanuel Macron a été copieusement sifflé. Quelques dizaines de protestataires, apparemment liés aux gilets jaunes, l’ont chahuté en criant « Macron démission ! » En marge du défilé, 150 personnes auraient été interpellées, dont quelques figures médiatiques du mouvement.

    Macron a donc renoué avec la tradition de son prédécesseur, François Hollande, qui était régulièrement hué. D’aucuns protesteront que c’est une offense à l’armée, en ce jour de 14 juillet. Mais les troupes qui défilaient ont été applaudies et honorées. Ce n’est pas le président de la République ni le chef des armées qui a été conspué, c’est l’homme Emmanuel Macron, dont une partie des Français ne reconnaissent plus l’autorité.

    Ces incidents sont, une fois de plus, la preuve que l’autorité de la fonction ne se suffit pas, qu’elle n’est pas respectée quand elle ne se traduit pas par des actes qui la rendent respectable. Il ne serait venu à l’idée de personne de siffler, un 14 juillet, Mitterrand, Chirac ni même Sarkozy, désapprouvât-on leur politique. Il a fallu que Hollande et Macron descendent à un degré singulier d’impopularité pour subir ce genre d’affront. Macron reste, dans l’esprit de beaucoup de Français, le parvenu qui a conquis le pouvoir par effraction, avec la complicité de la finance.

    Toutes les catégories ont de bonnes raisons de lui en vouloir. Les classes populaires et moyennes, qu’il méprise et accable de taxes ou d’impôts, les retraités qu’il ponctionne, les automobilistes qu’il prend pour des vaches à lait, les familles, qui perdent progressivement leur pouvoir d’achat, les chômeurs, dont la plupart seraient des fainéants… On pourrait allonger la liste de tous ceux dont il provoque le mécontentement. Si sa cote de popularité est remontée à 32 %, confortée par une droite plus soucieuse de son portefeuille que de ses valeurs, elle reste bien fragile.

    À peine le défilé achevé, alors que Macron régalait ses hôtes européens à l’Élysée (on ne sait pas si François de Rugy, qui trônait sur la tribune derrière le Président, en était), quelques échauffourées ont eu lieu sur l’avenue la plus célèbre de Paris, manifestement conduites par des Black Blocs, devant les touristes qui prenaient des photographies. On peut s’indigner de voir ainsi la fête nationale devenir l’occasion de chienlit. Christophe Castaner a beau dire que « ceux qui ont voulu empêcher ce défilé devraient avoir honte », c’est lui qui devrait avoir honte d’avoir contribué à saper la légitimité de l’autorité.

    Les Champs-Élysées connaîtront peut-être, ce soir, de nouveaux désordres, si l’Algérie gagne son match contre le Nigeria. Parlera-t-on de « liesse populaire », quand on brandit un drapeau étranger et qu’on commet des dégradations ? Non seulement nos autorités ne sont pas capables de susciter le respect unanime des Français, mais elles sont incapables de faire respecter la France.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/la-chienlit-du-14-juillet-revele-le-discredit-des-autorites/

  • La France est colonisée

    La France est colonisée

    Six mois de prison ferme ont été requis jeudi dernier contre trois militants de Génération Identitaire car ils voulaient empêcher une immigration illégale.

    Pendant ce temps :

    • Jeudi soir, le drapeau français a été remplacé par le drapeau algérien à Tours
    • des magasins ont été pillés à Paris par des supporteurs algériens
    • une femme est morte à Montpellier, renversée par un Algérien
    • des immigrés clandestins ont occupé le Panthéon
    • Hier soir, 250 supporters algériens ont été interpellés (en France)
    • Hier soir, la place de l’Etoile à Paris a été envahie par des Algériens (mais où sont les LBD ?) :

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