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magouille et compagnie - Page 1204

  • Immigration : les camps du nord de Paris au cœur de la campagne des municipales

    Alors que le nombre de migrants à Paris s’envole depuis février, les candidats commencent à avancer des propositions sur ce thème ultrasensible.

    Des centaines de tentes installées à la va-vite sous une bretelle d’autoroute, des camps de fortune qui resurgissent sitôt démantelés, des milliers d’étrangers vivant ou survivant aux franges de la ville, entre la porte de La Chapelle et celle d’Aubervilliers… A Paris, la question des migrants ne relève pas de la théorie. A cinq petits kilomètres de l’Assemblée nationale où les députés ont discuté, lundi 7 octobre, de la politique de la France en la matière, se trouve l’une des plus importantes concentrations de migrants du pays. Un sujet devenu un des dossiers-clés de la campagne des municipales.

    Le Monde

    https://www.tvlibertes.com/actus/immigration-les-camps-du-nord-de-paris-au-coeur-de-la-campagne-des-municipales

  • Immigration : belle mise en scène à l’Assemblée !

    Lundi, le grand théâtre du régime macronien avait choisi l’hémicycle du palais Bourbon pour offrir un spectacle aux médias chargés de désinformer les Français. Il s’agissait, pour le gouvernement et pour les « députés », d’obéir à l’injonction présidentielle : ils l’ont fait et ont parlé pendant cinq heures de l’immigration.
    Le but de l’exécutif était d’occuper apparemment la position centrale qui lui paraît la bonne tactique électorale.
    On parle de l’immigration, sans tabou, et on se fait accuser par l’extrême gauche d’instrumentaliser la question, mais on rejette la remise en cause du droit du sol, proposée par la vraie droite, tout en refusant la naïveté, en matière d’aide médicale, pour complaire à la droite dite modérée, c’est-à-dire au Marais.
    Le fait que la question cruciale du droit du sol, et plus généralement de l’acquisition de la nationalité française, ait été balayée d’un revers de main est significative.
    C’est la seule qui peut mettre fin à la naïveté qui consiste à croire qu’un Français de papiers, souvent doté d’une autre nationalité, conservant un mode de vie et des convictions étrangères et même parfois hostiles à la nation française dont il est devenu membre par automatisme ou par intérêt, constitue un citoyen comme les autres.
    L’augmentation de ce type de « Français » modifie en profondeur l’identité du pays, sa culture, la prise en compte de son destin par l’ensemble de sa « nation ».
    Peu à peu, sur des territoires qui s’étendent et se multiplient, ce sont d’autres codes qui s’installent que ceux transmis par nos traditions, par notre histoire et théoriquement imposés pas nos lois.
    Des personnes d’influence, puis des décideurs investissent les pouvoirs médiatiques, culturels et politiques pour changer, comme ils disent, notre « mentalité », nos « stéréotypes », pour déraciner les Français, non pour créer une société plus ouverte vers le monde, multiculturelle, mais pour affaiblir les résistances identitaires et préparer un basculement progressif vers une autre culture.
    Pour ceux qui ont connu l’Assemblée de l’intérieur, un débat comme celui de lundi est effarant.
    Le gouvernement a réuni les parlementaires pour dire qu’ils avaient parlé de l’immigration et qu’ils en parleraient à nouveau.
    Cela fait cinquante ans que ça dure depuis le va-et-vient sur le regroupement familial des années 1970, jusqu’aux mesures cosmétiques de la loi Asile et Immigration de l’année dernière, en passant par le manège du Code de la nationalité en fonction des alternances politiques et le fiasco du débat sur l’identité nationale confié par Sarkozy à un ministre venu du Parti socialiste.
    Les quotas sont aux parlementaires ce que sont les marronniers pour les journalistes, le sujet qu’on évoque quand on n’a rien d’autre à dire.
    Le serpent de mer a donc refait surface dans le discours d’Édouard Philippe chatoyant de multiples écailles : par pays, par profession.
    Cette solution technocratique permettrait d’envelopper le souhait du pouvoir de faire entrer des travailleurs à bas coût tout en manifestant apparemment de la rigueur sur les flux migratoires.
    La possibilité ouverte de travailler, pour les demandeurs d’asile, après six mois de présence votée lors de la récente loi participait de cette ambiguïté, pour ne pas dire de cette hypocrisie.
    Devant ce théâtre d’ombres qui s’est agité, dénué de cette représentativité que l’on doit exiger d’un Parlement digne de ce nom, seuls quelques élus de droite ont sonné le tocsin, quelques gaullistes noyés chez Les Républicains toujours à la recherche d’eux-mêmes, comme Ciotti et Aubert, chez les non-inscrits, Marine Le Pen, sauvée des eaux par Matthieu Orphelin qui lui avait laissé son temps de parole.
    D’autres, non inscrits, comme Dupont-Aignan, n’ont pas eu cette chance.
    Pourtant, c’est dans ces quelques voix que l’on retrouvait cette idée contenue dans le titre d’un ouvrage de Pompidou : Le Nœud gordien.
    Moratoire, référendum, suppression du droit du sol, etc.
    La politique actuelle ne doit pas être modifiée mais renversée si nous voulons que notre pays soit toujours la France.
    Christian Vanneste

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/immigration-belle-mise-en-scene.html

  • Jacqueline Eustache-Brinio : « C’est une honte ! La manifestation de soutien au terroriste Mickaël Harpon ne sera pas interdite ! »

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    Alors que la France fait son deuil des victimes de l’attentat de la préfecture de police de Paris, un militant, Hadama Traoré, organise une manifestation de soutien au terroriste Mickaël Harpon à Gonesse jeudi.

    La sénatrice du Val-d’Oise Jacqueline Eustache-Brinio a immédiatement saisi la préfecture pour faire interdire la manifestation. Sans succès.

    Elle réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    Madame la Sénatrice, alors que la France fait le deuil des quatre victimes de Mickaël Harpon, une manifestation est organisée à Gonesse en soutien non pas aux quatre victimes, mais au terroriste lui-même, par un militant du nom de Hadama Traoré. Vous avez demandé au préfet si cette manifestation allait être maintenue, quelle est la réponse que vous avez reçue ?

    Comme tous les Français, je ne peux pas être insensible à ce qui s’est passé au sein même de la Police. Et en tant que sénatrice du Val-d’Oise, je m’offusque qu’à Gonesse quelqu’un s’autorise à organiser une manifestation de soutien à un terroriste, à un assassin. La vidéo diffusée sur YouTube est un véritable appel à la haine, un appel à la remise en cause de notre République et de notre dignité.
    J’ai donc bien évidemment appelé la préfecture ce matin pour demander si cette manifestation allait être interdite. Or, dans ces cas-là, c’est toujours la même chose : « On ne peut pas interdire, on n’a pas le cadre pour interdire, etc. » Stupéfaite, je me suis permis de penser : à situation exceptionnelle, peut-être, attitude exceptionnelle et courageuse ?
    On a essayé de me rassurer en me disant qu’il y aurait des services de police, etc. Mais la manifestation en elle-même ne sera pas interdite ! C’est une honte !
    On nous demande d’être courageux. Le Président aujourd’hui demande aux citoyens de lutter tous ensemble, alors que les services de l’État eux-mêmes ne peuvent empêcher une telle manifestation. C’est totalement inadmissible ! On ne peut plus, et on ne doit plus laisser faire ça !

    Pourquoi cette préfecture réagit-elle comme cela, selon vous, alors que le Président a demandé de ne plus rien laisser passer ? Peut-on parler lâcheté ?

    On nous dit qu’on n’a pas le cadre et que ce n’est pas si simple d’interdire. Moi je dis : « Quand on ne veut pas, on ne fait pas, et quand on veut, on peut ». Il y a bien des manifestations qui sont interdites sur ce territoire, et on trouve le cadre nécessaire pour les interdire.
    Ça ne serait pas la première manifestation qui serait interdite. Et là, comme par hasard, on ne trouve pas le cadre pour l’interdire. On est dans le même concept, on ne veut pas lutter. Si on ne lutte pas de l’intérieur, si l’État n’est pas courageux pour lutter, ça ne sert à rien de nous demander d’être courageux. C’est vraiment une honte ! Je suis vraiment très en colère.

    Pour vous, cette initiative de Hadama Traoré, c’est une preuve de la fracture sociale, de la partition ?

    C’est une preuve qu’on peut tout se permettre dans notre pays ! Avez-vous vu les commentaires ? Avez-vous le texte ? Le texte dit à peu près en substance : « Nous allons rentrer en guerre contre votre pays. » J’exagère un petit peu, mais c’est pas loin de ça. « On nous frappe à terre », « la guerre est ouverte ».
    J’ai d’ailleurs fait un signalement sur le site du gouvernement pour toutes ces choses un peu violentes. Au lendemain de ce qui s’est passé au cœur même de nos services de police, cette vidéo aurait dû être supprimée de YouTube.
    Nous sommes dans une situation où, si l’État ne met pas en place des décisions et des actions très fortes, ce n’est pas la peine de palabrer. Les mots n’ont plus d’importance aujourd’hui. Seuls les actes et les actions feront que nous pourrons retrouver notre unité, retrouver cette laïcité qui est une chance pour ce pays. Pour se battre contre l’islam radical, contre l’islamisation des banlieues, contre les Frères musulmans qui ont tissé des petites toiles d’araignée depuis des années chez nous, on ne peut pas se payer de mots ! Il faut faire, et faire vraiment !

    https://www.bvoltaire.fr/jacqueline-eustache-brinio-cest-une-honte-la-manifestation-de-soutien-au-terroriste-mickael-harpon-ne-sera-pas-interdite/

  • Christophe Castaner à l’heure des explications – journal du mardi 8 octobre 2019

    1) Christophe Castaner à l’heure des explications

    Christophe Castaner plus que jamais sous pression. Cinq jours après l’attaque terroriste à la préfecture de police de Paris, le ministre de l’Intérieur a été auditionné ce mardi pour s’expliquer sur les nombreux dysfonctionnements ayant permis le passage à l’acte de Mickaël Harpon. Une goutte de plus dans le vase de la place Beauvau déjà prêt à déborder.

    2) Les agriculteurs contre le CETA et le Mercosur

    A l’appel de la FNSEA et des Jeunes agriculteurs, une mobilisation s’organisait ce mardi pour alerter sur la crise du secteur et les dangers que représentent les accords commerciaux du CETA et du Mercosur.

    3) Syrie : Ankara aux portes du Kurdistan syrien

    Les Etats-Unis ont quitté le nord de la Syrie et laissent, dans une certaine mesure, le champ libre à la Turquie… les Kurdes, eux, apparaissent lésés… le tout sur fonds de crise chez le voisin irakien…

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/christophe-castaner-a-lheure-des-explications-journal-du-mardi-8-octobre-2019

  • Racket: La SNCF coûte 224 euros à chaque Français [Vidéo]

    Selon les informations du quotidien L’Opinion, les contribuables payent 224 euros par personne, ou 905 euros par foyer fiscal, par an à la SNCF.Ces chiffres ont été calculés par l’ancien magistrat de la Cour des comptes, François Ecalle.
    Ainsi, les Français financent très largement le groupe de mobilité.

    Par ailleurs, François Ecalle a créé un site Fipeco.fr dédié à l’économie et la finance publique. – L’édito Eco de Nicolas Doze, du mardi 8 octobre 2019, sur BFMTV.
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    http://by-jipp.blogspot.com/

  • Greta Thunberg : égérie verte ou garde rouge ?

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    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Montréal a connu le 28 septembre la plus grande manifestation de son histoire, 500 000 moutons de Panurge, en majorité adolescents, défilant derrière leur icône Greta Thunberg pour « défendre la planète » massacrée à l’en croire par la criminelle inconscience des adultes. Pourtant, quelques jours plus tôt à la tribune de l’ONU, la championne autoproclamée de l’environnement avait montré son son vrai visage — ou son autre personnalité. Son discours accusateur tenait de l’imprécation hystérique.

    A l’ONU, on était bien loin de la jeune fille légèrement autiste et si méritante, donneuse de leçons certes, mais inspirée par de nobles motifs et porte-parole d’une génération légitimement inquiète de l’évolution environnementale de la planète. Elle n’était pas inspirée : les yeux exorbités, la bouche tordue, elle était possédée. Elle a véhiculé un discours de haine générationnelle, accusant les adultes d’être des criminels climatiques qu’elle trainerait volontiers devant un Nuremberg de l’environnement. Elle n’arrivait pas à se contenir, celle qui séduisait commence à faire peur. Il faut se méfier du fanatisme de l’âge tendre, l’histoire pourtant nous l’a enseigné.

    Savonarole, dans sa haine des mœurs de la Florence des Médicis et sa dénonciation des dépravations papales, instaura un régime de terreur appuyé sur le fanatisme de ses pleureurs, souvent des enfants. Savonarole envoie ses jeunes disciples, des enfants et adolescents en robe blanche devenus des experts en dénonciation de « mauvaises actions », piller les habitations, les palais et les commerces, afin d’en extirper tous les objets de luxe et d’hérésie — miroirs, bijoux, cosmétiques, riches atours, œuvres d’art représentant des épisodes mythologiques et donc païens, Le 7 février 1497, Savonarole organise un grand «bûcher de vanité», place de la Seigneurie, dans lequel sont jetés tous les attributs du luxe : jeux, instruments de musique, tableaux, sculptures et jusqu’aux ouvrages de Boccace.

    A quand un petit Livre Vert ?

    Plus près de nous, comment ne pas se souvenir de l’exploitation de la jeunesse par les régimes totalitaires avec l’exemple le plus frappant, celui des Gardes rouges de Mao ? Des groupes de garçons et filles, souvent âgés de 10-12 ans, et dont la majeure partie est constituée de collégiens et lycéens. Ils portent un brassard de coton rouge sur lequel figurent trois caractères jaunes qui forment l’expression « Gardes rouges ». Le nouveau slogan à la tête de l’État est « Pas de fondation sans destruction ». Inspirés par les principes du Petit Livre rouge, les jeunes excités ont pour vocation de revivifier la société chinoise, trop rigidifiée, en éliminant les Quatre Vieilleries. Ils débaptisent à Pékin les noms de rue et attaquent les monuments évoquant la Chine impériale. Ils confisquent les biens des anciens capitalistes. De nombreux enfants ont alors dénoncé leurs parents, les condamnant à l’emprisonnement ou à la mort. Leurs héritiers khmers rouges, qui szeront les chevilles ouvrières du génocide cambodgien (1,7 million de morts selon l’hypothèse basse) seront eux aussi très jeunes.

    Car les jeunes, qu’on nous dit si ouverts et si tolérants, sont facilement fanatisables et donc fanatisés. A quand un Petit Livre vert pour le salut du monde par la destruction de ses actuelles fondations ?

    Reste à savoir qui est derrière, car ils sont toujours instrumentalisés même s’ils échappent parfois à leurs marionnettistes.

    On commence à se poser la question : qui est derrière Greta ? Le charme est sur le point d’être rompu, il était temps, mais c’est peut être déjà trop tard.

    Quand on voit la petite Suédoise, on ne peut que penser à la formule de Cocteau sur Minou Drouet, éphémère poétesse très médiatisée : « Tous les enfants ont du talent… sauf Minou Drouet. »

    Tous les enfants veulent sincèrement sauver la planète, sauf Greta Thunberg.

    Pierre Boisguilbert 5/10/2019

    https://www.polemia.com/greta-thunberg-egerie-verte-garde-rouge/

  • Mensonges d’Etat : les folies du pouvoir – Politique-Eco avec Philippe Pascot

    Ce soir, retrouvez « Politique-Eco ». Pierre Bergerault reçoit Philippe Pascot pour son nouveau livre « Mensonges d’Etat » édité chez Max Milo. Un essai précis et sourcé qui révèle comment le gouvernement Macron, aidé du système financier et médiatique, manipule et construit un pouvoir de plus en plus totalitaire. Philippe Pascot, qui milite pour une transparence totale, l’affirme sans détour : »Le mensonge devient la règle et la vérité l’exception ».

    https://www.tvlibertes.com/mensonges-detat-les-folies-du-pouvoir-politique-eco-avec-philippe-pascot

  • Migrants: Marseille pourrait devenir un port d’accueil pour les migrants en Méditerranée

    C’est une perspective qui fait l’unanimité contre elle dans la classe politique de la Cité phocéenne, qui n’a pas été consultée en amont. Marseille a été évoquée au sommet de Malte, fin septembre, pour devenir l’un des ports d’accueil pour les migrants sauvés en Méditerranée. Un préaccord a été trouvé en vue de la création d’un mécanisme de répartition automatique des clandestins débarqués à Malte ou en Italie. Il doit être soumis à l’approbation des autres États membres de l’UE ce mardi 8 octobre.

    […]

    À droite, dans une ville qui a fait des croisières et du tourisme son fer de lance médiatique (avec un record de 5 millions de visiteurs cette année), la gêne est tout aussi palpable. Seule Martine Vassal, présidente LR de la métropole et du département, accepte de répondre. En commençant par un constat: «Mon institution a la responsabilité des jeunes migrants mineurs. Ils étaient 60 en 2015, aujourd’hui plus de 1100, et on va encore créer 500 places en urgence tant la demande est forte.» […]

    Stéphane Ravier, candidat du Rassemblement national, se frotte les mains: «C’est une pure provocation dans une ville qui compte 28% de sa population sous le seuil de pauvreté et ne parvient pas à trouver des logements pour les Français qui y ont droit.»

    […]

    Lefigaro.fr

    https://www.fdesouche.com/1273925-migrants-marseille-pourrait-devenir-un-port-daccueil-pour-les-migrants-en-mediterranee

  • L'affaire Harpon : de plus en plus inquiétant... Les informations de ses clés USB ont-elles été transmises aux terroristes ?

    Une découverte inquiétante : selon Le Parisien et Franceinfo, des clés USB ont été retrouvées au domicile de Mickaël Harpon.

    Elles contenaient des vidéos de propagande de Daech mais aussi - et surtout - des coordonnées et données personnelles de plusieurs dizaines de ses collègues travaillant à la préfecture de police. 

    Question : Harpon a-t-il "envoyé" ces dossiers, et à qui ?

    "Rétrospectivement, ça fait tout de même froid dans le dos, témoigne l’un des anciens collègues de Harpon auprès du Parisien. On savait qu’il disposait de l’un des plus hauts niveaux d’habilitation de la préfecture. Ça veut dire qu’il était en capacité de savoir tout ou presque des agents qu’il côtoyait au quotidien" : seulement des agents ?

    En somme, sans tomber dans le catastrophisme ni chercher à créer un climat anxiogène, on ne peut que redouter que le terrorisme soit au courant de plein de choses. Car, là et pour l'instant, on nous parle de "données personnelles" de policiers, ce qui est déjà gravissime : mais va-t-on apprendre demain que d'autres clés on été retrouvées qui contiennent des renseignements "confidentiels défense" sur la lutte anti-terroriste (lieux, installations, personnels, méthodes...)...

    Et Castaner qui continue à plastronner...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/08/l-affaire-harpon-de-plus-en-plus-inquietant-les-terroristes-6181310.html