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magouille et compagnie - Page 1203

  • En catimini, le Parlement européen poursuit son œuvre fédéraliste

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    Alors que les citoyens de l’Union européenne sont en pleine campagne électorale, en vue du suffrage qui aura lieu le 26 mai prochain pour désigner les députés européens, le Parlement de Strasbourg poursuit, en catimini, son œuvre fédéraliste.

    C’est ainsi que, le jeudi 4 avril dernier, l’instance européenne a voté un « règlement carte d’identité » instaurant le principe d’un document officiel porteur d’un symbole européen, d’un format et d’une couleur identique dans les différents pays de l’Union. Il est également prévu que ces différentes caractéristiques communes devront, peu à peu, compléter les documents que chaque État continuera à émettre, tout en gardant la possibilité (mais pour combien de temps ?) de maintenir des éléments spécifiquement nationaux.

    Pourtant, interrogé sur l’instauration de ce nouveau titre officiel, qui a tout d’une pièce d’identité européenne, le rapporteur du projet, le Belge Gérard Deprez, membre du groupe des libéraux et démocrates, déclare sans ambages : « Il n’est pas question de remplacer les cartes nationales d’identité par une carte européenne ; ni d’obliger les États membres qui n’en délivrent pas à en délivrer une ; ni de créer une banque de données européenne des empreintes digitales ; ni de constituer une base légale pour en créer une au niveau national comme se plaisent à le proclamer certains, au mépris de la vérité ! »

    Alors, à quoi va-t-elle servir ? Toujours selon l’eurodéputé belge, ce nouveau document serait simplement destiné à faciliter la circulation des personnes au sein de l’Union européenne. Mais n’est-ce pas, déjà, le but assigné d’une carte d’identité nationale ? Par ailleurs, les passeports actuellement délivrés par les États membres ne portent-ils pas, déjà, la mention « Union européenne » ? Quant à la bannière étoilée, ne figure-t-elle pas, par exemple, sur les nouveaux permis de conduire ? Autant dire que les explications avancées par l’élu européen ne sont pas très convaincantes. En réalité, avant même le choix des peuples qui aura lieu dans quelques semaines, et vraisemblablement inquiets du progrès des votes observés ces derniers mois dans plusieurs pays de l’Union, le Parlement de Strasbourg, encore majoritairement occupé par des fédéralistes, tente de poser quelques repères forts de dernière minute.

    Sans doute les élus concernés, savamment encouragés par une Commission apeurée, espèrent-ils faire émerger dans l’urgence et la précipitation cette notion de citoyenneté européenne après laquelle ils courent désespérément mais qui semble s’éloigner au gré des élections nationales. Citoyen européen « par les papiers » à défaut de l’être de cœur, c’est le message que porte cette nouvelle tentative de forcer l’avenir et le destin de peuples décidément récalcitrants. Comme si la distribution, sous un prétexte fallacieux, d’un documents officiel venu d’ailleurs pouvait, à elle seule, forger un sentiment d’appartenance à une entité supranationale dans laquelle de moins en moins de citoyens européens se reconnaissent.

    C’est dire la déconnexion totale qu’il existe désormais entre l’Europe fédéraliste et ultralibérale voulue par Bruxelles et les peuples qui subissent, au quotidien, la pression et les diktats de cette institution hors-sol. Le 26 mai prochain, sans doute pour la dernière fois, les citoyens qui composent les 27 pays de l’Union européenne (les Britanniques ayant déjà choisi) auront la possibilité de reprendre leur destin en main. Ce projet de carte d’identité européenne fixe l’objectif poursuivi par les fédéralistes : la fin des nations. ce funeste projet, il est encore possible de répondre par le choix d’une Europe des peuples libres et des grands projets. Ni plus ni moins que celle voulue par le général de Gaulle.

    Olivier Damien

    https://www.bvoltaire.fr/en-catimini-le-parlement-europeen-poursuit-son-oeuvre-federaliste/

  • Débats, remaniement et autres enfumages

  • Débat saboté, cacophonie programmée ?

    6a00d8341c715453ef0240a49d1fab200b-320wi.pngLamentables choix, ce 4 avril, que ceux de l'Émission politique sur la chaîne étatique France 2. On la supposait devoir lancer la campagne des élections au Parlement européen. Assisté d'Alexandra Bensaïd, qu'on a connue meilleure, Thomas Sotto, responsable du plateau, confirma pendant toute la soirée, de manière impressionnante, le soupçon qui nous suggérait de le considérer comme un souriant crétin. Totalement au-dessous de son rôle. Un cavalier incapable de monter son cheval.

    On semble dès lors fondé à se demander si tant de médiocrité n'était pas voulue. Cette prestation misérable n'était-elle pas destinée à flatter la comparaison avec cet interminable monologue présidentiel des semaines précédentes baptisé grand débat national ?

    Mais peut-être une telle question, quelque peu complotiste, surestime-t-elle à son tour les princes qui nous gouvernent…

    En tout état de cause, la gestion d'une pareille apparence de controverse, sur un sujet aussi important, que celui de la future gouvernance de l'Union européenne, dépassait les moyens mis en œuvre.

    Ça commençait par une pitrerie, chaque intervenant étant prié d'apporter un objet symbolique, qui une paire de menottes, qui un morceau, vrai ou faux, du mur de Berlin, etc. Et ça tourna très vite en un brouhaha, sans que le maître des horloges, trop poli pour être honnête, parvînt jamais à calmer le chahut.

    Chacun voyant midi à sa porte, les avis se partageront quant à déterminer le meilleur, ou le moins exécrable, des participants. Je vote pour mon papa, le plus fort du monde. Hélas, on doit en convenir, avec le grand Galabru, qui le disait déjà en son temps : c'est très dur d'être bon dans un mauvais film.

    Les commentaires divergeront donc totalement.

    Si telle collaboratrice ou tel lecteur du Monde semble trouver que François-Xavier Bellamy à droite, et Ian Brossat, du PCF, à gauche, émergeaient au-dessus de la moyenne, si la plupart jugent le jeune Glucksmann hors sujet, d'autres ont pu apprécier en Madame Loiseau, vêtue de rose, dans un environnement de vestes masculines bleues un amusant paradoxe ; presque seule à défendre l'acquis communautaire, elle représentait l'unique parti qui n'a jamais siégé à Strasbourg.

    Élections européennes dites-vous ? Mais on a surtout entendu parler de petits intérêts, en général imaginaires, de l'Hexagone, dans un contexte mal compris, aussi bien par les trois quarts des débatteurs que par la majorité de leurs électeurs.

    Certes on s'est chamaillé autour de la question migratoire, préoccupation légitime de ceux qu'on stigmatise avec beaucoup de mépris comme des populistes. Elle exaspère les tenants du politiquement correct ; elle fracture l'opinion européenne en deux blocs antagonistes ; et elle amène, avec beaucoup de retard, les partis du centre droit à se rapprocher des différents partis qui se sont développés, depuis 40 ans, sur cet unique mécontentement. Regrettons simplement que les solutions proposées concrètement n'aient pas pu se voir développées. Au moins avons-nous entendu une tirade éloquente, et sans doute sincère, du représentant communiste. Il y réaffirma son option en faveur d'un accueil, encore plus large et généreux, des derniers futurs électeurs d'une gauche décidément en perdition. Merci camarade stalinien pour cette piqûre de rappel.

    Au lendemain de ce pseudo-débat cacophonique, avouons quand même que nous eussions préféré l'évocation prioritaire des vrais problèmes européens. Aucune des questions régaliennes qui se posent à l'ensemble du Vieux Continent, n'a été abordée : ni la justice, ni la police, ni la défense. Encore moins celles de la recherche, de la cybersécurité, qui nous concerne tous, de l'Estonie au Portugal, ni, globalement, de nos moyens militaires insuffisants ou de notre industrie de défense.

    Tous semblaient déplorer le manque d'emplois. Hélas, on n'a guère perdu son temps de parole pour défendre l'entreprise, l'apprentissage, l'investissement ou l'épargne.

    Avec beaucoup de sincérité l'authentique écolo de service nous a parlé du bonheur. Au moins ne l'a-t-il pas promis.

    Pour le débat comme pour l'amour, comme aussi bien pour la guerre, il vaut toujours mieux n'être, ni un tout seul, ni douze, mais deux. Ceci disqualifie aussi bien le solo jupitérien du mois précédent, que cet inaudible et inutile tumulte dodécaphonique d'un soir.

    JG Malliarakis 

    https://www.insolent.fr/

  • Brexit : connivence entre la majorité parlementaire britannique, européiste, et la nomenklatura eurocratique

    Brexit : connivence entre la majorité parlementaire britannique, européiste, et la nomenklatura eurocratique

    De Bernard Antony :

    Brexit or not Brexit : palinodies ?

    Il y a bien sûr une clé d’interprétation de tous les atermoiements britanniques et eurocratiques pour la mise en œuvre du « brexit ».

    La clé, c’est qu’il y a une connivence pour que celle-ci n’ait pas lieu entre la majorité de la classe parlementaire britannique, nullement en accord avec ses électeurs, et la nomenklatura eurocratique. 

    Quant à Theresa May, elle aura été une artiste dans cette conjoncture, digne de donner des leçons à Macron, car voulant, et simultanément, ne voulant pas, de la sortie de son pays du bidule bruxellois. Et voici que le président du Conseil Européen, Donald Tusk, va à son secours en proposant un report « flexible » de 12 mois pour la mise en œuvre du Brexit. Ce qui aurait bien sûr pour effet de faire encore élire des députés britanniques au Parlement européen qui, une fois élus, n’auront pas envie d’en sortir…

    Il faut bien sûr que Tusk obtienne la semaine prochaine l’accord des 27 dirigeants des pays membres de l’UE. Gageons que ce sera le cas, sauf veto de Macron.

    Après quoi, beaucoup d’eau coulera sous les ponts de Londres et de Strasbourg, et peut-être la conjoncture paraîtra-t-elle favorable à Theresa May (ou à son successeur ?) pour tenter un autre référendum ?

    Sur le débat d’hier au soir entre les têtes de liste pour les élections européennes.

    C’est mal parti pour madame Loiseau ! Je me garderai bien de tomber dans la facilité, d’ironiser, tellement son personnage se prête à la caricature. Cette pauvre dame qui n’a pas eu la décence de demeurer dans sa charge de ministre ferait peut-être meilleure figure dans le cinéma en jouant par exemple quelque personnage de second rôle de Simenon.

    Hier au soir, il lui manquait d’évidence de pouvoir tricoter tranquillement. À la vérité, elle ne faisait pas médiatiquement le poids en comparaison de la pétulante et jolie petite peste de la France Insoumise, ou encore de Jordan Bardella, tranquillement sûr de lui.

    La désignation de madame Loiseau me confirme dans mon idée que Macron débloque narcissiquement de plus en plus, et je persiste à penser qu’il ne terminera pas son quinquennat.

    François-Xavier Bellamy est sympathique mais il fait par trop encore jeune professeur voire bon premier de la classe, très poli. Il a judicieusement apporté Homère pour parler de sa conception de l’Europe mais, pour le reste, il manquait un peu de souffle, un brin de piment tribunicien. On ne voit pas un Démosthène ni un Cicéron pointer sous Bellamy.

    Je ne sais plus lequel du calamiteux Hamon ou d’un autre de la gaucherie désunie a défendu l’idée d’une « constitutionnalisation » obligatoire dans tous les pays de l’UE du droit à l’avortement [c’était Hamon, NDMJ]. La sacralisation de l’IVG est désormais le dogme fondamental de la religion de la République du Panthéon. Ils ont bien été cinq ou six à rappeler l’insanité que « la femme doit pouvoir faire ce qu’elle veut de son corps ». Insanité, parce que justement l’embryon n’est pas « son corps » mais déjà le corps de son enfant, qu’elle a, comme toutes les femmes en voie de maternité, l’incomparable, la sublime mission de faire venir au monde et non de lui ôter la vie.

    Dommage qu’aucun autre candidat n’ait répondu aux fanatiques de l’IVG en formulant cette objection de conscience !

    https://www.lesalonbeige.fr/brexit-connivence-entre-la-majorite-parlementaire-britannique-europeiste-et-la-nomenklatura-eurocratique/

  • Qui finance l’islam en France et en Europe ?

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Cette question, les deux journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot se la sont posée dans leur livre « Qatar Papers », précisément sous-titré « Comment l’émirat finance l’islam de France et d’Europe », sorti hier aux éditions Michel Lafon, au terme d’une enquête dans six pays européens et une douzaine de villes de l’Hexagone. Chesnot et Malbrunot ont bénéficié d’une fuite de documents issus de la Qatar Foundation, une ONG financée par la famille régnante qatari. Cette fuite révèle le rôle du Qatar dans le financement des réseaux liés aux Frères musulmans.

    Selon Georges Malbrunot, la mouvance frériste « est la seule à avoir table ouverte auprès des autorités, des maires, en France notamment, et à disposer d’une telle capacité d’influence et de projection ». Sur ce point, on regrettera que les « Qatar papers » ne se réfèrent pas aux ouvrages de Joachim Véliocas, pourtant référence majeure en la matière. Ce dernier, directeur de l’Observatoire de l’islamisation, et par ailleurs votre invité régulier sur notre antenne, dans le Libre Journal de l’Identité, a en autre clairement montré la capillarité, pour le moins, entre islam et islamisme.

    Les « Qatar papers » détaillent les revenus et le salaire de Tariq Ramadan. Le médiatique islamologue suisse, proche des Frères musulmans, touche 35.000 euros par mois comme « consultant » de la Qatar Foundation…

    https://fr.novopress.info/

  • La guerre contre le diesel fait perdre 130 milliards à la France

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    Par Michel Negynas.
    Les effets d’annonce politiques et médiatiques sur le Diesel font partie du monde fantasmé de l’écologie émotionnelle, mais on voit qu’ils ont bien des effets sur l’économie réelle.Il serait responsable de 40 000, voire 60 000 morts par an en France, surtout dans les grandes villes.
    Tous les professionnels de santé, les environnementalistes et les épidémiologistes sérieux savent que ces chiffres sont pour le moins douteux : les études à la base du calcul sont problématiques, les chiffres sont obtenus par règle de trois sans que l’on sache si c’est scientifiquement fondé, il n’y a pas que le diesel qui pollue en particules fines, le chauffage aussi ; enfin, l’air des grandes villes n’a jamais été aussi pur.
    De plus, les moteurs diesel récents, en particulier équipés d’injection d’urée, ne polluent pas plusque les nouveaux moteurs à essence hyper-dopés pour diminuer les émissions de CO2. 
    En fait, l’administration française et européenne combattent non pas les constructeurs automobiles, mais le principe de Carnot : pour diminuer la consommation, il faut augmenter la température de fonctionnement des moteurs, ce qui produit physiquement davantage de particules et d’oxyde d’azote. 
    Les objectifs sont a priori incompatibles. 
    C’est d’ailleurs en forçant les constructeurs à progresser trop vite compte tenu des contraintes technico-économiques que l’on a abouti au dieselgate.
    Pour l’instant, seuls les vieux diesel sont déjà touchés réglementairement, mais les annonces d’interdiction totale éventuelles à 2024 ou 2025 font des ravages.
    La réaction du monde réel
    Les ventes de véhicules neufs s’effondrent : de 60 % des ventes, elles sont passées à 30 %. 
    Les prix sur l’occasion chutent, évidemment : les « vieilles » voitures de plus de 6 ans sont quasiment invendables, et tout laisse à penser que cela va s’accélérer. 
    Le prix moyen a baissé instantanément de 15 %, au dire des vendeurs, et cela va s’accentuer rapidement si l’avenir reste flou.
    Essayons-nous à un petit calcul, à base d’hypothèses plausibles :
    Le parc de véhicules français est de 50 millions ; 60 % sont du diesel ; l’âge moyen toutes catégories confondues est de 9 ans, probablement moins pour le diesel qui s’était développé durant les dernières années sous l’effet de l’amélioration considérable des moteurs…
    Hypothèse de prix de vente, avant l’hystérie antidiesel, pour une occasion diesel : quasi neuve 20 000 euros, âgée 3 000 euros, moyenne 11 000 euros.
    Ce qui fait une estimation de la valeur totale du parc de 330 milliards d’euros (avant annonces et réglementation).
    Depuis l’attaque sur le diesel :
    Estimation à terme de la dépréciation sur la base des ventes déjà constatées : 100 % pour les voitures anciennes, 30 % pour les neuves de haut de gamme, 40 % en moyenne, à terme.
    Ce qui fait une perte instantanée de valeur pour la France de 130 milliards sans compter les stocks de voitures neuves, de moteurs et de pièces déjà fabriquées, car les constructeurs automobiles ont été complètement pris de court par les annonces.
    Cette perte se reportera sur les particuliers, mais aussi sur certaines sociétés ayant un parc important : transport, loueurs… 
    C’est une véritable perte de richesse pour les Français, même si elle est peu visible. 
    Comme toujours, ce sont les classes les moins aisées qui perdent proportionnellement le plus : leur voiture est souvent leur seul patrimoine.
    Évidemment ce n’est pas tout : il faut reconvertir des usines, et la France étant un champion du diesel fournissant toute l’Europe, les transferts ne se feront pas sans pertes d’emplois français. 
    Certains estiment que 15 000 emplois sont menacés, avec les coûts de dédommagement nécessaires et les pertes pour les entreprises concernées, mais aussi pour l’État en rentrées fiscales.
    Tout ça pour rien ?
    Le parc moyen étant de 9 ans, on peut considérer qu’après mise en action des dernières normes alignant les mêmes contraintes sur le diesel et l’essence, le parc moyen serait aux normes actuelles en 2028. 
    Le « problème », si problème il y a, n’existerait quasiment plus.
    Ce qui va se passer effectivement reste flou. 
    Les effets d’annonce politiques et médiatiques sur le diesel font partie du monde fantasmé de l’écologie émotionnelle, mais on voit qu’ils ont bien des effets sur l’économie réelle : perte sur la balance commerciale, pertes d’emploi, en un an perte de valeur d’actifs français de plus de 100 milliards…
    En réalité, c’est la plus grande opération d’obsolescence programmée de tous les temps. 
    source

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/04/la-guerre-contre-le-diesel-fait-perdre.html#more

  • Éric Zemmour dénonce “la volonté des minorités islamistes qui essaient de nous imposer ce délit d’islamophobie”

    Dans l’émission Zemmour & Naulleau du 4 avril – sur Paris Première -, Éric Zemmour rappelle que ce sont certains groupes islamistes qui tentent d’imposer le délit d’islamophobie pour faire taire toute critique sur l’islamisation de la France :

    L’islamophobie n’est pas un délit. C’est la volonté des minorités islamistes qui essaient de nous imposer ce délit d’islamophobie. On a le droit de critiquer l’islam, on a même le droit de détester l’islam, on a le droit d’avoir peur de l’islam, comme on a le droit de détester, de critiquer le judaïsme, le christianisme, le protestantisme, etc. […] Il ne peut y avoir de liberté d’expression que s’il y a un fond culturel commun. Or le multiculturalisme, c’est la mort du fond culturel commun. On ne peut discuter que parce qu’on a le même fond culturel commun, qu’on a appris la même histoire, qu’on a les mêmes héros, qu’on a les mêmes références culturelles. A partir du moment où on ne les a plus, on ne peut plus discuter et on se tire dessus

    https://fr.novopress.info/214201/eric-zemmour-denonce-la-volonte-des-minorites-islamistes-qui-essaient-de-nous-imposer-ce-delit-dislamophobie/

  • Acte XXI des Gilets Jaunes : Voici les 2 principales manifs prévues à Paris ce 6 avril [Vidéo]

    Acte XXI / Acte 21 : Plusieurs manifs sont prévues demain partout en France, dont 2 déclarées à Paris : – La Manif «Gilets Jaunes Pacifiques» ira de Montparnasse (12h) à La Villette – La Manif «Gilets Jaunes Opérations Spéciales» ira de République (13h) à la Défense en passant par Neuilly

    Des rassemblements qui interviennent deux jours après la censure par le Conseil constitutionnel de l’article phare de la loi anticasseurs. Les manifestations sont interdites sur les Champs-Élysées. D’autres mobilisations devraient avoir lieu en France, dans les régions. Alors que la fin du « grand débat national », dont le coût et l’organisation font polémique et même scandale, arrive lundi, cette nouvelle mobilisation à venir montre qu’en dehors des institutions, de nombreux français refusent de capituler.

    https://www.breizh-info.com/2019/04/06/115989/acte-xxi-des-gilets-jaunes-voici-les-2-principales-manifs-prevues-a-paris-ce-6-avril-video