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magouille et compagnie - Page 1203

  • L’Education Nationale à l’heure de l’Epuration

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    Nous sommes partout cliquez ici

    Un jeune professeur d’histoire-géographie, remplaçant dans un lycée catholique de Strasbourg, s’est vu notifier au vu de son appartenance au Bastion Social, le non-renouvellement de son contrat. L’enseignement public suit comme un seul homme, au nom de la « déontologie du métier ». Le commencement de la purge ? La rédaction de Nous Sommes Partout a  interpellé la Direction Diocésaine de l’enseignement de l’Académie de Strasbourg et attend ses explications.

    La purge a commencé et le processus est toujours le même : délation, menaces, épuration. Des parents d’élèves bien-pensants n’ont pas hésité à jouer les corbeaux pour dénoncer l’engagement social et patriote d’un des enseignants d’un lycée catholique de Strasbourg. Aussitôt, la cabale s’est mise en place, bravant sans crainte l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme  adoptée en 1948 à Paris, article sur la liberté d’opinion (1).

    L’enseignant a toujours été bien noté, est parfaitement irréprochable et a naturellement refusé de présenter sa démission lorsque son chef d’établissement le lui a demandé. Il n’a jamais fait état de ses opinions politiques en classe et devant ses élèves et a donc parfaitement respecté la déontologie de la profession, contrairement à la plupart de nombre de collègues gauchisants qui n’hésitent pas dans toute la France à étaler leurs sympathies mélenchonistes ou immigrationnistes en classe sans encourir les foudres de l’Education Nationale.

    Le directeur d’établissement a cependant cherché, avec le Rectorat- employeur et complice de la purge- un moyen de se débarrasser du malheureux enseignant, l’accusant ni plus ni moins de délit d’opinion, comme aux heures les plus sombres de notre histoire. La police politique de la Déséducation Nationale a fouillé les cahiers, scruté les cours et interrogé les élèves ! On appelle cela une « enquête interne »… Et naturellement, les enquêteurs se sont particulièrement penchés sur la séquence de cours sur la Shoah car l’accusation d’antisémitisme est de nos jours une véritable accusation d’hérésie et aurait valu au professeur un renvoi immédiat. Pas de chance, l’enseignant est irréprochable sur le sujet  et respecte parfaitement les programmes ce qui, avouons-le n’est pas toujours le cas des professeurs pro-palestiniens sur ce sujet sensible. Mais, eux, les « inquisiteurs » ne leur cherchent pas de poux dans la tête. On ne sait jamais, ils pourraient attraper le typhus …

    La dictature de la pensée frappe fort : le directeur de l’établissement concerné a, bien entendu et sans états d’âme, dénoncé le malheureux enseignant afin qu’il ne puisse plus jamais être embauché dans l’enseignement privé et la Déséducation Nationale, laïque, républicaine, garante de la liberté d’expression et de la tolérance a déjà décidé de lui fermer ses portes au nom de la « déontologie » alors qu’il n’a commis aucune faute professionnelle ! Encore plus grave … Les accusations sur son physique : « coupe de cheveux, tatouages, marque de vêtement néofasciste (sic) ». Imaginez vous ce genre de remarque pour un professeur ayant des dreadlocks, des vêtements dits ethniques et des tatouages tribaux ? Le port de la djellaba eût été plus respectable ? Gaussons-nous, Gaussons-nous, Gaussons-nous .

    En France, l’Epuration a commencé. Les délateurs sont au pouvoir et peuvent ruiner la vie de ceux qui pensent différemment. Quelle sera la prochaine étape ? Le bûcher ?

    En 2019, ne pas penser comme la République, c’est désobéir et être voué à la mort sociale et professionnelle.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Éric Drouet et Maxime Nicolle scandalisés par la liste gilets jaunes aux Européennes : « Voter Gilets Jaunes, c’est voter Macron »

    Mercredi, Ingrid Levavasseur a annoncé son intention de présenter et de mener une liste issue du mouvement en vue des élections européennes. Mais l’idée d’une liste se revendiquant “gilets jaunes” est loin de faire l’unanimité.

    Dans son communiqué partagé sur Facebook, le groupe “La France en colère !!!” a notamment rappelé que le mouvement “n’appartient à personne”“Chaque décision doit être approuvée par une majorité absolue, pas relative”, est-il écrit. Le document, qui présente Eric Drouet comme “initiateur du mouvement des gilets jaunes”, soutient que dans leur grande majorité, les gilets jaunes ne veulent pas d’une liste qui puissent les représenter aux élections européennes.

    Vincent Glad
     
    @vincentglad
     

    Eric Drouet publie un communiqué pour désavouer la liste aux européennes: "Voter gilet jaune, c'est voter Macron". Il reprend les résultats d'un sondage mené sur son groupe hier, où 98% des votants disaient ne pas souhaiter de liste.

    245 personnes parlent à ce sujet

    Selon un vote mentionné par le communiqué, 98% de 18.000 personnes qui se seraient exprimées sur Facebook auraient d’ailleurs dit “non” à une telle liste. Pour cette frange du mouvement, être candidat aux élections européennes serait contre-productif.

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  • Nouvelle baisse de la confiance dans les médias

    Nouvelle baisse de la confiance dans les médias

    Qui est vraiment étonné ?

    Les indicateurs du 32e Baromètre de la confiance dans les médias réalisé par le groupe Kantar pour La Croix sont en berne.

    • Les journalistes sont jugés indépendants par seulement un quart des sondés.
    • La radio est à 50 % de niveau de confiance, – 6 points sur un an,
    • la presse écrite à 44 %, – 8 points,
    • la télévision à 38 %, – 10 points
    • Internet à 25 %, comme en 2018, c’est-à-dire que ça ne baisse pas.

    Selon ce baromètre, « le mouvement des gilets jaunes a eu un effet dévastateur sur la télévision, qui est à son plus bas niveau historique ».

  • Le grand débat est tronqué sur l’immigration

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Finalement, Emmanuel Macron a abordé le thème de l’immigration dans sa lettre aux Français qui introduit le grand débat. Cependant, il ne s’agit pas d’une question ouverte, mais d’une formule interrogative soigneusement rédigée par le gouvernement. La voici : « En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? ».

    Le site Polémia a décortiqué cette question pour dénoncer sa malhonnêteté.

    En matière d’asile, accepter nos soi-disant obligations, c’est déjà accepter une voie d’immigration. En outre, les étrangers déboutés continuent le plus souvent de séjourner clandestinement en France.

    Par ailleurs, les conventions internationales et la jurisprudence du Conseil constitutionnel empêchent d’appliquer des quotas aux mineurs étrangers ou aux titres de séjour consécutifs au regroupement familial. Quant aux étudiants étrangers, il n’est pas sûr que le gouvernement soit prêt à en réduire significativement le nombre.

    Dès lors, seule l’immigration économique serait impactée par les objectifs évoqués par le président de la République. Un nouveau pied de nez aux Français exaspérés par l’immigration !

    https://fr.novopress.info/

  • Pour Emmanuel Macron, l’accueil des migrants est inconditionnel !

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    La semaine dernière, plus de six heures d’entre-soi, entre messieurs et mesdames les maires invités par des préfets aux ordres qui, comme par hasard, ont oublié Robert Ménard et Julien Sanchez, et une phrase passée presque inaperçue concernant l’immigration.

    Emmanuel Macron a, en effet, prononcé une phrase qui devrait rester historique, et qui montre, s’il était besoin de preuves, combien il se moque de ce que le peuple a à dire et ce, quoi que ce peuple ait à dire. Il fera comme bon lui semble puisque ce même peuple – réduit, il faut le rappeler, à moins du quart des électeurs – lui a donné les pleins pouvoirs. Cette phrase répondait à une question sur l’immigration du maire de Montauban. Je cite cette phrase : « L’accueil et l’hébergement des migrants sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’État et il a encore augmenté, c’est environ deux milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter ! » Fermez le ban. Il aurait pu rajouter : « Non seulement je vais maintenir le cap, mais je vais ouvrir les vannes, comme me le conseille le pacte de Marrakech que j’ai signé avec énergie. »

    Il faudrait analyser chacun des mots de cette déclaration pour bien comprendre l’idéologie qui anime le personnage. Par exemple, l’adjectif « inconditionnel ». La définition en est « qui n’est soumis à aucune condition », c’est-à-dire total et sans réserve. La traduction de cet adjectif est que toute personne arrivant en France en totale illégalité est non seulement la bienvenue mais elle y sera choyée, hébergée, payée, soignée sans aucune contrepartie. Et Macron de se réjouir et de se féliciter inconditionnellement que l’investissement migratoire a encore augmenté jusqu’à environ deux petits milliards d’euros.

    L’opposition avait, jusqu’alors, avancé que le coût de cette immigration clandestine était d’un gros milliard ; et bien le chef de l’État vient de révéler qu’il n’en était rien, qu’elle nous coûtait le double et que, en vérité, cela ne ferait qu’augmenter puisqu’il s’agissait d’un bon investissement. En quoi ? On peut se poser la question ?

    Notre Président reste persuadé que l’intégration est un défi. C’est pourtant, depuis des années, un échec dû à des injustices et à du ressentiment. Vous noterez que, dans sa lettre, il ne parle pas d’assimilation mais d’intégration. Cette nouvelle déclaration du Président devant une assemblée de maires, parmi laquelle certains ont osé huer le courageux maire de Montauban, est une vraie provocation au regard de ce que l’immigration représente.

    Il suffit de parcourir l’épais livre que Laurent Obertone a consacré à l’immigration pour avoir le cafard de réaliser ce qui attend nos enfants et petits-enfants. Nous aimerions que la lecture de La France interdite, la vérité sur l’immigration (https://www.amazon.fr/France-Interdite-Laurent-Obertone/dp/B07C5K541N) serve à nos gouvernants pour qu’ils comprennent le danger de leur politique immigrationniste. Voici ce que M. Macron y aurait appris : aujourd’hui, cent mille natifs sont remplacés par 150.000 « divers ». En 2040, quatre Français sur dix seront issus de la diversité, qui sera majoritaire en 2060. Autrement dit demain.

    Pourtant, M. Macron, comme ses prédécesseurs, hélas, nous entraîne dans cette perspective peu réjouissante pour notre culture, notre civilisation que, du reste, Emmanuel Macron n’évoque pas dans sa lettre, guide-âne du débat. Alors, oser parler d’investissement pour la France en encourageant l’immigration est un propos indigne d’un Président qui s’est vu confier les clefs de la maison France.

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/pour-emmanuel-macron-laccueil-des-migrants-est-inconditionnel/

  • UN MOUVEMENT QUI REFUSE DE MOURIR

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    Les tous derniers événements confirment la perte de légitimité du pouvoir actuel.

    À peine Macron a-t-il annoncé, dans son discours de fin d’année, l’ouverture d’un « grand débat national » cadré par une Lettre aux Français à paraître au milieu de ce mois, que le collectif des Gilets jaunes, La France en colère, lui écrit une lettre ouverte, datée du 3 janvier, destinée à expliquer que non seulement son propos ne les a en rien convaincus, mais qu’ils restent plus que jamais déterminés à poursuivre leur action, persuadés qu’ils sont de sa légitimité, nonobstant les sondages. Ce fléchissement, d’ailleurs, quoique important, est relatif, puisque les Gilets jaunes peuvent encore compter sur 55% d’approbations, selon un sondage tout récent (4 janvier) d’Odoxa Dentsu consulting. Sous la plume de Priscilla Ludovsky, Éric Drouet et Maxime Nicolle, le collectif accuse le pouvoir de chercher à endormir les Français, et affirme sa résolution de relancer le mouvement, prévoyant la possible transformation en « haine » de la « colère » populaire, au cas où le président persisterait à ignorer leurs revendications. Et de relancer, dans la foulée, l’exigence de la tenue du fameux référendum d’initiative citoyenne, dont nous avons dit, plus haut, ce que nous en pensions.

    Qualifiant de « mesurettes » les concessions annoncées le 11 décembre (hausse du SMIC, défiscalisation des heures supplémentaires, baisse de la CSG pour les retraités percevant une pension inférieure à 2 000 euros mensuels, annulation des hausses des carburants… en 2019), les Gilets demandent « une baisse significative de toutes les taxes et impôts sur les produits de première nécessité », ce qui exprime leur détresse et leur révolte face à une situation matérielle qui ne cesse d’empirer, et « une baisse significative de toutes les rentes, salaires, privilèges, et retraites courantes et futures des élus et hauts fonctionnaires d’État », ce qui traduit une exaspération face aux faveurs dont jouit la nomenklatura qui nous dirige. Ces avantages sont perçus comme une inégalité de condition jugée non seulement injuste, mais profondément humiliante à l’égard de la masse de nos compatriotes. Le ton de la lettre ouverte est particulièrement virulent, les Gilets jaunes taxant de « piège » la consultation nationale prévue, dénonçant la répression exercée à leur encontre, stigmatisant le mépris du président à l’égard du peuple, et exprimant leur rejet total des dirigeants actuels en exigeant l’intervention, dans les discussions, d’une personnalité non politique et exempte de tout soupçon au plan judiciaire et financier.

    Le mouvement s’essouffle peut-être, mais apparemment, la braise continue à couver sous la cendre, et il n’est pas impossible qu’elle provoque un incendie.   

    YM

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/01/20/un-mouvement-qui-refuse-de-mourir-6122328.html

  • Sommet « Choose France » – Macron et la voix de ses maîtres, par Franck Deletraz

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    Pour la deuxième édition du sommet « Choose France », Macron recevait le 21 janvier, date anniversaire de la décapitation de Louis XVI, quelque 150 patrons des plus grandes entreprises mondiales au château de Versailles pour les convaincre d’investir en France. Un événement qui, dans le contexte actuel, aura bien sûr poussé nombre d’observateurs à établir un parallèle douteux entre ce président incompétent, empêtré par sa faute dans la crise des Gilets jaunes, et ce pauvre Louis XVI, victime de la folie sanguinaire des républicains. Or, si symbole il y a dans ce sommet de Versailles, c’est plutôt celui du dramatique déclin de notre pays et de sa soumission croissante aux puissances d’argent.

    Une soumission aux puissances d’argent

    En ce haut lieu de la puissance et de la grandeur françaises où, jadis, ambassadeurs et autres diplomates étrangers venaient implorer, avec la plus grande humilité et force déférence, une réponse positive de Sa Majesté très chrétienne, l’ancien banquier, hébergé à nos frais par l’Elysée, a choisi, lui, d’installer sa roulotte publicitaire destinée à convaincre, à grand renfort de cadeaux fiscaux et autres avantages, les ploutocrates de la planète d’investir dans notre pays, et donc de s’en rendre maîtres. Ce qui ne constitue pas à proprement parler une surprise puisque, en 2017 déjà, Dupont-Aignan avait très justement souligné qu’« élire Emmanuel Macron, c’est soumettre notre pays aux puissances d’argent et se résigner à la pire régression sociale depuis la Libération ».

    Quant à la date du 21 janvier, pensée (ou non) comme un message à destination des maçons, particulièrement nombreux samedi, elle est en tout cas symbolique de la mort d’une France qui était respectée et redoutée dans le monde entier.

    La « fine fleur » des patrons voyous

    Quoi qu’il en soit, grâce, ou plutôt à cause de Macron, nous aurons vu samedi le célèbre patron voyou Lakshmi Mittal (ArcelorMittal), Satya Nadella (Microsoft), Dara Khosrowshahi (Uber), Jamie Dimon (JP Morgan), Larry Culp (General Electric), le Turc Yüksel Robert Yildirim (propriétaire du quart du capital du géant français du transport maritime CMA CGM), le Sud-Coréen Jeon-Jin Seo (Celltrion) ou encore l’Indien Umesh Chowdhary (Titagarh), soit quelques-uns des plus grands exploiteurs de la planète, fouler avec la joie insolente des parvenus les parquets de la fameuse galerie des Glaces, dans laquelle, il y a tout juste un siècle, la France victorieuse par les armes imposait sa paix à l’impérialisme germanique. Elle ne savait pas alors que d’autres la vendraient bientôt aux plus offrants des prédateurs étrangers…

    Enfin, comble de l’absurdité, alors même que les milliers de PME françaises, bien qu’étant la proie préférée du fisc, sont aujourd’hui les premières à créer des emplois dans notre pays, pas une seule d’entre elles n’avait été invitée samedi à Versailles !

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 23 janvier 2019

    https://fr.novopress.info/213352/sommet-choose-france-macron-et-la-voix-de-ses-maitres-par-franck-deletraz/

  • Marc Doyer, le macroniste, candidat sur la liste “gilets jaunes” aux européennes – Le gouvernement applaudit un « processus intéressant »

    Le système a plus d’un tour dans son sac. Il y a quelques jours, une certaine Ingrid Levavasseur annonce qu’elle présentera une liste “gilets jaunes” aux élections européennes.

    Parmi  les premiers candidats de cette liste figure le nom de Marc Doyer, un drôle de gilet jaune.

    Aux élections législatives, Marc Doyer se présentait “En marche”.

    Marc Doyer ne tarissait pas d’éloges à l’égard des Macron. En mai 2017, il était tout fier d’avoir offert un brin de muguet à Brigitte Macron.

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  • Entretien avec Eric Drouet – les Gilets jaunes doivent passer à la vitesse supérieure avec la «Nuit jaune»

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    RT France a diffusé, le 22 janvier, un entretien avec Eric Drouet.

    L’un des porte-paroles des Gilets jaunes revient sur la mise en place de la «Nuit jaune», un appel à manifester de nuit pour «être entendu une bonne fois pour toutes».

    https://fr.novopress.info/213345/entretien-avec-eric-drouet-les-gilets-jaunes-doivent-passer-a-la-vitesse-superieure-avec-la-nuit-jaune/

  • Tribune libre : BERNANOS, VIDEO STAR

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    Christian Rol, écrivain

    Antonin Bernanos, descendant dégénéré du "grand écrivain catholique" Georges Bernanos, vient une fois de plus défrayer la chronique des manifs parisiennes ; à ses dépends.

    En croisant la route de nos amis les « Zouaves », ce rejeton de la grande bourgeoisie du VIème arrondissement, a résolument découvert le retour du concret dans sa gueule puisque la poignée de militants nationalistes qui lui faisait face, ainsi qu’à ses nombreux amis, a remis les pendules à l’heure de manière expéditive.

    Nous ne parlons pas là de « grande politique » mais de sport de rue, un registre dans lequel notre camp a toujours excellé, et auquel la nouvelle génération de natios redonne une certaine vigueur (y compris à Lyon).

    A mon âge canonique, ces gamineries devraient me laisser indifférent mais, comme pas mal d’entre nous, je ne vois jamais sans déplaisir la permanence d’une certaine tradition consistant à faire mordre la poussière aux fils à papas « antifas » qui brandissent le drapeau rouge avant de rentrer dans l’appartement familial à 1 million d’Euros où officie une femme de ménage philippine payée au lance-pierre.

    Je caricature à peine puisque, le sieur Bernanos, déjà connu défavorablement de nos services, s’est fait connaître il y a quelques années pour avoir mis, avec ses amis, le feu à une voiture de flics lors d’une manif. Je n’ai rien contre le principe mais le fait que sa propre mère, prof de gauche à Nanterre ou quasiment, ait rameuté tout le ban et l’arrière ban de ses relations et réseaux pour soustraire le « rebelle » aux foudres de la Justice prouve assez bien dans quel sens pèse la balance. Quand le boxeur Christophe Dettinger fait reculer à lui seul trois hommes armés et casqués, il risque 7 ans ferme ; quand un fils à papa nommé Bernanos incendie une voiture de flics et attaque à dix contre un tel représentant de l’ordre, c’est à peine un peu de préventive. En échange de ce service, le révolutionnaire, fera un très bon indicateur de police...

    Sur la vidéo qui rend compte de l’échauffourée entre nos cadets et les fiottes antifas, on s’aperçoit de la veulerie, celle physique et morale, du personnage. « Retenez-moi ! » semble implorer l’Antonin auprès de ses copains qui scandent « Wesh ! » à la manière de ces racailles qui les fascinent tant. Mais, rien ne viendra de ces révolutionnaires de la rue des Ecoles puisqu’ils n’ont ni les épaules, ni les tripes pour cela. Normal, puisque leur « combat » est une illusion virtuelle, une lutte sans ennemis.

    Leur plus sûr ennemi, ainsi que, probablement, le leur suggèrent leurs psys, c’est eux-mêmes. Ils aimeraient bien être virils, avoir de belles nanas, savoir se battre, être intellectuellement courageux. Mais, les hasards de l’hérédité, de la sociologie et de la génétique sont cruels qui les ont fait naître riches, laids et lâches. C'est Georges qui doit se retourner dans sa tombe.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/23/tribune-libre-bernanos-video-star-6123122.html