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magouille et compagnie - Page 1317

  • Les squatteurs ont-ils plus de droits que les propriétaires ?

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    Si vous avez du mal à trouver un appartement, squattez-le. En plus, c’est gratuit ! Et tant pis pour le propriétaire. Prenez-le par surprise : passé le délai de 48 heures, il est nécessaire de saisir le juge compétent pour obtenir une décision de justice ordonnant l’expulsion.

    Une jeune femme de 32 ans a fait les frais de cette réglementation absurde. Pour rembourser ses dettes, elle avait mis en vente un appartement sien, à Bagnolet. Elle avait même un preneur pour un prix qui lui permettait de faire un bénéfice, ses dettes une fois remboursées. Patatras ! Le jour de la transaction, l’appartement était occupé. Figurez-vous que les occupants clandestins sont « protégés au titre du droit au logement ». Passé le délai, aucune expulsion possible sans une procédure complexe.

    Comme un malheur n’arrive jamais seul, la jeune femme, qui aurait vainement tenté d’obtenir un rendez-vous du procureur, s’est vu signifier par un huissier que son appartement serait saisi et vendu aux enchères pour une trentaine de milliers d’euros. Face à cette aberration de la loi, elle s’est enchaînée à un poteau sur le parvis du tribunal de Bobigny et a entamé une grève de la faim. Sur le poteau, deux affichettes, comme un appel au secours : « Rendez-moi mon appartement » et « Grève de la faim ».

    Une bonne nouvelle, pourtant : on ne va pas la chasser du parvis. Contacté par Le Figaro, le commissariat de Bobigny a répondu qu’« aucune intervention des forces de police n’[était] prévue » (contre la propriétaire, il va de soi, pas contre les squatteurs) tant qu’il n’y a pas de « trouble à l’ordre public », sauf si le tribunal de grande instance le demande. Ouf ! Elle peut continuer de manifester son indignation, mais pas question de récupérer son appartement.

    En 2015, la presse avait relaté un fait divers similaire. Après le décès de son conjoint, chez qui elle habitait (quelle idée !), une octogénaire de Rennes avait voulu réintégrer un pavillon dont elle était propriétaire. Impossible ! Il avait été « emprunté » par des individus qu’elle ne put déloger. Ce sont les bizarreries d’une loi sur le droit au logement dont profitent souvent des spécialistes de la violation de domicile.

    L’article 17 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen a beau affirmer que « la propriété[est] un droit inviolable et sacré », la loi, étrangement, protège les squatteurs. Par humanité ? Pour assurer aux plus pauvres un besoin de première nécessité ? Les pouvoirs publics peuvent même utiliser le droit de réquisition, mais il est très encadré. Certaines associations ou partis politiques de gauche demandent d’ailleurs son extension : la propriété, c’est le vol, c’est bien connu.

    C’est à l’État qu’il appartient de mettre en œuvre une politique du logement, à la fois sociale et juste. Une politique pour tous, qui ne laisse pas sur le bord de la route (dans tous les sens du terme) des Français modestes, qui, souvent après un accident de la vie, n’ont pas les moyens de se loger. Mais il est aberrant de donner une priorité à des occupants illégaux sur des propriétaires qui ont le malheur de laisser un appartement vacant sans prendre le soin de le surveiller. À moins que de telles lois ne donnent bonne conscience – à peu de frais – aux gouvernements.

    Mais s’occuper des SDF français devient trop ordinaire. Des députés LREM viennent d’innover. Ils ont fait adopter deux amendements accordant des avantages fiscaux à qui accueillerait des réfugiés. Ah, les bonnes âmes ! Mais que se fatiguent-ils ainsi ? Il suffit d’encourager les migrants à squatter.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/les-squatteurs-ont-ils-plus-de-droits-que-les-proprietaires/

  • Quand Monsanto triche pour faire accepter son Roundup

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     INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : 
    Sur les plus grands salons et foires agricoles européens, des hôtesses s’exprimaient aux noms de “groupes d’agriculteurs” qui se battaient pour l’autorisation du glyphosate. Elles étaient prêtes à répondre à toute interview des politiques ou de la presse.

    Mais aucun agriculteur européen n’était à l’origine ni ne soutenait ces groupes …

    Nommés “Free to farm”, “liberta di cultivare” ou encore “Agriculture et liberté”, ils étaient fabriqués par une société de lobbying, basée en Irlande, et payée par Monsanto.

    C’est Greenpeace qui a dévoilé cette mascarade.

    Car la société de lobbying irlandaise “Red Flag Consulting” pour sa propre promotion se vantait d’avoir pu influer au plus haut niveau des décisions européennes, afin “de changer la position de cibles identifiées au sein du gouvernement français, mais aussi allemand, anglais, polonais, espagnol, néerlandais, italiens et roumains”.

    Outre les moyens irréguliers auxquels Monsanto n’hésite pas à avoir recours ceci traduit une fois de plus du conséquent pouvoir des groupes de lobbying auprès de nos dirigeants…

    https://fr.novopress.info/212342/quand-monsanto-triche-pour-faire-accepter-son-roundup/

  • Mélenchon rassembleur des goujats

    6a00d8341c715453ef022ad3b9fed3200b.jpgDepuis plusieurs jours la question des comptes de la campagne présidentielle 2017 du candidat Mélenchon alimente les interrogations des faiseurs d'opinion. On pourrait parfaitement considérer que, de toute façon, ce douteux héros ne figure dans le paysage que pour amuser la galerie, détournant les sujets réels et sérieux de mécontentements, et que ses facéties ne valent même pas l'encre qu'elles font couler. Il sert à l'évidence d'alibi au pouvoir qu'il prétend combattre.

    Son attitude le 16 octobre face aux policiers enquêteurs, caractéristique d'un coupable, montée en épingle par lui-même, dans une procédure qui vise l'étrange gestion de sa communicante Sophia Chikirou, ne nous fera pas croire à son innocence.

    Malheureusement, on ne peut pas se contenter de traiter le tour que prend cette affaire sous l’influence de son personnage central, simplement par le mépris. Le parti qui le suit, sous ce nom, suspect par lui-même, de France insoumise pèse de plus en plus dans un état de l'opinion légitimement déconcertée par les incartades, de moins en moins supportables, d'une prétendue majorité jupitérienne.

    Pour mesurer l'incompétence des professeurs de morale civique qui l'entourent on gardera en mémoire, à titre d'exemple, l'intervention sur France info du député LFI Adrien Quatennens. Ce blanc-bec se dit scandalisé qu'on ose parler de surfacturation en donnant l'exemple de l'installation d'un enregistrement sur la plateforme Soundcloud, opération d'une simplicité pourtant déconcertante.

    "Qui peut croire qu'il suffit de deux clics pour mettre en ligne un discours ? Ce n'est pas sérieux", s'est-il ainsi exclamé, au comble de l'exaspération.

    Eh bien je lui réponds : non seulement je le "crois" mais je l'affirme à mon tour, et je l'ai fait suffisamment souvent, par le passé, et gratuitement, pour savoir que cela ne saurait être facturé 250 euros, sauf à pratiquer une joyeuse escroquerie. Cet "ancien conseiller clientèle entreprises pour EDF à Lille" a certainement dû donner d'excellents avis. Âgé de 28 ans il lui reste beaucoup à apprendre. Ses prestations à l'Assemblée nationale ne déparent donc pas la stupidité de son parti.

    Mais au-delà de la simple bêtise, et Quatennens en offre un exemple, il y a dans ce parti une méchanceté intrinsèque. On y admire les pires dictateurs sud-américains, affameurs de leurs peuples comme Maduro au Venezuela. On y glorifie Robespierre dont on prétend reprendre la glorieuse tradition jacobine.

    On va même très loin dans le jacobinisme puisque le chef suprême du parti s'est permis de moquer l'accent méridional d'une journaliste probablement plus française que lui[1].

    On ne s'attardera même pas sur la prétention de légiférer contre cette forme de discrimination qui n'existe que chez les crétins.

    On peut simplement espérer, des mérites du scrutin de circonscription, que les électeurs de Marseille cessent désormais d'envoyer ce goujat représenter le département des Bouches-du-Rhône à l'Assemblée nationale.

    À vrai dire, les jacobins comme l'ignoble Barrère considéraient déjà en 1794 que "le fédéralisme et la superstition parlent bas-breton ; l'émigration et la haine de la République parlent allemand ; la contre-révolution parle italien et le fanatisme parle basque. Chez un peuple libre, la langue doit être une et la même pour tous."

    Mélenchon représente à l'évidence le retour des goujats. C'est dans cette tribu que se recrutent les coupeurs de têtes.

    JG Malliarakis  

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    Apostilles

    [1] Cf. "Jean-Luc Mélenchon moque l’accent d’une journaliste, des élus du Sud réagissent". Ce serait encore mieux si "Ouest-France" écrivait, au lieu de "Sud", Gascogne, Languedoc, Provence...

    https://www.insolent.fr/2018/10/melenchon-rassembleur-des-goujats.html

  • Perquisitions de La France Insoumise : et si Mélenchon avait raison ?

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    Par Étienne Tarride, avocat ♦ Est-il besoin de le préciser Mélenchon, ce n’est pas la tasse de thé de Polémia (et réciproquement) ? Faut-il pour autant se réjouir des persécutions dont La France Insoumise est la cible ? Pas sûr. C’est un abaissement du politique vis à vis des pouvoirs judiciaire et du médiatique. Après les poursuites contre François Fillon puis contre Marine Le Pen, c’est une étape de plus vers un régime totalitaire. Il suffit d’imaginer ce que nos médias diraient si une telle scène avait lieu non à Paris mais à Budapest, Varsovie, Moscou ou Rome. Maître Tarride fait le point. Polemia.

    Chacun est libre de penser ce qu’il veut des cris et de la fureur de Jean Luc Mélenchon pendant les perquisitions menées à 7 heures du matin à son domicile, au siège du Parti de Gauche et au siège de la France Insoumise.
    Quel que soit le volume de ses imprécations, et leur caractère légèrement grandiloquent, puisque si son corps de parlementaire est sacré, le mien l’est aussi même si je ne suis rien qu’un petit fils de Français moyens, je pense pour ma part qu’il a parfaitement raison sur le fond.
    J’avancerai pour me justifier de cette opinion iconoclaste les raisons qui suivent.

    1 °) Une perquisition est et reste une mesure exceptionnelle dont tous ceux qui l’ont subie et même ceux qui y ont seulement assisté savent qu’elle est particulièrement traumatisante. La perquisition s’apparente plus à une peine qu’à un acte de procédure. C’est bien la raison pour laquelle elle est exceptionnelle. On peut d’ores et déjà douter que s’agissant des faits en cause elle ait été nécessaire.

    – Le nombre des députés LFI au Parlement Européen est de trois, et le préjudice, très éventuel par ailleurs, est minime.

    – Les comptes de la campagne présidentielle ont été analysés dans tous les sens depuis dix huit mois et l’on peut s’étonner que ce vieux marronnier judiciaire soit encore aussi vivace. Sur ce point, je ne saurais trop conseiller aux députés en exercice de faire sonner désormais leur réveil à six heures, surtout s’ils appartiennent à l’opposition et s’ils ont acheté un camembert, une bouteille de vin et des éclairs au chocolat qu’ils se sont fait rembourser.

    2°) Rien n’obligeait le parquet et la police à opérer à 7 heures du matin. Les perquisitions peuvent s’opérer à tout heure de la journée. S’il n’y a personne au domicile, il suffit de garder la porte et d’appeler l’intéressé. Personne ne me fera croire que le parquet et la police ne savent pas où trouver Jean-Luc Mélenchon assez rapidement pour que la station devant la porte soit de courte durée.

    3°) S’agissant d’une enquête préliminaire, enquête interminable vue l’ancienneté des faits, le Juge qui a validé la perquisition est un Juge des Libertés et de la Détention (JLD). Le JLD est un acteur particulièrement utile dans la vie judiciaire puisqu’il décide de la mise en détention des prévenus ou de leur remise en liberté. En l’espèce toutefois, le JLD n’est pas un Juge. Tout Juge est un homme ou une femme qualifié à trancher un litige après qu’ait eu lieu devant lui un débat contradictoire. Il n’y a pas de débat contradictoire en l’espèce puisque que la défense n’est pas entendue. Le Juge n’en n’est pas un.

    4° ) La procédure régissant les perquisitions est désormais inadaptée. Il est requis par la Loi que soit établi un procès verbal ou figure la liste des pièces saisies. Quand il s’agit de saisir des téléphones, iPhones, smartphones, ordinateurs et disques durs, cette liste ne peut pas être établie et contresignée par l’intéressé.

    5° ) S’agissant enfin d’une enquête essentiellement orientée à l’encontre du nommé Mélenchon comme le prouve la perquisition à son domicile, il est plus que douteux que les policiers et le parquet aient été fondés à lui interdire d’assister en personne à la perquisition au siège de la « France insoumise ». Certes un responsable de ce parti était présent mais je pense que la présence du principal intéressé était nécessaire et ce d’autant plus qu’aucun député Européen n’était présent.

    Les cris de Jean Luc Mélenchon auront au moins eu pour effet de rendre désormais incontournable l’examen de la procédure de perquisition qui m’apparait, s’agissant des politiques et des suspects de droit commun, contraire aux Droits de la défense et inadaptée aux moyens de communication modernes.
    Ce n’est déjà pas si mal.

    Ces perquisitions sont-elles d’inspiration politique ? Je n’en crois rien, surtout de la part d’un Président et d’un Gouvernement aussi populaire dans toutes les enquêtes d’opinion.

    Etienne Tarride 19/10/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Rémi Noyon [CC BY 2.0], via FlickR

    https://www.polemia.com/perquisitions-de-la-france-insoumise-et-si-melenchon-avait-raison/

  • Génération Identitaire attaquée en justice par SOS Méditerranée : 56 personnalités prennent la défense des militants identitaires

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    L’ONG pro-migrants, responsable des sauvetages en mer à l’aide du navire « Aquarius », va se constituer partie civile dans le cadre de l’information judiciaire en cours contre Génération identitaire. Elle reproche à certains de ses membres l’attaque de son siège le 5 octobre dernier, à Marseille, rapporte France Info. Des poursuites ont été annoncées par voie de communiqué, mercredi 17 octobre.

    Dans son communiqué de presse, SOS Méditerranée écrit :

    L’attaque du 5 octobre a conduit à la mise en examen par le juge d’instruction des 22 assaillants. Les qualifications pénales retenues sont celles de « violences en réunion, séquestration, participation à un groupement en vue de commettre des violences, enregistrement et diffusion d’images violentes ».
    SOS MEDITERRANEE France ainsi que les victimes ont décidé de se constituer parties civiles dans le cadre de l’information judiciaire en cours. Un collège de défense formé par Maîtres Sébastien Mabile et François de Cambiaire, avocats au barreau de Paris, ainsi que Maître Vincent Schneegans, avocat au barreau de Marseille, est chargé de représenter l’association et ses salariés devant la justice.

    (…)

    « Lors de l’assaut des bureaux, des allégations gravement diffamatoires ont été portées à l’encontre de SOS MEDITERRANEE, l’accusant d’être complice des réseaux de passeurs ou de trafic d’êtres humains. Ces allégations tombent sous le coup de la loi pénale dès lors qu’elles portent atteinte à l’honneur et à la considération de SOS MEDITERRANEE », a commenté Maître Sébastien Mabile.
    Il a par ailleurs été constaté que plusieurs personnalités politiques et parlementaires ont relayé massivement dans la presse et sur les réseaux sociaux l’attaque commise contre les salariés de SOS MEDITERRANEE, reprenant voire se félicitant de cette intrusion illégale et violente dans les locaux de l’association.
    « Des poursuites seront intentées contre toute personne ayant fait l’apologie de cette attaque et/ou ayant repris les messages diffamatoires » a fait savoir Maître Mabile.
    Dans une tribune publiée sur le site de Valeurs Actuelles, une cinquantaine de personnalités ont pris la plume pour réclamer l’abandon des charges qui pèsent contre les militants identitaires.

    Parce que l’action de Génération Identitaire est justifiée par les agissements délétères de SOS Méditerranée. 30 000 clandestins transportés en trois ans depuis les côtes libyennes alors même que, selon un rapport d’Interpol, 90% des passages de migrants vers l’Europe ont été organisés par des réseaux criminels.

    Parce que SOS Méditerranée est incapable de dire la vérité sur les conséquences de son action. Combien parmi les 30 000 migrants débarqués par l’Aquarius venaient vraiment de pays en guerre ? Combien se sont ensuite rendus coupables en Europe de délits et de crimes ?

    SOS Méditerranée prétend « sauver des vies » mais combien, par son action, en a-t-elle gâchées et détruites en Europe ?

    Parce que la grande majorité des Français refuse cette immigration massive imposée. A contrario, les 60 rassemblements organisés samedi 6 octobre par SOS Méditerranée ont été un échec avec moins de 8 000 personnes au total.

    Voici la liste des personnalités qui ont signé cette tribune : 
    Louis Aliot, Député RN des Pyrénées-Orientales ; Marie-Christine Arnautu, Députée Européen du RN ; Viktor Auber, Président Académia Christiana ; Wilfried Baron, Responsable départemental des Jeunes LR de la Nièvre ; Charles Beigbeder, Entrepreneur et élu de Paris, Président de la fondation « Le Pont Neuf » ; Guillaume Bernard, Historien de droit, Politologue ; Stéphanie Bignon, Présidente de Terre et Famille ; Jacques Bompard, Maire d’Orange (Ligue du Sud) ; Marie-Claude Bompard, Maire de Bollène (Ligue du Sud) ; Yann Bompard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; François Bousquet , Rédacteur en chef de la revue Eléments, Gérant de « La nouvelle librairie » ; Christine Boutin, Ancienne ministre, membre honoraire du Parlement ; Claude Chollet, Président de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique ; Thibaud Collin, Philosophe et essayiste ; Paul-Marie Couteaux, Haut fonctionnaire, essayiste et homme politique français ; Alain de Benoist, Philosophe et essayiste ; Jacques de Guillebon, Essayiste, directeur de la rédaction de L’incorrect ; Florent de Kersauson, Président fondateur de Nestadio Capital ; Quentin de Lacoste, Porte Parole de Racines d’Avenir (LR) ; Guillaume de Thieulloy, Politologue ; François de Voyer, Président de « Audace » ; Charles de Williencourt, Responsable Jeunes de l’Avant Garde ; Thierry Devige, Secrétaire général de « Audace » ; Aymeric du Chambon, Responsable jeunes de la Vienne du parti Chrétien-Démocrate ; Cédric Dudieuzère, Adjoint à la mairie du 7ème secteur de Marseille, RN ; Xavier Fruleux, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Marie-Thérèse Galmard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Emmanuelle Gave, Directrice de l’Institut des Libertés, candidate aux Européennes 2019 sur la liste des Amoureux de la France ; Charles Gave, Economiste, financier, écrivain et entrepreneur français ; Vivien Hoch, Docteur en philosophie et entrepreneur ; Sébastien Jallamion, Président de l’association « Andèle », écrivain ; Michel Janva, Rédacteur en chef du site « Le salon beige » ; Patrick Jardin, Père de Nathalie Jardin, tuée par des terroristes islamistes au Bataclan ; Baptiste Laroche, Porte-parole des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Christelle Lechevalier, Députée Européen du RN ; Rémi Ledoux, Délégué Jeunes LR 8e circonscription du Pas-de-Calais ; Quentin Limongi, Président de la « Cocarde Étudiante » ; Marie-France Lorho, Députée (Ligue du sud) ; Thierry Mariani, Ancien ministre, Membre honoraire du Parlement (LR) ; Barbara Mazières, Présidente du cercle Anjou conférence ; Emmanuelle Ménard, Députée de l’Hérault ; Robert Ménard, Maire de Béziers ; Jean Messiha, Haut-fonctionnaire ; Charles Millon, Ancien ministre de la Défense, Président de « L’Avant-Garde » ; Paul Nafilyan, Avocat au Barreau de Paris ; Frédéric Pichon, Avocat au Barreau de Paris ; Joseph Poidevin, Secrétaire général des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Jean-Frédéric Poisson, Président du Parti Chrétien-Démocrate ; Stéphane Ravier, Sénateur RN ; Julien Rochedy, Ancien président du FNJ, entrepreneur ; Jean Servin, Président des jeunes du Parti Chrétien-Démocrate ; Erik Tegner, Président de Racine D’avenir (LR) ; Mylène Troszczynski, Députée Européen (RN) ; Christian Vanneste, Député honoraire du Nord, Président du RPF et de La Droite Libre.

    https://fr.novopress.info/212352/generation-identitaire-attaquee-en-justice-par-sos-mediterranee-56-personnalites-prennent-la-defense-des-militants-identitaires/

  • COMMENT MÉLENCHON A MIS FIN À SA CARRIÈRE

  • Échec de la transmission de la langue française : fin de l’ascenseur social

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    Près d’un quart des élèves de CP ont des difficultés à reconnaître les lettres et le son qu’elles produisent. Et en CE1, un élève sur deux a des difficultés en calcul mental. C’est ce que nous apprennent les évaluations nationales pour ces deux classes en début d’année scolaire.

    Cela commence donc dès la première année d’école obligatoire et cela se poursuit tout au long de la scolarité, parce que, comme l’admet le ministre de l’Éducation nationale, l’école, qui a pourtant vocation à réduire les inégalités, se trouve en être le premier lieu d’expression.

    Pour y remédier, Blanquer veut rendre l’école obligatoire dès trois ans. Disons-le tout de suite, ça ne changera rien. La France est déjà l’un des pays où le taux d’accès à la maternelle dès trois ans est des plus élevés. Le ministre admet lui-même l’origine de cet écart : la maîtrise du langage est décisive. Les professeurs d’école le savent très bien : ils peuvent distinguer rapidement ceux pour qui l’apprentissage sera le plus compliqué en fonction de la richesse du vocabulaire.

    Ce n’est pas, non plus, de faire de l’enfant « l’acteur de son éducation », comme le défendent les pédagogues, qui le sauvera. Il n’y a qu’une solution : apprendre par cœur. Qui a dû faire apprendre ses tables de multiplication à son enfant sait que ce n’est pas une partie de plaisir. Mais c’est un fait : il faut apprendre par le cœur, car ce qui est inscrit dans notre mémoire nous appartient et c’est alors que nous le chérissons. Ce qui reste des fables de La Fontaine dans notre mémoire est là pour en témoigner.

    Tibor Navracsics se fourvoyait donc totalement en affirmant que « nous devons davantage orienter nos systèmes éducatifs vers les compétences ». Nous avons avant tout besoin de savoirs. C’est ce que j’ai rappelé à ce commissaire européen à l’éducation (notamment en avril 2016 et en juin dernier), ainsi qu’aux autres membres de la commission culture et éducation (notamment lorsqu’ont été abordées la modernisation de l’enseignement supérieur ou la place du numérique dans l’enseignement).

    Il ne sert de rien à nos enfants d’avoir telle ou telle compétence alors qu’à la fin de leurs études, le marché de l’emploi aura totalement changé. Laurent Alexandre, pourtant adepte de l’intelligence artificielle, l’affirmait dans un tweet dont le vocabulaire lui appartient : « Apprendre à coder à TOUS les enfants est aussi con qu’apprendre la sténo en 1970. [Le] code de base sera écrit par l’IA. »

    Dans une interview à Contrepoints, il rappelait le véritable enjeu : « On a 5 % de vrais illettrés et analphabètes en France. Quand il y a une vague technologique, ou quand il faut très rapidement se former, ne pas savoir lire la première page du manuel de formation va être très problématique. »Tout l’inverse de M. Navracsics, qui plaidait pour une alphabétisation numérique.

    Enfin, le problème naissant avant même l’entrée en primaire, il est impératif de mettre fin à l’immigration qui multiplie les difficultés d’apprentissage du français à mesure que le quartier et les camarades de classe ne le parlent plus. Un environnement où la langue française domine est le préalable à toute transmission, moteur de l’ascenseur social.

    Dominique Bilde

    http://www.bvoltaire.fr/echec-de-la-transmission-de-la-langue-francaise-fin-de-lascenseur-social/

  • De Mayotte à Anjouan : le verrou de l’immigration sur le point de sauter

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    Les Comores sont entrées en ébullition ces derniers jours. Le président en poste Azali Assoumani, au pouvoir depuis 1999 à la suite d’un coup d’Etat, veut rester président à vie. Les habitants d’Anjouan, l’une des trois îles qui composent ce pays, ne l’entendent pas de cette oreille. Ils sont entrés en rébellion au début de cette semaine. A 70 kilomètres de Mayotte, et donc de terres françaises, des combats à l’arme lourde se déroulent actuellement dans les rues de Mutsamudu, la capitale locale, dont la médina est assiégée. Les rares témoins ont vu des morts, des blessés, des barrages sur les axes routiers, des hommes masqués qui s’affrontent à la kalachnikov ou au coupe-coupe.

    Du coup des bateaux, des « kwassas » (ou mangeoires à requins) surchargés de réfugiés ou de militants anti-régime débarquent actuellement à Mayotte.

    Or Mayotte est déjà submergée par l’immigration sauvage, l’île étant considérée comme la porte régionale vers l’Europe. Venus du continent africain, les immigrés passent d’île en île, de la Grande Comore à Mohéli, et de Mohéli à Anjouan, pour gagner Mayotte, qui est la France. Les femmes sont nombreuses aussi, les femmes enceintes, s’entend. Car une naissance à Mayotte, c’est la carte d’identité à la clé. Et la criminalité explose.

    Naufrage par submersion migratoire

    Les Mahorais avaient choisi de rester Français en 1974 et font partie de la Communauté européenne. Mais Mayotte est prise d’assaut, suscitant de violentes réactions des autochtones. Ce mercredi des bagarres ont éclaté entre Mahorais et immigrés, à Mamoudzou, la préfecture de Mayotte. Les manifestants tentent d’empêcher les immigrants d’avoir accès aux salles de soins d’un dispensaire, pour éviter qu’ils s’implantent définitivement.

    Les violences d’Anjouan risquent de créer une vague d’immigration telle que les habitants de Mayotte ne pourront plus s’opposer, que le verrou sautera, provoquant le premier naufrage par submersion migratoire d’un département français.

    Bizarrement, en métropole, un voile pudique est jeté sur cette situation. Et comme les anti-immigrants sont noirs de peau, personne ne s’avise de dénoncer leur racisme et leur xénophobie . Ils ont au moins cette chance, dans leur malheur.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • L’esclavagiste Fogiel devrait être en prison !

    L’esclavagiste Fogiel devrait être en prison !

    De Benoît Dumoulin dans l’Incorrect :

    Il est odieux de devoir rappeler des évidences. Il y a encore quelques années, on ne croyait pas qu’un jour, il faudrait prendre la plume pour s’opposer à cet immonde trafic de la GPA, que l’on devrait plutôt rebaptiser MEPA (marchandisation et esclavage pour autrui). Il est encore plus odieux de voir les médias – à commencer par Paris-Match – faire la promotion tranquille de l’ouvrage de Marc-Olivier Fogiel, sans lui rappeler les vérités les plus élémentaires.

    Car contrairement à ce que prétend Fogiel, il ne peut y avoir de GPA éthique. La GPA fait entrer, par principe, le corps humain dans le domaine du marché. Fogiel a acheté 9 000€ sur catalogue l’ovocyte d’une Américaine en prenant soin – dans un eugénisme désormais revendiqué – de choisir celui qui paraissait le plus sain (« il n’y a pas de maladie génétique dans la famille de Jane »). Question : sur son catalogue, le prix variait-il en fonction des qualités de la donneuse ? Fogiel fait sortir l’être humain du domaine de l’être pour le faire entrer dans le domaine de l’avoir. Supprimant la distinction fondamentale du code civil entre les personnes et les choses, il rend possible l’appropriation juridique et financière du corps humain et de ses produits. En cela, il est un esclavagiste des temps modernes.

    Il a ensuite loué deux fois de suite le même utérus d’une autre femme pour y implanter l’ovocyte choisi, au tarif de 15 000€ la grossesse. Qui pourrait légitimement soutenir qu’aucune relation psychique n’existe entre une femme et l’enfant qu’elle porte ? Serait-ce la même chose de porter un enfant et un panier de courses au supermarché ? Il y a confusion de l’être et de l’avoir. D’ailleurs, voit-on beaucoup de femmes très riches accepter d’être mère porteuse ? Il y a aussi, au cœur de toute GPA, une exploitation de la détresse des femmes. En cela, Fogiel est aussi un esclavagiste.

    En France, « Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l’objet d’un droit patrimonial » (article 16-1 du code civil) et « il n’y a que les choses qui sont dans le commerce qui puissent être l’objet des conventions » (article 1128). C’est pourquoi, « toute convention portant sur la procréation ou la gestation pour le compte d’autrui est nulle » (article 16-7).

    Mais bizarrement, le code pénal ne punit que l’intermédiaire qui s’entremet dans un but lucratif entre deux personnes en vue d’une GPA et non celui qui la réalise à son profit. Si le gouvernement voulait vraiment s’attaquer au trafic d’êtres humains et respecter la dignité de la femme, il devrait faire voter une loi pour incriminer pénalement Marc-Olivier Fogiel et le faire mettre en prison.

    De plus, sa justification est confondante : il explique avoir eu recours à une vendeuse d’ovocytes différente de la mère porteuse, évitant ainsi à celle-ci de se sentir mère de l’enfant qu’elle porte. En dissociant la génitrice de la gestatrice, il brouille encore plus les repères de l’enfant qui, déjà arraché à sa gestatrice au lendemain de l’accouchement, ne pourra jamais savoir qui est sa vraie mère. Cela ne sera pas sans conséquences pour l’enfant, qui, un jour, sera en droit de demander des comptes à son père.

    Fogiel n’ignore pas que l’un des reproches fait à la GPA est d’instaurer une séparation radicale entre la mère et l’enfant. Qu’à cela ne tienne ! Ses filles iront voir leur mère porteuse une fois par an aux États-Unis. Passons sur la rareté d’une visite censée nourrir les besoins affectifs légitimes de l’enfant. Fogiel espère-t-il qu’un aller-retour Paris-Miami sera remboursé par la Sécurité Sociale ou pense-t-il réserver ce privilège à une élite financière ?

    Par ailleurs, il affirme avoir dépensé à peu près 100 000€ pour ses GPA. Imagine-t-on le poids qu’il fait peser à ses enfants et le peu de liberté qu’une telle relation marchande instaure ? Si ces derniers ne correspondent finalement pas au modèle souhaité, il pourra être tenté de leur rappeler qu’il a dépensé 100 000€ pour eux ! Quand on sait qu’il n’est jamais facile pour un père de laisser son enfant faire sa vie librement, on devine qu’il est d’autant plus dur de se détacher d’un enfant qui est le fruit d’une appropriation juridique et financière.

    La séquence médiatique ouverte avec la publication de l’ouvrage de Fogiel participe donc d’une banalisation scandaleuse et criminelle de la GPA qui aurait mérité des rappels à l’ordre de la part du gouvernement et du CSA. Car, malgré ses dénégations, son témoignage ressemble à une opération de propagande voyeuriste dont l’unique objet est de nous faire accepter la GPA, pardon la MEPA. Mais, on ne lâchera rien, jamais, jamais, jamais !

    Cela étant dit, le livre de Fogiel fait un bide. Malgré l’intense propagande médiatique, ce livre n’est que 50ème dans le classement officiel editstat des 200 meilleures ventes. A titre de comparaison, le “Destin français” d’Eric Zemmour est toujours classé 10ème après 5 semaines de présence (et après avoir été classé directement 1er). Et ceci, en dépit de la censure des médias.

    D’après nos informations, en 12 jours (du 3 au 14 octobre), Fogiel n’a vendu que 4 643 livres. Même les LGBT ne s’intéressent pas à la GPA… Pour rappel : Zemmour vendait plus de 2 000 livres par jour lors de la parution.

    https://www.lesalonbeige.fr/lesclavagiste-fogiel-devrait-etre-en-prison/