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magouille et compagnie - Page 1315

  • Dernier rebondissement dans l’affaire Benalla : en attendant le prochain ?

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    Un peu plus d’un an après les faits, le feuilleton Benalla n’en finit plus de rebondir. Ainsi, le 1er mai 2018, Alexandre Benalla, naguère plus ou moins chargé de la sécurité du candidat Emmanuel Macron en pleine campagne présidentielle, croit bon d’intervenir contre un couple de trublions s’en prenant manifestement aux forces de l’ordre en présence, à Paris, place de la Contrescarpe.

    Pour résumer, il a torgnolé deux gauchistes ; ce qui n’est pas tout à fait une affaire d’État, mais qui ne va pas tarder à le devenir.

    Il y a d’abord le téléphone portable « personnel » du prévenu, « personnel » parce que faisant office de ligne directe avec l’Élysée ; téléphone opportunément « perdu », puis incidemment « retrouvé », à en croire les récentes révélations du Monde. Mais téléphone grâce auquel on sait, désormais, que le Président et son proche entourage, Alexis Kohler, secrétaire général du Château, étaient parfaitement au courant des frasques de leur jeune et énergique homme à tout faire.

    La preuve en est ce message pour le moins explicite, retrouvé en même temps que le téléphone en question, signé de Jean-Luc Minet, commandant militaire en second de la présidence de la République – pas exactement le premier venu – et adressé au même Alexandre Benalla, au moment de cette algarade des plus musclées : « Tous des cons Alexandre sois zen et fort c’est le patron qui décide et à 30.000 kilomètres il ne décide rien en te concernant. » Au même instant, Emmanuel Macron est en voyage officiel en Australie et Alexandre Benalla aux anges, on imagine.

    D’autres échanges seraient encore à même de mettre à mal l’une des principales thématiques de campagne du jeune Président voulant qu’avec lui, nous fussions en passe d’en finir avec l’ordre ancien pour accoster sur les rives du nouveau monde. Et c’est là qu’à l’occasion d’autres messages téléphoniques – se voulant discrets, mais finalement pas tant que ça –, on voit que les méthodes du passé persistent à avoir encore de l’avenir.

    Ainsi, le mode de rémunération du service d’ordre d’En Marche ! Un peu déclaré, mais souvent réglé en espèces. Le Front national du siècle dernier était finalement plus cash, si l’on ose dire en la circonstance : à la sortie de chaque meeting lepéniste, le service d’ordre, payé lui aussi un peu à l’ancienne, tendait le drapeau dans lequel le chaland lâchait quelques pièces ; voire quelques billets. « Les quêtes les plus juteuses sont celles qui font le moins de bruit dans le panier », aimait déjà à rappeler l’avocat Jean-Louis Tixier-Vignancour, lors de l’élection présidentielle de 1965…

    Hormis les cris d’orfraie de la « bonne presse », tel que prétendu naguère chez les curés, dont Le Monde semble aujourd’hui incarner les avant-postes, rappelant ainsi de plus en plus les indignations de chaisière de La Croix quand Arletty montrait ses jolis seins dans Le jour se lève(réalisé par Marcel Carné en 1939), cette affaire pourrait paraître des plus banales, à l’exception de ceci :

    Tout d’abord, cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé. La preuve en est que ses puissants sponsors politico-économiques n’étaient que chevaux de retour : François Bayrou, le perdreau de l’année ? Et le MEDEF, quelque peu descendant de cette lignée vaguement consanguine, initiée par les acquéreurs de biens nationaux et le tristement célèbre Comité des forges, était-il finalement le mieux qualifié pour transformer notre vieux pays capétien en start-up nation ?

    D’ailleurs, et histoire de clore ce feuilleton, qu’il nous soit permis de rappeler qu’à la grande époque des officines parallèles, un Charles Pasqua faisait appel à des sbires autrement plus sérieux. Pour aller court et parler franc : Alexandre Benalla n’est pas Pierre Debizet. Comme quoi le « nouveau » monde a encore quelques leçons à recevoir de « l’ancien ».

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/dernier-rebondissement-dans-laffaire-benalla-en-attendant-le-prochain/

  • Alors qu'elle est entourée d'une indifférence générale, l'affaire Marie Laguerre nous concerne tous...

    L'agresseur de Marie Laguerre (les faits remontent au 24 juillet 2018) a été condamné à 12 mois de prison, dont 6 mois ferme, avec une mise à l'épreuve de 3 ans, et aussi à verser 2 000 euros de préjudice moral à la victime.

    Mais le problème n'est plus là : le JT de midi de France 2 ce mercredi 31 juillet, nous apprend que, depuis, Marie Laguerre vit un véritable enfer, parce qu'elle est l'objet de harcèlements incessants.
    Bravo à Jean-Baptiste Marteau d'avoir envoyé ce sujet, le révélant ainsi au grand public et brisant l'omerta qui, scandaleusement, l'entoure : le racisme inversé que nous subissons aujourd'hui, et qui est devenu la norme, fait que, lorsqu'un immigré agresse une Française, même s'il est incarcéré, la violence contre la personne agressée ne cesse pas, et l'on ne dit rien, l'on ne fait rien.
    Dans le cas contraire - que nous condamnerions tout autant - on verrait, n'en doutons pas, se déchaîner tout un tas d'associations anti-racistes, grassement subventionnées par nos impôts (qui seraient mieux employés pour nos pompiers ou nos infirmiers/urgentistes et autres soignants...). Et, bien sûr, l'inénarrable monsieur Toubon, Défenseur des Droitsmonterait au créneau pour appeler à la lutte contre la peste brune et le retour des heures sombres de notre histoire...
    Au moins en parler, au moins le dire, le dénoncer, c'est la première des façons d'aider Marie Laguerre : qui a dit :"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" ?
     "Défenseur des droits" : voilà un poste à supprimer d'urgence, dans le cadre des économies à réaliser...
  • Mort de Steve : l’affaire de trop pour Castaner ? Journal du mercredi 31 juillet 2019

    1) Mort de Steve : l’affaire de trop pour Castaner ?

    Deux jours après la découverte du corps de Steve Maia Caniço, les responsabilités restent à déterminer. Alors que le premier ministre, Edouard Philippe, a promis de faire toute la lumière sur cette affaire, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, apparaît une nouvelle fois fragilisé.

    2) Ecologie : l’illusion En Marche au service des impôts

    L’écologie pour justifier l’oppression fiscale. C’est la méthode appliquée par La République En Marche ! A grand renfort de communication, le gouvernement tente encore de se faire passer pour écologiste mais peine de plus en plus à faire illusion.

    3) Cambriolage: le risque des vacances

    L’été, période préférée des cambrioleurs. Alors que des millions de Français désertent leur habitation pour partir en vacances, les cambriolages se multiplient. Face à ce fléau, les réponses pénales demeurent bien dérisoires.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/mort-de-steve-laffaire-de-trop-pour-castaner-journal-du-mercredi-31-juillet-2019

  • Une élue PS détourne 340.000 euros et est condamnée à 4.000 euros d’amende en toute discrétion

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      par   30 juillet 2016 
    L’information vient à peine d’être divulguée. Béatrice Négrier, élue PS au conseil régional, et maire de Plaissan dans l’Hérault a été condamnée fin mai à 4.000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Montpellier pour « détournement de fonds ». 
    L’hebdomadaire l’Agglorieuse et le site d’actualité Lengadoc Info ont révélé mercredi cette information gardé jusque-là sous silence par les journalistes aux ordres des “grands” médias.  
    Voici l’article de Lengadoc Info du 27 juillet :
    « C’est une condamnation qui n’a pas fait beaucoup de bruit dans la région et pourtant l’affaire est loin d’être anecdotique. Le 24 mai dernier, le maire de Plaissan (Hérault), Béatrice Negrier (PS), était appelé à la barre du tribunal correctionnel de Montpellier pour une affaire de détournement de fonds. La somme escroquée s’élève à 340 000 €. Une somme considérable que Béatrice Negrier a détourné au dépens du Mouvement Républicain et Citoyen, le parti fondé par Jean-Pierre Chevènement et dont Béatrice Négrier était membre, mais également d’une association pour enfants qu’elle présidait. 
    Devant les juges, le maire de Plaissan, qui est également vice-présidente de la région Occitanie en charge de l’emploi, de la formation professionnelle et de l’apprentissage, a reconnu qu’elle avait « eu une année noire ».
    Les 340 000 € détournés ont, en effet, servi à renflouer son compte bancaire personnel. Dans cette affaire, le procureur de la République a requis une amende de 4 000 € et une peine de non éligibilité. Si le tribunal a confirmé l’amende de 4 000 € dans son jugement, il a également décidé que cette condamnation ne serait pas inscrite au casier judiciaire de Béatrice Negrier.
    Mais le plus inquiétant dans cette affaire, c’est qu’elle a été l’objet d’un silence total de la part de la presse locale. Alors que les condamnations en justice d’élus pour des délits financiers sont généralement largement commentées par la presse, dans ce cas là, on a comme l’impression que personne n’a souhaité en parler. A tel point que la personne qui a informé la rédaction de Lengadoc Info de cette affaire, avait auparavant contacté d’autres médias locaux, tous ont refusé de traiter l’affaire ou se sont abstenus de répondre ». Sans le scoop de Lengadoc Info, Midi Libre n’aurait jamais évoqué cette condamnation judiciaire.
  • Ca sent bizarre du côté de l'icone Greta Thunberg... (II/II)

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    Par ailleurs, un lecteur nous a envoyé la photo ci-dessus : emballages plastiques, bananes venues sans doute en pirogue des Caraïbes ou de Côte d'Ivoire, mal-bouffe industrielle en sachet, bref... l'écologie en mouvement, la pure, la dure, la vraie !

    Et le lien vers le Blog de Michel Onfray, qui éreinte la jeunette : c'est jubilatoire, c'est à lire et à faire lire ! :

    https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/greta-la-science?mode=video&fbclid=IwAR3xY-v0gJUzFWFUtRJOh5dK3PMhLY1vBBvyFSo3EnKrcUG1XzYUrraXyf4

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/30/ca-sent-bizarre-du-cote-de-l-icone-greta-thunberg-ii-ii-6167115.html

  • Croissance exponentielle de la stupidité médiatique : cause ou conséquence du « réchauffement climatique » ?

    Le réchauffement climatique pose aujourd’hui toutes sortes de problèmes – qui dépassent les effets de la thermométrie – dont la diversité et l’étendue surprennent autant qu’elles étonnent…

    Au point que les observateurs même les plus avisés, pourtant spécialistes du bourrage de crâne et de la bêtise des médias (pléonasme), finissent par être dépassés par l’ampleur de l’a-céphalisation patente et chronique des journaleux…

    Certains, d’un incorrigible optimisme, préfèreront parler de dé-céphalisation, terme qui me semble pourtant moins adapté dans la mesure où il admet implicitement – pour ne pas dire qu’il affirme – l’existence antérieure d’une céphalisation chez les susdits… Or, visiblement rien n’est moins sûr !

    Le « réchauffement climatique » atteint le point de non-retour…

    Si tel est bien le cas on serait alors conduit à suggérer que c’est l’hypothèse du réchauffement climatique qui rend idiot…

    On entrerait là dans un dilemme, débat philosophiquement digne d’intérêt d’ailleurs, qu’Audiard aurait pu énoncer sous cette forme :

    « Est-ce le réchauffement climatique qui rend l’homme con ou est-ce la connerie anthropique qui lui fait inventer ces histoires ? »

    L’exemple qui suit illustre parfaitement cette question.

    Un article de France Info au titre fracassant :

    https://www.francetvinfo.fr/monde/norvege/norvege-200-rennes-retrouves-morts-de-faim-a-cause-du-rechauffement-climatique-selon-des_3556445.html

    Norvège : 200 rennes retrouvés morts de faim à cause du réchauffement climatique

    Selon des chercheurs norvégiens, un nombre inhabituellement élevé de cervidés sont morts de faim dans l’archipel du Svalbard, l’hiver dernier.

    « Quelque 200 rennes ont été retrouvés morts de faim sur l’archipel norvégien du Svalbard dans l’Arctique, un nombre inhabituellement élevé qui s’explique par les changements climatiques dans la région, a indiqué l’Institut polaire norvégien, lundi 29 juillet. Leurs cadavres ont été découverts par trois chercheurs de l’Institut au cours de leur cartographie annuelle de la population de rennes sauvages sur ce groupe d’îles, situées à quelque 1 200 km du pôle Nord. »

    Cheffe du projet de recensement, Åshild Ønvik Pedersen voit dans ce “très haut degré de mortalité” une conséquence du réchauffement climatique, deux fois plus rapide dans l’Arctique que dans le reste du monde selon les climatologues.

    “Le changement climatique fait qu’il pleut beaucoup plus. La pluie tombe sur la neige et forme une couche de glace sur la toundra, ce qui fait que les conditions de pâture pour les animaux sont très mauvaises”,

    a-t-elle expliqué à l’AFP.

    Les rennes se nourrissent généralement de lichen qu’ils dénichent l’hiver à travers la neige grâce à leurs sabots. Les alternances de gel et de redoux peuvent cependant former une ou plusieurs couches de glace impénétrables qui les privent de nourriture.

    Selon Mme Ønvik Pedersen, un degré comparable de mortalité n’a été enregistré qu’une fois, à l’issue de l’hiver 2007-2008, depuis que la population des rennes du Svalbard a commencé à faire l’objet d’un suivi il y a 40 ans. Cette mortalité élevée est aussi due à une nette augmentation sur l’archipel norvégien du nombre de rennes qui entrent ainsi en compétition pour les mêmes zones de pâture, a précisé la chercheuse. Selon l’Institut polaire norvégien, le nombre de rennes au Svalbard, territoire grand comme deux fois la Belgique, a doublé depuis les années 1980 pour atteindre aujourd’hui environ 22 000 têtes. »

    On en reste sans voix !

    Résumons les propos de la chercheuse sur les « changements du climat » (tiens, c’est marrant elle ne parle pas de réchauffement) sont totalement instrumentalisés. Un cas d’école pour les journaleux !

    Que dit-elle ? Nous l’avons tous lu :

    “Le changement climatique fait qu’il pleut beaucoup plus. La pluie tombe sur la neige et forme une couche de glace sur la toundra, ce qui fait que les conditions de pâture pour les animaux sont très mauvaises”

    Et que signale-t-on avoir pu constater ?

    – Que le suivi des populations de rennes n’existe que depuis 40 ans !

    – Que la population du Svalbard a doublé durant ces 40 ans amenant maintenant localement une certaine compétition pour la nourriture, vu la densité atteinte qui frise la saturation…

    – Que le phénomène a déjà été observé il y a dix ans.

    Et c’est tout !

    En bref, depuis quarante ans qu’on suit les populations de rennes au Svalbard, ce n’était pas le cas auparavant, quand les hivers sont plus particulièrement doux – quand il pleut plus qu’il ne neige – les animaux ont du mal à se nourrir à cause de la glace qui se forme alors sur le sol gelé, et, compte tenu de leur densité, certains ne disposant plus de lichens à suffisance pour se nourrir et meurent de faim, phénomène qui a déjà été observé il y a dix ans…

    C’est très clair : zoologiquement et écologiquement c’est imparable !

    Il est proprement admirable de voir comment ces faits, simples et apparemment pas franchement exceptionnels dans le temps, ont été manipulés et présentés comme conséquence affirmée d’un « réchauffement climatique » en prenant comme caution une scientifique chevronné dont les propos sur d’actuelles modifications climatiques locales, connues, ont été sciemment détournés pour illustrer un mythe.

    Bravo à France Info…

    Il y a 48 heures nous apprenions déjà que « cette année est la plus chaude depuis 2000 ans » !

    (Je l’ai personnellement entendu deux fois en moins d’une demi-heure !)

    C’est brai qu’il y aurait de quoi se poser des questions…

    Malheureusement les premières échelles thermométriques datent du XVIIIeme siècle…

    Et les relevés météorologiques ne se sont généralisés qu’au XIXeme, voire au XXeme

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Thermométrie#Choix_de_l%27échelle_thermométrique

    Il faudra expliquer cela (et tellement d’autres choses !) aux cuistres de France Info…

    L’ignorance crasse – couplée à la suffisance des médiateux qui se mêlent de tout – suffit-elle à expliquer la croissance exponentielle de la con…rie, observé chez les journalistes ?

    Ce n’est pas sûr, mais c’est au moins un début d’explication…

    Claude Timmerman

    https://www.medias-presse.info/croissance-exponentielle-de-la-stupidite-mediatique-cause-ou-consequence-du-rechauffement-climatique/110937/

  • Ca sent "bizarre" du côté de l'icone Greta Thunberg... (I/II)

    Simple icone de l'écologie, devant qui la terre entière est sommée de plier le genou, ou simple militante gauchiste, manipulable et manipulée à souhait, par une mère et un entourage "engagés", comme on dit dans leur jargon ?

    La jeune auto-déscolarisée a en tout cas publié un tweet (ci-après) très vite retiré, mais très éloquent !

    Pour l'instant, il s'agit de rumeur(s), de question(s) qui circulent...

    On devrait être vite fixés...

    II : la mère : "Chucky" : on sait d'où vient le teeshirt...

    greta thunberg mère chucky.png

    III : le tweet très rapidement supprimé...

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  • Génération identitaire : Anaïs Lignier : « La Justice nous donne raison : c’était une interdiction politique et idéologique »

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    En novembre 2017, deux ans après l’attentat du Bataclan, Génération identitaire avait organisé une grande manifestation à Paris contre l’islamisme, finalement interdite à la dernière minute par le préfet de police pour « risques de troubles à l’ordre public ». Génération identitaire avait attaqué cet arrêté d’interdiction.

    Aujourd’hui, la Justice leur donne raison et condamne l’État à leur verser 1.500 euros de frais de justice.

    Boulevard Voltaire a rencontré Anaïs Lignier, l’un des cadres de cette ONG.

    Vous avez déclaré, dans une vidéo, que Génération identitaire a gagné un procès contre l’État. Deux ans après l’attentat du Bataclan, Génération identitaire voulait organiser une manifestation pour commémorer cet attentat. Cette manifestation lui avait été refusée au dernier moment. Visiblement, la Justice vous a donné raison contre l’État.

    Il y a deux ans, Génération identitaire voulait organiser une grande manifestation contre l’islamisme.
    À l’époque, la manifestation avait été interdite pour de simples prétendus troubles à l’ordre public, rien de plus. Selon nous, l’interdiction de dernière minute était fondée sur des motifs politiques et idéologiques.
    Par le biais de notre avocat, nous avons fait appel de cette décision. Aujourd’hui, la Justice nous donne raison. Elle admet que notre mouvement agit toujours de manière ordonnée, sans violence ni dégradation. L’interdiction n’était absolument pas justifiée. L’État est donc condamné à nous verser 1.500 euros de frais de justice.

    L’interdiction pour risques de troubles à l’ordre public était peut-être une réaction sécuritaire normale…

    Comme dans toute manifestation politique, il y a toujours des opposants qui appellent à des contre-manifestations. Cela avait déjà été le cas pour d’autres manifestations que nous avions organisées. Tout s’était bien déroulé. Des forces de police avaient entouré la manifestation.
    Cette fois, il n’y avait pas de raison qu’elle se passe plus mal qu’une autre manifestation.

    Génération identitaire n’en a pas fini avec la Justice. Certains de vos camarades sont en procès pour l’opération au col de l’Échelle. Avez-vous confiance en la Justice au sujet de cette affaire ?

    Nous n’avons évidemment pas confiance. Tout est très flou autour de cette histoire.
    Pour nous, c’est clairement un acharnement politique. Ces derniers mois, de nombreuses menaces de dissolution ont été proférées à notre encontre. Ces menaces n’ont pas eu de suites puisqu’il n’y avait pas de motifs avérés pour mettre en œuvre une dissolution. Nous continuons à demander une relaxe pure et simple.

    Comprenez-vous que vos modes d’action choquent et que des réponses judiciaires puissent suivre ?

    Notre objectif est d’éveiller les consciences. On ne peut pas le faire sans bruit. Notre but est de toujours agir de manière ordonnée, sans violence ni dégradation, mais évidemment en faisant du bruit et en interpellant les pouvoirs publics. C’est une victoire pour nous. Nous arrivons à être sur le devant de la scène et à faire part de nos idées au plus grand nombre.

    Nous sommes le 26 juillet et nous commémorons les trois ans de l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray et la mort du père Hamel. Que vous inspire cet attentat ?

    Cet attentat nous a montré que cela n’arrivait pas uniquement dans les grandes villes. On s’en est pris à une religion qui est à la base de la civilisation européenne. On voit, encore une fois, que ces tueries sont ciblées. Personne n’est intouchable, dans cette histoire. L’islamisme est grandissant sur notre Terre.

    https://www.bvoltaire.fr/anais-lignier-la-justice-nous-donne-raison-cetait-une-interdiction-politique-et-ideologique/

  • Greta Thunberg : une illustration du « début de la tyrannie » selon Platon

    À 20 ans (1979), je me suis retrouvé un jour dans le cabinet d’un médecin où trônait, sur un mur, cette citation de Platon (429-347 av. J.-C.) : « Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus, au-dessus d’eux, l’autorité de rien et de personne, alors, c’est là, en toute beauté, et en toute jeunesse, le début de la tyrannie. »
    Le temps du « Il est interdit d’interdire », né en 1968, battait son plein, et cette sentence, qui me toisait, éveilla ma conscience de jeune adulte. 
    Aujourd’hui, j’ai coutume de dire à mes amis : à vingt ans, j’étais un « con » mais je ne le savais pas. En effet, les années passant, la maturité intellectuelle venant, j’ai fini par me rendre compte que je ne savais pas grand-chose et que cette lucidité m’indique, aujourd’hui, que je le sais.
    Ma quête de connaissances et mes efforts pour comprendre le monde dans lequel je vis m’ont fait toucher du doigt combien l’expérience de ceux qui nous précèdent a de la valeur, et que le respect de ceux qui ont le savoir dans un domaine est la moindre des choses.
    Tout cela m’amène à Greta Thunberg, cette ado égérie des milieux écologistes dogmatiques, à qui le miroir de la bien-pensance renvoie l’image d’une femme adulte ayant acquis une compétence scientifique incontestable sur le réchauffement climatique. 
    L’université de Mons, qui lui décernera à la rentrée l’insigne et le diplôme de docteur honoris causa, contribue à donner à cette jeune fille une idée d’elle-même qui ne correspond à aucune réalité.
    Elle engage donc ceux qui ne la jugent pas digne d’intérêt à écouter les scientifiques (tous ?) et s’autoproclame prophète du dieu GIEC (ses propos le sous-entendent fortement), seul organisme compétent à ses yeux dans le domaine du bouleversement climatique que nous subissons.
    Voilà donc notre jeunesse, et ceux qui flattent cette dernière parce qu’ils en ont peur, soumis à l’influence d’une ado qui n’a conduit aucuns travaux scientifiques sur le climat et qui appuie ses analyses sur une seule source, sans se préoccuper des dires de nombreux chercheurs, contradicteurs sur le sujet, tels ceux, par exemple, qui ont signé l’Oregon Petition (plus de 30.000).
    Je rêve d’un débat contradictoire, en commission parlementaire, sur le sujet sensible de l’élévation des températures sur notre planète, avec des intervenants scientifiques défendant des positions différentes, afin d’éclairer nos députés pour le vote des lois à venir.
    Chacun doit bien comprendre qu’en retenant l’hypothèse selon laquelle l’homme est responsable du bouleversement climatique, notamment par des émissions trop importantes de gaz carbonique, de nombreuses entreprises et notre agriculture deviennent des cibles. 
    Et beaucoup d’emplois sont ainsi fragilisés.
    Question un brin provocatrice : pour être en phase avec notre jeune écologiste suédoise qui proclame l’état d’urgence, et ses convictions personnelles, est-ce que, par exemple, un cadre de Michelin, sensible aux problèmes environnementaux, doit démissionner de son job ? (Combien d’usines de type Seveso 2 chez notre illustre fabricant de pneumatiques ?)
    Les sujets du réchauffement de notre planète, et de l’écologie en général, sont bien trop sérieux pour que nous nous soumettions à la tyrannie d’une ado suédoise.
    Attention au syndrome de Stockholm ! 
    Michel Prade

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/greta-thunberg-une-illustration-du.html

  • Attaques contre Boulevard Voltaire : les gauchistes n’aiment pas la liberté d’expression

    Attaques contre Boulevard Voltaire : les gauchistes n’aiment pas la liberté d’expression

    Lu sur Boulevard Voltaire :

    Alors que vient d’être votée une loi contre le harcèlement en ligne, un groupuscule d’antifas internationaux répondant au nom douteux de Sleeping Giants se vante de harceler, sur Twitter, les annonceurs de Boulevard Voltairejusqu’à ce que ceux-ci s’engagent à se retirer de notre site.

    Alors que l’anonymat sur les réseaux sociaux est pointé du doigt comme vecteur essentiel de la haine, dont il permet l’impunité, ils agissent masqués, cachés derrière d’improbables avatars et de nombreux comptes factices, le courage ne semblant pas les étouffer.

    Ils se targuent d’avoir usé du même procédé aux États-Unis avec le site Breitbart responsable, selon eux, de l’élection de Trump. C’est sur Boulevard Voltaire, en lequel ils voient le Breitbart français, qu’il disent avoir choisi de concentrer leurs attaques. C’est faire beaucoup d’honneur à notre site…

    Certes, Boulevard Voltaire, c’est plus de 75 millions de pages vues par an, Boulevard voltaire, c’est plus de 400 millions de pages vues depuis sa mise en ligne, Boulevard Voltaire, c’est plus de 8 millions de pages vues par mois, Boulevard Voltaire, c’est plus de 700.000 visiteurs mensuels. Mais Boulevard Voltaire ne prétend pas être faiseur de roi ni de président : Boulevard Voltaire entend simplement – et c’est la seule clé de son succès – donner à ses lecteurs cette information libre et différente à laquelle ils aspirent.

    Pourquoi parler, aujourd’hui, de ce groupuscule qui sévit régulièrement contre nous depuis 2016 ? Parce qu’il a, semble-t-il, décidé de se faire connaître par une campagne dans la presse, relayée ces derniers jours par des médias bien aimables – pour ne pas dire complaisants – de faire caisse de résonance à une opération de si faible envergure, au bilan invérifiable. Ils font indirectement de la publicité à Boulevard Voltaire, qu’ils en soient remerciés. En revanche, leurs informations erronées nuisent à la crédibilité de leur support. Cela a d’abord été un article sur FranceSoir : si Pierre Plottu, le journaliste qui en est l’auteur, avait pris la peine de nous appeler, il aurait évité de reproduire sans vérifier le chiffre – revendiqué par les Sleeping Giants – de « 1.000 annonceurs » manquant à l’appel. Sur leur compte Twitter, les Sleeping Giants ne cessent de rappeler à l’ordre des marques qui n’auraient pas tenu leur engagement, preuve que nombre d’annonceurs qu’ils croyaient avoir convaincus de partir sont, à leur grand dam, revenus ! Puis il y a eu une dépêche de l’AFP reprise, comme d’habitude, paresseusement, presque au mot près, par nombre de médias : La CroixLibérationTV5 MondeRMCLe Pointjeanmarcmorandini.com. La journaliste de l’AFP Anne Renaut, elle – cet effort mérite d’être salué -, nous a contactés, mais livre malheureusement, in fine, une dépêche partiale et inexacte : Boulevard Voltaire aurait été « fondé en 2012 par le maire de Béziers Robert Ménard, élu avec le soutien du RN ». C’est faux. En 2012, Robert Ménard était journaliste ; ce n’est qu’en 2014, et alors qu’il avait déjà quitté Boulevard Voltaire depuis plusieurs mois – afin, précisément, de se lancer librement dans la campagne électorale -, qu’il a été élu. Ou alors, il faut écrire aussi que « Reporters sans frontières a été créé en 1985 par le maire de Béziers, élu avec le soutien du RN ». Le comité directeur de Reporter sans frontières apprécierait. Par ailleurs, comme par hasard, n’est cité nulle part Dominique Jamet, cofondateur au même titre que Robert Ménard.

    « Boulevard Voltaire s’est retrouvé quasi-sans annonces fin 2018 » : c’est faux. Il faut s’y connaître comme ma grand-mère en matière de pub sur Internet pour ignorer que, dans ce domaine, « un clou chasse l’autre », et que chaque annonceur se retirant est aussitôt remplacé par un autre, peut-être moins prestigieux, mais le volume publicitaire reste identique. Les annonceurs qui le souhaitent peuvent, du reste, nous contacter en cliquant ici.

    La vérité est que la campagne de harcèlement des Sleeping Giants, en dépit de leurs fanfaronnades, n’a eu que peu d’incidence sur le développement de Boulevard Voltaire. Au-delà du tonneau des Danaïdes que représente le vivier des annonceurs sur Internet, la prudence et la volonté d’indépendance ont toujours poussé Boulevard Voltaire à ne considérer les revenus publicitaires que comme un appoint marginal : Boulevard Voltaire (qui ne reçoit pas de subventions) vit essentiellement des dons de ses lecteurs, sur lesquels la propagande antifa n’a aucun effet… Ceux qui le souhaitent peuvent nous aider en cliquant ici.

    Ce qui est omis, en revanche, dans tous ces articles est que, concomitamment à cette campagne de harcèlement, notre site a fait l’objet d’attaques informatiques sévères, le rendant inaccessible durant plusieurs heures, des attaques revendiquées par des antifas anonymes et saluées sur Twitter par ceux-là mêmes qui relaient les Sleeping Giants. Convenons que la coïncidence est troublante… Nous avons décidé, il y a deux mois, de porter plainte. Ces cyber-corbeaux ne doivent plus sévir en toute impunité. Notre site voit sa liberté de parole menacée par des individus qui prétendent la museler et l’étrangler financièrement. Demain, d’autres médias que le nôtre seront visés. Il est temps d’identifier individuellement les auteurs de ce harcèlement, ceux qui les relaient, et de les faire condamner pour leurs agissements.

    https://www.lesalonbeige.fr/attaques-contre-boulevard-voltaire-les-gauchistes-naiment-pas-la-liberte-dexpression/