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Immigration : Les clandestins hors de contrôle - Journal du Mardi 24 Avril 2018
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LE SCANDALE DE L’ÉLECTRICITÉ VERTE : 134 MILLIARDS EXTORQUÉS AUX FRANÇAIS
La Cour des comptes vient de dévoiler un vol honteux, une escroquerie qui a impacté tous les Français, notamment les plus modestes. Pourtant, les médias n’en parlent pas ou peu, alors qu’il devrait faire les grands titres des journaux. Une telle mansuétude s’explique par l’escroquerie écologique, car ce qui est en cause est la gestion de l’électricité dite verte, une fumisterie qui ruine nos compatriotes au nom de la lutte contre un réchauffement climatique dont les effets sont surévalués.
Ceux qui installent des éoliennes ou des panneaux solaires sont assurés d’un prix de revente supérieur au prix du marché et EDF est tenu d’acheter toute l’électricité produite, même si elle n’en a pas besoin. Quiconque veut mettre des panneaux solaires sur son toit doit déposer une déclaration de travaux à la mairie, qui accepte presque toujours (?) sauf si les bâtiments se trouvent dans des zones classées. Les éoliennes sont simplement tenues d’obtenir un permis de construire. Selon la Cour des comptes, EDF s’est engagée à acheter pour 134 milliards d’euros de cette prétendue électricité verte sur vingt ans, soit près de sept milliards par an. Et ce sont les Français qui financent cette dispendieuse folie par l’intermédiaire d’une taxe sur la consommation d’électricité qui ne cesse – et pour cause – de s’alourdir. Tout le monde paye, y compris nos compatriotes les plus modestes, une centaine d’euros par ménage et par an. Effrayant ! Et cette manne n’a pas servi à créer des emplois en France, car les panneaux solaires proviennent, dans leur grande majorité, de Chine et les éoliennes sont souvent allemandes. Nous enrichissons l’étranger, alors que notre commerce extérieur est gravement déficitaire.
Si, encore, ces sept milliards annuels extorqués aux Français étaient écologiquement utiles… Or, il n’en est rien ! Même si le réchauffement climatique sera probablement plus faible que ce qu’on nous annonce régulièrement, il est normal que l’État veuille fermer des centrales thermiques et inciter à produire de l’électricité qui n’émette pas de gaz carbonique (simple principe de précaution). Mais la France n’est pas l’Allemagne. Avec nos centrales nucléaires, nous étions le pays d’Europe qui émettait le moins de CO2 en produisant son électricité. Notre bilan carbone était exemplaire (même si on ne peut nier le danger de fuites radioactives comme au Japon).
Qu’avions-nous besoin de faire appel à des filières dont le bilan écologique est mauvais (fabriquer des panneaux solaires ou des éoliennes n’est pas très bon pour l’environnement). Et, surtout, qu’avions-nous besoin de subventionner la production d’une électricité superfétatoire. Certes, on a décidé en haut lieu de limiter la part du nucléaire à 50 % (pourquoi ce chiffre ? Pourquoi pas 60 % ou 40 % ?), mais cette stratégie suicidaire est une erreur gravissime.Il aurait mieux valu continuer à exploiter à fond nos centrales (en prenant toutes les précautions possibles) afin de les rentabiliser au maximum et de jouir de notre avantage indéniable sur les autres nations. Serions-nous le pays le plus bête au monde ?
http://www.bvoltaire.fr/scandale-de-lelectricite-verte-134-milliards-extorques-aux-francais/
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Recyclage politique !
La chronique de Philippe Randa
Après Jean-Louis Borloo, ancien ministre (de la ville, de l’emploi, de l’économie et de l’écologie) chargé d’éclairer le gouvernement sur les quartiers défavorisés de notre pays (voir Présent du Mercredi 11 avril 2018), c’est au tour de Dominique Voynet, ancienne ministre de l’écologiste et de Marcel Renouf, ancien fonctionnaire de la défense et ancien administrateur supérieur de Wallis et Futuna, d’être missionnés en Guyane et à Mayotte.
La raison ? La forte pression migratoire a généré il y a peu un important mouvement social qui paralysa ces territoires pendant plusieurs semaines ; nos compatriotes n’en pouvant plus d’être les premières victimes de l’immigration clandestine, avaient ainsi voulu dénoncer l’insécurité qui est leur lot quotidien.
Les deux missi dominici du gouvernement Philippe doivent donc « redéfinir » la coopération sanitaire en Guyane et à Mayotte et « réfléchir » à un éventuel statut extraterritorial aux hôpitaux de ces territoires « pour éviter un tourisme sanitaire qui conduit ensuite à des installations dans la durée », selon les déclarations faites, à l’automne dernier, par le président Macron lui-même, bien été obligé de reconnaître que la crise, dûe à l’afflux de patients étrangers qui viennent pour des raisons sanitaires et surchargent les hôpitaux, n’était en rien un fantasme… Il s’était alors dit « prêt à réfléchir à un statut international des lieux de naissance et des zones frontalières pour tenir compte de la réalité (…) et bâtir une coopération en matière de santé » avec les Comores et les pays frontaliers de la Guyane.
En attendant, il recycle donc à tout va, considérant sans doute que c’est avec les anciens ministres qu’on fait les meilleures missions !
Un peu comme dans les vieux pots, l’on ferait les meilleures soupes… politiques !
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De quelques ressorts de la désinformation médiatique : notamment par une seule lettre !
Tenons-nous en à aujourd’hui, jeudi 19 avril. Dès leurs premiers bulletins d’information, sur France-Info ou France-Inter, les faux informateurs mais vrais propagandistes font leur travail sur ces « radios publiques gauchos », financées par nos impôts, relais de la CGT ou de SUD. Elles ont pour mission l’annonce sans cesse répétée des grèves et manifestations de l’en-cours des mobilisations « syndicales » avec toutes précisions d’heures et de lieux de rassemblement. Sans cesse aussi les diffusions des appels et déclarations de vaniteuses donzelles et chefaillons comminatoires du pseudo syndicalisme étudiant en mal de frissons des grandes épopées révolutionnaires.
On sait bien qu’ils ne représentent que de petites minorités. Mais pour les présentateurs médiatiques, ils deviennent « les étudiants », selon la grosse ficelle, vieille mais jamais usée, de la généralisation et de l’amalgame. Or ils ne sont que « des étudiants ». La substitution systématique de l’article « les » à l’article « des » n’est ainsi pas du tout anodine : une seule lettre que l’on change et la réalité est ainsi déformée…
Même procédé avec « les » cheminots ou « les » enseignants…
Et à propos d’enseignants, sur France-Inter, vers 13 h, on donnait abondamment la parole à un des sentencieux pédagogues ayant ce jour signé dans l’Humanité un appel à la convergence des luttes. Oui, dans l’Humanité, ce torchon tchékiste d’abord lénino-collaborationniste puis organe de la convergence hitléro-stalinienne du pacte germano-soviétique de 1939 ; dans l’Humanité, ce canard atroce où furent systématiquement louangés les plus grands massacreurs d’un siècle de crimes communistes.
« L’Huma » : un journal « collabo », de menteurs, de criminels, d’une continuité historique séculaire de diffamateurs de tous les combattants de la liberté sous tous les jougs des empires rouges.
On me demande quelquefois, si, rappelant cela, je ne crains pas des procès. Si des procès m’étaient intentés, je m’en réjouirais. Mais hélas, les cocos ne sont pas à ce point des idiots !
En revanche, ceux que Lénine appelait « les idiots utiles », c’est-à-dire « les compagnons de route » des révolutionnaires, n’ont jamais fait défaut aux bolcheviques de tous poils, lénino-trotskystes ou lénino-staliniens, lénino-maoïstes ou lénino-castristes.
Monsieur Macron n’est évidemment pas dénué d’intelligence. Mais il correspond pourtant parfaitement à la définition que donnait Georges Bernanos de l’intellectuel moderne : « le plus grand imbécile que la terre ait porté ». Et il faut en effet n’être point exempt d’imbécilité stratégique pour prendre un Edwy Plenel comme interlocuteur d’un débat télévisé sans jamais rappeler qui est ce personnage !
Mais la vérité, c’est que prenant souvent l’opinion d’un Daniel Cohn-Bendit et ayant une Marlène Schiappa pour secrétaire d’État, Emmanuel Macron, quoi qu’il en soit de quelques aspects acceptables de ses réformes sociales, continue dans la voie d’une nihiliste révolution sociétale fondamentalement nihiliste.
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Révolutionnaires de salon : faculté de Montpellier, les vacances ont eu raison de l’occupation
Après Tolbiac, les forces de l’ordre ont envahi ce matin le campus de l’université Paul-Valéry, à Montpellier (Hérault). Mais contrairement à Paris-I, où l’intervention avait donné lieu à quelques échauffourées, l’entrée des CRS s’est faite cette fois dans le plus grand calme. Et pour cause : vacances obligent, les étudiants ont préféré rentrer chez eux se reposer plutôt que de maintenir le blocage. Les étudiants n’ont toutefois pas manqué de critiquer l’intervention des forces de l’ordre, dénonçant le « ridicule » et « l’incompétence de la direction ».
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Le coup d’éclat des Identitaires, par Franck Deletraz
Lançant samedi de façon spectaculaire leur « Opération Alpes » au col de l’Echelle, les militants de Génération Identitaire ont certes réussi à empêcher pendant plus de 24 heures le déferlement de nouveaux clandestins dans notre pays. Mais surtout, rappelant l’Etat à son devoir par le biais de ce coup d’éclat, ils ont obtenu du gouvernement le renforcement du contrôle de cette frontière passoire.
Samedi matin, en effet, une centaine d’Identitaires ont pris position sur ce point particulièrement sensible de la frontière franco-italienne, situé à 25 km de Briançon. L’objectif ? Barrer la route aux clandestins qui, rappelons-le, sont (officiellement) plus de 2 000 à avoir emprunté ce passage pour entrer illégalement en France depuis l’été 2017. Un flot qui ne cesse de grandir, a expliqué Romain Espino, porte-parole de GI, en raison d’« un manque de courage des pouvoirs publics ». Aussi, pour prouver au gouvernement qu’« avec un petit peu de volonté, on peut contrôler l’immigration et les frontières », les Identitaires, appuyés par deux hélicoptères et des drones, ont-ils investi puis surveillé cette zone jusqu’à dimanche, en fin de matinée.
Une opération nette, sans bavure et qui, de l’aveu même de la préfecture des Hautes-Alpes, s’est déroulée « dans le calme ». Ce qui n’aura pas été le cas de la contre-manifestation organisée dimanche par les « antifas » transalpins et français qui, regroupés du côté italien, ont violemment forcé un barrage de la gendarmerie avec une trentaine de clandestins au col de Montgenèvre, faisant deux blessés à la tête parmi les forces de l’ordre. La veille déjà, la lie bolchevique et pro-immigration s’en était donné à cœur joie, en saccageant le centre-ville de Gap, brisant et/ou « taguant » de nombreuses vitrines ainsi que du mobilier urbain lors de leur manifestation.
Opération Alpes ? « Une réussite »
Un déchaînement de violence qui, au fond, faisait écho à celui que l’on a pu observer à l’Assemblée, où les élus de gauche ont dénoncé le prétendu « laxisme » de Collomb vis-à-vis de « l’extrême droite » et où l’affaire a même donné lieu à un accrochage sévère entre Me Collard et Mélenchon.
En tout cas, comme le soulignait Romain Espino dimanche, cette Opération Alpes aura été une vraie « réussite ». D’abord parce que GI a réussi à « attirer l’attention médiatique et politique sur le col de l’Echelle ». Mais aussi parce que, placé subitement devant ses responsabilités, Collomb a été contraint d’annoncer dimanche soir l’envoi de renforts de police et de gendarmerie « importants » pour « s’assurer du respect absolu du contrôle des frontières » dans les Hautes-Alpes. Marine Le Pen s’en est amusée dans un tweet : « L’opération de Génération Identitaire a une conséquence cocasse : toute la gauche s’est plainte en hémicycle que ce ne soient pas les forces de l’ordre qui aillent protéger les frontières… »
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 23 avril 2018
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À AVIGNON, VA-T-ON DÉBAPTISER DES ÉCOLES POUR FAIRE PLAISIR AUX MUSULMANS ?
À Avignon, des établissements scolaires publics vont-ils être débaptisés ? C’est ce qu’annonce Vaucluse-Matin, le 20 avril. Laïcité oblige ? L’école Saint-Roch, l’école Saint-Jean, pour commencer. Saint-Gabriel, Saint-Ruf et Sainte-Catherine devraient leur succéder. Cécile Helle, le maire socialiste, s’en défend. Sauf que l’adjointe d’un quartier de la cité papale a déclaré : « On propose de changer le nom de certaines écoles pour qu’il corresponde plus aux aspirations du moment. Est-ce qu’un saint représente encore quelque chose par rapport à ce quartier multiculturel ? » On peut imaginer que cette adepte du multiculturalisme a dû lire ce rapport officiel, écrit par un « groupe de réflexion » appelé « Laïcité et République moderne », et rendu en 2015 à Manuel Valls, alors Premier ministre.
« Revoir la toponymie de la France à la lumière du vivre ensemble » : le titre dudit rapport donne le ton. D’apprendre ensuite que les deux principaux parlementaires l’ayant établi appartenaient, l’un au Parti socialiste (Yann Galut), l’autre à EELV (la trinationale Esther Benbassa), donnait d’emblée le la. Il s’agissait, pour le groupe, de proposer des solutions pour lutter contre « l’apartheid territorial, social, ethnique » évoqué par Manuel Valls, qui ciblait « les discriminations quotidiennes parce qu’on n’a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau ou bien parce que l’on est une femme ».
Mais revenons à la toponymie. « Une fraction croissante de la population d’origine musulmane est heurtée par des appellations toponymiques qui sont autant de manifestations d’une époque archaïque où l’identité de la France, loin de s’assumer comme plurielle, se définissait exclusivement sous le signe d’une chrétienté triomphante et totalitaire. »
Et de prendre pour exemple des musulmans habitant Pont-l’Abbé qui seraient « amenés à se demander s’il s’agit d’une insulte » ! Vous parlez : être appelés des Pont-l’Abbistes ! Pour parer à cette abominable éventualité, les auteurs de ce vivre ensemble nouveau n’y sont donc pas allés par quatre chemins : « Débaptiser tous les noms de communes comprenant le mot « saint » dans l’intitulé afin “de relaïciser profondément la République” » avec, pour but, de supprimer un « affichage discriminant ». Couper les têtes de nos « saints » accolés à 4.794 communes pour ne pas offenser des fidèles d’un islam intrinsèquement tolérant, quelle drôle d’idée…
En tout cas, éradiquer les signes de chrétienté, c’est chose faite, au pays de Taubira – je veux dire en Guyane. L’école Saint-Jean s’appelle désormais Rosa-Parks, plus fun ; celle de Saint-Maurice a cédé la place au nom d’une féministe, ancienne inspectrice de l’Éducation nationale et d’académie ; et, dans un registre bien dans l’air du temps, le nom d’un architecte designer a remplacé l’école Espérance.
Ces suggestions de la part de ces nostalgiques révolutionnaires ne vous plaisent pas, pas du tout ? Vous vous dites que vous avez votre mot à dire ? Vous rêvez ! Des « référendums locaux, s’ils sont généralement des éléments de revitalisation de la démocratie, seraient ici inopportuns et même néfastes car ils libéreraient une parole réactionnaire qui ne pourrait s’exprimer en dehors des édifices cultuels » (sic).
Ce rapport, comme le disait en aparté un conseiller de Valls en personne, « c’est l’occasion de voir qui est républicain et qui ne l’est pas ». En somme, de voir qui se préoccupe du bien-être des uns plutôt que des états d’âme des autres…
À ce train-là d’effacement de nos racines, combien de temps, à Avignon, avec ses 35 % de population musulmane (chiffre avancé par un représentant musulman à Vaucluse-Matin en 2016 pour justifier la construction d’une grande mosquée dans la cité des papes), la mairie osera encore, sur son site, rappeler qu’elle fut « capitale de la chrétienté au Moyen Âge » ? Et combien reste-t-il à vivre, à tous nos saints communaux ?
http://www.bvoltaire.fr/a-avignon-va-t-on-debaptiser-ecoles-faire-plaisir-aux-musulmans/
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Asile au col de de l’échelle, la gauche grimpe aux rideaux
Anticapitaliste et chef d’entreprise, ancien de la LCR et ci-devant député embourgeoisé deLa France Insoumise dont il est un des cadres de premier plan, le socialo-trotskyste Eric Coquerel a été entarté jeudi tel un vulgaire Bernard-Henry Lévy. Les faits se sont déroulés à Colombes (Hauts-de-Seine) alors qu’il se rendait à une réunion publique contre la loi Asile et immigration – elle été adoptée hier par les députés. Antimacroniste… qui a appelé à voter Macron face à Marine en mai dernier, le citoyen Coquerel a porté plainte après cet entartage revendiqué par l’Action Française. Son jeune entarteur a expliqué qu’il entendait dénoncer par son geste « un collabo de l’invasion (migratoire). » Eric Coquerel, chaud partisan d’ un accueil renforcé des migrants, a affirmé sur France info, invité à réagir à l’agression dont il a été victime: « On a les commanditaires et ceux qui le revendiquent. Si on les laisse faire là, on peut se demander jusqu’où ils iront(…). Plusieurs députés de LFI font l’objet de menaces de la part de groupuscules d’extrême droite. » Sur cette même antenne, le porte-parole FN et maire de Beaucaire Julien Sanchez a dit « regretter ce type d’action» dont M. Coquerel a fait les frais - de pressing, de shampoing et d’amour propre. Mais il n’y a pas « de fumée sans feu » et «monsieur Coquerel est un habitué de la provocation puisqu‘il a organisé avec ses amis l’occupation de la basilique de Saint Denis, ce qui est tout à fait inadmissible. On s’est attaqué à un lieu de culte dans la République et on a franchi certaines limites » a jugé Julien et « personne n’a de leçons à recevoir de l’extrême gauche en matière de violences! »
Dans ce registre rappelons en effet qu’un immigrationniste acharné comme Eric Coquerel était au nombre en 2012 des signatures de la pétition pour prendre la défense du rappeur Saïd et de sa chanson crachant sur l’histoire de notre pays qualifié de raciste, de colonialiste, intitulée «Nique la France». N….er la France par la poursuite de l’immigration massive reste bien un objectif révolutionnaire…qui n’est certes pas l’apanage de l’extrême gauche anticapitaliste
D’un coup de com l’autre, celui mené avec des moyens humains et matériels plus conséquents par Génération Identitaire (GI) cette fin de semaine a été un modèle du genre par ses retombées et ses effets politiques, que l’on s’en félicite, qu’on l’approuve ou non.
Une centaine de militants , notamment Français et Italiens, ont occupé le col de l’Echelle (Hautes-Alpes) une voie de passage très peu ou pas du tout contrôlée par les forces de l’ordre et qui est empruntée par les immigrés clandestins qui entendent gagner la France via l’Italie. Une action qui a suscité de nombreux commentaires et réactions, ce qui était bien évidemment le but recherché en plein débat parlementaire sur la poursuite de l’immigration. « La mission est une réussite, nous avons réussi à attirer l’attention médiatique et politique sur le col de l’Échelle » a déclaré Romain Espino, un porte-parole de GI. Hier dimanche, des antifas italiens ont répliqué à cette action en forçant une barrage de la gendarmerie pour permettre à des immigrés illégaux de pénétrer sur le territoire français.
De Brice Hortefeux (LR) à Danielle Obono, tous ont dénoncé dimanche lors du vote du projet de loi asile et immigration, le blocage nauséabond de ce point de passage pour clandestins. Comme à leur habitude, les pontes de LFI, qui n’ont pas eu un mot pour dénoncer les facs occupés et vandalisés par l’extrême gauche, se sont distingués en hurlant au retour des années noires après cette opération des identitaires. «Une milice d’extrême droite est actuellement en train de faire la police des frontières dans les cols alpins » s’est étranglé M. Coquerel rejoint dans son indignation par beaucoup de ses collègues et notamment par l’ex PS Jean-Michel Clément, député LREM qui a voté contre le projet de loi asile-immigration et qui vient d’annoncer son départ du parti présidentiel – 14 députés LREM se sont abstenus de voter cette loi , un « péché véniel » et non « mortel » comme celui de M. Clément a précisé le patron du groupe, Richard Ferrand…
Le patron de LFI a vu comme les complotistes paranos de sa mouvance la main du Front National. dans ce blocage du col de l’Echelle. M Mélenchon a hurlé contre « la petite bande des amis de Madame Le Pen (qui) prétend régler le problème de la frontière (et) repousser dans la neige de pauvres gens qui s’y trouvent. » « C’est précisément parce que ce sont (les identitaires, NDLR) des pitres un peu dérangés qu’il sont dangereux» a t-il déclaré avant «(d’ adjurer)» Gérard Collomb de sortir la grosse matraque contre GI car «c’est votre devoir de nous protéger, et les migrants aussi.» Qu’est-ce qu’il ne fait pas dire comme âneries pour se faire bien voir et quémander les voix des quartiers pluriels...
Dépassé comme souvent, le ministre de l’Intérieur a conspué « les gesticulations qu’évidemment nous condamnons (de GI) » mais «tomber dans le panneau de ces gesticulations, c’est faire une publicité à une force qui n’en est pas une. » «Ne règne qu’une seule chose en France, l’ordre républicain que nous garantissons partout. » Le problème justement , c’est que l’ordre républicain n’est plus garanti partout, très loin s’en faut, par ceux qui en sont les dépositaires note Bruno Gollnisch. Et c’est parce que cette réalité là est rendue voyante par l’action menée au col de l’Echelle qu’elle déclenche aussi tout ce bruit.
Alors M. Collomb a tenté de camoufler son impuissance aux yeux des Français en déclarant que des renforts « importants» de forces de l’ordre vont être envoyés dans les Hautes-Alpes afin de « s’assurer du respect absolu du contrôle des frontières.» S’adressant plus spécifiquement à la gauche de la gauche qui aime beaucoup l’appareil policier pour peu qu’il persécute ses adversaires, le ministre de l’Intérieur a assuré que ses « services surveillent avec une extrême attention tous ceux qui font partie de cette mouvance (identitaire) » car «dans des esprits faibles cela peut pousser à l’assassinat politique (?). »
Esprits faibles qui sont surtout à la tête de de notre pays depuis trop longtemps et dont la faiblesse, le manque de volonté devant le défi migratoire qui se pose à la France (comme au reste de l’Europe) est aussi criminel qu’aberrant. A cette aune, le FN a démasqué lui aussi les contradictions, le double-langage de LREM et des autres partis de gauche quand quatre de ces députés ont voté hier l‘article 5 de la loi asile et immigration, réduisant le délai de première demande d’asile de 120 à 90 jours. Ce qui a entraîné une réaction embarrassée de Nicole Belloubet, ministre de la justice, invitée hier de France Inter.
Elle a rappelé l’évidence en affirmant que le gouvernement et sa majorité sont « en désaccord profond avec les (propositions et analyses) qui sont défendues par le FN». «Ce texte n’a pas été écrit pour séduire le Front National », même « le Front National adopte des tactiques pour précisément déstabiliser l’ensemble de notre système républicain .»
Ce qui déstabilise non pas le système républicain , ce qui ne serait pas le plus grave, mais la France même c’est plus exactement la non remise en cause des pompes aspirantes de l’immigration, du droit du sol et du regroupement familial. Autant dire que Mme Belloubet a raison de dire que ce texte pas du tout à la hauteur des enjeux, n’est guère séduisant et s’apparente et un grossier enfumage.
https://gollnisch.com/2018/04/23/asile-au-col-de-de-lechelle-la-gauche-grimpe-aux-rideaux/
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Rues Arnaud-Beltrame : la mère dément avoir refusé ce projet aux mairies FN
« Arnaud Beltrame est Français. Il appartient à tout le monde ». La mère du gendarme assassiné le 23 mars dernier par Radouane Lakdim dans le Super U de Trèbes a confié jeudi au Parisien que toutes les mairies françaises pourraient baptiser une de leurs rues du nom de son fils.
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Une Syrienne explique pourquoi on veut faire tomber son pays.