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magouille et compagnie - Page 1479

  • Macron et Juppé se sont bien rencontrés en secret pendant la présidentielle

    Le futur ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a organisé un rendez-vous secret entre le candidat Emmanuel Macron et l’ex-candidat à la primaire de la droite, Alain Juppé. Cette rencontre s’est tenue entre les deux tours de la présidentielle.

    Dans son édition du 9 mars, Le Figaro révèle une rencontre qui présumait déjà des futures accointances entre la droite juppéiste et la macronie. Un rendez-vous qui sera d’ailleurs dévoilé partiellement dans le futur livre de l’ancienne très proche d’Alain Juppé, toujours première adjointe du maire de Bordeaux, Virginie Calmels, intitulé J’assume.

    Le Figaro atteste qu’Emmanuel Macron et Alain Juppé se sont rencontrés en tête-à-tête pour la première fois grâce à Gérard Collomb. Alors maire de Lyon, il leur avait proposé un endroit discret : les locaux parisiens de la Communauté urbaine de Lyon, situés rue de Villersexel (dans le VIIe arrondissement). En effet, Alain Juppé souhaitait que cette rencontre se fasse dans un lieu discret.

    Cette entrevue s’est déroulée le 1er mai soit entre le premier et le second tour de la présidentielle de 2017 (respectivement les 23 avril et 7 mai). Ils auraient notamment discuté de la nomination d’Edouard Philippe (ancien porte-parole et soutien d’Alain Juppé) comme futur Premier ministre. Toutefois, selon un proche de l’édile girondin, contacté par le quotidien, Alain Juppé ne serait pas à l’origine du choix d’Edouard Philippe comme chef de gouvernement. Celui-ci aurait été acté par Emmanuel Macron le 24 avril, c’est à dire au lendemain du premier tour.

    L’Union européenne : la convergence Macron–Juppé

    En outre, les échanges tenus durant cette rencontre auraient plu à Alain Juppé, notamment le discours pro-européen d’Emmanuel Macron.

    Proches idéologiquement – étant donné la similitude de leurs deux programmes politiques lors des primaires de la droite pour l’un et la campagne présidentielle pour l’autre – ce rendez-vous fut en tout cas officiellement leur première rencontre en face à face.

    Le 27 octobre, les deux élus se retrouvaient de nouveau pour un déjeuner afin d’évoquer la création d’un grand mouvement réunissant les pro-UE contre les eurosceptiques pour les élections européennes de 2019. Quelques jours plus tard, en novembre, Alain Juppé ne tarissait pas d’éloges publiquement le président de la République, envisageant justement un rapprochement pour les européennes.

    Source RT

    https://www.patriote.info/actualite/politique/macron-et-juppe-se-sont-bien-rencontres-en-secret-pendant-la-presidentielle/

  • Non seulement l’abaissement de la vitesse ne réduit pas les accidents, mais elle les augmente

    Reportage d’Armel Joubert des Ouches sur RITV concernant la mesure visant à abaisser, sur toutes les routes secondaires françaises, la vitesse de 90 à 80 km/h.

    La limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes : un projet nocif pour les Français, la France et son économie from Reinformation.tv on Vimeo.

    Parce qu’il dit vouloir lutter contre le nombre d’accidents et le nombre de morts – 3 522 tués sur les routes de France en 2017 – certain que la vitesse est la première cause de mortalité au volant, le gouvernement avait tenté une expérimentation dans plusieurs départements dont la Haute-Saône. De juin 2015 à juin 2017, l’étude avait consisté à réduire la vitesse de 90 à 80 km/h entre Vesoul et Besançon, et ce sur un tronçon de 14 km. Parce que le gouvernement refusait de rendre public les résultats de son expérimentation – sans doute trahi par de mauvais chiffres – l’association 40 millions d’automobilistes avait repris l’étude à son compte. Elle est parvenue à démontrer que non seulement l’abaissement de la vitesse ne réduisait pas les accidents, mais qu’elle les augmentait… Pour Pierre Chasseray, délégué général de l’association, « Le gouvernement a cherché à cacher les résultats de son expérimentation ».

    Mardi 6 mars 2018, Bernard Darniche, l’ancien pilote de rallye aux multiples victoires a été auditionné par un groupe de travail au Sénat. Il était accompagné de Thierry Modolo. Durant près d’une heure, ce dernier a tenté d’expliquer l’absurdité d’un projet qui provoquerait l’inverse du résultat recherché. Depuis des mois, Bernard Darniche fulmine contre le gouvernement estimant que l’on ment aux automobilistes.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pour François-Bernard Huyghe, la loi contre les fake news pourrait «renforcer la méfiance chez beaucoup de gens»

    RT France propose un entretien avec François-Bernard Huyghe après les premières fuites sur la loi Macron contre les fake news.

    «Chez beaucoup de gens, ça peut renforcer la méfiance et inciter encore plus à aller chercher de l’information “alternative“» selon le directeur de recherche à l’IRIS.

  • Le dîner du CRIF à 900 euros le couvert déductible d’impôts

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    Comme nous l’avions annoncé, le 7 mars au soir s’est tenu, en présence du président de la république Emmanuel Macron, le 33ème dîner annuel du CRIF. Le lieu ? La pyramide du Louvre. Ça ne s’invente pas…

    Le couvert était facturé 900 euros ! Habilement, le CRIF présente la facture du dîner en signalant que 800 euros seront considérés comme un don ouvrant droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %.  Ainsi, les participants-donateurs peuvent potentiellement déduire du fisc 528 euros. Les contribuables sont de cette manière mis à contribution pour financer la soirée du CRIF.

    Seuls les 100 euros restants correspondent véritablement au prix du repas.

    Mais le vice-président du Crif, Yonathan Arfi, tient à préciser que de nombreuses personnalités (ministres, religieux, diplomates, députés, maires, politiques…) sont invitées et ne versent ainsi pas un centime au bénéfice du CRIF. On verserait presque une larme devant tant de générosité désintéressée.

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    Le dîner du CRIF a été instauré en 1985. «L’ambition de l’organisation créée en 1943 est clairement affichée: il s’agit de porter la voix politique des juifs de France et d’instaurer un dialogue avec les pouvoirs publics. Dès sa création, le Crif a voulu s’inspirer de l’exemple américain de l’American Jewish Committee pour exister en tant que lobby.», lit-on sur le site de la chambre de commerce franco-israélienne.

    «C’est un moment de rencontre et de dialogue entre les institutions juives et les responsables politiques», confirme au Figaro Hervé Mariton, député-maire Les Républicains de Crest (Drôme), et lui-même de confession juive.

  • « Fake news » : la proposition de loi est prête, par Pierre Malpouge

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    9068-20180310.jpgLa future loi contre les « fake news » (fausses informations) est dans les tuyaux. Diffusé mercredi, le texte de cette future proposition de loi voulue par un Emmanuel Macron qui ne supporte pas « le bobard inventé pour salir », vise à endiguer leur diffusion, spécialement lors des périodes électorales. Le texte, qui prévoit des sanctions pouvant aller jusqu’à un an de prison et 75 000 euros d’amende, comporte deux parties : une proposition de loi classique et une proposition de loi organique.

    Le texte prévoit que durant les périodes d’élections, les obligations de transparence des plateformes comme Facebook, Twitter ou encore Google et YouTube, soient renforcées. Le code électoral sera modifié pour obliger les opérateurs, pendant cette période, à donner une information « loyale, claire et transparente » sur l’identité de ceux qui payent pour promouvoir des contenus d’information, et « à rendre public le montant des rémunérations » (à partir d’un certain seuil) fixé par décret. A noter que ces dispositions pourraient – devraient – s’appliquer dès les élections européennes.

    Comment ça marche(ra) ?

    Si « des fausses informations de nature à altérer la sincérité du scrutin à venir sont diffusées artificiellement et de manière massive », le juge des référés pourra être saisi « à la demande du ministère public ou de toute personne ayant intérêt à agir ». Ce dernier pourra alors se prononcer « dans un délai de 48 heures » et ordonner le déréférencement du site visé, le retrait du contenu en cause ainsi que l’interdiction de sa remise en ligne, la fermeture du compte d’un utilisateur ayant contribué de manière répétée à la diffusion de ce contenu. Maître absolu, le juge, qui qualifiera la fausse nouvelle, pourra même ordonner le blocage d’accès au site Internet.

    Une mainmise liberticide qui devrait s’étendre hors périodes électorales. Ainsi, il est demandé aux plateformes de coopérer et de mettre en place un « dispositif facilement accessible et visible, permettant à toute personne » de signaler les fausses informations, et de « rendre publics les moyens qu’elles consacrent à la lutte contre la diffusion de fausses informations ».

    Par ailleurs, un autre volet du texte prévoit d’étendre les pouvoirs du CSA en modifiant la loi de 1986 relative à la liberté de communication. Le CSA pourrait alors refuser de conventionner une chaîne de télévision « lorsqu’elle est liée à un Etat étranger dont les activités sont de nature à gravement perturber la vie de la nation » – disposition qui fait notamment référence aux médias russes RT et Sputnik avec lesquels Emmanuel Macron avait eu des démêlés lors de sa campagne présidentielle.

    Pour Françoise Nyssen, la ministre de la Culture, cette mesure phare qui sera déposée « dans quelques semaines » par un député de la commission culture, « c’est une loi nécessaire pour protéger notre démocratie contre les ingérences extérieures ». Reste à appliquer tout ça : l’avocat socialiste Jean-Pierre Mignard, spécialiste du droit de la presse et intime de Hollande, Valls, Ségolène Royal et Emmanuel Macron, estime que « cela promet de ne pas être évident ».

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 9 mars 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Le FN disparaîtra samedi, c’est acquis…

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    Marine Le Pen n’en est plus à une contradiction près. Les résultats du grand questionnaire de la refondation adressé aux adhérents du Front national devaient initialement être rendus publics il y a déjà quelques semaines. Le FN annonça ensuite que, les réponses étant plus nombreuses qu’il ne l’avait prévu, il faudrait encore attendre. Mais une fuite interne signalait que les opposants au changement de nom du parti l’emportaient jusqu’à présent. Puis il fut dit que les résultats de la consultation des membres du parti ne seraient présentés qu’en ouverture du XVIe congrès du Front national. Et finalement le FN a organisé les fuites auprès de certains journalistes, deux jours avant le congrès, histoire de préparer le terrain et de déjà faire savoir que les adhérents souhaitaient « à une courte majorité » abandonner l’appellation Front National.

    Samedi, sans surprise, Marine Le Pen proposera donc un nouveau nom pour le Front National. Les membres devront ensuite approuver ce choix par la voie postale, une nouvelle fois sans aucun autre contrôle que celui de l’état-major de Marine Le Pen.

    http://www.medias-presse.info/le-fn-disparaitra-samedi-cest-acquis/88521/

  • Le régime Macron, complice de l'Empire en Syrie

    Dans une note très récente de votre blog préféré, Michel Janva relate un entretien que Bassam Tahhan, géopolitologue franco-syrien, a accordé à TV Libertés. Celui-ci évoque notamment la fuite d'un rapport diplomatique britannique, décrivant ce que trament cinq pays pour s'assurer à terme d'une recomposition syrienne avantageuse pour l'Occident (TM) et ses complices, et pour compromettre définitivement les efforts russes dans la région. Cette stratégie s'articule ainsi : "1) endiguer l’influence iranienne en militarisant durablement l’Est de la Syrie ; 2) faire échouer le plan de paix russe ; 3) enfin, poursuivre une guerre de basse intensité afin de diviser la Syrie pour aboutir à une partition territoriale et politique" (source: éditorial évoqué ci-après). Sans surprise le régime Macron fait partie de la bande.

    Cette fuite a notamment été révélée sur son site Proche et Moyen-Orient, par le journaliste Richard Labévière, ancien rédacteur en chef de la revue du très officiel IHEDN. Nous reproduisons in extenso cet article ci-dessous, et vous pouvez des commentaires en anglais sur cette affaire ici. Par ailleurs, nous vous invitons à lire le dernier éditorial de Richard Labévière, consacré à l'immense campagne de désinformation qui tente d'enrayer l'offensive du victorieuse du gouvernement syrien et de ses alliés dans la Ghouta.

    Dans un anglais quelque peu familier mais précis, Benjamin Norman – diplomate en charge du dossier Proche et Moyen Orient à l’ambassade de Grande Bretagne à Washington – rend compte dans un Télégramme diplomatique confidentiel (TD)1 du 12 janvier 2018 de la première réunion du « Petit groupe américain sur la Syrie » (Etats-Unis, Grande Bretagne, France, Arabie saoudite et Jordanie), qui s’est tenue à Washington le 11 janvier 2018.

    Dans ce TD de cinq pages, il dévoile le détail de la « stratégie occidentale » en Syrie : partition du pays, sabotage de Sotchi, cadrage de la Turquie et instructions adressées au représentant spécial de l’ONU Staffan de Mistura qui dirige les négociations de Genève. Un Non Paper (de 8 pages) accompagne ce TD en prévision de la deuxième réunion du « Petit Groupe ». Celle-ci s’est tenue à Paris le 23 janvier dernier, essentiellement consacrée à l’usage des armes chimiques et aux « consignes » adressées par le « Petit Groupe américain » à Staffan de Mistura.

    Assistaient à cette réunion du 11 janvier à Washington Hugh Cleary (chef du Département Proche et Moyen-Orient du Foreign Office) ; Jérôme Bonnafont (directeur ANMO/Afrique du Nord et Moyen-Orient au Quai d’Orsay) ; David Satterfield (Secrétaire d’Etat-adjoint américain chargé du Moyen-Orient) ; le Jordanien Nawaf Tell et le saoudien Jamal al-Aqeel. L’Américain a ouvert la séance en précisant qu’une deuxième réunion aurait lieu à Paris le 23 janvier.

    David Satterfield a confirmé que le président Trump avait décidé de maintenir une importante présence militaire américaine en Syrie, malgré la victoire remportée contre l’« Organisation Etat islamique » (Dae’ch) ; le coût de ce maintien étant fixé à quatre milliards de dollars annuels. Il a précisé que cette présence militaire américaine devait prévenir toute résurgence de Dae’ch, mais surtout empêcher les « Iraniens de s’installer durablement et de s’imposer dans la recherche d’une solution politique ». En troisième lieu, il a insisté sur le fait que la première réunion du « Petit Groupe » devait aussi apporter un « appui matériel et politique important à Staffan de Mistura pour « consolider le processus de Genève ». L’ensemble des participants a accueilli très positivement cette mise au point afin de « réaliser des progrès substantiels en Syrie durant l’année 2018 » et de « répondre à la propagande d’une victoire russe ». Ensuite, les participants ont insisté sur le « désir russe d’aboutir à une solution politique » qu’il s’agissait d’utiliser pour rendre « plus opérationnels » les objectifs du « Petit Groupe ».

    CONSOLIDER LE PROCESSUS DE GENEVE

    Les Etats-Unis ont noté qu’ils ne participeraient plus aux réunions d’Astana, ayant réduit « leur participation à un niveau très bas, pour souligner leur engagement envers Genève » ; en des termes définitifs, il est décidé de « tirer un trait conceptuel sur Astana pour revenir à Genève ». Ils ont ensuite estimé que jusqu’à maintenant « Genève restait un échec, malgré les efforts de Staffan de Mistura ». Ils se sont montrés très prudents quant à l’inclusion du cessez-le-feu dans les discussions de Genève : « la vérité étant que nous n’avons tout simplement pas la capacité d’empêcher le régime de grignoter les poches de l’opposition restantes à Idlib et à l’Est de la Ghouta ».

    Lire la suite "Le régime Macron, complice de l'Empire en Syrie"

    Paula Corbulon

     

  • Pas de débarquements de migrants pendant les élections italiennes !

    migrants-en-mer-300x170.jpgÉtrange. Durant la dernière ligne droite des élections italiennes, les débarquements de migrants sur les côtes du Bel Paese semblent avoir cessé !

    « Je suis préoccupé. Cela fait des jours que l’on n’entend plus parler de gens qui débarquent sur nos côtes ou de pauvres malheureux qui sont conduits à nos ports. Il n’y a plus d’immigrés. Peut-être parce que tous ceux qui partent de l’Afrique du Nord se sont noyés et personne cette fois-ci ne s’en est aperçu ? Je ne le crois pas. Peut-être parce qu’il fait trop froid ? Je n’y crois pas non plus : c’est un business, il ne peut pas s’arrêter d’un seul coup. Et puis ils sont tellement nombreux les bateaux au large qui attendent avec une couverture et une tasse de chocolat chaud. Et les embarcations ne voyagent pas sur des rails. Peut-être parce que nous sommes à l’approche des élections et il vaut mieux alors que l’attention des gens ne soit pas détournée des belles paroles qui sortent de la bouche de nos politiciens ? Et bien, là-dessus il me vient quelques doutes ! Sait-on jamais que quelqu’un d’ici réussisse à diriger ce trafic et qu’après le 4 mars fasse repartir ces voyages de l’espoir ? Jamais dire jamais ! »

    Disons-le tout de suite : ce ne sont pas Matteo Salvini ni Giorgia Maloni ou autre « xénophobe, fasciste, raciste » de leur acabit qui insinuent que les débarquements seraient « pilotés » par des organisations mafieuses sensibles à la nécessité d’un arrêt technique pour ne pas déranger la période électorale !

    Ce constat a été fait, le 2 mars dernier, par le général Vincenzo Santo, qui n’est pas n’importe qui en Italie : Général de Corps d’Armée (au repos), ex-numéro deux de l’OTAN en Afghanistan en tant que chef d’État-major, ancien chef d’État-major de la mission Isaf (International Security Assistance Force) et aujourd’hui un des plus éminentscollaborateurs d’un des plus sérieux sites italiens de géopolitique et de défenseReportDifesaUne pointure en somme ! Le même qui, il y a quelques mois, sur ce même site, en appelait à l’emploi de l’armée comme seul moyen valide et alternativeefficace pour arrêter l’immigration illégale :

    « Il suffit d’utiliser l’armée, écrivait-il alors, pour ce pourquoi elle a été créée : protéger les frontières. Est-ce vraiment vrai que l’immigration est « un phénomène contemporain que l’on ne peut arrêter » ? Il ne l’est pas. Si on le voulait vraiment, en peu de jours, l’armée italienne pourrait arrêter les flux migratoires. »

    En évoquant cette migration « à l’arrêt », le général Santo, militaire pragmatique, habitué aux terrains de guerre, est convaincu que « sur l’Europe rôde un spectre » : « le spectre de l’immigration » :

    « Le relativisme omniprésent, écrit-il sur ReportDifesa, nous porte à devoir montrer que nous sommes contents parce que le nombre de débarquements apparaît en diminution. Folie ! Ce n’est pas cela le problème. Le vrai problème est que ces débarquements doivent cesser et que de toute façon l’immigration doit être contrôlée et gérée avec un sens plus approfondi de l’État et, surtout, en se sortant de la tête l’idée qu’ils veulent nous inculquer que c’est un phénomène inarrêtable et inéluctable. »

    Pour le général italien l’Europe est minée par une vision utopiste, celle de la promesse occidentale qui stipule que le bien-être matérialiste doit être universellement partagé et que chacun devrait donc pouvoir s’établir où il veut… pour consommer ! « Position radicale à valeur universelle » qui sert avant tout les intérêts des marchands d’êtres humains qui se font ainsi un bien joli pactole…

    Mais le général Santo va plus loin dans sa réflexion :

    « L’Italie n’a pas de stratégie. On parle d’intégration, sorte de raccourcis alternatif à l’assimilation (…) pour finir dans la misérable réalité du multi-culturalisme, dans le no-go-zones. »

    Ce qui est d’après Vincenzo Santo rien de moins que l’actualisation du fameux plan Kalergi selon lequel l’homme du futur sera de sang mixte. La race future euroasiatique-négroïde, extrêmement semblable aux antiques Égyptiens, substituera la multiplicité des peuples, par une multiplicité de personnalités…

    « C’est une folie, continue le général, mais une folie lucide qui d’un côté semble être l’objectif de la direction technocratique de Bruxelles, désormais obnubiléepar Soros, et de l’autre côté attendre que les dérives ochlocratiques de ses associés la conduisent à la difficile gloire finale : l’effacement des nations ! »(définition Ochlocratie : Emprunté au grec okhlocratia, de okhlos, « foule » et –kratos, « pouvoir ». « Gouvernement par la foule, la multitude, la populace », ndlr).

    Selon le général, plus de 240 millions d’individus voudront, dans les prochaines trente années, émigrer en Europe de l’aire islamique et de l’Afrique :

    « Si cela devait se réaliser, souligne Santo, la population européenne, aujourd’hui d’environ 700 millions de personnes, augmenterait de façon démesurée, tant à ne pas pouvoir exclure de graves conflits de nature économique et sociale. »

    Il voit se profiler à l’horizon une société multi-tribale dans laquelle

    « le peuple originel se constituera comme une tribu au milieu des autres tribus, chacune avec ses propres règles et sa propre gouvernance. C’est le multi-culturalisme. Le signe de l’échec de l’état de droit… »

    Et aux bien-pensants qui comparent l’accueil à « un signe de civilisation » il rétorque  :

    « De quelle civilisation parle-t-on ? De la nôtre que nous voudrions garder ou de celle qu’on est en train de nous préparer ? Celle de Kalergi ? »

    Et le général italien prophétise :

    « La guerre civile ne vient pas de l’extérieur mais est un processus endogène. Peut-être les signes sont-ils déjà là sans que nous nous en apercevions. Aristote dans sa Politique disait que la différence de races est élément de rébellion… aussi ceux qui ont accueilli des hommes d’autres races soit comme compagnons de colonisation, soit comme concitoyens, après la colonisation, la majeur partie est tombée dans des factions…” »

    « Et nous, où en sommes-nous ? » 

    se demande le général avant de conclure :

    « Je vous le dis, nous sommes dans l’inconscience… dans l’attente du prochain débarquement. Peut-être après le 4 mars ! »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/pas-de-debarquements-de-migrants-pendant-les-elections-italiennes/88478/

  • MIGRANTS : LES MÉDECINS NE SONT PAS LÀ POUR TRAITER LES MAUX QUE LES POLITIQUES NE VEULENT PAS RÉGLER

    Une psychiatre parisienne vient d’être mise en examen pour avoir fourni à des clandestins des centaines de certificats médicaux de complaisance, pour leur permettre d’acquérir des titres de séjour. Cinq autres praticiens avaient connu le même sort en décembre pour des pratiques similaires. Si, aux yeux du monde, la médecine grandit toujours un peu ceux qui l’exercent, il n’y a pas de profession sans brebis galeuses et ces confrères qui – avec la complicité des associations immigrationnistes – ont monté ce genre de commerce sont évidemment inexcusables. De même que ceux qui confondent prise en charge des toxicomanes et open bar de produits de substitution…

    Mais après les malhonnêtes, il y a aussi les faibles, qui n’ont pas toujours le choix. Imaginez-vous jeune femme médecin dans un « quartier », il est 20 h 45, votre salle d’attente est vide après l’accueil de votre dernier patient, un jeune sans-papiers accompagné de ses deux « cousins-interprètes » bodybuildés, qui vous réclame un certificat pas vraiment justifié par son état de santé. Devant votre réticence, ils commencent à taper du poing sur votre bureau… Vous faites quoi ? Sans parler des 25 € dont vous ne verrez jamais la couleur, au nom de quoi devriez-vous être celle qui dispose, in fine, du droit régalien de décider qui peut fouler notre sol ? Refusez et vous risquez de vous faire casser la figure. Acceptez et, la semaine prochaine, ils seront trois ou quatre à vous demander la même chose… Reposons la question : vous faites quoi ?

    Ce 7 mars, le site médical Egora publiait le récit d’un confrère de Bobigny : « Le jour où j’ai été humilié devant mon externe. »Extrait : « Le caïd est entré dans la salle d’attente en criant qu’il avait déjà cogné le médecin précédent et qu’il fallait examiner sa fille sur-le-champ. Face aux insultes, à la rage, et surtout pour protéger l’externe présent avec lui, le Dr Thomas Cartier a accepté un rendez-vous. En huit ans d’installation en banlieue parisienne, ce généraliste n’avait encore jamais reçu de menaces de mort. » 

    En bout de chaîne, la médecine est priée de traiter tous les problèmes que la lâcheté des politiques, entraînant celle des forces de l’ordre et de la magistrature, refuse de traiter. On prête au « petit père » Queuille (vingt et une fois ministre sous deux Républiques) l’aphorisme selon lequel il n’y aurait pas de problème qu’une absence de décision ne finisse par résoudre. Un demi-siècle après sa mort, la pratique s’est affinée, et on pourrait dire qu’il n’y a pas de problème dont on ne puisse se débarrasser en refilant la patate chaude à la médecine.

    Lequel des deux divorcés mérite la garde des enfants, ou qu’est-ce qu’on fait de Mamy pendant les grandes vacances ? Demandez au docteur. Monsieur X. a été licencié, n’a aucune chance de retrouver du travail, mais est encore à plusieurs mois de la retraite : en cherchant bien, le docteur ne trouverait-il pas une petite invalidité ou une longue maladie pour faire le joint ? Ça arrangerait tout le monde !

    L’enchaînement est imparable. Tout problème ou conflit génère du stress. Tout stress peut entraîner des maladies. Donc, tout problème peut finir chez le médecin.

    Quant à penser qu’il le règle…

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-medecins-ne-traiter-maux-politiques-ne-veulent-regler/