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magouille et compagnie - Page 1490

  • Dans la famille Sarkozy, junior s’exprime…

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    La chronique de Philippe Randa

    Sarko junior, ainsi qu’il a l’habitude de signer ses réflexions sur Twitter, a livré sur le site de l’hebdo américain conservateur Washington Examiner un virulent plaidoyer pour la légalisation de… toutes les drogues, à l’instar de l’économiste Milton Friedman ! Tant qu’à faire, pourquoi se limiter au cannabis, comme en a l’habitude le « vulgus gauchistum » (et pas que !, d’ailleurs). Non, lui considère que « la politique de répression sur la drogue est également un échec avec du temps et de l’argent gâchés » : ce qui est incontestablement assez vrai au vu de l’augmentation du trafic… et tout autant de la répression du viol sexuel, des violences conjugales et des autres formes de délinquance en général, puisque toutes ces facéties « humaines, trop humaines », sont vieilles comme le Monde, n’est-ce pas ?

    Le fils de l’Ex, néanmoins, « invite en conséquence la société à mener “une réflexion nouvelle et moderne sur la question de la drogue” »… Soit, et pourquoi pas ! mais s’il n’est guère certain que la dépénalisation des drogues en freine leur consommation, il est évident, en revanche qu’elle mettrait au chômage les trafiquants et provoquerait un crash immédiat de cette fameuse « économie souterraine », aussi déplorée officiellement qu’admise officieusement par tous les gouvernements successifs.

    N’en déplaise à Sarko junior, si le cannabis n’a pas encore été légalisé, ce n’est nullement pour complaire aux dinosaures d’une époque révolue, mais bien plus sûrement pour empêcher une explosion sociale des Cités de non-droits… et la reconversion des trafiquants dans d’autres activités rémunératrices, bien plus meurtrières encore !

    Lire EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
     
  • Elus parisiens au Brésil aux frais de la princesse…

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    On vous réclame sans cesse de l’argent. Mais où va l’argent public ? Nous avons déjà consacré de nombreux articles aux divers gaspillages et invraisemblables subventions en tous genres.

    Aujourd’hui, nous découvrons que treize élus de l’agglomération parisienne, issus de la droite molle à l’extrême gauche (7 LR, 3 PC, 1 UDI, 1 MoDem et 1 écolo) vont embarquer sur un vol en classe affaires le 17 mars à Roissy pour passer huit jours tous frais payés au Brésil. Une dizaine de fonctionnaires seront également du voyage.

    Qui paye ? Le Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap). Ce qui signifie au final que ce sont les Parisiens qui régalent, sur base de leurs factures d’eau qui rapportent 500 millions d’euros par an au Siaap pour nettoyer les eaux usées de Paris et des départements de la petite couronne.

    Le Siaap est un machin qui laisse perplexe : voici plus de cinquante ans qu’il est géré par une alliance de gaullistes et de communistes.

    Mais que vont-ils faire à Brasilia pour justifier de leur offrir un tel voyage ? Ils vont assister, avec assiduité bien entendu, au 8ème Forum mondial de l’eau.

    Et, bien sûr, les élus qui ont la chance d’être administrateurs de la Siaap se font un devoir d’assister chaque année au Forum mondial de l’eau, à la Semaine mondiale de l’eau ainsi qu’au Congrès mondial de l’eau.

    De quoi balader ces élus à Daegu, Istanbul, Mexico, Marrakech, Stockholm, Cancun, Cuba, etc, etc.

    Selon Le Canard enchaîné, les 2,4 millions d’euros annuellement consacrés par le Siaap à la coopération « sont largement siphonnés pour payer ces petites virées, dont le coût réel est tenu secret« .

    Et quand les élus administrateurs du Siaap ne voyagent pas, ils se goinfrent aux frais du Siaap qui consacre 280.000 euros par an en frais de réception.

    http://www.medias-presse.info/elus-parisiens-au-bresil-aux-frais-de-la-princesse/87617/

  • COMMISSION EUROPÉENNE : VERS TOUJOURS PLUS D’ARBITRAIRE ET TOUJOURS MOINS DE DÉMOCRATIE !

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    Dans ses propositions présentées le 14 février à propos du prochain budget pluriannuel de l’Union européenne, pour la période 2021-2027, la Commission européenne a confirmé sa volonté de voir le versement des fonds européens conditionné au respect – par les États membres bénéficiaires de ces fonds – de l’État de droit, de l’indépendance de la Justice et des « valeurs européennes ». On s’en doute, et c’est ce que pensent aussi les intéressés, les premiers pays visés sont la Pologne et la Hongrie, mais aussi la Roumanie, également sous la menace d’une procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité de l’Union européenne. Ce type de procédure n’ayant aucune chance d’aboutir, conditionner le versement des fonds européens, dont les pays de l’ex-Europe de l’Est bénéficient largement, au respect des « valeurs européennes » serait un moyen d’exercer un chantage financier s’ils s’obstinent, par exemple, à refuser de prendre leurs quotas d’immigrants illégaux.

    Ces pays ne sont, toutefois, pas les seuls visés. Lors d’une rencontre à Bruxelles, le 8 février, avec le ministre des Affaires étrangères polonais, la commissaire européenne à la Justice, aux Consommateurs et à l’Égalité des genres (sic) – la Tchèque Věra Jourová, qui pousse ce projet – a confirmé que les agriculteurs français pourraient être, eux aussi, frappés au portefeuille en cas de victoire du Front national. On se doute, en effet, que, plus encore que le PiS polonais ou le Fidesz hongrois, le FN français serait forcément accusé de violer l’État de droit et de ne pas respecter les « valeurs européennes ». C’est sans doute aussi pour cela que la France d’Emmanuel Macron est favorable à cette proposition de lier le paiement des fonds européens au respect de l’État de droit et des « valeurs européennes ». Ce serait un moyen de dire aux agriculteurs : attention, si vous votez FN, la Commission pourra vous punir en vous privant de subventions agricoles !

    Jacek Czaputowicz, le ministre polonais, a tenté en vain d’expliquer à la commissaire européenne combien cette proposition était absurde. La Pologne, la Hongrie et la Roumanie ont, bien entendu, assuré qu’elles s’y opposeraient. Et il est probable que cette proposition rencontre une opposition plus large encore, car ce serait le triomphe de l’arbitraire des eurocrates contre la démocratie. Qui, en effet, et au nom de quoi, sera habilité à désigner les pays censés ne pas respecter l’État de droit, l’indépendance de leur institution judiciaire et les « valeurs européennes » ? Peut-on raisonnablement imaginer que la Commission puisse remplacer les cours constitutionnelles et les instances supérieures du pouvoir judiciaire des pays membres de l’Union européenne pour décider du respect ou non de l’État de droit par les gouvernements et les Parlements ? Et si un pays refuse de se soumettre et adopte des sanctions en retour, par exemple en décidant de ne plus verser sa contribution au budget européen ou en adoptant des mesures fiscales punitives contre les entreprises des pays de l’Union européenne favorables à la Commission ? En ce qui concerne les pays de l’ancienne Europe de l’Est, on oublie trop souvent que, même en tenant compte des fonds européens, le solde des flux financiers est toujours resté largement favorable aux pays de la vieille Union européenne – France comprise -, notamment en raison de la présence importante de capital étranger dans les pays de l’Est. 

    Non seulement la proposition de la Commission européenne, appuyée par la France, est-elle totalement antidémocratique et contraire à l’État de droit, mais sa mise en œuvre serait suicidaire pour l’Union européenne.

    http://www.bvoltaire.fr/commission-europeenne-vers-toujours-plus-darbitraire-toujours-de-democratie/

  • La novlangue invente les exilés pour parler des clandestins

    Tout au début on parlait des clandestins, ce qu’ils sont dans la réalité. Ensuite les bien-pensants ont préféré parler, pour mieux cacher la vérité, de « sans-papiers », de « migrants », de « réfugiés », de « demandeurs d’asile »…

    Maintenant le nouveau petit nom qu’ils leur donnent est « exilé » !

    Définition du Larousse pour exilé : se dit de quelqu’un qui est condamné à l’exil ou qui vit en exil ; banni.

    Que ces clandestins quittent leur pays de leur plein gré, qu’ils gardent leur nationalité, qu’ils ne soient en aucune façon bannis de leur pays d’origine, qu’ils soient arrivés illégalement en France, de toutes ces considérations nos immigrationnistes convaincus s’en contre-balancent royalement. Ce qui compte c’est faire pleurer mémé dans sa chaumière et devant sa télé, sur le sort de ces envahisseurs… 

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/la-novlangue-invente-les-exiles-pour-parler-des-clandestins/87657/

  • L'échec de l’Afrique du Sud « post-apartheid »

    De Bernard Lugan :

    6a00d83451619c69e201b8d2dafc04970c-800wi.jpg"En Afrique du Sud, les fins de mandat des présidents se ressemblent : par un coup d’Etat interne à l’ANC, le vice-président Cyril Ramaphosa a évincé le président Jacob Zuma, lequel avait fait de même avec Thabo Mbeki en 2008. En dehors du fait qu’un Venda va remplacer un Zulu, cette révolution de palais ne changera pas grand-chose dans le pays. A un Jacob Zuma lié au gang indien Gupta, va en effet succéder l’ex avocat-syndicaliste Cyril Ramaphosa. Ce dernier a bâti sa colossale fortune dans les conseils d’administration des sociétés minières blanches au sein desquels il fut coopté en échange de son « expertise » syndicale. En réalité, il fut adoubé par le patronat pour contrer les revendications des mineurs noirs dont il fut le représentant avant 1994 !!!

    Le leader révolutionnaire Julius Malema a donc raison de dire qu': « En Afrique du Sud, la situation est pire que sous l’apartheid (et que) la seule chose qui a changé, c’est qu’un gouvernement blanc a été remplacé par un gouvernement de Noirs ». Avec une différence cependant : avant 1994 les Noirs ne mouraient pas de faim, ils étaient gratuitement soignés et éduqués, l’électricité fonctionnait, les pénuries d’eau étaient inconnues et la police faisait son travail…

    La présidence de Jacob Zuma s’est donc achevée dans le désastre. Englué dans plusieurs affaires de corruption, le président sud-africain a été pris la main dans le sac d’une gigantesque entreprise de favoritisme d’Etat au profit de la famille Gupta. Une commission judiciaire fut même désignée pour enquêter sur la gravissime accusation de « State Capture » car ces gangsters affairistes avaient réussi à imposer leur droit de regard sur les nominations officielles, ce qui leur avait permis de placer leurs agents à tous les rouages de décision de l’Etat et des entreprises publiques.

    Ne nous trompons pas d’analyse, car le départ de Jacob Zuma ne va pas permettre d’ouvrir des fontaines laissant couler le lait et le miel. Contrairement à ce qu’écrivent les journalistes, l’affaire Zuma est en effet, et d’abord, la conséquence de l’incurie du parti gouvernemental ANC, l’arbre qui cache la forêt d’un gangstérisme d’Etat. C’est la faillite de l’ANC qui est mise en évidence à travers elle car, entre 1994 et 2018, le mouvement de Nelson Mandela a conduit le pays vers un naufrage qui se mesure en quelques chiffres :

    • Bien que réalisant ¼ du PIB de tout le continent, l’Afrique du Sud est aujourd’hui devenue un des 5 pays « les moins performants » d’Afrique, juste devant les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland.
    • Au mois de mai 2017, l’Afrique du Sud est entrée en récession. Or, en 2000, il fut acté par l’ONU que les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) dont le principal était le recul de la pauvreté, ne pourraient être atteints sans un minimum de croissance annuelle de 7% durant plusieurs années.
    • Le chômage touche plus de 40% des actifs quand les chiffres officiels sont de 25%
    • Le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994.
    • Un habitant sur trois survit grâce aux aides sociales, le Social Grant.
    • A l’exception de l’agriculture, branche encore contrôlée par les Blancs - mais pour combien de temps? -, tous les secteurs économiques sud-africains sont en recul, à commencer par les industries de main d’œuvre (textile, vêtement, chaussures), qui n’ont pu résister aux importations chinoises. Quant aux secteurs de la mécanique dans lesquels, avant 1994, l’Afrique du Sud produisait la majeure partie des pièces dont ses industries avaient besoin, ils sont moribonds.
    • Même les mines ont sombré. Pertes de production et de revenus, plus coûts d’exploitation en hausse constants, ont eu pour conséquence la fermeture des puits secondaires et la mise à pied de dizaines de milliers de mineurs. Pour maintenir la production, il aurait fallu investir des sommes colossales, mais le climat social, la corruption et l’insécurité ont découragé les investisseurs qui ont préféré faire glisser leurs activités vers des pays moins incertains. L’industrie minière est également pénalisée par les coupures de courant à répétition car la compagnie publique Eskom, littéralement pillée par ses nouveaux dirigeants nommés par l’ANC a, de plus, vécu sur l’héritage laissé par le régime blanc et sans procéder aux investissements indispensables. Résultat : les mines qui représentent aujourd’hui 10% du PIB sud-africain, qui emploient 8% de la population active et qui sont le premier employeur du pays avec 500.000 emplois directs, ont perdu plus de 300.000 emplois depuis 1994.

    Le soit disant héritage négatif de «l 'apartheid » a, des années durant, servi d’excuse aux dirigeants sud-africains. Or, personne ne peut plus nier qu’en 1994, quand le président De Klerk hissa au pouvoir un Nelson Mandela bien incapable de le conquérir par les armes, il légua à l’ANC la première économie du continent, un pays doté d’infrastructures de communication et de transport à l’égal des pays développés, un secteur financier moderne et prospère, une large indépendance énergétique, une industrie diversifiée, des capacités techniques de haut niveau et la première armée africaine. Force est également de constater que, libérée de l’ « oppression raciste », la « nouvelle Afrique du Sud » fut immédiatement la proie du parti prédateur ANC dont les cadres, aussi incapables que corrompus, eurent comme objectif principal leur propre enrichissement.

    La leçon sud-africaine est donc limpide : en 24 ans de pouvoir sans partage, l’ANC a ruiné un pays prospère, le transformant en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences. Les gogos occidentaux continueront pourtant à se pâmer devant la figure tutélaire de Nelson Mandela, le chef de l’ANC, tout en continuant à avoir « les yeux de Chimène » pour le fantasme de la « nation arc-en-ciel ». Dans les jours qui viennent, tétanisés par leurs certitudes, les « spécialistes » auto-proclamés vont donc disserter à l’infini sur le remplacement du « maffieux » Zuma par le « vertueux » Ramaphosa. « Vertueux » par définition puisqu’il était prétendument l’héritier préféré de « l’icône » Mandela…

    La seule question qui mériterait d’être posée, mais ils ne la poseront pas, ou alors très partiellement, est de savoir comment le nouveau président va pouvoir gérer le naufrage de l’économie sud-africaine, comment il va pouvoir gouverner en étant pris entre des pressions internes et externes contradictoires. Vont en effet se confronter deux plaques tectoniques, celle des milieux d’affaires pro-occidentaux qui ont fait sa fortune et celle des tendances radicales-racialistes lourdes qui constituent le fonds de commerce de l’ANC et des partisans de Julius Malema.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • EMMANUEL MACRON NE MULTIPLIE PAS LES PAINS MAIS LES PRÉLÈVEMENTS !

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    Les prélèvements obligatoires peuvent augmenter de deux manières différentes : en poids et en nombre. Apparemment, le pouvoir actuel n’a pas renoncé au second procédé.

    Une pierre. Deux maisons. Trois ruines. Quatre fossoyeurs. Un jardin. Des fleurs. Un raton laveur. Une douzaine d’huîtres. Un citron. Un pain. Le célèbre inventaire de Jacques Prévert date de 1946. C’est vieux. Mais toujours d’actualité. Pas en poésie mais en fiscalité. Ce n’est pas l’inventaire des mots mais celui des impôts.

    Au milieu des années 1990, un calendrier avait été imprimé sous forme de boutade. Exit les saints ! Place aux prélèvements de toutes sortes. Taxes. Impôts. Redevances. Contributions. Il y en avait suffisamment pour combler chaque jour. C’est-à-dire au moins 365. Taxe sur le ski de fond. Surtaxe sur les eaux minérales. Redevance d’archéologie préventive. Contribution forfaitaire représentative des frais de réacheminement des étrangers dans leur pays d’origine.

    En mai 1968, l’imagination était au pouvoir. De nos jours, elle se promène dans les couloirs de Bercy. Elle était, hier, sans limite. Elle est, aujourd’hui, en marche ! L’élection d’Emmanuel Macronn’a rien changé à la multiplication, non des pains, mais des prélèvements. L’impôt sur la fortune immobilière a remplacé l’impôt de solidarité sur la fortune. IFI contre ISF. Deux nouvelles contributions exceptionnelles sur l’impôt sur les sociétés des très grandes entreprises ont été instituées. Sans oublier la suite. Une taxe sur le tabac. Une taxe sur les plus-values de ventes de logements HLM. Un prélèvement sur le développement des industries de fabrication de papier. Deux taxes sur l’exploration d’hydrocarbures et de gîtes géothermiques. 

    Huit mois de présidence. Huit nouveaux prélèvements. Emmanuel Macron va-t-il mieux faire que son prédécesseur, qui avait instauré vingt-huit nouveaux impôts entre 2012 et 2013 ? S’il poursuit sa cadence actuelle, le record sera battu. Nous aurons soixante prélèvements supplémentaires d’ici 2022. La coupe sera alors pleine. Elle débordera même. Le locataire de l’Élysée devrait se méfier.

    Les contribuables pourraient avoir envie de lire du Prévert sur son passage. Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! Qu’est-ce que c’est que ces hurlements ? Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! C’est la meute des honnêtes gens qui fait la chasse, non à l’enfant, mais au Président.

    Avocat
    Avocat au barreau de Bordeaux, spécialiste en droit fiscal

    Son site

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-ne-multiplie-pains-prelevements/

  • Angela et sa coalition-zombie en cours de désintégration

    Ex: http://www.dedefensa.org

    Il y a eu un accord entre le SPD et la CDU/CSU pour un gouvernement allemand dite de “Grande Coalition”(laquelle n’a plus la majorité dans les sondages, mais passons puisque les sondages ne sont que des photographies d’un instant) ; c’est-à-dire qu’il y a eu un accord d’abord entre Martin Schulz et Angela Merkel, les deux dirigeants des deux partis et comme deux bois morts de la forêt dévastée qu’est la politique allemande ; puis, aussitôt après cet accord déjà des protestations très vives dans les “parties” prenantes, surtout au SPD, jusqu’à un coup de théâtre. Schulz, l’ancien et insupportable président du Parlement Européen fameux pour ses menaces méprisantes à l’encontre des Grecs et des Polonais, a dû en rabattre. Sorti de la salle de négociation en annonçant triomphalement qu’il prenait le poste convoité de ministre des affaires étrangères, il a dû reculer, pressé par la fureur qui a parcouru la direction de son propre parti devant lequel il s’était engagé à ne jamais faire partie d’un nouveau gouvernement Merkel, et renoncer à ce poste au profit du titulaire actuel, le SPD Sigmar Gabriel qui a mené la fronde. Ce qu’Alexander Mercouris nommait déjà “la Grande Coalition-fantôme” est devenue instantanément la “Grande Coalition-zombie” quasiment unijambiste sinon hémiplégique.

    Mercouris, grand connaisseur de l’Allemagne et jugeant la crise allemande actuelle particulièrement grave, avait commencé son article de fond sur l’accord Schulz-Merkel avec la situation initiale (Schultz ministre des affaires étrangères). Il l’a terminé par un “postcript” relatant par le biais du Financial Times les dernières péripéties :

    « M. Schulz a fait face à une vague de colère de la part du SPD après avoir accepté le poste, bien qu'il ait juré de ne jamais servir dans un cabinet dirigé par Angela Merkel :

    » “Les sociaux-démocrates ont déclaré que la volte-face [de Schulz] a laissé le parti avec un énorme problème de crédibilité alors qu'il lance un sondage national de ses 460 000 membres sur l'accord de coalition conclu cette semaine avec les conservateurs de Mme Merkel.

    » Dans une déclaration vendredi, M. Schulz a déclaré que la discussion de son rôle “mettait en danger le succès de l’accord” et qu’il espérait qu’en abandonnant le ministère des Affaires étrangères, il pourrait mettre fin aux “discussions sur les questions de personne au sein du SPD”. “Nous faisons tous de la politique pour les gens de ce pays”, a-t-il dit, “il est donc approprié que mes ambitions personnelles soient reléguées au second plan des intérêts du parti“.

    » Son retrait inattendu intervient après qu'il ait été l’objet d’une attaque furieuse du ministre allemand des Affaires étrangères, Sigmar Gabriel, qui l'a accusé d'avoir trahi ses engagements en acceptant son poste. M. Gabriel a déclaré au groupe de presse Funke qu'il avait été un ministre des Affaires étrangères efficace et populaire, mais que ‘les nouveaux dirigeants du SPD se fichent clairement de cette appréciation publique de mon travail’.

    » Berlin a été secoué de tumulte depuis que les conservateurs d'Angela Merkel et le SPD de M. Schulz ont dévoilé mercredi leur nouvel accord de coalition, au milieu d'une fureur généralisée sur la façon dont les postes ministériels étaient répartis entre les deux partis.

    » L'accord de 177 pages est conçu pour mettre fin à l'impasse politique laissée par les élections peu concluantes de septembre, au cours desquelles les deux partis ont perdu des voix en faveur de l'Alternative d'extrême droite pour l'Allemagne. Mais l’affaire a été éclipsée par la dispute sur quelles personnalités ont obtenu quels ministères.

    » De leur côté, les conservateurs sont absolument déchaînés : le SPD, qui n'a remporté que 20,5% des suffrages – son pire résultat dans l'histoire de l'Allemagne d'après-guerre – s’est vu également confier le ministère des Finances, qui depuis huit ans est le fief de la CDU de Mme Merkel. Au SPD, la colère à propos de la nomination de M. Schulz au ministère des Affaires étrangères était encore plus grande ...” »

    Cela conduit Mercouris à sa conclusion finale qui laisse ouverte, sinon grande ouverte la porte à de nouveaux rebondissements dans ce qui est désormais, et de loin, la crise politique la plus grave de l’Allemagne d’après-guerre : « Cette révolte et la décision de Schulz d’abandonner le ministère des Affaires étrangères soulignent le fait qu’essayer de perpétuer le gouvernement de la ‘Grande Coalition’ qui a perdu tant de soutien en septembre est une très mauvaise idée. Le fait que Schulz ait été obligé de partir, et la réaction également furieuse à propos de cet accord de la part de nombreux membres du SPD et de la CDU/CSU, semblent signaler que l’accord pourrait bien être en train de se désintégrer... »

    L’épisode laisse effectivement présager d’autres tribulations pour cette “Grande Coalition” qui semble être rien de moins que mort-née ; qui, si elle se met tout de même en place, n’aura guère d’autorité ni de latitude d’action, comme un gouvernement de crise perpétuant l’apparence d’une sauvegarde... L’accord avec ses péripéties permettent d’avoir une vision impressionnante des ravages causés au système politique allemand, aussi bien par la politique de Merkel de ces dernières années que par la décrépitude de l’establishment, le vieillissement et l’inanité du personnel de direction, et notamment des dirigeants les plus en vue, le désordre interne des deux principaux partis, etc. Quelle différence avec l’Allemagne d’il y a trois ans, qui dictait sa loi à la Grèce comme si elle était le IVème Reich et faisait marcher l’Europe au pas de l’oie ! L’Europe justement : alors que Macron commence à rencontrer des difficultés sérieuses après l’hébétude fascinée qui suivit sa victoire, son attente des retrouvailles d’un “partenaire” allemand solide pour relancer une dynamique européenne selon la vision conventionnelle se trouve confrontée à de très sérieux obstacles. D’ores et déjà, l’élimination de Schulz du poste des affaires étrangères représente un sérieux revers pour Macron, Schulz étant un partisan acharnée d’une intégration européenne au forceps, selon ses habitudes ; au contraire, Gabriel est plus tenté par un équilibrage de la politique allemande, passant par une amélioration des relations avec la Russie, à laquelle une Merkel extraordinairement affaiblie ne pourra guère s’opposer.

    Encore tout cela reste-t-il de la spéculation du meilleur des cas, celui où l’accord SPD-CDU/CSU de mercredi dernier serait accepté sans autre remous, et le nouveau gouvernement mis en place dans les mêmes conditions. Après l’épisode Schulz et le constat d’un si fort mécontentement des cadres des deux partis pour un accord qui ne satisfait personne, l’hypothèse d’une désintégration de cet accord est loin d’être hors de propos. On se trouverait alors dans une impasse, après avoir essayé toutes les formules, avec la possible nécessité de nouvelles élections qui pourraient être catastrophiques, – en fait, une autre sorte d’impasse pour les partis dominant, ou ex-dominant. (Actuellement, le SPD est à 17%, presque rejoint par l’AfD eurosceptique d’extrême-droite avec 15%, et il est probable que les dernières péripéties ont encore réduit cette marge minimaliste. D’autres déplacements de voix sont probables et ces divers facteurs font que de nouvelles élections pourraient réserver des surprises catastrophiques pour l’establishment.)

    Il se confirme par conséquent que l’Allemagne se trouve dans une crise politique profonde, qui ébranle le régime lui-même. L’Allemagne suit la tendance crisique très forte qui affecte tous les pays du bloc-BAO, d’une façon ou l’autre, spécifiquement selon les pays, alors que les crises extérieures (en Syrie et au Moyen-Orient avec la “folie-compulsive” US, à “D.C.-la-folle” où se poursuit l’affrontement autour du pouvoir, etc.) continuent à se développer au rythme du “tourbillon crisique”. C’est un des derniers pôle d’une stabilité-Système qui tend à se dissoudre, tandis que le partenaire français de l’Allemagne, incapable de se dégager des engagements extérieurs catastrophiques de ces dix dernières années, continue à cultiver une exceptionnelle absence d’influence par rapport à ce que ce pays pourrait prétendre, – contribution française à la Crise Générale de l’Effondrement.

    Avec la quasi-sécession en cours des pays d’Europe de l’Est (“les quatre de Visegrad”), l’Europe est sur la voie d’une sorte de désintégration par délitement et par dissolution de l’intérieur (autre approche du même processus que risque de suivre la “Grande Coalition” de la pauvre Merkel). Tout semble donc fonctionner, avec une quasi-parfaite coordination, pour poursuivre le processus de l’effondrement. Ce qui est remarquable, c’est la diversité des approches, et combien, les divers dangers identifiés (la montée du populisme, identifiée depuis 4-5 ans) ne se manifestent pas comme on les attend mais s’adaptent aux diverses situations. C’est qu’en vérité, il n’y a pas à craindre un danger ou l’autre qui attaquerait le Système puisque le seul danger est le délitement et le processus d’autodestruction alimentés par le Système lui-même. C’est de plus en plus une affaire qui roule...

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Les méthodes répugnantes du lobby pro-mort

    Utiliser les photos d’une enfant handicapée, sans l’aval de ses parents cela va de soi, pour promouvoir l’extermination des indésirables, c’est le procédé pour le moins répugnant utilisé par le lobby pro-mort. L’information a été donnée par Le Salon Beige dans son édition du 6 février.

    Natalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett, une maladie génétique extrêmement rare qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères. Elle tombe un jour par hasard sur une photo de sa fille, utilisée pour promouvoir l’avortement. Sur Twitter, elle réagit : « Cette fois, c’est trop. Cette personne n’a pas le droit d’utiliser la photo de ma fille pour promouvoir quelque chose d’aussi horrible ». Suite à la découverte de cette photo, Natalie Weaver a mobilisé l’ensemble de ses abonnés pour la faire disparaître le plus rapidement possible. Si dans un premier temps Twitter osait répondre à la maman que le tweet en question ne violait pas son règlement, celui-ci a finalement décidé de suspendre le compte de la personne à l’origine du post. Depuis la naissance de Sophia, sa maman se bat pour l’insertion des enfants malades dans la société. Celle-ci souhaite avant tout montrer que malgré leurs différences, les enfants handicapés ont besoin de notre amour et méritent d’être traités comme tous les enfants. Natalie partage d’ailleurs régulièrement des photos de Sophia entourée de ses parents et de ses frères et soeurs. Des clichés pleins de tendresse qui émeuvent tous les internautes et qui prouvent que la famille de Natalie est une famille comme toutes les autres malgré le handicap de la petite fille.

    On voit tout « l’humanisme » des partisans du lobby pro-mort, prêts à n’importe quelle récupération, au mépris des souffrances des familles, pour promouvoir leur culte kalinais. Y compris s’approprier des photos de famille.

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/les-methodes-repugnantes-du-lobby-pro-mort/87576/

  • COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L’HOMME : LA FRANCE TOUJOURS PLUS SOUMISE

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    C’était le 31 octobre 2017, à Strasbourg. Emmanuel Macron, qui adore – semble-t-il – se mettre en scène devant les instances internationales, prononçait un discours devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Discours passé relativement inaperçu et durant lequel le Président s’était engagé à ratifier le protocole 16 de la Convention européenne des droits de l’homme.

    Ce protocole facultatif – mais lorsqu’il s’agit de toujours plus de supranationalité, avec Emmanuel Macron, cela devient vite obligatoire – prévoit la possibilité, pour les « plus hautes juridictions » des États signataires de la Convention, de demander « un avis consultatif à la CEDH sur des questions de principes relatives à l’interprétation ou à l’application des droits et libertés définis par la Convention », et sous réserve que cette saisine intervienne « dans le cadre d’une affaire pendante devant elle ». On notera avec intérêt le peu d’enthousiasme – à la différence d’Emmanuel Macron – d’un certain nombre de pays parties à signer ce protocole 16. En effet, depuis 2013, seulement 18 pays l’ont signé sur les 47 membres du Conseil de l’Europe, et certains États ont carrément refusé de signer : la Russie, la Pologne, le Royaume-Uni et… l’Allemagne !

    L’objectif de ce protocole, comme l’exprime pudiquement le projet de loi présenté à l’Assemblée nationale cette semaine, est de « renforcer le dialogue entre les juges de la CEDH et les juges nationaux ». En clair, le but est de poursuivre l’entreprise de soumission de nos juridictions nationales à des instances supranationales, sans aucune légitimité démocratique. Ce projet de loi est donc discuté ces jours-ci à l’Assemblée car Macron a dit, Macron le fait – comme on sait. Et, sans surprise, il sera certainement voté.

    Précisons que les « hautes juridictions », qui seront habilitées à saisir la CEDH, sont le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État et la Cour de cassation. Ainsi, on notera que, curieusement, le Conseil constitutionnel se voit qualifié de « juridiction », alors même que la Constitution le considère comme une institution sui generis qui ne relève pas de l’ordre judiciaire. D’ailleurs, ses membres n’ont pas le statut de magistrats, comme les conseillers d’État. Consulté sur ce projet de loi, le Conseil constitutionnel a, évidemment, donné un avis favorable sur le fait qu’il fasse partie de ce club très fermé qui sera habilité à dialoguer avec la CEDH… Un pas de plus vers le gouvernement des juges, donc.

    En 2015, Marion Maréchal-Le Pen, à la tribune de l’Assemblée, avait bien résumé le danger que représente l’emprise croissante de la CEDH sur notre souveraineté en soulignant « la méconnaissance de cette juridiction […] inversement proportionnelle au poids qu’elle exerce sur notre pays ». La députée de Vaucluse poursuivait : « Partie d’une louable intention – la défense des droits de l’homme –, cette juridiction s’est peu à peu érigée en gouvernement des juges étrangers dont les décisions s’imposent dans les législations nationales […] La convention européenne des droits de l’homme sur laquelle s’appuie la Cour était à l’origine un texte général, une proclamation de principe […] Y voyant un levier de pouvoir sans limite, ce texte fut constamment interprété et surtout politisé par la pratique et la jurisprudence des juges de Strasbourg. Une interprétation extensive au service d’un politiquement correct affirmé… » Tout était dit.

    Mme Boyer, députée LR des Bouches-du-Rhône, est montée à la tribune de l’Assemblée ce 15 février 2017 pour, elle aussi, dénoncer les dérives de cette CEDH. Mais plutôt que de dénoncer ces dérives, ne faudrait-il pas plutôt carrément dénoncer cette Convention ? Ratifiée entre deux portes par l’intérimaire Alain Poher en 1974, alors que de Gaulle et Pompidou avaient toujours refusé de le faire, la dénonciation de cette Convention rendrait à la France une grande partie de sa souveraineté juridique.

    Une petite précision, pour terminer : à la Cour de Strasbourg siègent des magistrats de Turquie et d’Azerbaïdjan, grandes patries des droits de l’homme devant l’Éternel, comme chacun sait…

    http://www.bvoltaire.fr/cour-europeenne-droits-de-lhomme-france-toujours-plus-soumise/

  • Le bras d’honneur d’Orban à l’UE : gardez vos migrants musulmans, on ne les prendra pas

    Le bras d’honneur d’Orban à l’UE : gardez vos migrants musulmans, on ne les prendra pas

    Bon sang, si l’Europe avait des dirigeants comme en Hongrie, l’Europe, et la France en particulier, seraient restées ce qu’elles étaient : des pays purement de civilisation judéo-chrétienne, des pays où rèignerait la paix, avec des écoles où on enseignerait l’Histoire du pays, où la JUSTICE serait rendue, où les touristes voulant visiter la Tour Eiffel ne se trouveraient pas nez à nez avec à un mur de vitres blindées, où la capitale de la France redeviendrait la ville des lumières. 

    Jack

    « La Hongrie d’abord ». Orbán promet de « combattre ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de l’Europe »

    8 février 2018, par Victoria Friedman sur Breitbart, retranscrit sur le site de Pamela Geller le 9 février

    L’Union européenne menace de forcer la Hongrie à accepter les migrants musulmans. À cela, le courageux Premier ministre hongrois Viktor Orbán déclare : « Notre présidence a pris position : nous ne pouvons pas céder à l’extorsion. Pour nous, la Hongrie passe d’abord. Nous combattrons ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie et de l’Europe ».

    Bravo. Viktor Orbán dit qu’il ne participera pas au suicide de l’Europe. Tous les dirigeants européens devraient dire la même chose, mais ils veulent faire l’inverse.

    Faisant écho au cri de ralliement « America First » du président américain Donald J. Trump, le Premier ministre conservateur Orbán a critiqué son collègue belge Charles Michel qui a déclaré que les pays d’Europe centrale seraient forcés d’accepter les migrants dans des termes décrits par le parti hongrois au pouvoir Fidesz comme une « extorsion ».

    « La présidence du Fidesz a examiné hier l’annonce du Premier ministre belge, selon laquelle les pays d’Europe centrale, y compris la Hongrie, seront obligés, si nécessaire par la force, d’accepter des migrants », a déclaré mercredi le Premier ministre hongrois.

    « Selon leur plan, cela se fera en juin au sommet des Premiers ministres à Bruxelles » a ajouté Viktor Orbán : « Notre présidence a pris position : nous ne pouvons pas céder à l’extorsion . Pour nous, la Hongrie passe d’abord »… «Nous combattrons ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie et de l’Europe ».

    Dans une interview au site d’information belge Le Soir, le Premier ministre Michel a évoqué l’envoi d’un « ultimatum » aux pays du groupe Visegrád qui « rejettent la solidarité ».

    L’ultimatum serait que si un consensus n’était pas atteint lors du Conseil européen de juin, les réformes prévues seraient adoptées à la majorité qualifiée, ce qui ferait passer outre la position de dissidents (tels qu’autres mouvements anti-migration de masse, nations pro-souveraineté).

    En réponse aux commentaires du ministre belge, le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Péter Szijjártó, a déclaré : « La Hongrie ne deviendra pas un pays d’immigration, n’a jamais admis et n’admettra jamais d’immigrants illégaux » lors d’une conférence de presse mardi.

    Péter Szijjártó a ajouté que les commentaires du Premier ministre belge étaient « révoltants » et « scandaleux », car « c’est la première fois que Bruxelles planifie ouvertement de faire passer le quota de réinstallation obligatoire par la force tout en ignorant totalement la volonté de certains Etats membres ».

    « La Hongrie n’a jamais admis et n’admettra jamais d’immigrants illégaux, qu’il y ait ou non des pressions dans ce sens le long des frontières ou de Bruxelles », a-t-il ajouté.

    Traduction pour Résistance républicaine par Jack

    https://gellerreport.com/2018/02/hungary-first-orban.html/ 

    Note de Christine Tasin

    On n’a vraiment pas de chance. On n’a ni Trump, ni Orban, et on a Macron… Mais sans doute que les Français l’ont mérité…

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/11/le-bras-dhonneur-dorban-a-lue-gardez-vos-migrants-musulmans-on-ne-les-prendra-pas/