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magouille et compagnie - Page 1490

  • Prêches radicaux en arabe dans les mosquées ? L’ex-patron du RAID répond “prêches en latin dans les églises”

     
    Stéphane Ravier@Stephane_Ravier

    STUPEFACTION ! Quand on lui parle des prêches radicaux en arabe dans les mosquées salafistes, le député LREM Fauvergue (ex-patron du RAID !) répond "prêches en latin dans les églises" : et ce sont eux qui sont chargés de la lutte contre l'islamisme ?

    Les bras nous en tombent !

    https://fr.novopress.info/

     

     

  • PENDANT QUE LA FRANCE ÉTAIT SOMMÉE DE CHANTER « MERCY », IL CRIAIT ALLAH AKBAR ET POIGNARDAIT QUATRE PERSONNES

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    Chez nous, l’Eurovision, c’est sacré, un peu comme le Tournoi des cinq nations ou la bénédiction urbi et orbi. Depuis France Gall et sa poupée de son, depuis Marie Myriam et son oiseau et l’enfant, toute la famille se rassemble et communie quel que soit son degré de croyance. Mais cette année, avec cette chanson « Mercy » à la gloire des migrants, le cœur n’y était pas du tout et, pour tout vous dire, ici, on était plutôt « Non Mercy ». Il est vrai qu’ici, on est toujours « indigné » (pesons nos mots) par l’agression d’un agriculteur du coin par un islamiste radicalisé hurlant Allah Akbar, agression dont la Justice ne sait pas encore, un an après, si elle relève du terrorisme islamiste ou pas…

    Mais il n’empêche que, sur toutes les chaînes (pas TF1 pour cause de finale de « The Voice »), les « live » étaient tous branchés sur « Mercy ». Jusqu’à ce que la belle soirée – une de plus – déraille sous les coups de la réalité islamiste.

    Vers 21 heures, les réseaux sociaux indiquaient qu’une attaque au couteau avait lieu dans le quartier de l’Opéra, à Paris. Rapidement, on nous informait d’un bilan de deux morts – l’attaquant neutralisé par la police et une victime – et de plusieurs blessés, dont deux graves.

    Plusieurs témoignages circulaient, disant que l’assaillant avait crié « Allah Akbar » , mais, comme toujours sur cette épineuse question, les médias étaient d’une prudence extrême et attendaient que le procureur Molins se rende sur place pour bien attester que ces témoins n’avaient pas entendu des voix… Le procureur Molins confirma bien la signature et le cri. L’État islamique aussi.

    Un jeune homme de 29 ans est mort.

    Les réactions des autorités, comme toujours dans ce cas, vont dans le même sens : celui de la compassion et de la consolation. Compassion : toutes leurs pensées vont aux familles des victimes. Consolation : notre police est formidable et a évité un carnage bien pire.

    Anne Hidalgo ?

    « Je veux saluer les policiers, dont le sang-froid, le courage et le professionnalisme ont une fois encore permis de sauver des vies. Ils ont toute ma gratitude. Je remercie aussi les services de secours qui se sont rendus très vite sur place pour prendre en charge les blessés. »

    Édouard Philippe a salué « l’exceptionnelle réactivité des forces de police » qui a évité un « bilan plus lourd ». Un appel à police secours a été, selon lui, passé dès 20 h 47. « Dans les cinq minutes », les policiers étaient sur place et « moins de neuf minutes » après, l’auteur de l’attaque était abattu. Le Premier ministre a le chronomètre en main. Il enregistre les records.

    Gérard Collomb, lui, s’est empressé de nous donner de bonnes nouvelles des blessés : il a fait savoir que les quatre personnes blessées étaient désormais hors de danger. « Je viens de voir la personne la plus grièvement blessée, elle va mieux, elle est sauvée. » Deux de ses amis sont « hors de danger », la quatrième personne est « hors de danger aussi ».

    « Hors de danger » devenait le refrain et comme le bilan de ce nouvel attentat.

    Le Président Macron, lui, ne versait pas dans ce travers et tweetait, depuis Brégançon qu’il n’a visiblement pas jugé bon de quitter pour rentrer à Paris, un « La France paye une nouvelle fois le prix du sang mais ne cède pas un pouce aux ennemis de la liberté ».

    Si, évidemment, on se réjouit de la rapidité de l’intervention des professionnels et de la situation des blessés, cette excitation dans le « Ouf, ça aurait pu être pire ! » est bien malvenue. Car non, nous ne sommes pas « hors de danger ». Et les Français ne se contenteront pas des records de M. Philippe.

    Ils attendront d’autres records, d’autres chiffres : celui des expulsions – on apprend que le terroriste était d’origine tchétchène, naturalisé en 2010 et fiché S -, des condamnations, des fermetures de mosquées, des déchéances de nationalité…

    Et là, force est de constater que la France de MM. Macron et Collomb n’a pas avancé « d’un pouce ».

    http://www.bvoltaire.fr/pendant-france-etait-sommee-de-chanter-mercy-criait-allah-akbar-poignardait-quatre-personnes/

  • L’énorme supercherie du Fichage S ou la mollesse érigée en système

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    Bernard Plouvier

    Après chaque attentat de fou d’allah en France, les journalistes qui se veulent sérieux rassurent le bon peuple, ou tentent de le faire, en évoquant cette merveille conceptuelle, inventée par les gouvernants prosternés devant l’islamo-pétrodollar : le FSPRT.

    Ce délicieux acronyme correspond au Fichier des Signalements pour la Prévention de la Radicalisation à caractère Terroriste. En ce glacial printemps 2018, y figurent environ 20 000 mahométans, demeurant en permanence sur le sol métropolitain.

    Encore faut-il signaler que 4 600 dossiers sont considérés comme clos, les individus étant devenus, paraît-il, des prix de vertu, des angelots, de « bons citoyens ». 4 000 autres sont « dépourvus de suivi actif », ce qui – en clair – signifie qu’ils sont « dans la nature », perdus de vue par leurs pisteurs.

    Presque à chaque attentat mahométan – soit en moyenne une fois par mois -, l’on apprend que le terroriste était « fiché S », c’est-à-dire qu’il était répertorié par ce prodigieux FSPRT. On ne voit pas bien en quoi cette information peut rassurer le bon peuple, celui qui paie des impôts, en contrepartie théorique de services rendus par l’État, dont la Sécurité Publique est l’un des premiers sinon le premier qu’un citoyen est en droit d’exiger. Nos distingués maîtres, Président Macron en tête, feraient bien de réétudier la notion de Contrat social.

    Il est évident que l’honnête français assassiné par un fou d’allah « fiché S » n’en a pas moins vu ses jours abrégés, souvent d’ailleurs dans la souffrance. Quant aux blessés, généralement plus nombreux que les assassinés, qui garderont peut-être une invalidité physique permanente et constamment un traumatisme psychique de leur contact avec le fou d’allah, quant aux familles des victimes, il leur reste à entendre cette ineptie : l’État surveille ces assassins en puissance

    Mais « l’État » n’en a incarcéré que moins de deux milliers, probablement pour ne pas faire de peine aux milliardaires mahométans investisseurs potentiels ou avérés, ni aux recteurs des très nombreuses mosquées érigées en France, ou aux imams de banlieues qui contrôlent, avec les trafiquants de toutes sortes, ces deux mille cités de non-droit qui vomissent périodiquement des hordes d’émeutiers.

    Dans un État bien géré, ce qui exclut la France des Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron, la Sécurité est l’une des composantes essentielles du Bien Commun. En d’autres termes, les terroristes potentiels devraient être soit exportés vers d’autres cieux, soit mis définitivement hors d’état de nuire.

    En période de surpopulation, voire de « pollution démographique » comme le disait George Bush senior avant le règne de William Clinton, on ne devrait pas trop pleurer les psychopathes violents ni les sociopathes. En un régime politique où est affirmé le principe de séparation de l’État et des religions, l’avis des « autorités cléricales » d’où qu’elles viennent devrait être égal à Zéro.

    On a de plus en plus l’impression que l’État macronien est aussi inefficace que celui de ses peu, voire pas, regrettés prédécesseurs. La protection de la Nation est un devoir régalien. Si les élus du peuple, arrivés aux plus hautes fonctions, négligent ce devoir, la Nation devra se protéger elle-même et, dans ce cas, le risque de dérapages tous azimuts sera grand.     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pendant que deux gauchistes pro-migrants chantaient les bienfaits de l'invasion à l'Eurovision, un envahisseur musulman poignardait 8 personnes à Paris

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    Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, a réagi sur Twitter au nouvel attentat islamiste qui a eu lieu ce soir à Paris aux abords de l'Opéra Garnier où un islamiste a poignardé huit personnes, en tuant une, avant d'être abattu comme le chien galeux qu'il était.

  • HIDALGO ET LE SANGATTE PARISIEN : CHRONIQUE D’UN DÉSASTRE ANNONC

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    Anne Hidalgo ne cesse d’améliorer son record d’hypocrisie politicienne sur la question des clandestins qui s’agglutinent à Paris.

    Elle a actionné depuis des années la pompe aspirante en multipliant les déclarations sirupeuses et larmoyantes et en incitant ces migrants, principalement mus par des considérations économiques, à s’installer dans un centre d’hébergement en forme de grosse bulle qu’elle ouvrait porte de la Chapelle.

    Mais la coupe était pleine et la bulle, en piteux état, a éclaté. Les communes de banlieue à qui elle renvoyait discrètement les clandestins une fois les caméras parties n’en peuvent plus. Les migrants s’agglutinent donc désormais autour des canaux, près du Périphérique et dans les squares du Nord parisien.

    Hidalgo fait semblant de n’être en rien responsable et n’a plus de solution à proposer. Elle fait son show devant les caméras et stigmatise l’Etat ainsi que les affreux « populistes ». Sa dernière trouvaille : une lettre ouverte à Edouard Philippe.

    Mais les Phillipards modernes n’y peuvent plus grand chose, si tant est que la tentation macronienne ne soit de laisser Hidalgo croupir dans la mouise qu’elle a suscitée.

    Hidalgo a d’abord appelé en avril dernier l’État à « mettre à l’abri », selon son vocabulaire pseudo-compassionnel, plus de 2.000 migrants installés sur des campements « indignes » de la capitale, promettant de se rendre chaque vendredi porte de la Villette pour garder « visible » une situation «inacceptable».

    «On voit réapparaître des campements dans Paris, avec 1.500 personnes porte de la Villette, 800 sur le canal Saint Martin…» dans le nord-est de Paris, a-t-elle fait semblant de déplorer dans un entretien à l’AFP, quelques jours après la fermeture du « centre de premier accueil » qui servait de « sas » aux migrants depuis novembre 2016.

    Et elle a, au passage, remis une couche de défaitisme migratoire en déclarant :

    « On peut toujours porter un message de fermeté, dire « on va renvoyer tous les dublinés ». Mais ce message n’est pas réaliste. Ça ne se passe pas du tout comme ça. »

    Bref, il faudrait selon elle continuer de subir et chouiner pour que l’Etat dépense ensuite des dizaines de millions en structures d’accueil qui seront autant de nouvelles pompes aspirantes, celles que la ville de Paris ne peut plus payer.

    Rappelons qu’Hidalgo a par son attitude même mis en place ces aspirateurs à migrants dans Paris. Le centre pour réfugiés inauguré avec cellule d’accueil dans une bulle gonflable en novembre 2016 à proximité de la porte de la Chapelle, au 70 boulevard Ney dans le XVIIIe arrondissement, comptait d’abord 400 lits, puis rapidement 600.

    Evidemment, le baratin qui voulait que « les migrants aient vocation à rester cinq à dix jours dans le centre » n’a pas résisté aux réalités. L’engorgement quasi immédiat a été synonyme de débordement d’autant qu’Hidalgo, jamais à cours de démagogie, avait posé l’accueil inconditionnel comme principe à l’entrée.

    Les camps sauvages ont donc rapidement ressurgi, les évacuations aussi, et tout cela coûte cher. Le seul centre du 18e revenait à environ 8,6 millions d’euros annuels en frais de fonctionnement, dont 7,24 millions pour l’État. Et les locaux se sont immédiatement dégradés. La situation était donc ingérable et il a fallu fermer les lieux. Pas étonnant que l’Etat en ait assez des promesses inconsidérées d’Hidalgo.

    Aujourd’hui le système est au bord de l’explosion et des milliers de clandestins vont essaimer en plusieurs petits Sangatte parisiens. La maire de Paris, nourrice auto-proclamée de tous ces pauvres hères (souvent possesseurs d’i-phone et autres Samsung quand même…) va donc continuer de larmoyer et tenter de faire porter aux autres le chapeau de son incompétence et de ses mensonges.

    La vie va être merveilleuse dans les arrondissements du Nord de Paris !

    A moins qu’Hidalgo, aidé par Macron et sous l’influence directe du communiste Brossat, ne parvienne à créer selon le dernier état de son ambition une sorte de ville de clandestins dans le bois de Boulogne, une jungle dans un jardin, une agglomération entre Neuilly, Auteuil et Passy, un ghetto dans le ghetto, un rêve islamo-gauchiste enfin réalisé.

  • Petits bourgeois pas contents organisent ateliers potager et graffitis dans les facs de Paris

     Les bloqueurs prennent leur avenir (et celui des autres) en main dans les facs "occupées" par Ingrid Riocreux

    Très médiatisée, l’évacuation de la Sorbonne historique en avril dernier a donné l’impression que la situation était sous contrôle.

    Mais « en Sorbonne » (ou « dans la Sorbonne-mère »), se tiennent quasi uniquement les colloques et les conférences, ainsi que les séminaires de Master et Doctorat. Peu de filières fréquentent le bâtiment dès le niveau licence. Le blocage n’était pas bon pour l’image touristique du lieu et nuisait à la réputation internationale de la noble institution. Il fut donc promptement levé au bout de quelques heures, manu militari :

    Lire la suite sur Causeur

  • Le Samedi Politique : Division, corruption : la mort des syndicats, avec Jean-Luc Touly

  • Les élites trahissent la démocratie !

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    La démocratie est devenue le nom qui désigne un système politique où les droits des étrangers doivent l’emporter sur ce que veut le peuple et au détriment de celui-ci.

    Le 8 mai 1945, le totalitarisme nazi était vaincu. Le bras de fer entre les démocraties occidentales et le totalitarisme marxiste commençait. En 1989, la chute du mur de Berlin et l’effondrement du bloc soviétique avaient soulevé l’espoir d’une victoire définitive des démocraties. Certains imaginaient que la fin de l’Histoire était en marche avec l’avènement d’un monde unipolaire faisant régner, selon le vœu de Kant, une paix perpétuelle au sein d’une humanité vouée aux échanges commerciaux et culturels encadrés par un droit unanimement reconnu. Près de trente ans après, le bilan est désolant. La démocratie comme la paix semblent en panne. Jour après jour, le voile des illusions se déchire. Deux élections viennent de se dérouler, au Liban et en Tunisie.

    Les électeurs ne se sont pas bousculés : 49,2 % pour les législatives libanaises, 33,6 % pour les municipales tunisiennes. On peut se consoler en disant qu’au Liban, on élisait des députés après neuf ans de gel des élections en raison de l’insécurité, et qu’en Tunisie, ce sont les premières municipales depuis 2011 et la chute de la dictature. On peut encore se réjouir que ces deux pays, que la France a fortement marqués, soient les moins éloignés d’une démocratie à l’occidentale, et pour la Tunisie le seul à avoir maintenu les acquis politiques du printemps arabe, tempérés par le marasme économique et les actes terroristes. Il s’agit d’une bien mince consolation, lorsqu’on observe que le vainqueur en Tunisie, avec 27,5 % des voix, est Ennahdha, le parti islamiste qui est l’émanation locale des Frères musulmans. Ils offrent, dans ce pays, une vitrine présentable. En Libye ou en Syrie, ils ont le visage de la guerre, en Égypte celui du terrorisme, et la Turquie, sous leur férule, s’éloigne à grands pas de la démocratie et de l’Occident.

    Au Liban, ce sont les islamistes chiites du Hezbollah qui l’ont emporté, ce qui n’a rien de rassurant. Néanmoins, à Tunis comme à Beyrouth, il y a une représentation de la diversité. Dans le premier cas, celle-ci passe par la résistance relative du parti présidentiel, avec 22,5 % des voix. Pour les chrétiens alliés pour les uns aux chiites, avec le président Aoun, pour les autres aux sunnites, avec les Forces libanaises, les résultats ont été meilleurs qu’attendu et leur permettront de conserver un rôle essentiel.

    Autour de ces deux pays, et à l’exception d’Israël, ni les interventions militaires occidentales, ni les prétendues révolutions arabes n’ont changé un décor qui s’est, au contraire assombri. Les alliés des démocraties occidentales sont des monarchies féodales islamistes dont les valeurs sont aux antipodes des nôtres. Les moyens financiers gigantesques dont elles disposent leur permettent de promouvoir une conception des droits de l’homme paradoxale et d’irriguer la planète par un prosélytisme multiforme qui va de la conversion à la guerre. Cette alliance contre-nature, qui pouvait être justifiée contre le bloc communiste, perdure en soulignant l’imposture des démocraties occidentales. Les courbettes empressées de nos dirigeants convertis en VRP spécialisés dans la vente d’armes et, plus que jamais, grands lécheurs de babouches, leur volonté absurde de faire perdurer la guerre froide contre la Russie, soulèvent des doutes sur l’authenticité de leur posture.

    L’Union européenne offre un étonnant spectacle où la sainte-alliance des démocrates se noue contre le populisme en mettant au ban de l’empire du Bien les États qui ont le front de résister à ses décrets. Viktor Orbán vient de gagner les élections législatives hongroises haut la main, mais c’est une commission présidée par l’ex-Premier ministre battu d’un confetti fiscalement paradisiaque qui prétend le rappeler à l’ordre et menacer de lui couper les vivres. La démocratie est devenue, pour les tenants de la pensée unique, le nom qui désigne un système politique où les droits des étrangers doivent l’emporter sur ce que veut le peuple et au détriment de celui-ci. Les défaites les plus inattendues ne s’expliquent le plus souvent que par la trahison. La trahison des élites, dénoncée à juste titre par Christopher Lasch, est la seule explication de l’état lamentable de nos démocraties.

    Christian Vanneste

    Tribune reprise dBoulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/210744/les-elites-trahissent-la-democratie/

  • Trappes : le ministre féministe Marlène Schiappa quitte sans broncher un café interdit aux femmes

    La mère Schiappa a voulu faire une escapade « romantique » (avec une escorte de 80 policiers…) dans la ville envahie de Trappes. Face au mœurs étrangères, elle tolère tout. Par contre, face au « patriarcat blanc », elle est féroce. Vu dans le Canard Enchaîné :

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    http://www.contre-info.com/trappes-le-ministre-feministe-marlene-schiappa-quitte-sans-broncher-un-cafe-interdit-aux-femmes

  • Le ministère de la Justice publie une circulaire contre les Identitaires

    6a00d83451619c69e20223c84a8b40200c-200wi.jpgAlors que l'Etat se montre (volontairement) impuissant face au blocage des universités, des annulations d'examens, des émeutes en banlieues, ... le ministère de la Justice a trouvé le temps de rédiger une circulaire, adressée à l’ensemble des tribunaux par le directeur des affaires criminelles et des grâces du ministère de la Justice, Rémy Heitz. Ce texte évoque deux infractions « visant les comportements hostiles à la circulation des migrants ».

    La première est « l’immixtion dans une fonction publique ».  Ceci est le fait, par toute personne agissant sans titre, de s’immiscer dans l’exercice d’une fonction publique en accomplissant l’un des actes réservés au titulaire de cette fonction.

    « Le contrôle du respect des frontières, par la surveillance visuelle ou l’édification d’obstacles, par des personnes hostiles à la circulation des migrants est susceptible de constituer une immixtion intentionnelle dans les fonctions des forces de l’ordre. La reconduite à la frontière des migrants par ces mêmes personnes, y compris sans violence, est également susceptible de caractériser le délit prévu par l’article 433-12 du Code pénal ».

    La circulaire explique également que les militants identitaires pourraient enfreindre la loi en exerçant « une activité ou en usant de document créant la confusion avec une fonction publique ».

    « L’article 433-13 du code pénal réprime le fait par toute personne d’exercer une activité dans des conditions de nature à créer dans l’esprit du public une confusion avec l’exercice d’une fonction publique. Cette infraction est punie d’une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. Faire croire, par son comportement ou par un ensemble de manœuvres, que l’on possède la qualité pour exercer la surveillance et le contrôle des frontières, même sans usurper les signes réservés à l’autorité de police, est susceptible de caractériser l’infraction ».

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/05/le-minist%C3%A8re-de-la-justice-publie-une-circulaire-contre-les-identitaires.html