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magouille et compagnie - Page 1492
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Opposition anti-éoliennes : PARTOUT !
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Politique & Eco n° 164 : Le cas édifiant d’un prof interné pour ses idées
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Suède : 75% des mineurs clandestins sont en fait majeurs
Il s'agit des résultats de tests faits sur les pseudos mineurs migrants. En France, combien de temps va-t-on berner la population?
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MANUEL VALLS VEUT QU’ON INTERDISE LE SALAFISME. QUE NE L’A-T-IL FAIT LUI-MÊME ?
Je le sais bien, j’ai un cœur d’artichaut, mais je vous le dis tout net : Manuel Valls me fait de la peine. Pas seulement parce que sa barbe poivre et sel lui donne un méchant coup de vieux, mais parce que ce garçon est la figure du cocu absolu.
Absolu parce que conscient de son sort de A à Z. Complice, même : « Non seulement je sais qui me trahit, mais je lui offre en prime la chambre d’hôtel. »
Il essaie d’exister, Manuel Valls, et ça n’est pas simple pour lui. C’est même très compliqué. Ainsi, ce dimanche 25 mars où, invité de BFM TV pour s’exprimer sur le dernier attentat terroriste, dans l’Aude, il s’est prononcé pour « l’interdiction du salafisme en France ». « Les idées salafistes, les mots salafistes ont gagné la bataille idéologique au sein de l’islam. […] Nos adversaires, ce sont les salafistes, les Frères musulmans, l’islam politique », a-t-il dit. Et là, forcément, la France attentive s’exclame : mais que ne l’a-t-il fait du temps où il était Premier ministre, et plus encore ministre de l’Intérieur ?
Ben oui, mais voilà, notre bonhomme a un problème : c’est un fidèle. Et plus fidèle à ses amis (quoique ce mot mérite d’être redéfini quand il s’agit de politiques) qu’à ses idées. Parce que l’interdiction du salafisme, il s’en serait bien chargé, notre Manuel, sauf que ses copains du Parti socialiste – François Hollande en tête – ont toujours été obsédés par le « padamalgame ». Vous savez, le padamalgame… la seule arme susceptible de lutter contre la bête immonde tapie dans les brumes de la fachosphère. Pas d’amalgame entre le terrorisme et l’islam, parce que les musulmans ne sont pas tous terroristes. Vrai. Mais c’est oublier l’autre partie de la proposition : tous les terroristes se revendiquent de la religion musulmane. Pas de bol.
De même, Manuel Valls plaide pour le placement en « rétention administrative » des fichés S les plus dangereux. Une idée qu’il aurait volontiers piquée à la droite, mais voilà, une fois de plus, si elle rassemblait du Front national à l’UDI, elle faisait dresser les poils à toute la gauche. Déjà, le mot de fichier, à lui seul, est un repoussoir, même le fichier de Carrefour ou des Mousquetaires, c’est dire… Dans leur petit esprit enkysté sur les heures les plus sombres, etc., fichier = rafle = extermination. C’est indécrottable.
Il est vrai que la rétention administrative est une mesure juridiquement discutable, sinon inapplicable en l’état de nos lois, mais bon, comme l’a dit Manuel Valls, on peut toujours trouver des arrangements entre ennemis : « Il peut y avoir, regardons ça de près [de] la rétention administrative pour ceux dont on considère qu’ils représentent un danger, évidemment sous l’autorité du juge, et à un moment ou l’autre, s’il ne se passe rien, on ne peut pas les retenir. » Cela paraît difficile, en effet. D’autant qu’un esprit malfaisant pourrait étendre l’idée de danger à d’autres catégories que les barbus. Ça s’est vu.
Invité à l’ESSEC pour une conférence, voilà un mois tout juste, l’ancien Premier ministre faisait déjà part de son malaise. Comme le rapportait Valeurs actuelles, « Manuel Valls a ainsi expliqué se sentir plus proche de l’actuel président de la République que du socialiste à la présidentielle, Benoît Hamon ». À vrai dire, on s’en doutait. Manuel Valls a alors fait « la liste de toutes les idées que, selon lui, il défendait longtemps avant l’émergence du phénomène en marche, comme la sélection à l’université, la création d’un service civique, la réforme des 35 heures ou le dédoublement des classes ».
Et de conclure, en riant jaune sans doute : « Franchement, il m’a tout piqué Macron, je vais demander les droits d’auteur ! »
http://www.bvoltaire.fr/manuel-valls-veut-quon-interdise-salafisme-ne-t-lui-meme/
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Même morts, nos élus nous rackettent encore !
Philippe Randa
Il n’y a pas de petites économies, tout est bon à prendre – ou plutôt à ne pas débourser –, surtout lorsqu’il s’agit de l’État (le nôtre en l’occurrence) dont la dette publique s’élève tout de même à « 2 226,1 milliards d’euros à la fin du troisième trimestre 2017, soit 98,1 % du PIB contre 55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008 » (chiffres sur Wikipédia). À 3 ou 4 000 milliards près, ne chipotons pas.
Ainsi, les nouvelles règles d’allocation pour frais funéraires allouée aux députés de l’Assemblée nationale, aux anciens élus et… à leur famille (sic !) sont entrées en vigueur le 15 mars, sans recours, possible : ce sera 382 000 euros de dépenses funéraires en moins car celles-ci passeront de 18 255 euros maximum à un forfait 2 350 euros, soit (presque) le coût moyen d’une prestation d’obsèques.C’est toujours ça, même si certains soupireront que c’est une goutte d’eau dans le tsunami de la dette française, tandis que d’autres s’étonneront, en lisant ces lignes, de découvrir qu’un tel privilège existait… Que des frais de déplacement ou de nourriture puissent être remboursés à nos élus dans le cadre de leurs fonctions, on le conçoit, mais lorsque la Camarde siffle leur fin de vie, comme c’est le lot de tout à chacun, c’est tout de même plus difficile à admettre…
Les cheminots ne sont donc pas les seuls à voir leurs privilèges d’antan bousculés par l’actuel gouvernement, même si les leurs avaient peut-être davantage de raisons à avoir été institués à une époque que les moins d’un demi-siècle n’ont pas connu…
Notons que le gouvernement français ne fait que s’aligner sur ce qui se pratique au Parlement européen… et que le Sénat n’est pas concerné pour le moment : vu la moyenne d’âge de ses membres, l’économie réalisée serait à l’évidence plus substantielle !
Source EuroLibertés cliquez ici
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Le « séparatisme islamiste » n’avance pas masqué, il est flamboyant
À la suite de l'appel du Figaro, une intellectuelle refuse le "séparatisme islamiste" par Vida Azimi
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DEUX JOURS APRÈS LES CRIMES ISLAMISTES DE TRÈBES : CASTANER AU SUMMUM DE L’INCOMPÉTENCE
Quelques heures à peine après les assassinats de Carcassonne et de Trèbes, et notamment celui du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, Christophe Castaner, secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement et patron de LREM, vient de déclarer sur Europe 1 qu’il convenait d’accueillir en France les djihadistes de retour de Syrie. Cette déclaration, en plus d’être une formidable injure aux quatre morts de l’Aude et, au-delà, à toutes les victimes du terrorisme islamiste, atteste bien de ce que ceux qui nous gouvernent aujourd’hui n’ont toujours pas pris la mesure du drame que notre pays traverse depuis maintenant de trop nombreuses années.
Incapable de reconnaître les failles que notre système judiciaire contient encore, et qui permettent à des centaines d’individus potentiellement dangereux de circuler librement sur notre territoire, le summum de l’incompétence, pour ne pas dire plus, est atteint lorsque Castaner prétend qu’une telle mesure permettrait « d’identifier le risque ». Combien faudra-t-il de morts et de blessés pour que ces apprentis sorciers, du haut de leurs ministères, comprennent que le risque n’est plus à identifier parce qu’il est connu ? Combien de militaires, de gendarmes, de policiers ou même de simples citoyens devront encore payer de leur vie les états d’âme, les atermoiements, les hésitations et, finalement, l’impéritie de ceux qui ont renoncé sans vouloir l’avouer à lutter contre ces ennemis de la France ?
Car soyons réalistes, les mesures prises par les derniers gouvernements ne sont que de la poudre aux yeux. Face à la barbarie et à la détermination des tueurs qui sévissent librement dans notre pays, ce ne sont pas quelques réformes de procédure pénale ou bien de ridicules programmes de déradicalisation qui mettront un terme à l’hécatombe qui nous touche désormais.
La vérité veut que nous reconnaissions qu’avec la meilleure volonté du monde, nos services de sécurité sont dans l’incapacité de suivre tous les fichés S. Aussi est-il irresponsable, voire criminel, de prétendre accueillir pour mieux les suivre les « revenants » qui ont combattu la France les armes à la main et ont déjà, pour la plus grande partie d’entre eux, du sang sur les mains. Incapables de contrôler nos cités, au sein desquelles nos policiers ne peuvent d’ailleurs plus rentrer, nos politiques sont désemparés et réduits à de beaux discours pour que les Français ne désespèrent pas. Mais combien de temps cela va-t-il durer ? Miser sur la légitime émotion d’un peuple qui voit le chaos s’installer peu à peu et qui se demande à chaque nouvel attentat terroriste qui sera visé la prochaine fois ne pourra plus durer bien longtemps.
Face à des actes barbares, il convient d’agir avec fermeté et détermination. Tout d’abord en empêchant, par tous les moyens, le retour de ceux qui ont combattu la France. Ensuite, en emprisonnant immédiatement tous ceux qui sont convaincus, de près ou de loin, d’avoir aidé, favorisé et, a fortiori, fomenté des attaques terroristes de quelque nature qu’elles soient. Enfin, en isolant tous les détenus incarcérés pour des infractions en relation avec de telles attaques. Non, moins que jamais il convient d’ouvrir nos portes aux loups de Daech. Le temps est à une riposte ferme et déterminée seule à même de faire régner la paix dans notre pays.
La mort héroïque du lieutenant-colonel Beltrame ne doit pas être interprétée comme étant une fatalité face à un phénomène qui nous dépasserait. Elle doit être le signal de départ de la réaction implacable d’une démocratie qui n’en finit pas de reculer depuis des décennies. Et si monsieur Castaner n’est pas d’accord, qu’il s’en aille !
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Que de laxisme, d’aveuglement, de temps perdu et de vies sacrifiées
Après l’immigré clandestin tunisien Hahmed Hanachi signalé sept fois ces douze dernières années , sous sept identités différentes, pour des délits de droit commun, qui avait égorgé le 1er octobre dernier aux cris de « Allah Akbar » deux cousines Laura et Mauranne, âgées de 20 et 22 ans, devant la gare saint Charles de Marseille, Radouane Lakdim est le nouveau visage médiatique de la barbarie islamiste. Né au Maroc en 1992, l’auteur vendredi de la virée sanglante (quatre morts, 15 blessés) qui a débuté à Carcassonne et qui s’est achevée dans un supermarché à Trèbes (Aude) a le profil type de l’islamo-racaille. Condamné en 2011 pour port d’arme prohibée, fiché S en 2014 (comme sa compagne convertie depuis un an) , et même plus spécifiquement inscrit au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, Lakdim avait obtenu la nationalité française en 2015, juste avant son passage en prison en 2016 pour une affaire de stupéfiants. Les Français qui constatent une nouvelle fois l’étendue de la menace intérieure, ont aussi pris la mesure de l’héroïsme de nos soldats, gendarmes et policiers chargés de la la sécurité nationale, avec le sacrifice emblématique du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, égorgé par Lakdim après avoir pris la place d’une otage dans le Super U de Trèbes.
Il n’ya a guère eu qu’un candidat de La France Insoumise (LFI) aux législatives de juin dernier (4e circonscription du Calvados), le délirant militant antinational Stéphane Poussier, pour oser se réjouir officiellement sur les réseaux sociaux de la mort de cet officier de gendarmerie. Il a été mis en garde à vue hier pour « apologie du terrorisme »: « À chaque fois qu’un gendarme se fait buter, et c’est pas tous les jours, je pense à mon ami Rémi Fraisse. Là, c’est un colonel, quel pied ! Accessoirement, un électeur de Macron en moins », avait-il notamment écrit.
Propos dénoncés aussitôt officiellement avec force, comment pouvait-il en être autrement, par les instances de LFI. Pour autant, il convient de noter que les dirigeants de LFI, dans leur hommage rendu ensuite au lieutenant-colonel Beltrame, ne sont pas parvenus une seule fois, peut-être pour ne pas se mettre à dos, telle une Danielle Obono, le vote islamo-gauchiste des banlieues, à prononcer le mot France ou patrie, ce qui est très révélateur. «Honneur terrible : donner sa vie pour sa mission au service des autres. Beltrame, héros de la condition humaine» a twitté Jean-Luc Mélenchon. « Terrible nouvelle. (Arnaud Beltrame) est mort pour défendre les valeurs de la République» a renchéri Alexis Corbière….
Une gêne que n’a pas eu le père Dominique Arz, aumônier national de la gendarmerie. Interrogé sur le site de Famille Chrétienne , il relève que l’action de ce gendarme est « un bel exemple de service de la patrie. D’abord par ce qu’était sa vie et l’excellence de son service en tant qu’officier. Un service qui est allé jusqu’au sacrifice suprême, c’est-à-dire de donner sa vie pour sauver. Le métier des gendarmes, ce n’est pas seulement de faire respecter la loi pour le bien commun de tous. C’est aussi accepter de donner sa vie pour ce service. Cet exemple qui vaut pour les gendarmes vaut aussi pour tous les Français.»
Ce qui est tout aussi certain c’est qu’à l’heure ou nous écrivons ces lignes, Radouane Lakdim est célébré comme un martyr par un certain nombre d’habitants des banlieues plurielles, élevées au rang de laboratoire du vivre-ensemble par les inconscients et /ou les lâches qui se succèdent à la tête de notre pays depuis quarante ans.
Agressés pour certains d’entre eux par des jeunes, selon la terminologie politiquement correcte, lors de leur passage dans la cité la cité Ozanam de Carcassonne où vivait Radouane Lakdim, les journalistes du Parisien dépêchés sur place ont rapporté des témoignages assez…surréalistes auprès de ceux qui ont cotôyé Lakdim. « Un mec nickel , dit l’un d’eux. Une voisine, qui connaît très bien la famille, le décrit comme quelqu’un de calme , de sympathique , avec toujours un mot gentil pour les autres. » « C’est vrai, il était religieux mais ça ne fait pas de lui un criminel. On ne sait pas ce qui lui est passé par la tête… , lâche l’un de ses amis. »
Ce que l’on sait pour le coup c’est qu’en juillet 2017 15 000 personnes étaient inscrites au Ficher dit des radicalisés, ils seraient près de 19 000 aujourd’hui dont 3 000, considérés comme les plus dangereux, les plus susceptibles de basculer dans la violence terroriste, sont soumis à une étroite surveillance. Radouane Lakdim ne faisait pas partie de ce noyau dur, avait su se faire oublier: le procureur François Molins a précisé que les services de renseignement n’avaient identifié chez lui aucun signe « pouvant laisser présager d’un passage à l’acte. »
Or, nous l’avons dit, la France ne possède pas les effectifs nécessaires pour surveiller tous les terroristes potentiels. Valeurs actuelles rapportait l’année dernière les propos d’un officier de la DGSI : « Pour suivre sérieusement une seule personne, il faut au moins une équipe pour le jour et une pour la nuit. Mais aussi des véhicules pour faire des filatures, des moyens techniques pour faire des écoutes administratives. On arrive vite à quinze ou vingt policiers pour suivre une personne. Autant dire des moyens gigantesques.»
C’est dans ce contexte que Christophe Castaner, Secrétaire d’Etat aux Relations au Parlement, précisait hier sur Europe 1 que « 258 adultes Français sont en Syrie et susceptibles de revenir » et qu’il « (valait) mieux les accueillir, les suivre, les emprisonner lorsque des actes criminels ont été commis, pour faire en sorte que l’on puisse identifier le risque »!
Invitée de Jean-Jacques Bourdin ce matin sur RMC-BFMTV, Marine Le Pen a rappelé que seul les députés Front National avaient demandé l’expulsion des immigrés radicalisés, vœu dénoncé alors par les élus LR… Dans une tribune publiée hier sur le site du Figaro , Thibaut de Montbrial notait aussi que « pendant que la France est engluée dans ses pudeurs mortifères, le Parlement norvégien vient d’adopter, à la quasi-unanimité, le principe de la déchéance de nationalité pour les condamnés pour terrorisme qui disposent d’une autre nationalité. Voilà qui nous aurait été bien utile pour empêcher certains de revenir en France ou pour en éloigner d’autres. »
Le 20 avril dernier, dans l’émission 15 minutes pour convaincre diffusée sur France 2 et France Inter, la présidente du FN avait insisté sur la nécessité impérieuse d’« expulser les imams étrangers qui prêchent la haine », « tous les étrangers vivant sur notre territoire et qui ont un lien avec le fondamentalisme islamiste » et « l’intégralité des fichés S étrangers. Pourquoi garder sur notre territoire des bombes potentielles ? ». Elle pointait la mollesse des partis adversaires du Front National, du programme d’Emmanuel Macron dans la lutte « contre l’insécurité et le terrorisme », sujets « absents » du débat (présidentiel) et pour lesquels « rien n’a été fait». Nous en voyons aujourd’hui les terribles résultats, constate Bruno Gollnisch. Que de laxisme révoltant, d’aveuglement, de temps perdu et de vies sacrifiées!
https://gollnisch.com/2018/03/26/que-de-laxisme-daveuglement-de-temps-perdu-et-de-vies-sacrifiees/
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Dans la Cité où vivait Radouane Lakdim, une minorité a pris le pouvoir
Samedi, plusieurs équipes de journalistes s'étaient déplacées dans la cité Ozanam à Carcassonne où vivait le terroriste musulman Radouane Lakdim. Sur place, la situation était très tendue entre les voyous du quartier et les journalistes. « Casse-toi, casse-toi, je vais t'éclater ». Yann Bouchez, journaliste au Monde, décrit une ambiance électrique.
« Cité Ozanam, à Carcassonne. Deux jeunes en voiture font le guet. L'un s'arrête à ma hauteur, alors que je marche : T'es journaliste ? Barre-toi d'ici ou je te casse les jambes. Et il entrouvre la porte... Regard haineux. Toutes les issues sont contrôlées. Impossible d'y rester. »
Une situation semblable vécue par d'autres journalistes de BFM TV ou d'une télévision suisse-italienne aussi sur place. Ces derniers ont été pris à partie alors qu'ils s'entretenaient avec des habitants du quartier.
« Ils ont commencé à nous bousculer et à prendre nos pieds de caméras en les lançant sur nous ».
Les voyous avaient surtout frappé l'équipe de la télévision suisse-italienne et évoque une « très vive altercation ». Des journalistes ont été poursuivis par une voiture tout autour de la cité alors qu'ils tentaient de rapidement quitter les lieux. Une retraitée dénonce la situation :
« Ça faisait un moment qu'on alertait les pouvoirs publics, il y a du trafic, il y a des armes à feu qui doivent circuler, on entend des coups de feu. » « C'est une minorité qui pourrit le quartier, ils ont pris le pouvoir. Avant, il y faisait bon vivre, mais, maintenant, c'est craignos. »
Il faut un attentat terroriste pour que les journalistes découvrent la vie des ghettos musulmans... La photo qui illustre ce post est tirée d'un article de janvier 2018 quand des policiers avaient été agressés dans cette même cité.
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URGENCE : Terrorisme.