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magouille et compagnie - Page 1489

  • LES FRANÇAIS JUGENT LE GOUVERNEMENT INEFFICACE FACE AU TERRORISME. ET CELA VOUS ÉTONNE ?

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    Un sondage récent (Odoxa-Dentsu Consulting) révèle qu’une majorité de Français n’est pas satisfaite des mesures du gouvernement contre le terrorisme. Ils estiment, notamment, qu’il devrait montrer plus de fermeté à l’égard des fichés S : les expulser, quand ils sont étrangers ; dans les autres cas, les placer en rétention administrative. Ils jugent également que la droite ne ferait pas mieux.

    Il est, en effet, paradoxal de prétendre mener un combat contre la barbarie (on commence seulement à la qualifier d’« islamiste ») et de ne pas s’en donner les moyens. Les guerres, quelles que soient leurs fins, sont rarement toutes propres : quand le salut des Français est en danger, il faut savoir passer la porte étroite entre l’État de droit, permis par la paix, et les lois d’exception qu’exige le conflit.

    Si le gouvernement actuel, comme les précédents sous le mandat de François Hollande, est réticent face à des mesures comme la rétention administrative ou l’expulsion, ce n’est pas seulement par respect de l’État de droit : c’est parce qu’il craint d’effaroucher une partie de son électorat en désignant trop directement l’ennemi, et qu’il entretient des relations ambiguës avec des États qui soutiennent le terrorisme islamique.

    Emmanuel Macron lui-même, qui refait l’Histoire, n’est pas exempt de fausseté dans le jugement. Quand, dans sa campagne présidentielle, il déclare à Alger que « la colonisation […], c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie », il oublie – à moins qu’il ne l’ignore, ce qui serait encore plus grave à son niveau de responsabilité – dans quelles conditions l’Algérie a obtenu son indépendance et au prix de quels actes de terrorisme – qui ressemblaient beaucoup, dans leur nature, à ceux que nous connaissons.

    Le gouvernement voudrait vaincre un ennemi en restant pur et sans reproche. Bien sûr, l’on doit traiter l’adversaire – fût-il barbare – avec dignité, le vainqueur doit traiter le vaincu, quel qu’il soit, avec égards. Mais, s’il ne fait pas de son mieux pour le vaincre, il se montre complice par omission. En quoi l’expulsion d’étrangers fichés S, la rétention administrative d’individus considérés comme dangereux porteraient-elles atteinte aux droits de l’homme ?

    Nos dirigeants politiques prétendent garder les mains propres, alors qu’ils se les salissent en mettant en danger l’ensemble des Français. Au lieu de remettre leur action en question après la tragédie de Trèbes, ils ont lamentablement excusé leur impuissance et détourné l’attention dans une commémoration émouvante, qui devait être, mais ne pouvait effacer leur responsabilité. L’assassin était – une fois encore ! – un fiché S.

    D’après ce sondage, la droite représentée par Laurent Wauquiez ne trouve pas grâce davantage aux yeux des Français. Comment faire confiance à un parti qui, avant et après l’élection présidentielle, s’est divisé, renié, partagé entre opposition, collaboration et neutralité ? Le président des Républicains aura beaucoup à faire s’il veut paraître crédible, convaincre qu’il est sincère et que ses déclarations de fermeté à l’égard du terrorisme islamique ne sont pas seulement dictées par sa rivalité avec le Front national.

    Pour lutter contre le terrorisme, entre le droit et le non-droit, il existe une porte étroite que des gouvernants doivent avoir le courage d’emprunter : c’est dans ces circonstances qu’ils montrent s’ils sont dignes de gouverner.

    http://www.bvoltaire.fr/francais-jugent-gouvernement-inefficace-face-terrorisme-etonne/

  • La République en marche !... arrière

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    Le billet de Patrick Parment

    Créer un parti politique de toute pièce, surtout quand on est devenu en l’espace d’une seule élection, le premier parti de France, pose plus de problèmes qu’il n’en résout. Venus d’horizons très différents, la République en marche (LREM) tient tout à la fois du melting pot politique et de l’auberge espagnole. Le patron furtif qu’est Christophe Castaner règne sur un mouvement dont il ne maîtrise pas l’encadrement pour la bonne raison qu’il n’est pas encadré. Ce qui revient à dire qu’il est difficile d’établir un semblant d’organigramme et que faute de connaître les cadres départementaux vraiment opérants, Castaner règne sur un monde d’incertitude.

    En veut-on quelques exemples ? En Loire-Atlantique on a assisté à quatre changement de référents depuis l’élection présidentielle. On a constaté la démission de référents dans le Tarn, les Pays de Loire, la Sarthe et dans l’Yonnne où la députée Michèle Crouzet (ex-UDI) est en froid depuis des mois avec le référent départemental Patrice-José Tampied-Azurza. Dans le Maine-et-Loire, l’investiture de l’ex LR Emmanuel Camus pour les élections sénatoriales et le choix comme référent par la direction parisienne (contre les deux tiers des adhérents) de Benjamin Kirschner, transfuge des jeunes de l’UDI et proche du député LREM Matthieu Orphelin, illustrent le malaise des militants.

    A Nice, Khaled Ben Abderrahmane, ex-PS, porte-parole d’En Marche! dans les Alpes-Maritimes, a signalé une subordination dela section locale à Christian Estrosi. Même doléances pour David Vidal-Ponsard, animateur du comité Pau-Béarn, qui, en claquant la porte avec 17 autres militants et en rejoignant Les Patriotes, a protesté contre la tutelle du MoDem dans son secteur.

    Comment interpréter, par ailleurs, la présence de François Blouvac aux côtés de Christophe Castaner ? Spécialiste du socialisme municipal, ancien collaborateur de Bertrand Delanoë à Paris et de Jean-Marc Ayrault à Nantes, la présence de Blouvac ne peut s’expliquer que dans la perspective des tractations avec les élus socialistes pour les prochaines élections municipales. Notons au passage que Christophe Castaner espère atterrir à Marseille à la faveur de la condamnation à trois ans d’inéligibilité de Dominique Tian, premier adjoint de Jean-Claude Gaudin, donné jusque-là comme potentiel successeur.

    Faute de pouvoir compter sur ses propres troupes, Christophe Castaner ne cesse de répéter qu’il faut travailler avec les président des régions de droite en vue des prochaines échéances. Et concernant les prochaines élections européennes, il espère constituer des listes élargies de Cohn-Bendit à Alain Juppé. Autrement dit, tout le spectre centriste puisque se sont déjà ralliés outre le Modem, la grande majorité des centristes, version UDI, et les dissidents des Républicains emmenés par Franck Riester.

    Face à l’opposition de Gérard Larcher et des francs-maçons de la Fraternelle parlementaire quant à la révision constitutionnelle via le Congrès, Emmanuel Macron envisage sérieusement d’avoir recours au référendum. Cette solution serait une manière de conforter sa posture gaullienne et de contourner les oppositions. D’autant que le Président a une autre idée derrière la tête. La révision adoptée, il s’agirait de l’appliquer immédiatement à l’Assemblée avec des législatives, désormais partiellement à la proportionnelle, et pour un effectif moins nombreux de députés, ce qui passerait par une dissolution. Politiquement, succéderait à l’ancienne majorité absolue LREM une coalition reposant sur différents groupes à l’Assemblée. En 2022, toujours selon ces scénario, Macron délesté de législatives déjà passées demanderait aux Français un nouveau bail de cinq ans à l’Élysée.

    Et voici comment court-circuiter la tambouille des partis politique. Le rêve de tout énarque ! Certes, ce n’est qu’un schéma théorique et l’on sait trop combien les prédictions en la matière sont hasardeuses. Les indicateurs sociaux ne sont pas au beau fixe, ça râle du haut en bas de l’échelle sociale, mais l’opposition de « droite » n’a pas dit son dernier mot. Si, à gauche, Mélenchon ne dépasse pas le stade de la figuration, que l’avenir du Front national est plus qu’incertain - mais pas mort -, en raison de la dévaluation de Marine Le Pen, Laurent Wauquiez a une carte à jouer mais son fusil n’est qu’à un coup. La politique en France, c’est quand même plus marrant que le Loto.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Qu’est-ce que la Super Classe Mondiale qui nous dirige ? Réponse en 10 points

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    Par Michel Geoffroy, essayiste

    Michel Geoffroy, contributeur régulier de Polémia, a récemment publié La Super-classe contre les peuples. Cet ouvrage, préfacé par Jean-Yves Le Gallou, s’attache à démasquer ceux qui détiennent le pouvoir dans le monde moderne. Avec ce dévoilement magistral de la super-classe mondiale, Michel Geoffroy permet de poser les bases d’une reconquête essentielle : celle de notre liberté.
    Michel Geoffroy étant un pilier de Polémia, nous vous proposons une analyse en 10 points de cette super-classe mondiale qui fait tout pour nous diriger.
    Polémia

    1/ La Super Classe Mondiale (SCM)n’est pas un fantasme : elle existe bien et elle a pris le pouvoir en Occident et notamment en Europe Occidentale.

    Elle est propriétaire des médias, elle finance le microcosme culturel, les ONG et les groupes de pression et elle impose partout une politique qui va à l’encontre de la volonté du corps électoral. En France elle a réussi à faire élire son candidat lors de la présidentielle de 2017 : Emmanuel Macron

    2/ La SCM correspond à la domination sans limite de l’économie et de la finance sur la société et sur la souveraineté politique, qui s’est produite à la fin du XXème siècle.
    La SCM regroupe les super riches qui veulent s’enrichir toujours plus, grâce notamment à la dérégulation économique et financière. Grâce aussi à la modification des lois fiscales à leur profit. Grâce enfin au « socialisme des riches » qui consiste à mettre à la charge de la collectivité les charges induites par la mise en œuvre des politiques libre-échangistes, pendant que ses bénéfices reviennent à la seule oligarchie

    La SCM incarne la domination sans partage de la loi de l’argent, donc la réduction des hommes à l’état de simple ressource au service des plus riches.

    Pour cette raison on ne pourra remettre à sa place la SCM, si on ne régule pas l’économie et la finance mondiales

    3/ La SCM incarne aussi le retour d’une vieille eschatologie: la prétention hérétique de bâtir le paradis sur terre et d’unifier le genre humain, sans attendre la venue ou le retour du Messie, prétention qui a été reprise par le messianisme protestant et sa croyance en la destinée manifeste des anglo-saxons. Cetteeschatologie fonde le projet cosmopolite ou mondialiste de la SCM, qui se prétend éluepour ce faire.
    Ce projet est bien un complot contre la liberté, la souveraineté et l’humanité de l’homme. Car le gouvernement mondial n’ouvrirait pas la voie à une « démocratie planétaire » mais au contraire à la dictature mondiale de l’oligarchie.En accusant les autres de complotisme la SCM pratique en réalité l’inversion accusatoire.

    4/ La SCM est une classe sociale : c’est une oligarchie transnationale qui partage plus de traits communs qu’avec sa population d’origine. C’est une classe qui se croit suffisamment éclairée pour prétendre faire le bien des gens malgré eux.
    Elle correspond au parti de Davos : de ceux qui se rencontrent tous les ans lors du World Economic Forum de Davos, qui partagent la même vue du mondelibérale/libertaire et cosmopolite et qui l’imposent aux gouvernements.

    5/ La SCM a pris le pouvoir en Occident grâce à la conjonction de trois changements historiques majeurs au cours du XXème siècle : l’avènement de la surpuissance anglo-saxonne, la fin du socialisme et du communisme et enfin la mondialisation de l’économie. La fin du socialisme et du communisme a notamment provoqué le grand soulagement des super-riches qui n’ont plus à craindre en Occident une révolution qui menacerait leurs privilèges et leurs intérêts : avec l’immigration, les délocalisations et bientôt l’intelligence artificielle, ils pensent même avoir trouvé le moyen de remplacer les peuples puis de se passer d’eux. Et la mondialisation a donné aux grandes entreprises transnationales plus de pouvoirs que de nombreux Etats, de plus en plus paupérisés.
    Les milliardaires anglo-saxons ont toujours eu la prétention de gouverner le monde. Mais à la fin du XXème siècle, ils ont fini par croire qu’ils en avaient désormais la possibilité.

    6/ La SCM fonctionne par la mise en synergie de 4 cercles ou engrenages: le cercle de la richesse financière et économique transnationale, le cercle des médias et de la culture, le cercle des organisations non gouvernementales et de la société civile, enfin le cercle des élites publiques. Le cercle de la richesse financière et économique transnationale est celui où la puissance est la plus concentrée et la plus opaque : il dirige, influence et achète tous les autres cercles.
    Le premier cercle ne comprend que quelques milliers d’individus, mais les autres cercles sont plus nombreux, en particulier parce qu’ils regroupent des idiots utiles.

    La SCM repose pour cette raison sur un pouvoir impersonnel, désincarné et collégial donc insaisissable (par opposition à la tradition de l’incarnation du pouvoir en Europe)

    7/ La SCM est une oligarchie et non pas une élite : elle préfère toujours l’influence des autres à l’engagement personnel direct.
    C’est pourquoi on peut assimiler son action et son projet à un complot, car elle refuse de le soumettre au verdict démocratique : elle veut au contraire l’imposer subrepticement en le rendant inéluctable. Pour cette raison elle s’est rendue maîtresse du pouvoir médiatique en Occident, qui sert à ahurir la population, à diffuser l’idéologie libérale/libertaire et cosmopolite et à diaboliser tous ceux qui s’opposent au projet de la SCM.

    8/ La SCM fait avancer son projet et son agenda selon une dialectique du chaos et du contrôle. Elle sème le chaos partout comme moyen de détruire la résistance psychologique et l’homogénéité des peuples : c’est principalement le rôle dévolu au chaos migratoire en Europe. Mais aussi au chaos économique, conséquence de la dérégulation systématique, qui place les populations en insécurité économique et sociale croissantes. Ou au chaos moral qui sert à déstructurer les personnalités. Enfin la SCM ne répugne pas à la guerre comme moyen chaotique.

    Le chaos sert ensuite de prétexte à l’instauration du contrôle : la SCM substitue à la souveraineté nationale, le contrôle de la population, qui correspond à l’instauration de la post-démocratie en Occident. La post-démocratie illustre le caractère totalitaire du gouvernement mondial que la SCM voudrait instaurer à son profit : un système où les peuples se voient retirer le pouvoir de changer de politique, où les juges supplantent les législateurs et dont l’Union Européenne constitue le laboratoire

    9/ L’idéologie libérale/libertaire et cosmopolite a été le principal vecteur de l’instauration du chaos au service de la SCM en Occident. Parce qu’elle a contribué à détruire toutes les régulations qui faisaient obstacle à l’instauration du règne de l’argent. Et parce qu’elle a contribué à diffuser un individualisme radical qui détruit tout ordre social et qui ouvre la voie à la marchandisation du monde et finalement de l’homme lui-même.
    Mais la SCM pratique le double standard permanent : dans son comportement interne elle fait tout le contraire de la doxa libérale/libertaire qu’elle préconise pour le reste de la population : elle est hiérarchique, patriarcale et elle aspire au monopole, au pouvoir opaque et au contrôle, non pas à la liberté, à la transparence et à la concurrence

    10/ La SCM a réussi à mettre l’Europe en servitude et à s’enrichir démesurément. Par contre elle va échouer au XXIème siècle à contrôler le monde. La SCM n’est donc pas omnipotente: en fait le monde est en passe d’échapper aux mondialistes, en particulier parce que le cœur nucléaire de la SCM -les pays anglo-saxons- est entré en déclin, et parce que le monde devient multipolaire. L’idéologie de la SCM peine à s’imposer partout et en Europe même, elle soulève une opposition croissante.
    L’oligarchie en a bien conscience et il ne faut donc pas exclure que la SCM ait recours à la guerre mondiale pour tenter de garder son leadership coûte que coûte.
    C’est aussi pourquoi les Européens doivent se libérer de la tutelle de la SCM, qui ne peut que conduire à leur destruction, et pour cela, s’ériger en pôle de puissance autonome.

    Michel Geoffroy 30/03/2018

    La Superclasse mondiale contre les peuples, Michel Geoffroy, Editions Via Romana, 475 pages, 24 €

    Achat en ligne : https://www.polemia.com/la-boutique/

    Crédit photo : Georges Soros par Niccolò Caranti [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/super-classe-mondiale-contre-peuples-dirige-reponse/

  • DES ATTENTATS À LA PETITE DÉLINQUANCE : L’ÉTAT NE NOUS PROTÈGE PLUS !

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    L’information est passée inaperçue. Il faut bien dire que les actualités ont été surchargées en événements dramatiques, en horreurs épouvantables, comme nous y sommes tristement habitués depuis désormais près d’une décennie. Rue Pasteur, à Tomblaine, en Meurthe-et-Moselle, Kévin M. est mort après avoir reçu plusieurs coups de couteau, sous les yeux de sa compagne et de ses trois enfants. Il a été tué pour une banale dette d’argent.
    Tous les jours, en France, des gens meurent ainsi, assassinés de la plus atroce des manières. Quand ce ne sont pas des islamistes qui tirent au pistolet sur des innocents, qui écrasent des passants au volant d’un 36 tonnes ou qui égorgent des héros comme le lieutenant-colonel Beltrame, ce sont des petits voyous qui tabassent, qui poignardent ou qui violent les femmes, sans que l’État ne semble en mesure de pouvoir endiguer le phénomène. 
    En cause, notamment, le laxisme judiciaire qui donne un sentiment d’impunité aux voyous. Le parcours de Redouane Lakmid, terroriste islamiste de l’Aude, est exemplaire de tout ce qui ne va pas dans notre pays. Ce binational franco-marocain naturalisé en 2004 après que son père a obtenu la nationalité française a connu un parcours chaotique, parsemé de nombreuses arrestations pour trafic de stupéfiants ou outrages à agent détenteur de la force publique. 
    Bien évidemment, il était aussi fiché S pour sa sympathie à l’égard des idées djihadistes. Un personnage qui se confond donc avec ses prédécesseurs : Khaled Kelkal, Mohammed Merah, Salah Abdeslam, Chérif et Saïd Kouachi, Sid Ahmed Ghlam, Abdelhamid Abaaoud, Samy Amimour, Amedy Coulibaly, Ismaël Omar MostefaÏ, Mehdi Nemmouche, Ahmed Hanachi, etc. 
    Nous souffrons de deux maux différents qui se nourrissent l’un l’autre. L’immigration et le laxisme, c’est-à-dire l’inaptitude de l’État à garantir l’ordre public, sont deux fléaux parallèles. Le résultat est visible quotidiennement. Songeons à Murielle Knoll, rescapée de la Shoah âgée de 85 ans, assassinée puis brûlée dans son appartement parce que juive. Ses enfants n’auront même pas une photo en souvenir pour la pleurer, car il ne reste plus rien d’autre que des cendres. 
    L’État doit reprendre en main l’école et l’éducation des jeunes dans les endroits où la République et la France sont bafouées, et où les voyous ont plus d’autorité que les professeurs. Mai 68 a entraîné l’émergence d’une culture de l’excuse insupportable qui fait du criminel une victime de la société. Cette inversion des valeurs a ensauvagé la France. Désormais, la police est vue comme un instrument de répression, alors qu’elle est l’outil de notre protection. 
    Si nous n’agissons pas vite, la France sera purement et simplement détruite, deviendra une zone de guerre rongée par l’insécurité, les gangs et l’islamisme. Posez-vous la question aux prochaines élections : est-ce ce pays que vous entendez léguer à vos enfants ? Les responsables de la violence aveugle des rues portent des noms. Ils ont dirigé des partis politiques, des associations. Ils ont désarmé les forces de l’ordre, pris les commandes des syndicats de la magistrature. Ces gens ont échoué, le « vivre ensemble » qu’ils ont promu est, présentement, un « subir ensemble ».

     Députée européenne du FN
  • Facebook et l’affaire Cambridge Analytica, l’arbre qui cache la forêt ?

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    Le référendum sur le Brexit et l’élection américaine ont-ils été truqués? Rachel Marsden revient sur l’affaire Cambridge Analytica en compagnie de Yannick Harrel, professeur en cyberstratégie et expert à l’Union Internationale des Communications.

    https://fr.novopress.info/210217/facebook-et-laffaire-cambridge-analytica-larbre-qui-cache-la-foret/

  • PAS DE PANIQUE, CECI N’EST PAS UN ATTENTAT…

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    « Nous ne sommes pas dans une affaire de terrorisme, très clairement », a déclaré le procureur de la République de Grenoble. Nous voilà rassurés. Le jeune Anouar N., qui a foncé jeudi au volant d’un véhicule sur un groupe de militaires de Varces, dans l’Isère, n’est pas un terroriste. « On n’est pas dans une tentative d’homicide, plus dans les violences avec arme », a-t-il ajouté. C’est vrai, ça, lorsque quelqu’un tente de renverser volontairement des passants dans la rue, au volant de sa bagnole, c’est pour expulser une certaine violence, rien d’autre, pas pour « homicider ». En gros, la différence entre la course de vachettes et la corrida. Et le procureur, bonhomme, de conclure : « Il faut ramener cette affaire à de plus justes proportions. » Circulez, y a rien à voir, messieurs-dames. Le procureur a peut-être raison. Il a sans doute raison. Il a forcément raison.

    Néanmoins.

    Cette affaire nous amène à nous poser quelques questions. Qu’est-ce qui fait la différence entre un acte terroriste et un simple acte de violence avec arme (au passage, on notera qu’un véhicule est une arme par destination) ? La « réussite » de l’acte ? Le niveau de terreur éprouvée par les cibles ? Nos soldats sont des gars aguerris, comme l’expliquait, hier, sur l’antenne de BFM TV, le chef d’état-major de la 27e brigade de Montagne ; plus aguerris, en tout cas, qu’une vieille dame revenant de ses commissions. Ils n’ont donc pas été terrorisés et ont eu les bons réflexes. Ou bien encore, est-ce le fait que l’auteur n’a pas prononcé le mot magique, le sésame, le fameux « Allah Akbar » ? Le lien avec une entreprise terroriste ? On le sait maintenant, Daech et compagnie fonctionnent comme une franchise. Nos terroristes « endogènes » ne reçoivent pas d’ordres en écoutant la radio le soir dans le grenier, attendant patiemment que soit lâché sur les ondes le nom de code qui leur enjoindra de déclencher une action. Daech « valide » a posteriori. Sûrement pas quand ça rate. 

    En tout cas, si l’acte de violence de Varces n’est pas un acte terroriste, cela y ressemble beaucoup. Le procédé est bien celui utilisé par les terroristes. L’affaire se termine bien pour nos militaires. Mais imaginons que l’un d’eux ait eu les jambes broyées ou le crâne fendu : que l’acte soit qualifié de terroriste ou pas, le résultat était le même.

    Aujourd’hui, en France, on le sait, le terrorisme islamiste se nourrit de la délinquance et de la criminalité. Mais l’« incident » de Varces montre qu’en retour, d’une certaine façon, la délinquance et la criminalité se nourrissent du terrorisme islamiste. En effet, foncer en véhicule sur des militaires ou des policiers est un procédé utilisé par les terroristes. Le terrorisme fait donc des émules à bon compte, ce qui concourt, évidemment, à installer un climat, sinon de terreur, tout du moins d’insécurité permanente dans le pays. La preuve : hier matin, les enfants des écoles environnantes ont été confinés. On en est donc là, aujourd’hui, en France.

    Ceci n’est donc pas un attentat terroriste, nous dit le procureur. Dont acte.

    Les médias nous disent qu’Anouar N., vingt-quatre ans, vingt-cinq condamnations au compteur tout de même, aurait traité les soldats de « sales Français ». Étonnamment, l’expression « injure raciste » n’est pas employée par les médias et le procureur ne semble pas avoir retenu ce fait, tout du moins dans les déclarations rapportées par la presse. Il est vrai que le jeune homme aurait été sous l’empire de l’alcool. Joker…

    http://www.bvoltaire.fr/de-panique-ceci-nest-attentat/

  • Aucun compromis avec ces gens là !

    433590952.jpgJean-François Touzé

    Membre du Bureau du Parti de la France

    Ils ont, par idéologie pour les uns, par cupidité pour certains, par facilité pour les autres, organisé l'arrivée massive de millions d'immigrés sur notre sol national.

    Ils ont encouragé ou entretenu le sentiment pervers d' une culpabilité coloniale de la France.

    Ils ont détruit, les uns après les autres, les murs porteurs et les colonnes de force de notre cohésion civique que sont la famille, l'école, l'armée et la mémoire nationale.

    Ils ont, d'années en années, systématiquement affaibli nos outils de défense et de sécurité.

    Ils ont abaissé jusque à les rendre inopérants les réflexes moraux et patriotiques sans lesquels les nations se décomposent.

    Ils ont cassé l'Etat, érodé son autorité, renoncé à son action de volonté.

    Ils ont abdiqué toute ambition française de peser sur les affaires du monde.

    Ils se sont vautrés dans leurs jeux politiciens, claniques et partisans quand il leur aurait appartenu de se situer au dessus des calculs subalternes et des ambitions personnelles qui ne sont que passions enfantines.

    Ils ont abandonné des pans entiers de notre territoire aux bandes organisées, à la racaille et à la propagande des imams.

    Ils sont responsables des centaines de morts massacrés au nom d'Allah sur notre terre chrétienne de France, comme ils le seront de ceux qui, immanquablement, tomberont dans les mois et les années à venir, sous les coups des fanatiques islamiques.

    Mis, ces quarante dernières années, à la tête de l'Etat pour le servir, défendre et promouvoir la Nation, faire respecter la République, ils ont failli.

    Ils sont responsables et coupables.

    Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron... Ça suffit !

    Notre combat politique est global, total et illimité jusqu'à ce que soit abattu ce Système mortifère.

    Aucune alliance, aucune union, aucun "consensus républicain", aucun compromis avec ces gens là !

  • Tentative d’attentat à Varces. Pourquoi vouloir cacher l’origine de son auteur à l’opinion publique ? – par Aristide Leucate

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    Il importe de ne pas prendre les gens pour des imbéciles et d’accepter de regarder ce que l’on voit.

    Il est, comme ça, des séries noires qui s’apparentent à la fameuse formule, attribuée en son temps à Jacques Chirac, selon laquelle « les emmerdes arrivent toujours en escadrille ». Sauf qu’en d’autres circonstances, c’est-à-dire en dehors de l’égorgement intentionnel d’un gendarme lors d’une attaque terroriste, ces fameuses « séries noires » alimentent habituellement et en abondance la rubrique des faits divers de la presse quotidienne régionale.

    Dans la matinée de ce jeudi, une voiture a foncé sur des chasseurs alpins du 7e BCA (le fameux et légendaire « 7 » à la fière et indestructible devise « de fer et d’acier ») près d’une caserne à Varces-Allières-et-Risset (Isère), non loin de Grenoble, sans, heureusement, que l’on ait à déplorer de victimes parmi les militaires. Et l’auteur de cet acte a fini par être interpellé par les policiers de la brigade de recherche et d’intervention.

    Comme un air de déjà-vu, si l’on en croit Le Dauphiné qui relate que « le 1er janvier 2016, en début d’après-midi, quatre militaires du 93e régiment d’artillerie de montagne (Varces), en patrouille dans le cadre de l’opération Sentinelle devant la grande mosquée de Valence, avaient été attaqués par un automobiliste qui, au volant d’une Peugeot 307 SW rouge, leur avait foncé dessus, à trois reprises ».

    Il faut être aveugle ou de singulière mauvaise foi pour ne pas voir dans cette réplique au mode opératoire quasi similaire – de la cible militaire jusqu’au véhicule incriminé qui serait une voiture volée de la marque Peugeot – un acte criminel délibéré s’inscrivant précisément dans le contexte de la récente et meurtrière attaque de Trèbes (Aude). Le suspect ayant même proféré des insultes en arabe, il est encore plus malaisé de ne pas en déduire, avec le plus élémentaire bon sens, que nous ne sommes pas en présence d’un mahométan dans ses grandes œuvres djihadiques.

    En résumé, à écouter les principaux médias télévisés, « l’on ne sait rien du profil de l’automobiliste, mais l’on sait que ces actes n’ont pas de caractère terroriste ». D’une manière générale, ce type de commentaire ressortit bien souvent à l’argument d’autorité – parce qu’émis par un média –, voire à la pétition de principe. La valeur à y accorder est donc à peu près insignifiante ou nulle, tant le recours à des notions comme celle de terrorisme, voire d’attentat, s’avère plutôt délicat au regard de notre Code pénal. En d’autres termes, les journalistes, y compris « spécialisés » (ou peu s’en faut), n’y entendent fifre.

    Il convient, en effet, de se reporter aux articles 421-1 à 421-2-6 pour avoir une idée de ce que la société entend réprimer lorsqu’elle incrimine de la sorte tel ou tel agissement criminel commis « en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ».

    Or, on ne demande pas à un journaliste de faire office de juridisme patenté, mais de rapporter les faits avec le maximum d’honnêteté et le minimum de parti pris – sauf, en cas contraire, à annoncer préalablement la couleur, le journalisme d’opinion n’étant pas moins acceptable que celui d’investigation.

    De fait, il importe de ne pas prendre les gens pour des imbéciles et d’accepter de regarder ce que l’on voit. En l’occurrence, une approche purement factuelle de l’événement n’interdit pas de tirer explicitement les conclusions qui s’imposent d’évidence. Ainsi, sans s’abriter derrière des périphrases et autres duperies euphémistiques, doit-on considérer que l’homme qui voulait écraser des militaires souhaitait symboliquement attenter à l’État et notamment à sa politique – plutôt pusillanime – d’éradication de l’islamisme hors de ses frontières, notamment en Afrique – des éléments du 7e BCA étaient partis combattre au Mali. La parlure arabisante de l’auteur nous renseigne, qui plus est, sur ses origines extra-européennes, ce qui oblige, volens nolens, à un amalgame d’autant plus salutaire qu’il ose montrer l’ennemi en ses multiples avatars (loup solitaire ou chien de meute).

    Pratiquer autrement relève du mensonge par omission, voire d’une dénégation obstinée et suspecte du réel à des fins clairement manipulatoires et dolosives. Tel est, hélas, l’état pitoyable dans lequel se trouve majoritairement le journalisme nord-coréen européen.

    Aristide Leucate

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

  • Big Brother – “Google garde tout” : un internaute révèle comment le géant de l’internet nous suit à la trace

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    La semaine dernière, un développeur irlandais, Dylan Curran, a publié sur Twitter toutes les informations que Google stockait à son sujet.

    Franceinfo l’a interrogé sur cette impressionnante collecte de données.

  • Les Tartarins de Londres

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    Georges Feltin-Tracol

    Plus fort que les inspecteurs Barnaby et Morse, Simon Templar, John Steed, Emma Peel, Tara King, Sherlock Holmes et James Bond réunis, Scotland Yard a résolu en moins d’une semaine l’empoisonnement de Sergueï Skripal et de sa fille Youlia dans une rue de Salisbury. Cet officier du GRU, les services de renseignement militaire russe, avait livré de nombreuses informations aux Britanniques avant de s’installer en Occident.

    Theresa May, la rombière du 10, Downing Street, cheftaine inaudible d’un ramassis de ministricules incompétents, a finalement accusé Moscou d’être à l’origine de cette action clandestine dont le mode opératoire rappellerait l’empoisonnement au polonium 210, une substance radio-active, d’Alexandre Litvinenko en 2006. Londres riposte par le gel de toutes relations bilatérales avec les autorités russes, l’expulsion de 23 de leurs diplomates et l’absence de représentant officiel à la Coupe du Monde de balle au pied de juin prochain. Nul doute que ces sanctions terrifient Vladimir Poutine…

    Berlin, Washington et Paris ont bien sûr apporté un soutien inconditionnel au régime britannique tandis que le laquais norvégien qui s’occupe de l’OTAN a exigé de la Fédération russe une coopération pleine et entière. Ces gens-là sont d’une impudence incroyable ! En effet, comment en une dizaine de jours, les enquêteurs britanniques peuvent-ils accuser les services secrets moscovites sans même suivre d’autres pistes (mafias d’Europe de l’Est, officines pro-Wall Street bellicistes anti-russes qui souhaitent une nouvelle guerre froide, etc.) ? Pourquoi un tel empressement si soudain et fort suspect ? Seul le chef de l’opposition travailliste, Jeremy Corbyn, a exprimé un scepticisme de bon aloi mal compris par quelques-uns de ses propres députés inféodés aux agences occidentales.

    Si prompts à dénoncer la main de Moscou dans tous les désordres mondiaux, y compris en météo avec la fameuse masse d’air froid « Moscou – Paris », les flics britanniques ignorent toujours l’identité de Jack l’Éventreur et ont mis plus d’une décennie – une décennie ! – pour démanteler des réseaux de traite de jeunes Européennes violées et frappées par des trafiquants d’origine pakistanaise etafricaine. Si ces réseaux criminels avaient été contrôlés par des Russes, gageons que la répressionaurait été foudroyante, impitoyable et largement médiatisée.

    Le ministre des Affaires étrangères, le pantin ébouriffé Boris Johnson, Brexiter fanfaron, libéral mondialiste acharné et atlantiste patenté, se complaît dans ses diatribes débiles envers Moscou. Sa russophobie psychopathique s’explique par des origines cosmopolites, new-yorkaises et ottomanes.

    Le Royaume-Uni devrait cesser de s’occuper des affaires de la planète et accepter son sort post-historique d’État en voie de disparition avancée.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°71, diffusée sur Radio-Libertés, le 23 mars 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/