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magouille et compagnie - Page 1602

  • RIGUEUR POUR LA GENDARMERIE ET LA POLICE, MAIS PAS POUR LES MIGRANTS NI LA MAQUILLEUSE

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    La situation sécuritaire est alarmante. Et nos forces ne peuvent plus subir cette fuite en avant des « reports de charge ».

    Si, dans les sondages, la sécurité apparaît avec le chômage comme la première préoccupation des Français, elle n’a pas l’air d’être le souci prioritaire du gouvernement, en dehors des déclarations d’intention.

    En effet, sur les 4,5 milliards d’annulation de crédits, les ministères de l’Intérieur (526 millions) et de la Défense (800 millions) atteignent un total de 1,326 milliard d’économies, soit près d’un tiers de ces économies. Les chefs de la police et de la gendarmerie ont été auditionnés, le 18 juillet, par la commission des finances de l’Assemblée et ont expliqué aux députés qu’eux aussi, comme l’avait dit avant eux le chef d’état-major des armées Pierre de Villiers, seraient obligés de tailler dans le dur.

    Concrètement, le directeur général de la police nationale, Jean-Marc Falcone, a indiqué, selon Le Figaro, que « certains renouvellements ou apports de matériel de protection ou autre ont dû être remis à plus tard ». Et l’on a aussi appris que les études pour la construction de trois nouveaux commissariats, à Annemasse, Bourgoin-Jallieu et Saint-André de La Réunion, soit dix millions d’euros, ont été repoussées d’un an.

    Quant au général Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie nationale, il a lui aussi listé les annulations ou les reports: le sur-blindage de véhicules utilisés en outre-mer, les programmes immobiliers, le renouvellement de matériel de transmission, etc. Abandons et reports qui toucheront aussi les effectifs, avec les recrutements pour la Garde nationale constituée de réservistes.

    Face à ces annulations successives de crédits, le ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, lui, a assuré le 1er août, lors de la visite d’un centre d’hébergement d’urgence pour migrants, vouloir continuer à favoriser ces derniers : « Sous la responsabilité de mon ministère, il n’est prévu aucune coupe budgétaire. » Ainsi ce portefeuille qui avait déjà augmenté de 40 % entre 2012 et 2016, passant de 387 à 540 millions d’euros, devrait grimper à 740 millions d’euros. D’après Libération, l’accueil des réfugiés est l’un des rares secteurs à voir ses moyens s’accroître dans le prochain budget de 200 millions d’euros.

    Rigueur, rigueur, me direz-vous. Sauf qu’on se rend bien compte, encore une fois, qu’elle ne s’applique pas à tous. C’est une rigueur sélective, idéologique qui ne concernera pas non plus les députés (exemptés de CSG) ni la maquilleuse de Macron (qui a coûté 26.000 € en trois mois). Ce gouvernement, comme les précédents, trouve évidemment bien plus facile politiquement d’en demander toujours plus aux mêmes, à ceux, soldats, gendarmes et policiers qui obéiront sans barguigner. Comme toujours.

    Sauf que les choses changent. La situation sécuritaire est alarmante. Et nos forces ne peuvent plus subir cette fuite en avant des « reports de charge ». En juillet, le général de Villiers n’a pas hésité à le dire et a eu le courage de démissionner sur cette question.

    Mais ces compressions budgétaires provoquent aussi un ras-le-bol des personnels concernés. Ceci se concrétisera dans les semaines à venir par deux manifestations. « Les Femmes de militaires en colère » organiseront un grand rassemblement le 26 août à proximité des Invalides et les policiers manifesteront le 16 septembre à 13 h dans toute la France.

    Pas sûr que les leçons de rigueur de M. Macron soient paisiblement écoutées par les militaires de Sentinelle, les gendarmes mobiles et les CRS quand ils auront découvert le coût de sa maquilleuse, Natacha M.: 26.000 €, cela fait cher les cent jours, tout de même.

    Ceci alors que les alertes attentats se multiplient et que leurs ministères les font coucher sur des lits de camp et dans des locaux insalubres.

    http://www.bvoltaire.fr/rigueur-gendarmerie-police-migrants-maquilleuse/

  • Zoom - Xavier Raufer - Attentats de Barcelone : Une copie conforme de Bruxelles et Paris

  • "La grande majorité des terroristes n'ont aucun rapport avec la psychiatrie"

    Gérard Collomb, invité de RTL le 18 août, souhaite "mobiliser les hôpitaux psychiatriques" pour identifier les individus radicalisés en expliquant qu'il allait travailler en collaboration avec la ministre de la Santé.

    "Nous sommes en train de travailler avec ma collègue pour essayer de repérer l'ensemble de ces profils qui demain peuvent passer à l'acte". "Un certain nombre d'esprits faibles qui voient ce qui se passe, vont passer à l'acte par mimétisme et c'est ce contre quoi il faut se prémunir et il faut travailler". "Sur les fichiers des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, nous considérons qu'à peu près un tiers présente des troubles d'ordre psychologique"

    Romain Caillet, spécialiste de la question terroriste à RTL, dénonce :

    "Chercher à expliquer la radicalisation par la psychiatrie, c'est être à côté de la plaque, c'est ridicule d'en être encore là". "Leur engagement est idéologique et ne relève pas de la psychiatrie". "Voir la question jihadiste à travers un seul prisme, c'est très séduisant car ça évite de se poser les questions dérangeantes".

    Jacques Raillane, ajoute :

    "Deux ans après le Bataclan, on pensait avoir dépassé ce stade dun'importe quoi". "On a dit qu'ils étaient drogués, qu'ils étaient chômeurs, qu'ils étaient malades", "ça fait peur de penser que des gens pas fous puissent faire ça". "On va bientôt demander à Pôle Emploi de discerner des signes de radicalisation !"

    Le professeur en psychiatrie à Sainte-Anne et expert à la cour d'appel de Paris, Raphaël Gaillard, explique :

    "Il faut rappeler que la grande majorité des terroristes n'ont aucun rapport avec la psychiatrie". "On aimerait bien que ça relève de la psychiatrie mais ce n'est pas le cas".

    Paradoxe amusant, le professeur Gaillard craint une "stigmatisation des malades en psychiatrie" et d'un amalgame entre "folie et dangerosité" :

    "La plupart du temps, les malades en psychiatrie ne sont pas dangereux".

     Romain Caillet remet la réflexion sur ses bons rails : 

    "Qu'est-ce qu'une pratique fondamentale de l'islam ?"

    C'est là le vrai sujet.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’administration française, patron voyou

    Alors, ce code du travail, Macron va le simplifier, ou pas ? Réformera, réformera pas ? Au vu des dernières avancées – fort timides – et du dégonflement presque comique de la loi de moralinisation de la vie politique, on est déjà en droit de douter. Malgré tout, les parlementaires viennent de donner leur aval à la modification du droit du travail par ordonnance. Un nouveau chapitre législatif vient de s’ouvrir.

    Et concernant ce droit du travail, il y a de quoi faire, n’en déplaise à certains politiciens béats manifestement déconnectés du réel ainsi qu’aux instituts et autres émanations étatiques pour lesquels le principal obstacle au plein emploi ne serait pas, que nenni, dans cet épais ramassis de contraintes et de vexations furieuses (ben voyons).

    En pratique, l’évolution en poids, complexité et nombre d’articles de ce code et des procédures qui l’accompagnent est joliment corrélé à l’installation d’un chômage de masse dans le pays et d’un marché noir parfaitement assumé par une frange croissante de la population qui ne peut plus subvenir à ses besoins lorsqu’elle se contente de rester dans les clous. Comportement qu’on retrouve aussi bien du côté des employeurs que des employés : les premiers tendent à s’affranchir des déclarations et autres montagnes de cerfas qu’on leur impose, les seconds font progressivement tout pour favoriser sinon le black, au moins le troc et les renvois d’ascenseurs que l’administration fiscale, si elle pouvait les quantifier, n’hésiterait pas à taxer.

    Ce que la population générale subit et la façon dont elle réagit, les administrations publiques subissent aussi et, même si elles sont souvent les premières instigatrices de ces débordements législatifs compulsifs, les voilà qui réagissent parfois de la même façon… Ce qui donne des situations particulièrement croquignolesques.

    C’est ainsi qu’on découvre que l’URSSAF Bretagne vient d’être récemment condamnée à payer 150.000 euros à une ancienne salariée pour … non paiement d’heures supplémentaires, ainsi que pour un licenciement sans cause réelle ni sérieuse. Apparemment, ce sont 240 heures supplémentaires qui n’ont pas été payées parce que l’organisme – pourtant chargé de faire respecter aux entreprises des principes d’élaboration et de conservation des preuves de l’horaire de travail de leurs collaborateurs – a intentionnellement dissimulé les heures de travail de la plaignante.

    C’est aussi de la même façon qu’on découvre que la CARMI, Caisse Régionale de la Sécurité Sociale dans les Mines, est actuellement poursuivie pour avoir délivré 1117 contrats à durée déterminée à la même personne pour différents postes sur les 12 dernières années, couplés à des périodes de plusieurs semaines sans jours de repos et des enchaînements de postes sur plus de 12 heures d’affilée.

    Autrement dit, l’organisme « social », quasi ou para-public, se fend d’à peu-près tous les vices qu’un patron voyou ne pourrait espérer aligner sans se faire étriller par, justement, tous les organismes quasi ou para-publics que la France héberge généreusement et qui se chargeraient de bien lui faire comprendre le sens des réalités françaises et l’épaisseur de son code du travail.

    Je pourrais, assez facilement, multiplier sans mal les exemples de la sorte où telle administration territoriale exploite sans vergogne le petit personnel ou les agents contractuels virables ad nutum, tel organisme prétendument social fait dans l’esclavagisme plus ou moins camouflé derrière un salaire de misère et des conditions de travail insupportables, telle institution entretient les pires habitudes d’emploi au sein de ses équipes alors même que, officiellement, elle est chargée de faire respecter la loi et ce fameux code du travail sur lequel elle fait du trampoline les fesses à l’air…

    Mais ce n’est guère nécessaire, les deux exemples précédents suffisant largement à établir mon point : non seulement, les patrons voyous se trouvent aussi dans la fonction publique et assimilée, mais les pratiques de nos administrations n’ont, de ce point de vue, absolument rien à envier aux pires entreprises privées régulièrement dénoncées par une presse toujours aux aguets…

    D’ailleurs et de façon intéressante, là où cette presse n’hésite pas à se déchaîner lorsqu’un tel patron se fait attraper, elle reste bien plus sage et mesurée lorsqu’il s’agit d’institutions républicaines, réputées travailler pour le bien collectif, voire, soyons fous, pour ce vivrensemble qui fait vibrer tant de Français.

    Pourtant, ces institutions sont d’autant plus redevables à la population de leur exemplarité qu’elles tirent leurs budgets de cette dernière, de plus en plus mise à contribution. Elles devraient être d’autant plus irréprochables que ce sont ces mêmes entités qui viennent fourrer leur nez dans les affaires des Français pour leur infliger amendes, redressements voire peines de prison lorsque ces derniers n’ont pas respecté ces lois qu’elles piétinent si régulièrement et avec un cynisme qui frise la psychiatrie.

    Malgré cela et alors que ces exemples s’accumulent au fil du temps, la presse et ses journalistes affûtés comme du beurre chaud continuent de nous les peindre, régulièrement, comme les seules capables de ménager nos « biens communs », ce vivrensemble fameux et ces valeurs républicaines jamais écrites mais partout vantées.

    Plus grave : ce sont ces mêmes entités, ces mêmes administrations et leurs armées de bureaucrates qui seront chargées d’appliquer les « réformes » qu’entendent faire passer nos parlementaires.

    Finalement, le mécanisme est partout le même : à chaque fois, l’augmentation des lois et des contraintes, toutes censées améliorer la situation, finissent rapidement par l’empirer. Les codes, de plus en plus joufflus, sont alimentés par des politiciens de plus en plus déchaînés qui prétendent résoudre des problèmes que les adultes responsables résolvaient jadis très bien sans eux.

    Le code bancaire est devenu énorme ; jamais les banques n’ont aussi peu inspiré confiance aux déposants et jamais elles n’ont paru aussi fragiles. Le code immobilier est maintenant obèse et la France croule sous les SDF, les logements insalubres ; la pénurie de logement fait rage, les loyers flambent et devenir propriétaire semble chaque jour plus difficile.

    Les codes de l’urbanisme, de la sécurité sociale, du commerce, des assurances, de la consommation, de l’énergie ou de l’environnement ont tous considérablement augmenté, sans que ces augmentations puissent prétendre couvrir les problèmes posés au jour le jour. À croire que dans les années 50, 60 ou 70, lorsque la sialorrhée législative n’était pas généralisée, la France n’était qu’un pays de barbares où rien n’était régulé et où chacun pouvait, à tout moment, se faire détrousser en toute impunité, et que, depuis, seule nous a sauvé du pire la production continue et intensive de textes abscons dans l’un des près de soixante (!) codes disponibles dans ce pays d’indécrottables ronds-de-cuir.

    Or, jusqu’à présent et devant ce constat, la réaction globale fut dans le pire des cas d’en ajouter une couche en estimant que les problèmes observés étaient essentiellement dus à une trop grande timidité dans la production législative. Dans le meilleur des cas, ce fut la « simplification administrative », et le quinquennat hollandesque nous aura permis de mesurer ce qui se cachait réellement derrière… à savoir une nouvelle bordée de lois et une couche administrative supplémentaire. (Si vous trouvez que le meilleur des cas ressemble furieusement au pire, vous avez raison.)

    Les parlementaires veulent réformer le code du travail ? Fort bien. Mais vu ces exemples, vu l’historique des réformes et vu ceux qui devront appliquer ces réformes, ne placez pas vos espoirs trop haut.

    De toute façon, ce pays est foutu.

    Source

    http://www.voxnr.com/12815/ladministration-francaise-patron-voyou

  • DES MIGRANTS POURRIS-GÂTÉS ?

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    À Cassel (dans le Nord), les migrants ont décidé de manifester pour réclamer ce qu’il leur apparaîtrait comme des droits inaliénables.

    Si les « migrants » (sic) ont parfois quelques difficultés à s’intégrer à notre société, il est un domaine où ils s’acclimatent plus que facilement. La réclamation de droits présupposés et incontestables étant en France un sport national, il est évident qu’y émigrer, même sans visa, ne peut se faire qu’en emportant dans ses bagages son lot de revendications. Aussi, à Cassel (dans le Nord), les migrants ont-ils décidé de manifester le mercredi 16 août dernier pour réclamer ce qu’il leur apparaîtrait comme des droits inaliénables.

    Si l’on en croit les bienveillants journalistes, ceux-ci se plaignent de « leurs conditions d’accueil ». La formule désormais consacrée semble suggérer combien les conditions doivent êtres insupportables et combien les revendications doivent être justifiées. Pour s’en persuader, les photos des journalistes nous montrent celles-ci écrites noir de feutre sur blanc de calicot, banderoles de fortune explicitant de façon concrète ce qui manque à leur dignité : « ÉCOLE POUR TOUS / SANTÉ POUR TOUS / MAISON POUR TOUS / L’ARGENT POUR TOUS / RESPECTEZ VOS PROMESSES / … / Y EN A MARRE. »

    Le poids des mots journalistiques ne devrait pas altérer le choc de la photo. Finalement, les conditions du CRTC (centre de répit temporaire et collectif) ne semblent pas si désastreuses. Ce qu’ils réclament n’est ni plus ni moins que le système généreux que la France propose à ceux qui auront franchi la frontière avec un visa (quel qu’il soit, d’ailleurs). L’école est gratuite, la santé est remboursée, le logement est sous prestations, il ne leur manquerait plus que l’argent, une pluie de billets qui devrait s’écouler sur eux… On apprend, cependant, qu’en lieu et place d’argent, ceux-ci ont droit à des tickets utilisables dans les commerces de la commune. Pour autant, cela est révoltant, eux qui aimeraient récupérer de l’argent liquide. On se demande bien pourquoi…

    Finalement, être dans le besoin autorise à certains caprices. Quand on a supposément connu les dictatures et la guerre et quand on a dû fuir son pays, avoir de telles exigences relève d’une force de caractère étonnante. Non que l’école, la santé ou le logement ne soient pas essentiels, mais arriver n’importe où et commencer par exiger autant a de quoi surprendre. Je pensais, à lire les grands titres, qu’il leur fallait un toit, de quoi manger, des W.-C. et des douches. En réalité, ils ont mis la barre un peu plus haut, de quoi reconsidérer toute envie de leur apporter une aide. N’en déplaise aux donneurs de leçons, être dans le besoin se mérite.

    À l’heure où le pape François émet quelques réserves sur notre capacité d’accueil, ou suppose du moins que l’amour inconditionnel au Christ exige un accueil tout aussi inconditionnel à ces migrants, il est des revendications aux sons discordants et stridents dans le contexte actuel. S’il faut aimer son prochain comme soi-même, sans doute faut-il aimer les migrants comme nos enfants, et leur rappeler que la vie n’est pas un dû perpétuel. Quand un nombre considérable de (trop) bonnes volontés leur donne gîte, couvert, douches et finances, ils se devraient d’abord de les remercier, et d’avoir la colère vindicative modeste.

    Au lieu de cela, nous aurons à supporter de sempiternels droits illusoires revendiqués par des migrants arborant des pancartes toutes tracées par le feutre de leurs bienfaiteurs d’extrême gauche. Il est normal que les enfants gâtés de la République apprennent à leurs nouveaux amis comment se comporte un pourri-gâté, dussent-ils annihiler tout désir de charité chez ces bienfaiteurs, qu’elle soit individuelle ou collective. N’en déplaise aux donneurs de leçons et au pape François, les pauvres ne sont plus ce qu’ils étaient.

  • NE PAS SE TROMPER D’ENNEMI (3) : LE GÉNÉRAL LEE ?

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    À travers l’idéologie antiraciste, pourchassant les « phobies » en tout genre, l’intolérance a subrepticement changé de côté. La tolérance, aujourd’hui, ne se limite pas à l’acceptation de l’autre, elle exige de ceux qui sont plus réticents qu’ils renoncent à leur résistance et même à toute affirmation trop visible de leur identité. Le politiquement correct a métamorphosé la tolérance en intolérance, notamment à l’encontre des nostalgiques de l’identité autochtone.

    Ainsi, un événement malheureux mais très secondaire dans la situation mondiale actuelle a cependant bénéficié d’une audience planétaire. Une poignée d’extrémistes qui veulent protéger une statue du généralissime sudiste dans une petite ville de Virginie ne menace pas la démocratie américaine, ni n’attente aux droits des Noirs qui ont, fort heureusement, progressé. Sans la contre-manifestation, cette réunion de nostalgiques serait passée inaperçue. Malheureusement, au milieu de la confrontation que la police n’a pas évitée, un extrémiste a été tué.

    Le président a alors été sommé de choisir son camp. Il ne l’a pas fait clairement contre la volonté de l’Establishment. Il a pensé, en effet, que l’Amérique était le pays du pluralisme et de la tolérance, avec le droit d’exprimer des idées minoritaires et révoltantes, mais sans user de violences. Il a aussi insisté sur l’importance d’affirmer l’unité du pays dans sa diversité. L’identité du « Sud profond » fait aussi partie des États-Unis. Lee, le « déboulonné » qui avait été l’un des héros de la guerre contre le Mexique, avait moins défendu l’esclavage que la liberté des États. La suprématie du Nord industriel sur le Sud des grandes plantations ne signifiait pas seulement la libération des esclaves, mais aussi l’écrasement d’une économie moins avancée par une autre qui l’était davantage.

    La victoire de l’Union sur un Sud courageux et plein de panache, et la domination très dure des vainqueurs, avec l’arrivée des « carpetbaggers », ont laissé des traces. Le cinéma américain a le mérite d’évoquer cette histoire sans se limiter à une lecture, même si, avec le temps, l’élégance sudiste s’est estompée, et si la question de la ségrégation est devenue plus lancinante. Naissance d’une nation, de Griffith, est à la fois l’un des grands films de l’histoire du cinéma et une apologie du Ku Klux Klan ! Faut-il le censurer ou, au contraire, faire le pari de la liberté et de l’éducation ? L’acharnement de la gauche à tuer deux fois les morts – les Vendéens massacrés par la Terreur, les pieds-noirs chassés d’Algérie, les sudistes du Dixieland – n’est pas à l’honneur de la démocratie. Le Sud esclavagiste était démocrate. Le Sud conservateur vote républicain. Le gouverneur Wallace, qui s’opposait à l’égalité raciale dans l’éducation, y a été contraint par le président républicain Eisenhower.

    La démocratie facilite ces évolutions « en douceur » quand elle tolère la pluralité des idées et des familles de pensée issues de l’Histoire. Le véritable ennemi est celui qui veut détruire en totalité cette histoire, et c’est lui qu’il faut combattre.

    http://www.bvoltaire.fr/ne-se-tromper-dennemi-3-general-lee/

  • Décryptage – Le Daily Stormer déréférencé sur l’ensemble du net. Une censure sans précédent.

    Un nouveau précédent pour la censure Internet

    Vous n’en avez peut-être pas entendu parler, vous ne connaissez peut-être même pas ce site internet ou le considérez comme indésirable, mais il faut s’en inquiéter malgré tout. Cette semaine, le Daily Stormer, site d’information anglophone placé à la droite de l’extrême droite, vient de perdre tous ses référencements sur Google, Facebook, et même l’internet entier.

    Il s’agit d’un des plus grands scandales en termes de liberté d’expression depuis des années. Vous n’en entendrez pas parler dans les médias d’informations traditionnels. Aucune figure de la droite ne sera vue en train de défendre ceux que l’on étiquette « nazis ». Aucune attention ne sera vraiment portée si l’un de ces sites internet « nauséabonds » est désactivé. Pourtant, pensez bien au précédent que cela crée. L’ICANN (l’agence à but non lucratif qui régit la totalité de l’internet depuis 1998), qui ne rend de comptes à personne, est capable de retirer un site de l’entièreté de l’internet pour crime idéologique.

    Nous pensions que si nous n’avions nul part ailleurs où développer nos idées, l’internet serait toujours une plateforme sûre pour les opinions alternatives. Avec le recul, il s’agissait d’une idiotie. Les élites contrôlant tous les aspects les plus importants du monde moderne mettront toujours leur propre survie avant n’importe quel autre intérêt. Si quoi que ce soit menace les idéaux qu’ils chérissent, ils le feront partir en fumée. Observez avec quelle vitesse les libres penseurs, les sceptiques et les libéraux deviennent les partisans de l’autorité les plus zélés quand leur pouvoir est menacé. Pensez donc au fait suivant : les sites pro-DAESH, eux, ne sont pas déréférencés !

    Le crime du Daily Stormer était devenu trop gros et trop visible à une époque où les élites commencent à se demander si la croissance que connaît la droite pourrait demeurer durablement. C’est pour cela qu’on les a abattu, et ce ne seront pas les derniers.
    A ceux qui se demandent ce que signifie le bannissement du Daily Stormer des services de domaine de l’ICANN, cela signifie de façon effective que le Daily Stormer a été littéralement banni de l’entièreté de l’internet, à jamais.

    Oui, c’est un gros problème. L’ICANN en tant qu’organisation est littéralement le gardien de l’internet dans le monde entier.
    Votre site internet n’existe pas sur l’internet sans leurs services de domaines. Personne ne peut l’atteindre. Et l’ICANN vient de bannir un site pour crime idéologique. Cela crée un précédent extrêmement dangereux. L’ICANN a le pouvoir de vous réduire au silence et de vous retirer votre plateforme, sans avertissement et sans recours. Et il est clair qu’aujourd’hui, ils se trouvent du côté de l’idéologie haineuse et irrationnelle des libéraux. Pire encore, TOR, le projet de réseau anonyme de deep web (réseau internet caché, en dehors du réseau traditionnel internet) et son équipe de développement viennent de désavouer à leur tour le Daily Stormer, lequel comptait trouver refuge sur leurs nœuds et leur réseau.
    Effrayant quand on sait qu’opèrent avec impunité sur ce réseau des sites de pédophilie, de marché noir, de vente de drogues et autres individus répugnants…

    Ayez peur, car c’est terrifiant. Mais surtout, balancez l’information autour de vous, et visitez le Daily Stormer en continuant à le faire vivre par vos clics.

    Louis Vitéz

    https://www.suavelos.eu/decryptage-daily-stormer-dereference-lensemble-net-censure-precedent

  • NE PAS SE TROMPER D’ENNEMI (2) : L’HÉRITAGE CALAMITEUX DE BARACK OBAMA

    Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.

    Faute de désigner clairement un ennemi, le mandat de Barack Obama a été calamiteux. Il a, en fait, rapatrié l’ennemi, en donnant la priorité au combat de l’Amérique contre elle-même, en privilégiant le progressisme à l’intérieur et donc la lutte contre le conservatisme sociétal et social, tout en prétendant exporter les valeurs américaines de tolérance à l’extérieur. Le conservatisme, voilà l’ennemi, tel est le slogan qui peut résumer son action et qui a tellement plu à notre microcosme national dont Macron est le fleuron. Cela a conduit à encourager la renaissance de l’islam et à imaginer sa compatibilité avec la démocratie lors du discours du Caire et à s’opposer systématiquement à la Russie qui, par un incroyable retournement, est devenue la championne du conservatisme, le paradigme du patriotisme identitaire. La pression à l’intérieur comme à l’extérieur pour que des droits soient reconnus en fonction de la pratique sexuelle, par exemple, restera une marque de l’ère Obama, que l’on considère davantage comme un signe de décadence au pays de Poutine.

    Les « principes de progrès, de tolérance et de justice communs à l’islam et aux États-Unis » évoqués par le président des États-Unis au Caire suffisent à souligner son degré d’ignorance ou de mauvaise foi. Rien, dans l’histoire de l’islam, ne vient étayer ce discours séducteur et mensonger. Depuis, les Occidentaux savent à quoi s’en tenir, puisque les islamistes font régner, partout où ils le peuvent, la régression, le fanatisme et la ségrégation entre hommes et femmes, croyants ou non-croyants. La haine et la violence barbare et sans limite qu’elle engendre désignent clairement l’ennemi : notre civilisation, sous ses deux formes pourtant très distinctes : chrétienne et hédoniste. Il faut être aveugle pour ne pas voir que nous sommes la cible. Malgré l’écrasement, bien tardif et poussif, de l’État islamique, le mal s’est répandu sous de multiples formes. Jamais l’image de l’hydre n’a été plus adaptée. Or, Washington s’est concentré avec mollesse sur une seule tête, pendant qu’il en nourrissait ou en caressait d’autres.

    Étrangement, ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental. Il s’accentue même depuis l’élection de Donald Trump. Celui-ci doit avoir une idée plus lucide de l’ennemi, mais il est obligé en permanence d’éviter les mines semées par son prédécesseur, et que renforcent parfois ses « amis » adeptes du politiquement correct. Obligé de communiquer prioritairement par les réseaux sociaux, il est constamment en butte à l’inquisition médiatique et à la mobilisation des organisations gauchistes, spécialistes des manifestations musclées. Harcelé continuellement par les soupçons sur les relations de son entourage avec la Russie dont on se demande bien comment elle aurait pu, si peu que ce soit, modifier le résultat des élections, il navigue à la godille, bombardant les Syriens un jour, suspendant l’aide aux rebelles le lendemain, et approuvant de mauvais gré de nouvelles sanctions contre la Russie le surlendemain. Le Congrès, pour une fois largement républicain avec un président du même parti, est loin de le soutenir. On se demande parfois si, dans les rédactions occidentales, et pour le microcosme qui définit et impose l’idéologie du politiquement correct, Trump n’est pas l’ennemi absolu, en tant que symbole vivant du conservatisme populaire, « élu des ploucs », pensent-ils très fort, tandis que l’islamisme ne serait que la conséquence passagère et excusable de tout ce que l’Occident a fait subir au reste du monde. À domicile, ce combat aveugle et suicidaire se pare du voile moralisateur de l’antiracisme. (À suivre.)

    http://www.bvoltaire.fr/ne-se-tromper-dennemi-2-lheritage-calamiteux-de-barack-obama/

  • QUELLE GUERRE ?

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    Pieter Kerstens 

    Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Contre qui ? Combien ?

    Autant de questions auxquelles les responsables politiques répondent inlassablement et sans variante : « nous sommes en guerre contre le terrorisme ! ».

    De Nice à Londres, de Stockholm à Barcelone, en passant par Berlin, les tueries barbares se succèdent.

    On nous parle de voitures « folles » ou de camions « béliers ». Les conducteurs sont « déséquilibrés », sous l’emprise de médicaments ou alors totalement « bourrés ». La piste psychiatrique est maintenant systématiquement privilégiée…

    En conclusion, depuis 2 ans, de plus en plus de piétons sont des victimes malheureuses des accidents de la circulation.

    Mais, prudence, prudence, on doit absolument sanctifier le « Vivr’ensemble ».

    Il ne faudrait tout de même pas jeter de l’huile sur le feu… Et c’est pourquoi la mafia politico-médiatico-financière impose dès lors une langue de bois, alors que pour toutes ces tueries, les assassins sont dans une très large majorité des musulmans et que la comédie atteint le grotesque quand la presse Internet/TV /Radio nous diffuse les témoignages des voisins ou de la famille vantant les qualités (il était « si gentil », « travailleur », « sans problèmes », « timide ») de chacun des terroristes, sans que les journaux écrivent leurs prénoms : Saïd, Mohamed, Hassan , Abdeslam, Younes, Abdul ou Fayçal…

    Quand NKM avait prise une claque à Paris durant la campagne des législatives, TOUS LES MEDIAS se sont empressés de diffuser le nom, le prénom et l’adresse du coupable, qui a été jugé en 4ème vitesse : mais lui, ce n’était pas un rebeu !

    Les gouvernements nous prennent pour des imbéciles.

    Si tous ne s’en rendent pas encore compte, les électeurs restent chez eux, écœurés par les bassesses et la veulerie des pourriticards du « politiquement correct ».

    Une réaction des mougeons * n’est pas à exclure. Certains d’entre eux ouvrent lentement les yeux et découvrent que depuis des années nos gouvernants, nos politiques, nos institutions et la majorité de nos concitoyens font preuve de déliquescence morale, de décadence intellectuelle et d’un aveuglement prononcés.

    Une minorité grandissante estime nécessaire la restauration des valeurs ancestrales qui ont permis à l’Europe de diffuser sa culture et de défendre sa civilisation, par-delà les mers et au travers des siècles, à l’opposé de ce que l’on nous apprend.

    Un peuple qui se respecte, venge ses morts.

    Et ce n’est pas avec des pleurnicheries, des repentances, des fleurs, des devoirs de mémoires, des flagellations, des bougies, des culpabilisations et des doudous que l’on se débarrassera des fanatiques musulmans qui tuent nos enfants !

    *½ mouton ½ pigeon « En marche ».      

  • Prière à la mairie d’Oldham : Le double message de l’imam qui salue en réalité le djihadiste mort à Manchester

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    Suite à la publication par mes soins d’une vidéo montrant le maire musulman d’Oldham (Manchester), Shadab Qumer, imposer le récit d’une prière islamique par un imam lors du conseil municipal de la ville, les gens ont découvert avec stupéfaction la rapidité avec laquelle l’ennemi infiltre les institutions des états ouest-européens, même à l’échelle locale.

    Cette vidéo est un désastre en termes de communication, tant pour la gauche pro-musulmane que pour ses alliés musulmans. Il suffit pour s’en convaincre de lire les réactions stupéfaites des gens. Le journal d’extrême-gauche 20 Minutes a bien tenté, maladroitement, de se livrer à une intoxication en forme de “désintoxication”, rien n’y fait : tout le monde a vu ce qu’il fallait voir. Plus d’un demi-million pour ma seule page Facebook et bien plus par la suite puisqu’elle est reprise ailleurs.

    Je veux maintenant revenir sur un point crucial : la symbolique occulte qu’utilisent les islamistes et qui leur permet d’envoyer un message de mobilisation à leurs troupes tout en subvertissant leur ennemi. C’est-à-dire ici les Blancs de religion chrétienne ou agnostiques.

    Cette vidéo a été filmée le 12 juillet 2017, deux mois après l’attentat-suicide commis par un djihadiste à Manchester, le 22 mai. Officiellement, comme s’en flatte 20 Minutes, il s’agit de rendre “hommage” aux victimes :

    Dans la vidéo complète, qui est disponible sur le site de la ville, on entend la prière de l’imam, qui prie pour « se souvenir de ceux qui ne sont plus avec nous ». Une allusion aux victimes de l’attentat de Manchester, mais aussi à celles de l’attentat survenu au London Bridgeet à celles de l’immense incendie de la tour Grenfell à Londres. Après la prière, Shadab Qumer invite à respecter une minute de silence en leur mémoire.

    Posons-nous d’abord cette question très simple : est-il normal qu’après chaque attentat, il y ait toujours plus de manifestations de religiosité islamique en place publique et de discours expressément islamophiles de la part des autorités ? Non, bien sûr. Le réflexe humain le plus naturel, guidé par l’instinct de conservation, est de s’éloigner de la source de la menace.

    Or, plus la violence islamique se manifeste, plus les médias et les politiciens vantent les mérites de l’islam et de ceux qui s’en revendiquent.

    Alors, pourquoi ? Que se passe-t-il ?

    Eh bien c’est très simple : le terrorisme fonctionne.

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