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magouille et compagnie - Page 1599

  • Et maintenant, ils squattent les piscines…

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    Les millions de litres d’eau déversés dans les rues de nos quartiers ne leur ont donc pas suffi.

    Après avoir ouvert les précieuses bornes à incendie, les jeunes – enfin, les « djeunes » -, les désœuvrés de nos villes mais aussi de nos villages, ceux à qui la France et leurs parents n’ont pas su apporter le minimum d’éducation, s’en sont pris aux piscines.

    Les piscines municipales, d’abord, dans lesquelles ils trouvent un malin plaisir à se soulager, polluant l’eau déjà passablement impropre et où sévit parfois, avec la complicité des maires, quelques modes musulmanes fort peu hygiéniques. Un exemple parmi des dizaines d’autres : la piscine de Sanvignes, en Saône-et-Loire. Squattée par des dizaines d’ados et jeunes adultes mâles déjà bien bronzés et qui plongent, replongent en hurlant au point que les riverains ont porté plainte sans résultat. Le Journal de Saône-et-Loire a recueilli ce témoignage d’un voisin : « On appelle le commissariat, mais ils disent qu’ils ne peuvent rien faire, qu’ils ne sont pas assez nombreux. C’est tout juste si on ne les dérange pas à les appeler… La piscine de Sanvignes devient une zone de non-droit. »

    Il y a pire ! C’est l’invasion des piscines privées, de villas ou de résidences. BFM TV, dont on sait combien les journalistes sont politiquement corrects, a toutefois réalisé un court reportage sur le viol de ces piscines à Toulouse. Là aussi, les policiers sont sollicités. Ils reçoivent une centaine d’appels par semaine, et plus, même, lorsque le thermomètre grimpe.

    Comme le chantait le regretté Éric Charden dans un autre siècle, l’été s’ra chaud. Et pas seulement dans les T-shirts et les maillots…

    http://www.bvoltaire.fr/et-maintenant-ils-squattent-les-piscines/

  • MALGRÉ LES “FAKE NEWS”, LA MISSION DEFEND EUROPE CONTINUE !

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    Fake news ! Telle est la dernière arme utilisée contre Defend Europe par diverses ONG ou groupuscules spécialisés dans l’aide à l’immigration clandestine. Ainsi, depuis 48 heures, a-t-on pu lire dans la presse anglo-saxonne que le navire de la mission Defend Europe aurait été “retenu” par les autorités égyptiennes. Il n’en est absolument rien. Après un contrôle par la douane de ce pays, le navire a pu reprendre sa route. En revanche, il est exact que ce contrôle faisait suite à une dénonciation aussi mensongère que délirante commise par l’organisation anglaise Hope Not Hate.

    De toute évidence, le développement de la mission Defend Europe plonge dans l’affolement tout le petit monde des ONG de gauche et des partisans de l’ouverture sans restrictions des frontières. Mais qu’ils le sachent, ni leurs “fake news”, ni leurs accusations délirantes, ne freineront notre action. En revanche, nous nous réservons le droit de porter plainte contre toute personne relayant de fausses informations de nature à nuire à notre image.

    Cette pression massive afin de contrer notre projet soulève une question importante : que cachent ces personnes ? Pourquoi voudraient-ils empêcher qu’un bateau qui n’est pas d’une ONG de gauche patrouille dans la zone de secours ?

    https://www.generation-identitaire.com/malgre-les-fake-news-la-mission-defend-europe-continue/

  • Le terrorisme, comme c'est banal !

    Quatre attentats islamistes en un mois pour la France uniquement. La guerre de basse intensité que livre le satanisme à notre pays entre presque dans une sordide routine face à un gouvernement toujours à côté de la plaque.

    Le 20 avril, Karim Cheurfi abat un policier sur les Champs-Elysées. L'attentat est revendiqué par le groupe État islamique (El). «Je ne vais pas inventer un programme de lutte contre le terrorisme dans la nuit », réagit Emmanuel Macron.

    Le 7 juin, Farid Ikken, un étudiant algérien de 40 ans se revendiquant « soldat du califat », attaque un policier à coups de marteau sur le parvis de Notre-Dame. Tout confirme « un acte isolé » (refrain sans cesse répété, sans cesse démenti par les faits) pour le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner. Le même, deux jours plus tôt, déclarait à propos de l'attentat de Londres « Cessons de parler d'État islamique, ils trahissent la religion qu'ils prétendent servir, ce sont juste des assassins ».

    Le 18 juin, un agriculteur est poignardé au volant de sa moissonneuse-batteuse par un islamiste radical au cri de « Allah Akbar ». Le silence des autorités est total.

    Le 19 juin, Adam Lotfi Djaziri percute un véhicule de gendarmes mobiles sur les Champs-Elysées. L'homme, issu d'une famille salafiste, fiché S... et titulaire d'un permis de détention d'armes, avait fait allégeance à Daech. Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur en profite pour faire la promotion de sa prochaine loi antiterroriste, passage des mesures d'état d'urgence dans le droit commun. « Garantir la sécurité des Français, c'est aujourd'hui prendre des risques », banalise de son côté Edouard Philippe, Premier ministre. Le silence de Macron à ce sujet est en revanche assourdissant.

    Cette toute récente litanie d'attentats frappe par ses points communs ils visent essentiellement les forces de l'ordre, leur mode opératoire est celui prôné par l'État islamique, leurs auteurs, Français ou installés en France depuis un certain temps, sont tous fichés S pour radicalisme musulman.

    Et surtout, le nouveau pouvoir ne semble pas du tout avoir pris la mesure du problème, répétant consciencieusement les erreurs des précédents. Le renouveau promis par Macron ne touche pas cette question. Il faut dire que le traitement du terrorisme islamique ne rentre guère dans le logiciel libéral-libertaire de notre président, pour qui la France a « une part de responsabilité » dans le « terreau » du djihadisme, par « les fermetures dans notre économie, dans notre société » et surtout « la défiance », qui empêchent les jeunes de s'épanouir et les pousserait dans les bras des barbus.

    Pas facile non plus pour Macron, qui prétend faire la guerre au « terrorisme », de désigner l'ennemi. Après l'attentat de Manchester, il évoquera cinq fois le « terrorisme », pas une seule fois assorti d'un « islamiste ». Est-ce étonnant de la part d'un président qui a reçu sans broncher le soutien de l'UOIF, proche des Frères musulmans, lui qui promettait de « dissoudre les associations qui [...] font le jeu des djihadistes » ? Est-ce étonnant alors qu'il disait d'un de ses référents En Marche, le sulfureux islamiste Mohamed Saou, « il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux […], mais à côté de ça, c'est un type très bien » ?

    Posture et imposture

    Ne jamais mentionner que le terrorisme est islamique lui permet en tout cas d'être, dix ans après Sarkozy, invité au dîner de rupture du jeûne organisé par le Conseil français du culte musulman, qui avait également appelé à voter pour lui. Il y fustigera les terroristes qui opèrent une « perversion de l'image de l'islam », avant d'appeler le CFCM à contribuer à lutter « contre le fanatisme » et le « terrorisme de Daech et l'idéologie totalitaire qui le supporte ». Encore une fois, habile périphrase pour ne pas dire les mots qui fâchent.

    Hormis sa fameuse « task force » rattachée à l'Elysée, qui risque simplement de rajouter une feuille au mille-feuille des multiples structures de coordination entre services, Macron est sur le terrorisme, comme sur le reste, dans la posture... et la centralisation du pouvoir entre ses mains. Conseils de Défense réguliers, réunions en tête-à-tête hebdomadaires avec les ministres de l'Intérieur et de la Défense et donc son fameux Centre national de contre-terrorisme (CNCT), le message est clair sur ce sujet, c'est l’Élysée qui décide de traiter les conséquences sans jamais s'attaquer aux causes.

    Richard Dalleau momde&vie 29 juin 2017

  • Visages de la pauvreté rurale : « Ils essaient de survivre par leurs propres moyens »

    A Maupas et à Vic-Fezensac, les bénévoles de la Croix-Rouge sillonnent la campagne du Gers à bord d’un bus pour ceux qui n’ont rien et demandent peu. Ils croisent les visages de la pauvreté rurale, accompagnés de handicaps, de tutelles, ou de maladies mal soignées.
    « Ils ne se rendent pas compte… Je ne suis pas raciste, mais faut qu’ils nous aident plus, les Français… » 
    Les fenêtres, le pull et la dentition de Paul Dupouy laissent passer les courants d’air. L’aide-ménagère qu’entendait envoyer la mairie de Maupas (Gers), elle, n’a jamais passé son seuil. Ce n’est pas à 93 ans qu’il laissera quiconque mettre le nez dans ses affaires !
    Il faut dire qu’il y en a, des petites bricoles récupérées, recyclées, empoussiérées, dans la salle à manger de son ancienne ferme au confort moderne années 1950. L’intérieur de la cheminée fait office de sèche-linge. Un transat de jardin sert de canapé, et la table plastifiée de rouge, de réfrigérateur à l’air libre où les fourmis se ravitaillent en file indienne.
    « Un moment que je vous ai pas vu… Ça va ? » Annie Dupeyron, une « jeunesse » de 75 ans, bénévole à la Croix-Rouge, est venue jusque chez l’ancien viticulteur, lui apportant un colis alimentaire et sa présence, en ce matin de la fin mai. Depuis trois mois, un camion de l’association sillonne la campagne du Gers à la rencontre de ceux qui n’ont rien et demandent peu. Il ne s’agirait pas que cela se sache…
    Paul Dupouy se contente de 700 euros de retraite agricole, ce qui a transformé en casse-tête le remplacement récent de sa guimbarde hors d’âge. « La farine… Je m’en sers pas, gardez, vous la donnerez à d’autres. Le chocolat en poudre, oui, ça, ça plaît aux petits du coin. » 
    L’inventaire des provisions ne le passionne pas. Plutôt que des spaghettis, Paul Dupouy, habitué aux haricots verts du jardin, attend une oreille bienveillante.
    Plus un seul voisin avec qui commenter le rugby 
    Pour raconter qu’il n’entend plus son téléphone. M. Dupouy n’est pas sourd. C’est la sonnerie, un petit gazouillis, comment voulez-vous ? Ces gars du foot, qui s’effondrent, maintenant, dès qu’on les frôle. Il les mime, les bras en croix. « Nous, on recevait un coup de pied, on essayait de le rendre. » Plus un seul voisin avec lequel commenter les résultats du rugby dans Sud-Ouest. « Les copains de l’école, ils sont morts jeunes, dans les 80 ans. » 
    Les nouveaux arrivants sont loin. Et pas comme ceux d’avant. Ils ne le demandent pas, mais M. Dupouy leur arrose tout de même les pots de fleurs quand ils partent à la mer. Une heure a passé, Annie Dupeyron file. Paul la salue devant l’indescriptible fouillis de sa grange. « Comme ça, au moins, j’aurai vu du monde ce matin. »
    A Maupas (200 habitants), trois personnes, toutes au moins octogénaires, bénéficient de la tournée « Croix-Rouge sur roues », cofinancée par la Fondation PSA et les collectivités locales. Le gros camion blanc se gare devant la mairie, puis une petite voiture dessert les maisons. Plus pratique dans les chemins creux. Plus discret, surtout.
    « Ils essaient de survivre par leurs propres moyens » 
    Des personnes âgées, ou des mères seules, de plus en plus: cela interpelle les bénévoles, qui décrivent les frigos vides, le liquide vaisselle qu’il faut économiser, les rares heures d’intérim, les nombreuses heures de « tondeuse » ou de ménage « au black », si les voisines veulent bien garder le petit.
    « Si on ne va pas les voir, ils ne feront pas le pas. C’est une éducation, pas plus mauvaise que celle d’aujourd’hui, ils essaient de survivre par leurs propres moyens », dit le maire de Maupas, Michel Dayman. En tenue de chasse, devant de vieilles portes reconverties en panneaux électoraux, l’élu évoque des administrés toujours plus âgés, aux retraites indigentes (« Surtout les pensions de réversion »), leur isolement, l’absence de transports en commun.
    Il y avait bien le car, à une époque, pour le marché d’Eauze. Mais c’est si vieux qu’il ne sait plus trop à quand cela remonte. Le bourg le plus proche est à 10 kilomètres, la ville à 40.
    « Les roues », comme on les appelle, coûtent moins cher à la Croix-Rouge et dévorent moins de bénévoles, surtout, qu’une antenne associative. Elles permettent de mailler ce département étendu. L’ouest surtout, où la rareté de l’activité engendre une forte précarité, et la déficience des transports un grand isolement, dès lors que la voiture devient une charge financière insupportable.
    « On est appelés de partout », s’inquiète Marie-José Lier, responsable départementale de la Croix-Rouge, qui fête ces jours-ci ses 150 ans. La demande d’aide s’accélère depuis trois ou quatre ans, et plus encore ces derniers mois. Il faudrait un deuxième camion, d’autres mains… 
    Une fois par semaine, la Croix-Rouge vient àˆ la rencontre de Paul Dupouy pour rompre l’isolement et lui amener un colis alimentaire. Une fois par semaine, la Croix-Rouge vient àˆ la rencontre de Paul Dupouy pour rompre l’isolement et lui amener un colis alimentaire.
    Dix tournées ont été dessinées après un patient repérage auprès des assistantes sociales, médecins, infirmières et autres associations. Les maires, eux, « ne sont pas toujours pressés de reconnaître qu’il y a de la précarité dans leur commune », glisse Mme Lier. Question d’image. Si « le colis fait venir », c’est finalement l’écoute qui est la plus appréciée.
    Les trois bénévoles du camion y sont formés : « Ce n’est vraiment pas un bibliobus ! Les gens qui ont peu l’occasion de parler lâchent tout devant nous, comme chez le psy. Les assistantes sociales, elles sont submergées, elles n’ont plus ce temps-là. Et puis, elles provoquent parfois un mouvement de recul. Avec nous, le rapport est différent. » 
    Avant la distribution des colis, il y a toujours un petit café-gâteaux secs. Le camion s’est garé, derrière la mairie, loin des regards, à Vic-Fezensac, bourgade gasconne à une trentaine de kilomètres d’Auch. Les bancs en bois du hall de la mairie accueillent les premières confidences des visiteurs, boisson chaude en main, avant même qu’ils ne pénètrent dans une salle qu’aucun panonceau ne distingue.
    Un deuxième bénévole y poursuit le dialogue. Quelle est leur situation administrative ? Médicale ? Ont-ils fait valoir leurs droits ? Savent-ils où trouver gratuitement des vêtements pour les enfants ? Défilent les sigles, RSA, CMU, AAH, CDD… Les humiliations, les découragements, les angoisses. Les colères, aussi.
    « C’est pas des mains de feignant » 
    « Monsieur est parti, il m’a laissée avec les deux enfants de 3 ans et 19 mois ! », jette Laetitia, 30 ans, à peine assise. Elle semble toute maigre dans un gros sweat turquoise. Comme les autres bénéficiaires, elle témoigne anonymement. « Comme il a l’AAH [Allocation adulte handicapé], on m’avait fait sauter mon RSA. Maintenant, j’ai plus rien. Ici, y a pas de travail, pas d’intérim. Rien. » 
    Et puis, confie-t-elle plus tard, l’assistante sociale appelle bien souvent pour demander comment elle s’en sort. « Est-ce qu’ils vont pas me ramasser les petits ? » Elle est venue avec son voisin, Stéphane, bientôt 50 ans, un costaud en blouson Harley Davidson qui jauge les provisions offertes. « Ils ne se rendent pas compte… Je ne suis pas raciste, mais faut qu’ils nous aident plus, les Français… »
    Trois CAP, un boulot à 2.000 euros dans la pose de caméras vidéo, quatre enfants, tout roulait jusqu’à un grave accident de moto, suivi d’un cancer et d’une pension handicapé de 771 euros. Sa femme est partie avec « un qu’a des sous »« Au 20 du mois, il n’y a plus rien. Je me bats pour manger. Un truc de fou ! Ici, je suis regardé comme un feignant alors que j’ai toujours bossé ! »
    Il tend ses mains. « C’est pas des mains de feignant ! » Quatre ans qu’il « descend », dit-il. « Une fois, j’ai mendié mon essence dans une station-service d’Auch. Oh, putain, la honte, j’étais tout rouge. J’ai eu plus, j’ai été remplir un Caddie à Aldi et acheter des McDo pour les enfants de Laetitia. »
    « C’est la spirale du chômage et de l’isolement » 
    Et tous ces couples qui ont fui la ville, ses loyers exorbitants, parce qu’ils ne s’en sortaient pas, dans l’espoir, le fantasme, d’une vie de peu à la campagne. « Ils se retrouvent dans des logements inadaptés, à se ruiner en chauffage dans des maisons pleines de courants d’air, déplore la Croix-Rouge. Les frais d’essence triplent, ils ne trouvent pas de travail, doivent vendre la voiture, c’est la spirale du chômage et de l’isolement. Certains doivent nous demander d’amener leurs enfants à l’école… »
    Arrivent Lucile et Cyril, la timidité de leurs 20 ans, un bébé qui gigote dans la poussette. Lui « fait » un smic à la déchetterie. Mais il faut rembourser la voiture, et le reste. « On s’est plantés dans le mur. On était partis vivre à la campagne. Le déménagement, déjà, c’est la claque. Et puis la maison s’est effondrée. » Les voilà chez un oncle. Lucile sourit. « Je sais que mon fils va pouvoir manger, même si on n’a pas de sous. Franchement, je vous remercie. » Cyril, lui, a rechigné à s’extraire de la voiture. Mais il quitte la salle requinqué. « On va s’en sortir ! »
    Source

  • A l'heure où les députés n'ont plus le droit de faire travailler leurs proches, il emploie sa femme comme assistante présidentielle

    Lui, c'est le président de 8% des Français, mais président de la république quand même. Sa femme sera dotée avec l'argent public :

    "À l’heure où les emplois familiaux doivent être interdits à l’Assemblée nationale, les députés de l’opposition, de droite et de gauche, fustigent le futur statut de la Première dame. Pendant sa campagne présidentielle, Emmanuel Macron avait déclaré que la Première dame aura « un rôle, un vrai statut, une vraie capacité à faire »

    Qd Fillon utilisait son budget pour  c'était un crime d'Etat
    Et un budget d'Etat pour  c'est quoi?http://www.ouest-france.fr/politique/gouvernement/le-futur-statut-de-brigitte-macron-agace-les-elus-5144187 

    Photo published for Le futur statut de Brigitte Macron agace les élus

    Le futur statut de Brigitte Macron agace les élus

    À l’heure où les emplois familiaux doivent être interdits à l’Assemblée nationale, les députés de l’opposition, de droite et de gauche, fustigent le futur

    ouest-france.fr
  • Admission Post-Bac mon amour…, par Jean-Paul Brighelli

    « Injuste ! » crient tous ensemble les néo-bacheliers et leurs parents. En quoi ont-ils démérité, par rapport à leurs petits camarades plus chanceux (pas meilleurs, hein, et parfois bien pires) qui ont obtenu une place dans la filière qu’ils demandaient, pendant que les autres récitent Apollinaire et le début du « Voyageur » :

    « Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant ».

    « Injuste », cela signifie que c’est contraire à la justice. Frédérique Vidal, désormais ministre de l’Enseignement supérieur, ne peut l’ignorer, toute généticienne qu’elle soit. Une injustice doit être réparée, mais surtout son auteur doit être châtié.

    En l’occurrence, l’auteur s’appelle Najat Vallaud-Belkacem, je le signale poliment à Madame « le » Ministre — persistons à parler français.

    Qu’attendez-vous, Madame, pour mettre en examen l’ex-ministre de l’Education nationale ? Devant la Cour de Justice de la République, par exemple ? Elle a fichu un bordel magistral en décidant que la répartition se ferait par tirage au sort — et j’en ai rien à foutre de ceux qui seront crucifiés par le tirage au sort, a dû penser Mme Ponce-Pilate dans ce doux français qui est le sien.

    À propos, où a-t-elle recyclé son sourire de vendeuse de carabistouilles ? Se contente-t-elle d’être l’épouse de son député de mari, parachuté dans une circonscription — celle d’Emmanuelli — imperdable même par une Gauche en déconfiture ?

    Oui, c’est une injustice profonde, que l’on ne réparera pas en faisant entrer tous les postulants en fac — avec un chausse-pied, sans doute. On cachera cette année le plus gros des protestations — même si certaines font tache et procurent de gros titres aux journaux, ravis de trouver des bacheliers à mention TB recalés en STAPS, pendant que certains de leurs camarades, arrivés à 10 de moyenne avec toute la compassion des jurys, fanfaronneront devant eux. Et des milliers de recours administratifs menacent la sérénité ministérielle.

    Même si le ministre reconnaît que le système APB est « un énorme gâchis ». Non pas, madame : c’est une mesure prise en toute connaissance de cause par une ex-collègue d’Emmanuel Macron. Malheureusement, et contrairement aux particuliers, les gouvernements ne peuvent refuser les héritages.

    APB se meurt, APB est mort. L’évidence crève les yeux. Frédérique Vidal convoque donc aujourd’hui lundi 17 juillet un grand machin, avec présidents d’universités, « syndicats » étudiants et spécialistes pour réorganiser le système, à l’horizon 2018.

    Quelques suggestions ?

    – Faire du Bac un examen de fin d’études — donné à tout le monde, avec pour l’essentiel du contrôle continu sur les deux dernières années, et si l’on veut conserver le symbole, deux ou trois épreuves nationales à la fin. Au moins, on ne déorganisera plus les lycées pendant un bon mois. À tout le monde, mis avec des résutats chiffrés différents (c’est pour le coup que ça vaudra la peine de travailler tout au ong de ces deux dernières années) à partir desquels toutes les formations post-Bac trieront et sélectionneront les étudiants qu’elles veulent. Personne ne restera sur le carreau — il y aura toujours une Licence de Projets Culturels ou de Psychologie Appliquée aux diptères disponible à Trifouillis-les-Oies.

    – Donner à tous les établissements d’Enseignement supérieur la possibilité d’inventer leur […]

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  • Burkinis sur les plages : comment organiser la riposte juridique – par Me Thibaut Durox

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    L’activiste islamiste Marwan Muhammad, actuel porte-parole du Collectif contre l’islamophobie en France, s’est récemment illustré sur Twitter en menaçant de « procès systématique » les mairies qui prendraient des mesures restreignant le port de vêtements à connotation musulmane sur les plages. Avant lui, nous avions dû subir la provocation inouïe du millionnaire fantasque Rachid Nekkaz, ayant organisé la baignade en burkini d’un groupe de femmes en plein festival de Cannes.

    L’arrêt rendu par la cour administrative d’appel de Marseille, le lundi 3 juillet 2017, [PDF] ne pourrait-il pas mettre un coup d’arrêt aux velléités de ces promoteurs de l’islamisme culturel ? On se rappelle que, l’an passé, l’arrêté « anti-burkini » pris par le maire de la commune de Sisco, en Corse, n’avait pas été suspendu en référé. La raison en était que les risques de troubles à l’ordre public invoqués par le maire étaient, en l’espèce, bien avérés, justifiant ainsi a priori la mesure d’interdiction prise. L’absence de suspension faisait donc pressentir qu’une telle interdiction pouvait être juridiquement fondée, contrairement à l’analyse dominante qui voulut nous faire croire que la liberté religieuse devait primer en toutes circonstances.

    Attaqué au fond par ses adversaires, l’arrêté n’avait pas non plus été annulé par le tribunal administratif de Bastia.
    La cour administrative d’appel de Marseille est venue confirmer, lundi dernier, le jugement du tribunal et la légalité de l’arrêté d’interdiction, en raison des violences ayant éclaté sur la plage et des manifestations ultérieures dans la commune, qui avaient nécessité la mobilisation d’un effectif important de CRS et de gendarmes.

    Ainsi, il peut être dressé, pour les maires des communes concernées, le bilan jurisprudentiel suivant :
    – Les mesures d’interdiction doivent prioritairement et principalement reposer sur des considérations liées à la protection de l’ordre public : les risques d’atteintes à l’ordre public doivent être avérés ou suffisamment probables, pouvant résulter, notamment, de faits de violences, attroupements ou manifestations, privatisation illicite de plages. L’organisation militante, à renfort de réseaux sociaux, d’une baignade en burkini dans une commune présentant un climat tendu serait, selon nous, de nature à constituer un tel risque ;
    – Toute mesure d’interdiction doit être circonscrite dans le temps et l’espace ;
    – La référence au principe de laïcité, de même que les motifs fondés sur l’hygiène et la décence publique, ne sont pas suffisants, à eux seuls, pour motiver une interdiction, en l’absence de troubles à l’ordre public ;
    – La motivation pourrait reposer à titre subsidiaire sur les nécessités de prise en compte des « exigences minimales de la vie en société » et l’impératif de lutte contre l’exclusion des femmes, composants non encore reconnus par la jurisprudence administrative de l’ordre public immatériel, dont le Conseil constitutionnel s’était pourtant fait l’écho en 2010 dans sa décision favorable à la loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public.

    Dans leur lutte légitime contre les menaces à l’ordre public et à nos fondements civilisationnels, les maires de France devront prêter une attention toute particulière à la motivation de leurs arrêtés. C’est à ce prix que la bataille juridique, qui ne fait que commencer, pourra être gagnée !

    Me Thibaut Durox

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/207108/burkinis-sur-les-plages-comment-organiser-la-riposte-juridique-par-me-thibaut-durox/

  • A quoi sert le Parlement ?

    Nous avions vu que les députés LREM brillaient par leur incompétence. Est-ce une relation de cause à effet ? France 3 ne diffusera plus les questions au gouvernement : les téléspectateurs ne pourront donc pas s'apercevoir du vide intellectuel de certains de leurs élus.

    France 3 diffusait depuis 1983 ces traditionnelles séances des mardis et mercredis (deux séances durant la session ordinaire, une seule en session extraordinaire) à partir de 15 heures. L’ex-député PS Jean-Jacques Urvoas écrivait dans Manuel de survie à l’Assemblée nationale en 2012 :

    «Pour les six cent mille téléspectateurs en moyenne qui les suivent sur leur écran, (les QAG) constituent la seule fenêtre sur le travail législatif, l’unique moment où chacun peut évaluer son député dans l’accomplissement de sa fonction».

    Cette décision survient après la crise entre le Président de la République et le CEMA, crise provoquée par les propos du CEMA devant la commission parlementaire de la Défense nationalequi voit ainsi sa légitimité remise en cause. Par ailleurs, les députés LREM n'ont aucune marge de manoeuvre et doivent obéir à Jupiter-Narcisse le doigt sur la couture du pantalon. Quant à l'opposition, elle n'est même pas écouté et ses amendements sont rejetés illico sans débat.

    Dans ces questions, on se demande à quoi sert le Parlement. Si ce qui est écrit là avait été réalisé ailleurs, en Russie par exemple, notre belle presse crierait à la dictature...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Ces industriels qui ont financé Hulot

    Les grandes armes de la déstructuration et de l'uniformisation des sociétés traditionnelles sont le Réchauffement Climatique anthropogénique, les énergies renouvelables, la migration de masse et le développement durable dont la biodiversité est depuis le sommet de Rio de 1992 le vrai poumon... À la condition toutefois qu'elle ne concerne que les écosystèmes, les espèces et les gènes mais justement pas les races-qui-n'existent-pas que l'on entend fusionner au plus vite. Afin qu'en effet, noyées dans un magma global, elles cessent d'exister.

    D'où l'importance qu'ont prises ces notions dans l'économie du monde au point que plus l'on accuse les banques et le système militaro-industriel de financer les organisations climato-sceptiques et anti-mondialistes et plus en réalité elles sponsorisent l'imposture écologiste par le truchement de leurs Fondations.

    Si on pouvait encore en douter le parcours du charlatan Hulot serait là pour le démontrer. Deux rappels historiques devraient y suffire.

    Sa nomination par Hollande en décembre 2012 au poste « d'envoyé spécial pour la protection de la planète », avec à la clé son rôle majeur dans l'organisation de la COP 21. « Les objectifs de cette mission, dira-t-il, seront de sensibiliser, d'informer et de mobiliser la communauté internationale sur la crise écologique mondiale et les moyens pour y faire face, notamment là où ces enjeux ne sont pas suffisamment pris en compte ». En 2002 déjà il avait accompagné Jacques Chirac au Sommet Mondial du Développement Durable de Johannesburg. « La maison brûle », s'était écrié celui-ci, omettant de préciser que c'était peut-être la conséquence des masses qui y pullulaient. Ils y rencontrèrent longuement le Saint des Saints, Mandela.

    La lune de miel avec Sarkozy dura moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Entre le retrait de la loi carbone pour l'un et la porte du Grenelle de l'Environnement claquée par l'autre, il y a toute la différence existant entre l'écologie utopiste et la réalité d'un monde qui roule vers ses 11 milliards de terriens. Mais c'est également toute la futilité du message de Hulot, étranger à la tragédie à laquelle est confrontée notre planète. Il est vrai que ce nouveau ministre d'opérette, détesté de la plupart des véritables écologistes, n'a jamais cessé d'être un mercenaire des intérêts corporatistes transnationaux. Ayant été stipendié au cours de sa carrière par Bouygues, EDF, L'Oréal, Veolia, Volvo, Autoroutes du Sud, Telekom, TF1, Valoplast, Apple, Décathlon, Lafarge, St Gobain, Tetra Pak, Sanofi, le Groupe Accor, Vinci etc... Eva Joly qui le détestait le disait « candidat des multinationales ». D'autres moins aimables parlèrent « d'escrologiste ». Ou encore de "télécologiste" ou de "hélicologiste". Il faut en effet se garder d'oublier que ce brave garçon, pendant des années, fut payé par TF1 33 000 euros par mois pour quatre émissions annuelles d’Ushuaïa d'une durée d'une heure, sponsorisées par Rhône-Poulenc, véritable archétype d'entreprise capitaliste pollueuse et destructrice de l'environnement.

    Pour trouver aussi profondément inféodé au monde de l'argent et de l'industrie toxique sans doute faut-il aller chercher du côté du WWF et de Greenpeace. Et encore...

    R. B. Rivarol du 6 juillet 2017

  • Migrants : de plus en plus de « mineurs isolés » débarquent en Italie

    Depuis janvier, plus de 85 000 migrants ont débarqué sur les côtes italiennes, un chiffre en hausse de 20 % par rapport à 2016. Parmi eux, de plus en plus de « mineurs isolés » – sans leur famille – ou supposés tels, car certains se font passer pour des mineurs alors qu’ils ne le sont pas. Par rapport à 2011, le nom de « mineurs isolés » a été multiplié par cinq ! Face à ce phénomène, Rome veut mettre en place des centres d’accueil spécialisés, financés en partie par l’Union européenne. Une émission préparée par Patrick Lovett et Aline Schmidt pour France 24.

    https://fr.novopress.info/207099/migrants-de-plus-en-plus-de-mineurs-isoles-debarquent-en-italie/