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magouille et compagnie - Page 1598

  • I-Média#166 : Pour BFM, rien n’est bon dans le cochon

  • Le Conseil Constitutionnel censure les dispositions prévoyant de rendre inéligibles les personnes condamnées pour racisme, homophobie...

    Il reste des juristes au Conseil constitutionnel. Le Conseil constitutionnel s'est prononcé sur la loi organique et la loi ordinaire pour la confiance dans la vie politique, dont il avait été saisi respectivement, d'une part, par le Premier ministre et, d'autre part, par plus de soixante députés. Ces deux lois comprennent plusieurs séries de mesures visant à renforcer la transparence de la vie politique, l'exigence de probité et d'exemplarité des élus et la confiance des électeurs dans leurs représentants et à moderniser le financement de la vie politique.

    Outre la totalité des 27 articles de la loi organique qu'il lui revenait d'examiner en application de la Constitution, le Conseil constitutionnel a examiné les 13 articles de la loi ordinaire qui étaient contestés par le recours des députés. Il s'est également saisi d'office de deux articles de cette loi.

    Le Conseil constitutionnel juge que ne méconnaît ni le principe de légalité des délits et des peines, ni le principe d'individualisation des peines, l'article 1er de la loi ordinaire instituant une peine complémentaire obligatoire d'inéligibilité à l'encontre de toute personne coupable de crime ou de l'un des délits énumérés par le même article. Il admet que cette disposition est nécessaire au regard de l'objectif du législateur visant à renforcer l'exigence de probité et d'exemplarité des élus et la confiance des électeurs dans leurs représentants. Il juge cependant que ces dispositions ne sauraient être interprétées comme entraînant de plein droit, en matière délictuelle, l'interdiction ou l'incapacité d'exercer une fonction publique. En outre, il censure comme portant une atteinte disproportionnée à la liberté d'expression les dispositions de cet article prévoyant que l'inéligibilité est obligatoirement prononcée pour certains délits de presse punis d'une peine d'emprisonnement.

    Le 13° du paragraphe II de l'article 131-26-2 du code pénal introduit par l'article 1er prévoit que l'inéligibilité est obligatoirement prononcée pour certains délits de presse punis d'une peine d'emprisonnement. Or, la liberté d'expression revêt une importance particulière dans le débat politique et dans les campagnes électorales. Dès lors, pour condamnables que soient les abus dans la liberté d'expression visés par ces dispositions, en prévoyant l'inéligibilité obligatoire de leur auteur, le législateur a porté à la liberté d'expression une atteinte disproportionnée. Par conséquent, le dix-huitième alinéa du paragraphe I de l'article 1er est contraire à la Constitution.

    La LICRA est furieuse.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Européens, révoltez-vous !

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    Discours de Tatjana Festerling, ancien porte-parole de PEGIDA

    A l’occasion des 10 ans de Riposte laïque qui se sont tenus à Rungis le 2 septembre 2017, Tatjana Festerling, ancien porte-parole de PEGIDA, fondatrice de Forteresse Europe, a prononcé un discours loin des convenances, appelant à se révolter contre les politiciens qu’elle qualifie de « caste des Protégés ». Polémia livre ce texte à ses lecteurs.
    Polémia.

    Dix ans d’activisme politique contre l’islamisation de votre nation laïque. Je vous félicite tous pour votre persévérance, votre endurance, avec laquelle vous essayez toujours de réveiller des gens et d’amener les politiciens à changer d’orientation !

    J’aimerais saluer cela expressément, parce que vous êtes différents des décideurs politiques en Europe occidentale.

    Les politiciens ont créé la caste des Protégés

    Les politiciens ont créé une caste pour eux-mêmes : la caste élitiste et narcissique des Protégés. Avec des voitures blindées, une protection personnalisée et un personnel pléthorique qui s’occupe de la sécurité et prête attention aux détails.

    Ce sont là des symboles du pouvoir. Symboles de délimitation et de distance. Symbole du mépris. Oui, l’Europe occidentale a un système de castes.

    La caste des sans-protection va diligemment au travail et, en chemin, dans les stations de métro, elle est poussée dans les escaliers, massacrée ou jetée sous les trains.
    Les personnes sans protection font la queue aux supermarchés et se font poignarder. Les filles des sans-protection sont harcelées, tripotées et violées.
    Les fils des non-protégés sont rackettés, battus et humiliés.
    Les non-protégés se baladent sur des zones piétonnes d’Europe avec leurs familles et sont fauchés par des terroristes au volant de véhicules et de camions.

    La guerre contre leurs propres compatriotes

    Nous autres militants et dissidents, nous appartenons aussi à la caste des sans-protection. En Allemagne, une sentence contre une critique de l’islam vient de tomber : 6 mois de prison avec sursis pour avoir osé comparer l’islam au national-socialisme. (http://www.pi-news.net/das-skandal-urteilvon-muenchen-ist-ein-rechtsbruch/)

    J’appelle cela « Guerre ». C’est une guerre contre ses propres compatriotes. C’est une guerre profondément raciste. Contre les Français, contre les Allemands, contre les Européens. Et quand on voit que les Américains et les Australiens luttent aussi contre des gauchistes, c’est aussi une guerre contre l’homme blanc.

    10 longues années de lutte contre l’islamisation

    Il est temps de faire le point. Qu’avons-nous réalisé ? Qu’avons-nous promu et qu’avons-nous évité ?
    Quel soutien avons-nous des citoyens ? Avons-nous apporté un éclairage sur la nature totalitaire de cette idéologie déguisée en religion inoffensive ?
    Et surtout, avons-nous été entendus, compris et a-t-on agi ?
    L’islamisation de la France a-t-elle pu être empêchée ces 10 dernières années ?

    Si nous sommes honnêtes – dans toute l’Europe occidentale -, nous devons admettre que nous n’avons pas réussi.

    Il y a longtemps que l’islam s’est emparé de l’Europe occidentale

    Erdogan a bien raison d’estimer que la conquête de l’Europe lui prendrait trois ridicules journées. En 24 heures, l’Allemagne se décomposerait.
    Comment en est-on arrivé là ?
    Bien des livres intelligents furent publiés, bien des articles, des exposés et des discours furent écrits… mais ils n’ont jamais été écoutés en politique.

    Nos mots et nos appels à la raison n’ont pas provoqué de changement politique. On ne réfute pas les arguments de celui qui s’oppose, on le réduit au silence.
    Nous constatons l’incapacité totale de la caste politique d’avouer ses erreurs.
    Nous sommes gouvernés et conquis par des gens qui n’acceptent pas la critique et qui ne réagissent pas rationnellement à quelque critique que ce soit. Des handicapés mentaux.

    La folie est omniprésente

    Ce que nous vivons n’a rien à voir avec l’entendement, la raison ou la logique. C’est l’irrationalité, la névrose, la psychopathie.
    Tout cela a déjà pris des proportions épidémiques. La folie est si omniprésente qu’elle n’est même plus perçue comme telle.

    Au citoyen de cette société, beaucoup de choses semblent encore raisonnables, simplement parce qu’elles correspondent au sens commun admis de nos jours.
    De telles sociétés, hautement névrosées, sont facilement manipulables : à travers la culpabilisation permanente, par exemple.

    La culpabilité quotidienne

    Il ne s’agit pas uniquement des douze années hitlériennes en Allemagne ou du colonialisme français.
    Non, c’est à l’aide d’une culpabilité QUOTIDIENNE qu’on nous maintient prisonniers de la souricière névrotique :

    – Coupables si nous allons chercher le journal en voiture ;
    – Coupables si nous achetons des fraises en hiver ;
    – Coupables si nous fumons ;
    – Coupables si d’aventure nous oublions des lampes allumées pendant la journée ;
    – Coupables si nous, les hommes, nous pissons debout ;
    – Coupables si nous gagnons plus d’argent que d’autres ;
    – Coupables si nous consommons gras, sucré ou mangeons du thon ;
    – Coupables si un glacier du pôle Nord vient à se briser.

    Du matin au soir on nous assène : coupables, coupables, coupables !

    En attendant, nous n’avons même plus besoin de normes ou d’interdictions pour nous soumettre à des règles présumées.

    Une vraie culture collectiviste contraignante et névrotique

    Nous baignons dans une vraie culture collectiviste contraignante.
    Elle ne se désigne pas elle-même comme « Oumma islamique » mais comme « Démocratie occidentale ».

    Mais les parallèles avec les sociétés islamiques strictes sont effrayants !
    Vivre dans des sociétés collectivistes c’est comme vivre dans une famille dysfonctionnelle. Au centre, il y a un narcissisme pathologique sévère.
    Cela peut être comparé à la souffrance d’une famille précipitée dans le malheur par un alcoolique. Ses membres se réfugient dans la même dépendance en croyant pouvoir contrôler quelque chose de l’intérieur.

    Dans une société collectiviste névrotique, les gens n’ont pas le droit d’avoir une conscience propre, ils n’ont pas le droit d’avoir ni estime de soi, ni personnalité.
    Car ces qualités impliquent l’émergence d’un esprit de contradiction, donc danger ! Surtout pour les narcissiques au sommet… de la nation, de la communauté religieuse ou de la famille.
    Quiconque se soumet au collectivisme (à la communauté) devient facilement contrôlable par les émotions.

    En retour, le soumis collectiviste a constamment besoin d’une sorte de « récompense morale », d’une attention et d’une reconnaissance que lui renvoie sa propre caisse de résonance. La bulle idéologique filtrant l’info lui promet notamment soutien moral et orientation – une sorte de demeure spirituelle.

    Une propagande H 24

    Cette carence permanente en approbation est comme une faim spirituelle qui doit être constamment satisfaite de l’extérieur. Grâce à une propagande sur les réfugiés 24h sur 24 à la télé, à travers les différentes facettes de la culture d’accueil si ce n’est à travers les visites de mosquées et le rythme des prières.

    Mais voilà que la rationalité, la logique et l’esprit de contradiction se mettent à déclencher la dissonance cognitive, cet état de conscience désagréable que chacun de nous tente d’éviter.
    Une société aussi malade que cela – particulièrement ses narcissiques au sommet – se construit tout naturellement des mécanismes de défense.

    Nous voyons donc à l’œuvre le déni, la banalisation, la relativisation, la projection, la haine, la menace, le mensonge. Et les contes de fée. Au sujet des réfugiés, par exemple, qui auraient plein de compétences, et des familles.

    Ou bien le conte des Mille et Une Nuits : « L’islam est amour. »
    Les narcissiques et l’islam ont un important point commun : ils ne se posent jamais de questions !
    La réflexion ? Impossible ! L’autocritique ? Immédiatement reconnue comme menace et rejetée dans une fureur féroce, sans merci, ou immédiatement éliminée comme apostate ou hérétique.
    Un échec patent qu’on couvre du voile de la prochaine promesse creuse, du prochain mensonge éhonté, du prochain « jet de dés ».

    A ce collectivisme compulsif et contraignant de l’Europe occidentale Merkel a massivement convié des psychopathes du monde afro-arabe. Quel cocktail détonnant ! Car avec des psychopathes, peu importe leur origine, on ne peut pas discuter.

    C’est pourquoi nous sommes confrontés à une perte de contrôle totale, à l’échec total de l’UE.
    Des frontières nationales devenues passoires, des frontières extérieures de l’UE totalement ouvertes et un droit d’asile complètement dément en Allemagne. L’UE assure en quelque sorte à chacun des sept milliards d’étrangers un droit individuel lui permettant d’engager une procédure administrative et judiciaire lourde pour demander l’asile.
    Aucun changement en vue !

    Chers amis, cette crise offre une dernière chance : soit nous reconnaissons notre problème et modifions quelque chose, soit nous nous suicidons.
    Mais pourquoi ne ressentons-nous pas de colère et d’envie de survie en Europe occidentale ?
    Comment se fait-il que nous soyons plus soumis que jamais et choisissions toujours la caste des Protégés, celle qui alimente notre submersion par des envahisseurs ?

    La première voie vers la guérison consiste à comprendre que nous sommes une société profondément malade. C’est une grande réalisation que d’échapper à ces schémas de croyance contemporains, à tous ces mythes dans lesquels nous sommes collectivement conditionnés et tenus prisonniers.

    De quoi avons-nous peur ?

    Et puis la question suivante doit être posée : de quoi avons-nous vraiment peur, nous Européens ?
    Avons-nous peur des mots ? Craignons-nous d’être qualifiés de nazis ? Ou bien des conséquences concrètes qui nous attendent dans une Europe islamique ?

    Grands dieux ! Si 1 million d’Européens, Français, Allemands, Britanniques, Suédois… refusaient de payer leurs impôts, vous ne pourriez pas tous les emprisonner !
    Si, à l’échelle européenne, tous les cheminots succombaient simultanément au virus Europa-Ebola pendant une semaine, vous ne pourriez pas tous les licencier !

    Si, pour une fois, tous « les » Européens, en un seul et même jour, restaient alités et ne travaillaient pas, ne consommaient pas…, on ne pourrait tout de même pas tous les punir et les surveiller !
    Si les Européens s’accordaient pour une seule occasion et appelaient à la grève dans toute l’UE, l’effet domino s’étendrait et aurait vite fait de conjurer le sort maléfique qui nous est jeté !
    La question cardinale, que chacun de nous doit sincèrement et profondément se poser, est : « Ai-je envie de vivre ? »

    « Etre ou ne pas être », Mesdames et Messieurs, cette question n’a jamais été aussi claire que de nos jours.

    Merci de votre attention et pardonnez-moi de ne pas conclure par une phrase convenue comme « Je vous souhaite beaucoup de succès pour les 10 prochaines années ». Le temps des formules creuses est définitivement révolu! !

    Tatjana Festerling 2/09/2017

    Source : Riposte Laïque.com
    http://ripostelaique.com/tatjana-festerling-francais-europeens-avez-vous-encore-envie-de-vivre.html

    Voir : Une « Forteresse Europe » contre le danger islamiste
    https://www.polemia.com/une-forteresse-europe-contre-le-danger-islamiste/

    Forteresse Europe ! Et après ?
    https://www.polemia.com/forteresse-europe-et-apres/

    https://www.polemia.com/europeens-revoltez-vous/

  • AFFRONTEMENTS AVEC LA POLICE, VIOLS, CRIMINALITÉ : ÉTÉ NORMAL POUR LES MIGRANTS D’ITALIE

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    L’actualité de ces dernières semaines aura – de nouveau – mis à dure épreuve les discours angéliques sur les bienfaits de l’immigration et la réalité de l’intégration. Entre deux reportages vantant la bonté de Mamadou qui fait du jardinage bio pour nourrir les Italiens et le civisme d’Habib qui lave son pot de yaourt avant de le jeter au tri (véridique), elle était plutôt faite d’émeutes avec la police, de viols à répétition et d’agressions dans les transports en commun.

    Le 24 août, à Rome, une centaine de réfugiés mettaient à feu et à sang la place de l’Indépendance pour protester contre la proposition de relogement de la mairie, alors qu’ils occupaient illégalement un immeuble depuis 2013 (où furent retrouvés plusieurs milliers d’euros d’argent liquide et des biens de luxe). De violents affrontements eurent lieu avec les forces de l’ordre, qui essuyèrent jets de pierres, de cocktails Molotov, mais aussi de bouteilles de gaz. Les sempiternels gardiens de la bonne conscience, qui dénoncèrent l’utilisation des canons à eau pour calmer les émeutiers, ne purent que se taire devant les images où est clairement visible l’attaque contre la police. Seules quatre personnes ont été interpellées.

    Des images parlant d’elles-mêmes aussi, celles qui montrèrent un groupe de Subsahariens jetant à terre et rouant de coups un chauffeur de bus. Étrangement, les gardiens de la bonne conscience n’ont pas commenté l’incident. 

    Silence analogue quant au viol, d’une rare violence, perpétré quelques jours plus tard à Rimini (le quotidien La Repubblica a quand même produit un article dénonçant… les commentaires à caractère raciste publiés sur la page Facebook d’un des violeurs !). Une bande de quatre « jeunes » (dont trois mineurs) – deux Marocains, un Nigérian et un Congolais (à qui le statut de réfugié avait été refusé) – massacrèrent un couple de touristes polonais, violant la jeune femme à tour de rôle, et étouffant son compagnon en lui mettant la tête dans le sable. Non contents de leur agression, que la police a qualifiée de « brutale et bestiale », ils s’en prirent à un transsexuel péruvien rencontré quelques centaines de mètres plus loin, le sodomisant six fois. La Pologne a demandé l’extradition des quatre auteurs.

    Le problème, ce n’est pas – seulement – que ces « faits divers » soient tous l’œuvre d’hôtes d’origine étrangère, immigrés de fraîche date ou nés en Italie. Mais plutôt qu’ils bénéficiaient tous de la solidarité et de la générosité du pays d’accueil. Pire : dans le cas des frères marocains, malgré la décision d’expulsion de toute leur famille tombée en 2014 (ils faisaient l’objet de plusieurs plaintes), ils vivaient aux frais de la princesse, mairie et Caritas s’acquittant de leur loyer, de leurs factures d’énergie et de leurs courses.

    On pourra alors rétorquer que de nombreux délits ont été commis par des Italiens durant la même période. Certes. Or, si de tels crimes sont difficilement prévisibles, il est néanmoins possible et impératif de contrôler les entrées sur son territoire, comme cela fut le cas des siècles durant. Ces racailles (aucune ne provenant d’une zone de guerre) n’avaient rien à faire sur le sol italien. La politique de la porte ouverte et de l’argent facile ne pourra que drainer vers nos contrées ce que la démographie explosive africaine produit de pire. Puisque les gens bien, eux, quand ils ne s’engagent pas pour l’amélioration de leur lieu de vie, restent au moins chez eux, auprès de leur famille 1.

    Notes:

    1. Rappelons que, selon l’UNHCR, sept migrants sur dix qui débarquent en Italie sont des hommes dont l’âge est compris entre 18 et 34 ans. 

    http://www.bvoltaire.fr/affrontements-police-viols-criminalite-ete-normal-migrants-ditalie/

  • Quand la liberté a disparu…

    Plaire aux cénacles euromondialistes, écouter les injonctions de Bruxelles, ne pas froisser Angela Merkel, partenaire indispensable pour poursuivre méthodiquement la mue de l‘Europe, malgré les résistances des peuples, vers l’avènement d’un fédéralisme européiste placé sous la tutelle de l’idéologie libérale-libertaire … Le site euractiv notait l’évidence en soulignant que « les ordonnances réformant le marché du travail en France », présentées la semaine  dernière par le Premier ministre Édouard Philippe et le ministre du Travail, Muriel Penicaud, « font la joie de la Commission européenne » et du « Medef » (…). « Elles ont d’ailleurs été chaleureusement accueillies par Pierre Gattaz, qui les qualifie de  première étape importante  pour  conforter la confiance des chefs d’entreprise » (…). « L’extrême droite (sic) a dénoncé le texte comme une escroquerie » mais « les mesures en question sont en revanche perçues comme un gage de confiance par les partenaires européens. » Le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel  avait déjà salué cette réforme  le 30 août,  à la sortie du conseil des ministres français où il avait  été invité à siéger, le symbole n’échappera à personne… Et « la Commission européenne ne tarit pas d’éloge sur la réforme, en des termes encore plus élogieux que lors de la présentation de la loi El Khomri en 2016. »

    Ouest France rapportait pour sa part les propos du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, martelant ce qui fut un des fils conducteurs de la campagne d’Emmanuel Macronhors l’europe de bruxelles et l’euro point de salut pour la France. Mercredi dernier, M. Castaner a déclaré « qu’il faudra une volonté forte de la France et de l’Allemagne  pour réformer la zone euro. » « La réforme de l’Union européenne et de la zone euro supposera de trouver un équilibre entre les positions française, allemande et les autres mais des propositions tièdes mettraient l’Europe en péril » (sic).  Propositions tièdes qui ne sont pas non plus de mise dans la volonté des gauleiters de l’Europe nouvelle d’imposer toujours plus avant  une police de la pensée. Le tout  sous couvert de lutte contre  les propos haineux et la désinformation. Bassesses et mensonges dont les grands médias sont souvent  remplis à l’encontre de leurs adversaires du moment,  en fonction des objectifs de leurs vrais  patrons.

    Mariya Gabriel, 38 ans, Bulgare, francophone, spécialiste des relations internationales et membre du PPE (Parti populaire européen),  est la nouvelle commissaire au numérique entrée en fonction en juillet. Euractiv  nous prévient aussi qu’elle s’apprête « à prendre une des premières mesures de son mandat : mettre sur pied un groupe d’experts sur les  fake news  »  (fausses nouvelles). La jeune femme « a cependant indiqué n’être pas encore certaine qu’il faille passer des lois européennes sur la question.  Il est prématuré de parler de législation , a-t-elle jugé. Elle a toutefois l’intention de  dire très clairement que les plateformes (Internet) ont une obligation de diligence , un terme juridique signifiant que les sociétés en ligne, comme Facebook ou Twitter devraient prendre des mesures pour surveiller les posts de leurs utilisateurs. »

    « Le mois prochain, la Commission européenne devrait annoncer des mesures instaurant des obligations communes pour le retrait de contenus illégaux publiés sur les réseaux sociaux(…).  Certains États membres font pression pour que la Commission annonce ces nouvelles mesures sur les fausses nouvelles et les contenus illégaux en ligne. L’Allemagne a même introduit une loi nationale plus tôt dans l’année, selon laquelle les médias sociaux risquent jusqu’à 50 millions d’euros d’amende s’ils ne retirent pas les contenus illégaux, comme les propos haineux. D’autres pays européens envisagent de suivre cet exemple. »

    « Il est évident que nous avons besoin d’une approche européenne, en plus des pratiques et lois nationales », estime Mariya Gabriel. « Si nous ne mettons rien en place, les exemples d’abus ne feront que se multiplier. Il est réellement important d’assurer ce type de cohérence au niveau européen. » C’est Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, est il indiqué « qui avait demandé à sa nouvelle commissaire de se pencher sur la question des  fake news  dans la lettre de mission qu’il lui a adressée en mai ( …):  La Commission doit examiner les défis que créent les plateformes en ligne pour nos démocraties en ce qui concerne la dissémination d’informations fausses et initier une réflexion sur ce qui pourrait être fait au niveau européen pour protéger les citoyens , avait-il écrit. » Protéger les citoyens?... On se pince ! 

    Cette lutte pour un contrôle accru des canaux d’information échappant aux grands groupes capitalistiques  et à la pensée dominante a été voulue et initiée par les gardiens d’un Système de plus en plus illégitime et sans soutien populaire. Nous le notions déjà avec la mise en place il y a quelques mois  d’un  decodex hébergé par Le Monde et financé par le « Fonds Google »,  créant l’amalgame et la confusion,   lançant des anathèmes et des avertissements contre les sites dissidents. Nous citions alors Laurent Berruyer qui, sur son blogue Les Crises, tirait un premier bilan de ce decodex : « le  service de vérification des faits (du Monde) ne pouvait qu’aboutir à sa transformation insidieuse en une sorte de Ministère de la Vérité qui prétend dire le Vrai.» Dans les faits «une Police de la pensée, car toute autorité prétendant dire le Vrai ne peut accepter de voir son autorité remise en question, dans le cas où des personnes persistent volontairement dans l’erreur. Un tel Pouvoir constitué est donc toujours tenté d’abuser de ses prérogatives. »

    Cette prise en main par la Commission européenne avec le soutien servile de gouvernements communiant dans la même frousse et les mêmes obsessions n’est pas pour nous surprendre. Cette dérive orwellienne ira en s’intensifiant si les Européens se laissent museler sans broncher. A terme, toute idée qui ne sera pas strictement conforme à la pensée mondialiste pourrait être considérée comme illégale, toute information contraire à la doxa multiculturalisteprogressiste pourrait être taxée… de fausse information appelant à la haine. D’ores et déjà le  fait notamment de défendre les identités nationales, le  modèle familial,  nos valeurs civilisationnelles helléno-chrétiennes vous entraîne de facto dans le camp des parias, des mauvais citoyens à rééduquer.  Nous avons pour cela en France une déjà abondante législation dite antiraciste et dernièrement encore a été créé un délit d’entrave numérique  à l’IVG…

    Bruno Gollnisch a tiré la sonnette d’alarme sur la nouvelle offensive en cours contre la liberté d’expression qui vise principalement le camp national, la mouvance patriotique, à empêcher tout sursaut vital,  à briser les défenses immunitaires du peuple français. Il pense que le Front National doit rester en pointe dans ce combat pour nos libertés françaises, conviction qu’il continue d’illustrer au sein des instances frontistes. Le grand écrivain indien Rabindranath Tagore écrivait certes avec raison qu’« on ne s’attire que des ennuis à vouloir ouvrir les yeux de qui ne veut pas voir ». Mais si le FN a longtemps prêché dans le désert,  ce n’est plus le cas aujourd’hui, ses constats sur les menaces multiformes pesant sur notre avenir sont aujourd’hui assez largement partagés. Français qui sentent, qui ressentent plus ou moins clairement la grande vérité de cette sentence de  Chateaubriand : « quand la liberté a disparu, il reste un pays, mais il n’y a plus de patrie. »

    https://gollnisch.com/2017/09/04/liberte-a-disparu/

  • MÉLENCHON, CORBIÈRE ET COMPAGNIE : LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE DU COMMUNISME !

    Un élu de Marseille faisait remarquer, l’autre jour, que le nouveau député, celui qui bouchait le port il y a peu encore avec sa grande gueule, n’a pas remis les pieds dans « la cité phocéenne » depuis les élections. Trop occupé ailleurs, l’ami Mélenchon. Et occupé, surtout, à asseoir sa stature de nouveau chien de garde du communisme international.

    Les communistes français sont dans le ruisseau. Divisés en chapelles. La CGT compte sur les moustaches de Martinez pour se refaire une santé, Pierre Laurent a l’air d’un gentil cadre bancaire et Besancenot se reconvertit dans la littérature. Interrogé ce mercredi sur France Info, ce dernier confessait :

    « Je suis un militant communiste révolutionnaire et rester aphone à l’occasion du centenaire de la révolution russe, c’est un petit peu compliqué ! »

    Alors il a pris sur ses horaires de postier pour nous offrir Que faire de 1917 ? Une contre-histoire de la révolution russe(Éd. Autrement). « Un vrai livre de presque deux cents pages », dit son interlocuteur, ébahi. Il a raison : soixante-dix ans d’histoire résumés en moins de deux cents pages, c’est un exploit !

    Macron leur apportant sur un plateau tout ce qu’il faut pour alimenter le spectacle, le show permanent d’une poignée d’Insoumis suffit à occuper le terrain face à une classe politique totalement anémiée. Cela au grand bonheur des médias qui raffolent de ce genre de clients, même si Jean-Luc Mélenchon et ses clones continuent de les traîner dans la boue. Ainsi Alexis Corbière chez Élizabeth Martichoux, sur RTL ce mercredi, qui ne supporte pas qu’elle l’interroge sur le Venezuela et les mensonges proférés la veille à ce sujet par Jean-Luc Mélenchon.

    La journaliste le questionne : « Hier, chez nos confrères de BFMJean-Luc Mélenchon a fait un parallèle entre le Venezuela et la France… » Il a dit que les violences policières étaient « mieux réprimées au Venezuela qu’en France » et que, par ailleurs, il y avait eu « quasiment autant de morts dans chacun des deux camps, contredisant le rapport de l’ONU ». Plus fort encore : « Le député de Marseille s’est étonné que, contrairement à Maduro, la presse française ne qualifie jamais Merkel ou l’ancien ministre Bernard Cazeneuve de tyran ou de dictateur. »

    Corbière s’énerve : « Putain, c’est une dépêche AFP, ça ? » Explique que c’était de l’humour puis, à court d’arguments, donne une leçon à la journaliste : « On ne fait pas le Venezuela à la fin d’un interview, c’est pas correct ! »

    Le Venezuela aujourd’hui, hier l’URSS, Robespierre toujours et la Terreur avec… Les années passent, mais pas l’extrême gauchisme de Mélenchon et des apparatchiks Corbière et Garrido, son épouse à la ville. En janvier dernier, Paris Match nous offrait le portrait des deux « Amoureux de La France insoumise ». On crache sur la presse mais on aime bien montrer son derrière sur papier glacé. Des gens qui prennent leurs repas sous un portrait de Lénine.

    Dans ses carnets de campagne (La Cour des miracles, Éd. de l’Observatoire), Michel Onfray se plaît à rappeler leur parcours. Personnage d’importance chez les lambertistes, Corbière a siégé au comité central de la LCR, est rentré au PS en 1998 avant de suivre Mélenchon au Parti de gauche. Signe que sa fascination est ancienne, il a publié Robespierre, reviens ! En amoureux des purges et du goulag, Corbière a protesté en 2012 auprès du conseil municipal de Paris parce qu’une rue avait été baptisée du nom de Soljenitsyne. Mélenchon l’avait précédé, qualifiant en 2008, sur son blog, l’auteur de L’Archipel du goulag d’« inepte griot de l’anticommunisme officiel »« baderne passéiste absurde et pontifiante » et « perroquet utile de la propagande occidentale »

    Un Mélenchon qui théorise le « dégagisme » mais a été deux ans ministre, treize ans conseiller général, dix-huit ans sénateur, sept ans député européen et de tout temps les fesses au chaud dans un parti. Ce qui lui permet de déclarer aux Français qu’il « use sa vie » à les défendre !

    Mélenchon et Corbière vous amusent ? Moi pas.

    http://www.bvoltaire.fr/melenchon-corbiere-compagnie-nouveaux-chiens-de-garde-communisme/

  • POUR NE PAS FROISSER SA CLIENTÈLE MUSULMANE, LIDL INVENTE L’ÉGLISE SANS CROIX

    Je parlais ici, la semaine passée, du « fascisme identitaire ». Je n’aime pas ce mot galvaudé, « fascisme », mais on nous en rebat tellement les oreilles quand il s’agit de défendre notre pays et nos valeurs françaises, européennes, chrétiennes, occidentales, etc., qu’il faut bien, à un moment, le coller là où il doit aller. Car si fascisme il y a dans l’acception qu’on en donne aujourd’hui, au sens de prétendre imposer aux autres des règles qui ne sont pas les leurs, c’est bien du côté de ces communautés sociales ou religieuses qui veulent tout sauf faire « communauté », justement, avec leurs concitoyens.

    Cela n’est pas nouveau, ça fait même quelques décennies que ça dure. Le problème, c’est notre soumission croissante à toutes ces injonctions, ces restrictions au nom du respect de l’autre. Cet effacement progressif de qui nous sommes, de ce qui nous a construits, la négation de nos siècles d’histoire, tout cela sur un fond de culpabilité qu’on pourrait presque qualifier de génétique, tant on prétend nous la faire porter génération après génération. Il nous faut expier la longue histoire, réelle ou fantasmée, du monde blanc contre le reste de la planète. Les « lois mémorielles » et leur cascade de procès, les réparations financières sans fin, les passe-droits, la discrimination positive… rien n’y fait. Il en faut toujours plus pour se faire pardonner d’exister.

    Alors, on prend les devants. On s’autocensure avant qu’on nous censure. On arrondit les angles, on ne prononce pas les mots qui fâchent, on efface tout ce qui pourrait heurter. En 1983 – il y a 34 ans… –, Pascal Bruckner publiait Le Sanglot de l’homme blanc. En sous-titre : Tiers-monde, culpabilité, haine de soi. Un livre majeur sur ce sentimentalisme tiers-mondiste qui s’est substitué, à gauche, à la lutte des classes et dont nous vivons les conséquences mortelles, aggravées par une mondialisation immaîtrisable.

    « Les capitalistes nous vendront à crédit la corde pour les pendre », aurait dit Lénine. Vraie ou pas, la phrase est transposable. Aujourd’hui, nous y sommes : l’Europe offre au monde qui l’envahit les outils pour éradiquer ses propres racines.

    Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.

    Dernier épisode marquant : la publicité des magasins Lidl pour leur gamme de produits grecs Eridanous, original Greek product. Pour accroître ce parfum de vacances et de Méditerranée, la moussaka, les yaourt, pistaches, feta, olives, etc., sont vendus dans un emballage idoine : la photo de la Grèce, celle des murs blancs, de la mer et du ciel d’un bleu pétaradant. Image symbole que tout le monde connaît : celle de la petite église orthodoxe qui surplombe la mer, sur l’île de Santorin, confondant avec le ciel sa coupole d’un bleu vif.
    Oui, mais voilà, dans la vraie vie, la coupole est coiffée d’une croix blanche. Pas chez Lidl, qui a cru devoir effacer cette odieuse provocation.

    Explication de la marque à RTL Belgique, auprès de qui un client s’était indigné : « Nous évitons l’utilisation de symboles religieux car nous ne souhaitons exclure aucune croyance religieuse », a répondu le représentant du géant allemand de la grande distribution. « Nous sommes une entreprise qui respecte la diversité et c’est ce qui explique la conception de cet emballage. »Une conception qui n’empêche toutefois pas la marque de sortir en France chaque année – et ailleurs sans aucun doute – une ligne de produits Spécial ramadan, avec certificat très religieux de la mosquée d’Évry-Courcouronnes !

    Personne n’a demandé à Lidl d’opérer ce stupide révisionnisme architectural, ni de choisir une église pour illustrer ses produits. Si Grèce, pourquoi pas l’Acropole ? Mais l’Acropole, c’est le Parthénon et le temple d’Athéna, le monde antique des mécréants qui, en plus, sacrifiaient aux déesses… On n’en sort pas ! Pire : on ne s’en sortira plus.

    http://www.bvoltaire.fr/ne-froisser-clientele-musulmane-lidl-invente-leglise-croix/

  • Faudra-t-il raser Versailles ?

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    Par Louis-Joseph Delanglade

    Il n’est pas anodin qu’à peine en charge du 7/9 de France Inter, M. Demorand, en bon journaliste-militant gaucho-bobo, ait cru bon, mardi 29, de faire écho à une tribune de M. Tin parue le même jour dans Libération, journal proche de la mouvance ultra-gauche dont lui-même assura la direction de 2011 à 2014. Sous un titre racoleur et provocateur (« Vos héros sont parfois nos bourreaux »), leprésident du rac(ial)iste CRAN (1) réclame que la France se mette à l’unisson de l’Amérique du Nord en faisant disparaître les noms et les statues de tous ceux qui sont suspects d’esclavagisme - le principal accusé-condamné-exécuté par cet avatar néo-stalinien devant être Colbert. 

    Si M. Tin et son association peuvent compter sur la complicité active de certains médias, il faut savoir qu’ils prospèrent grâce aux subventions publiques, le prétendu « antiracisme » constituant un fonds de commerce des plus juteux. Sur le personnage Tin, sa haine manifeste de la France, son militantisme racialiste pour ne pas dire raciste, nous renvoyons nos lecteurs à un « lundi » de 2013, M. Tin réclamant à l’époque le remboursement par la France à Haïti de seize milliards d’euros qui auraient été indûment perçus pour l’affranchissement des esclaves (2). 

    Aujourd’hui, M. Tin cherche à profiter de la vague de repentance mémorielle qui sévit, notamment aux Etats-Unis et au Canada, le maire de New York étant allé jusqu’à envisager de faire disparaître la statue de Christophe Colomb jugée « offensante » pour les Amérindiens. M. Bock-Côté, connu et apprécié de nos lecteurs, a analysé et évalué avec la plus grande pertinence cette « manifestation de fanatisme idéologique s'alimentant à l'imaginaire du multiculturalisme le plus radical, qui prétend démystifier la société occidentale et révéler les nombreuses oppressions sur lesquelles elle se serait construite » (3). 

    Mais pourquoi faire l’honneur à M. Tin d’entrer dans un débat impossible ? Tenons-nous-en au bon sens le plus élémentaire. Il reproche à Colbert d’avoir élaboré la première version du fameux Code noir, « Recueil d’édits, déclarations et arrêts concernant les esclaves nègres de l’Amérique ». M. Tin, dont l’honnêteté intellectuelle semble ici douteuse, omet de préciser que Colbert a fait ce travail à la demande du roi Louis XIV qui, il en avait seul le pouvoir, promulguera leditCode en 1685. Louis-Georges (c’est le prénom de M. Tin) contre Louis XIV, dit Louis le Grand (grand « en tout », selon Pierre Puget) ? On aura la charité de comprendre que M. Tin ait refusé le combat. Il aurait alors dû, en toute cohérence, tel l’ineffable M. Aphatie (4), demander que soit rasé le château de Versailles. Ridicule, n’est-ce pas ?   

    (1) Conseil représentatif des associations noires de France.

    (2) Louis-Joseph Delanglade, « Tintin aux Antilles », Lafautearousseau, 13 mai 2013.

    (3) Mathieu Bock-Côté, « La chasse aux statues ou le nouveau délire pénitentiel de l’Occident », Figaro Vox, 29 août 2017.

    (4) Jean-Michel Aphatie, journaliste (tendance gaucho-bobo bien évidemment), déclare le 9 novembre 2016 sur le plateau de Public Sénat : « Moi, si un jour je suis élu président de la République, savez-vous quelle est la première mesure que je prendrais ? Je raserais le château de Versailles. Ce serait ma mesure numéro un pour que nous n’allions pas là-bas en pèlerinage cultiver la grandeur de la France, devenons réalistes ! »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Une pétition américaine réclame de classer George Soros terroriste et de saisir ses biens

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    Aux Etats-Unis, une pétition visant à désigner le milliardaire mondialiste George Soros comme terroriste a recueilli plus de 70 000 personnes en quelques jours.
    Cette pétition a été lancée sur le site officiel de la Maison Blanche et fait le buzz sur internet. Les signataires demandent aussi la saisie de ses biens au motif d’avoir «essayé de déstabiliser et commis des actes de sédition contre les Etats-Unis et leurs citoyens».
     
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    « Declare George Soros a terrorist and seize all of his related organizations’ assets under RICO and NDAA law »https://petitions.whitehouse.gov/petition/declare-george-soros-terrorist-and-seize-all-his-related-organizations-assets-under-rico-and-ndaa-law 
    Le ministère de la Justice américain est sollicité par les pétitionnaires pour «déclarer George Soros ainsi que toutes ses organisations et leurs membres, terroristes, et saisir tous ses fonds personnels et ceux de ses organisations».
    Si un texte recueille 100 000 signatures en 30 jours, la Maison Blanche s’engage à le soumettre aux experts politiques appropriés et à fournir une réponse officielle. La date butoir pour cette pétition est le 19 septembre.
    Mais près d’une dizaine de pétitions ayant atteint ce seuil attendent toujours d’être étudiées par l’administration américaine. Parmi ces pétitions, l’une demande que le mouvement antifasciste soit classé organisation terroriste. Elle a recueilli plus de 130.000 signatures.