Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 1685

  • Fillon a sauvé le soldat Kosciusko-Morizet !

    Cette affaire d’investiture ne rehausse pas le niveau de la politique ni le jugement qu’on peut porter sur les motivations d’un certain nombre d’élus.

    Rien ne ressemble plus à un bobo de gauche qu’un bobo de droite. Dans les deux cas, il est bien argenté mais se dit proche du peuple. Il est libertaire, défend la PMA, éprouve de l’empathie pour les immigrés : il a ses pauvres, qui lui donnent bonne conscience. Ouvert à autrui, il reste centré sur ses propres intérêts.

    Nathalie Kosciusko-Morizet en est un bel exemple. Le 13 juin 2016 – avant la primaire de la droite –, elle annonce sa candidature aux législatives dans la 1 1e circonscription de Paris, qui représente principalement le 14e arrondissement. Elle y était partie à l’assaut de la capitale : « C’est ici que se joue la reconquête ! » lance-t-elle fièrement à Anne Hidalgo. Mission difficile, car cet arrondissement est détenu par Pascal Cherki, un député PS bien implanté.

    Le combat est risqué ? C’est bien plus beau lorsque c’est difficile, penserait le Cyrano d’Edmond Rostand. Mais NKM est réaliste, son retentissant échec à la primaire la fait réfléchir : battue aux législatives, adieu les portefeuilles ministériels ! Il faut trouver une autre solution. La 2e circonscription, celle de François Fillon, se libère. Dans le 7e arrondissement, c’est gagné d’avance !

    NKM aurait cherché à convaincre François Fillon à Las Vegas, où elle l’accompagne au Mondial du High Tech : « Elle ne l’a pas lâché d’une semelle pendant tout le séjour », rapporte Le Parisien, qui a recueilli les confidences d’un proche de Fillon. Finalement, elle rafle la mise et remporte le jackpot.

    François Fillon l’a officiellement annoncé mardi soir. En échange, elle participerait sans réserve à sa campagne et chercherait à séduire l’électorat de Macron.

    Après le chant du déserteur, le chant des sirènes. Voilà qui ne va pas améliorer ses relations avec Rachida Dati, maire du 7earrondissement, et autres prétendants légitimes. L’ex-ministre de la Justice a pourtant officiellement soutenu François Fillon dès le soir du premier tour de la primaire à droite. Il faut croire que le vainqueur final n’a pas oublié ses quolibets passés et qu’il estime que les dents longues de Nathalie lui seront plus utiles que celles de Rachida.

    « Quelle image donnons-nous de la politique ! NKM prétendait construire, dans la durée, un véritable ancrage. Voilà qu’elle abandonne le terrain. Si cette 11e circonscription reste à gauche, ce sera sa faute ! » s’indigne un jeune conseiller de Paris. Réaction compréhensible, traduisant le sentiment de nombreux élus qui ne portent pas spécialement l’intéressée dans leur cœur.

    Cette affaire d’investiture ne rehausse pas le niveau de la politique ni le jugement qu’on peut porter sur les motivations d’un certain nombre d’élus. À en juger par de telles manœuvres, il apparaît qu’ils ont plus pour objectif de se servir que de servir. NKM se serait honorée en affrontant un adversaire solide : elle a préféré le parachute doré qui lui assure un atterrissage en douceur dans l’enceinte de l’Assemblée nationale. On va en arriver à penser que le tirage au sort proposé par Mélenchon ou Montebourg n’est pas si absurde : la démocratie athénienne l’avait d’ailleurs théorisé.

    De plus, il n’est pas du tout certain que François Fillon tire profit de ce coup de piston. À y regarder de près, Nathalie Kosciusko-Morizet n’est-elle pas plus représentative des valeurs de la gauche que de celles de la droite ?

    http://www.bvoltaire.fr/jeanmichelleost/fillon-a-sauve-soldat-kosciusko-morizet,307536

  • 300M€ pour les demandeurs d'asile en 2016

    4 774 migrants ont bénéficié du dispositif d'"aide au retour" en 2016, soit 2500€ :

    • 529 Afghans
    • 401 Chinois
    • 362 Albanais
    • 243 Kosovars. 

    Par ailleurs, 105 000 personnes ont reçu l'allocation pour demandeurs d'asile (ADA) en décembre. Elle est versée à un migrant pendant l'instruction de la demande d'asile et est fixée à 6,80 euros par jour (en moyenne 204 euros par mois), modulable selon la composition familiale.

    Les demandeurs qui ne sont pas hébergés perçoivent 11 euros par jour (en moyenne 330 euros).

    Le budget de l'ADA a atteint 300 millions d'euros l'année dernière.

    C'est gratuit c'est l'Etat qui paie...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Comment Molenbeek est devenu Molenbeek-sur-djihad : le livre événement

    Molenbeek-sur-Djihad-241x350.jpgMolenbeek-sur-djihad : tel est le titre de l’ouvrage qui paraît aujourd’hui aux éditions Grasset. Il est l’œuvre de deux journalistes, Christophe Lamfalussy, grand reporter à La Libre Belgique, et Jean-Pierre Martin, grand reporter à RTL Belgique. Le propos de ce qu’ils nomment un « thriller journalistique » : raconter comme Molenbeek, cette commune d’où étaient partis les assassins du commandant Massoud et auquel les djihadistes du Bataclan menés par Salah Abdeslam ont donné une renommée mondiale, est devenu un « incubateur du terrorisme ».

    Ils se sont donc plongés « dans cet étrange creuset du terrorisme, étudiant sa réalité actuelle et son histoire pour essayer de comprendre l’explosion d’un islam radical au cœur de l’Europe ». « D’argent saoudien en mères fanatisées qui envoient leurs fils en Syrie », ils racontent « la désolante rencontre du fanatisme religieux, du plus misérable gangstérisme et de l’incompétence politique », soit « trente ans de dérives » qui sont « une leçon, non seulement pour la Belgique, mais pour toute l’Europe ».

    C’est peu dire que les deux journalistes ont eu peur de « stigmatiser ». D’ailleurs, le titre donné à leur livre n’est pas de leur fait et leur a fait peur. « Nous le trouvions trop sensationnaliste », a avoué Jean-Pierre Martin sur RTL Belgique. Et puis…

    « Et puis on s’est dit que c’était pas faux après avoir rencontré un magistrat qui nous a fait cette confidence au lendemain d’une première audition d’Abrini, l’“homme au chapeau“ des attentats de Bruxelles, qui avait dit lors de cette audition qu’il avait été à Raqqa, la capitale autoproclamée du califat de l’organisation terroriste Etat islamique, et qu’il avait constaté que “tout Molenbeek y était“. »

    Les auteurs ne remettent jamais en cause l’immigration. Ils croient à la prévention, à l’intégration, etc. Mais s’ils ne proposent aucune autre solution que celles qui ont échoué, ils ont bel et bien identifié l’aveuglement complet des autorités belges, qui est aussi celui de toute l’Europe :

    « On a commencé à se pencher sur cette histoire pour finalement mettre en évidence le fait que la Belgique, parce qu’elle ne connaissait absolument pas la culture du monde musulman au milieu des années 60, quand les premiers immigrés sont venus, que le pays a accueilli ces ouvriers principalement marocains sans leur apporter un environnement culturel et spirituel, a donné le « paquet » à l’Arabie Saoudite, qui elle avait un véritable programme et voulait imposer à l’ensemble du monde arabo-musulman sa vision du monde qui était une vision wahhabite d’un islam très conservateur. De là, on s’est rendu compte comment le fondamentalisme s’était développé petit à petit en inoculant cette vision très conservatrice et réductrice de l’islam jusqu’à déboucher sur le djihadisme qu’on connaît depuis deux générations à Molenbeek. »

    Comme le signale Le Monde : « Sur les 543 combattants belges officiellement présents en Syrie et en Irak, 179 proviennent de Bruxelles et, parmi ceux-ci, 79 de Molenbeek. »

    Le quotidien du soir ajoute, sous la plume de son correspondant en Belgique :

    « Aujourd’hui, tous les commerçants juifs ont quitté Molenbeek, où les auteurs ont, en revanche, déniché des poupées Barbie en niqab. »

    http://fr.novopress.info/202844/comment-molenbeek-est-devenu-molenbeek-sur-djihad-le-livre-evenement/

  • Sens commun obtient de Fillon cinq investitures aux législatives dans des circonscription de gauche Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com/ |

    Sens commun est une association issue des manif’ pour tous, affiliée à l’UMP puis à LR. Elle s’est fixé pour but de pousser l’UMP/LR à revenir sur la loi Taubira (alors que la majorité de ses principaux ténors n’ont pas pris part aux manifestations ou ont déclaré depuis ne pas vouloir abroger cette loi).

    Elle a soutenu François Fillon lors de la primaire de la droite et du centre dés le premier tour. Pourtant, celui-ci n’a jamais manifesté en 2013 et a toujours dit qu’il n’abrogerait pas cette loi.

    On aurait pu s’attendre à ce que sens commun soutienne au moins Jean-Frédéric Poisson à cette élection : celui-ci n’a pas manqué une manifestation, a toujours dit qu’il abrogerait le prétendu « mariage pour tous » et n’a eu de cesse de rappeler que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme.

    Les convictions oubliées, SC aura donc obtenu cinq investitures dans des circonscriptions, qui aujourd’hui sont toutes à gauche.

    Comme l’aurait dit Salvador Dali : « tant d’arrivisme pour si peu d’arrivage ».

    D’après Europe 1, les cinq candidats sont : ces cinq candidats sont :

    Anne Lorne dans la 1ère circonscription du Rhône, Sébastien Pilard (ancien président de Sens Commun) dans la 2e de Loire-Atlantique, Hayette Hamidi dans la 2e de Seine-Saint-Denis, Charles d’Anjou dans la 10e circonscription de Seine-Maritime et Maxence Henry dans la 2e circonscription du Maine-et-Loire. 
    http://www.contre-info.com/ |

  • Législatives : LR ne présentera pas de candidats contre Nicolas Dupont-Aignan ni Véronique Besse

    Les Républicains ont validé une majorité des investitures aux élections législatives, bien qu’un accord avec les centristes, ne soit pas encore signé. Minute fait le point :

    "[...] Sens Commun conserve les quatre circonscriptions que lui avait attribuées Nicolas Sarkozy mais n’en obtient pas une de plus : Charles d’Anjou dans la 10e circonscription de Seine-Maritime (Yvetot), An ne Lorne (fille de Patrick Louis, secrétaire général du MPF) dans la 2e circonscription du Rhône (Lyon), Sébastien Pilard dans la 2e circonscription de Loire-Atlantique (Nantes) et Hayette Hamidi dans la 2e circonscription de Seine-Saint-Denis (Saint-Denis). C’est une vraie déception alors que le soutien de Sens Commun à François Fillon a été sincère et productif.

    Concernant le PCD, Jean-Frédéric Poisson est reconduit à Rambouillet (Yvelines) et il a obtenu l’investiture de Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, dans la 12e circonscription de Seine-Saint-Denis.

    Concernant les non-inscrits divers droite, LR a « réservé » les circonscriptions de Nicolas Dupont-Aignan (DLF, Essonne), Véronique Besse (MPF, Vendée) et Gilles Bourdouleix (ex-CNIP, Maine-et-Loire), ce qui signifie qu’aucun candidat ne devrait leur être opposé.

    Jacques Bompard (Ligue du Sud), lui, se voit opposé un candidat, Jean-François Perilhou, maire de Vaison-la-Romaine, tout comme Jean Lassalle (ex- MoDem) dans les Pyrénées-Atlantiques, qui affrontera le conseiller régional Marc Oxibar.

    Certaines figures de la Droite populaire ne se représentent pas ou sont touchées par le cumul des mandats, comme Franck Gilard dans l’Eure ou Patrick Labaune (Président du conseil général de la Drôme). Mais Thierry Mariani (Français de l’étranger), Nicolas Dhuicq (Aube), Valérie Boyer (Marseille), Jean-Paul Garraud (Gironde), Lionnel Luca (Alpes-Maritimes) repartent au combat. Tout comme leur ami Elie Aboud à Béziers où il affrontera le candidat adoubé par Robert Ménard.

    Parmi les battus de 2012 appartenant à cette sensibilité très à droite, citons encore Bernard Carayon (Tarn) et Brigitte Barèges (Tarn-et-Garonne), qui pourraient retrouver leur siège en juin. [...]"

    Par ailleurs, François Fillon a tranché : entre Dati et NKM, il choisit la seconde et lui donne sa 2e circonscription parisienne, un véritable fauteuil pour la candidate qui ne voulait pas de la 11e circo qui lui avait été attribuée, trop difficilement gagnable. Elle est ainsi quasiment assurée d'être réélue députée.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le Bilderberg Fillon explique comment il veut enfumer les Français en 2017 façon Blitzkrieg

  • Sortie très prochainement d’un livre d’Alban d’Arguin dénonçant le scandale d’état des éoliennes !

    1225097535.8.jpg

  • Primaire de la gauche : les dix propositions les plus folles

    Primaire-gauche-Minute-Couv-251x350.jpgLes « sept nains » que sont, selon l’hebdomadaire Minute, les sept candidats aux « primaires citoyennes » – la primaire de la gauche – sont tous d’accord sur un point : il faut accorder le droit de vote aux étrangers non européens pour les élections locales. Ceux-ci pourront d’ailleurs voter à cette primaire, ainsi que Novopress l’avait relaté. Mais que proposent d’autre les candidats socialistes, radicaux et écologistes ? Dans son édition de cette semaine, Minute a dressé la liste de quelques-unes de leurs propositions. Florilège.

    La brigade de lutte contre les discriminations. C’est une idée de Benoît Hamon. Il s’agit pour ces policiers d’un nouveau genre de contrôler « les pratiques des structures publiques et privées en matière de discrimination ». Alors dénonçons-nous tout de suite : à « Minute », il n’y a aucun journaliste de gauche, ni issu de la « diversité » extra-européenne. L’amende serait élevée ?

    Les autoroutes de l’immigration. En proposant un corridor humanitaire pour « accueillir directement les réfugiés depuis les pays voisins de la Syrie », Vincent Peillon veut lui, tout simplement, faciliter l’immigration. Une sorte d’autoroute, donc, mais sans péage…

    Retour à la démocratie grecque. L’élection, c’est dépassé. Arnaud Montebourg veut 100 « citoyens tirés au sort au Sénat » et créer la VIe République ! Au moins lui reconnaîtra-t-on qu’il défend cette idée – dans le vide, certes… – depuis 2001.

    « Faire de la condition animale une des grandes causes du quinquennat ». C’est la proposition choc de François de Rugy, qui serait envisageable s’il n’avait abandonné l’idée qui nous intéresse un peu plus : faire des Français la première grande cause du quinquennat…

    Une fac pour les imams. Manuel Valls souhaite en effet « permettre aux futurs imams d’avoir dans les universités un accès gratuit à un enseignement sur le droit des cultes, les institutions nationales et locales de la France, la laïcité ». Faire l’islamisation de la France sur le budget national, voilà une idée qu’elle est bonne !

    La diversité jusqu’au plus haut niveau de l’Etat. Manuel Valls veut officiellement « respecter la diversité dans les nominations de l’État ». En d’autres termes, la discrimination positive plutôt que le mérite ! C’est le même qui voulait « des white, des blancos » sur le marché d’Evry.

    « L’inscription de la laïcité au patrimoine immatériel de l’humanité de l’Unesco »Membre du Parti radical, Sylvia Pinel n’a peur de rien en matière de laïcité. Elle veut d’ailleurs également créer « une Maison de la Laïcité dans chaque région », ainsi qu’une « réglementation de la présence des fonctionnaires en service dans les cérémonies religieuses ». A quand le retour des fiches ? Mieux encore, Pinel souhaite la « fin de la reconnaissance mutuelle des diplômes entre la France et le Vatican ». Ça doit être son côté vintage…

    Le retour des Chantiers de Jeunesse ! Pour lutter contre la radicalisation, Sylvia Pinel plaide pour la création « des Chantiers républicains destinés aux jeunes de 15 à 18 ans ». Tous les jeunes sont-ils concernés ? On ne sait pas. Quoiqu’il en soit, « pendant trois ans, à raison d’un mois par an, ces jeunes devront défendre un projet cohérent avec les valeurs de la République et qu’ils auront choisis ». Les recruteurs de Daech en tremblent d’avance.

    « Un vaste plan de jumelages inter-établissements scolaires ». C’est la proposition très sérieuse de François de Rugy pour « lutter contre les stéréotypes et les Frances qui s’ignorent » ! Chaque collège ou lycée devra se jumeler avec « autre établissement, situé dans une autre région, et dans un contexte socio-économique différent. […] Les échanges entre les élèves permettront de confronter chacun à la diversité sociologique de la France, et de lutter contre les préjugés et les communautarismes de toutes sortes ». On peut appeler ça le choc des cultures !

    Une seule séance de questions au gouvernement par semaine. Sylvia Pinel propose cela en guise de réforme institutionnelle. On appelle cela avoir le sens des priorités.

    http://fr.novopress.info/

  • Loi sur l'avortement : 42 ans d'une réalité sordide

    De la Marche pour la vie :

    6a00d83451619c69e201b8d254b584970c-250wi.jpg"42 ans après la légalisation de l’avortement, certains le célèbrent comme une liberté au point de l’ériger au rang de droit fondamental.

    Et pourtant :

    • l’avortement est d’abord une réalité sordide, car il consiste à mettre un terme à la vie d’un être humain,
    • un problème majeur : plus de 9 millions d’avortements en France depuis 1975,
    • un tabou : les opposants ne sont pas entendus et sont stigmatisés, et bientôt censurés via le nouveau délit d’entrave à l’IVG
    • Il fait l’objet d’un déni de la réalité: personne n’ose aborder la réalité de l’acte lui-même qui consiste à tuer un enfant, et la négation du syndrome post abortif est imposée.
    • La légalisation de l’avortement a initié une inversion du bien et du mal et contribué à  anesthésier les consciences.

    Malgré ce constat, depuis 5 ans le gouvernement a fait de l’avortement une priorité politique, budgétaire et symbolique : remboursement intégral de l’avortement, suppression de la notion de détresse, revendication d’un droit fondamental à l’avortement, mesures de promotion de l’avortement ( suppression du délai de réflexion, instauration de quotas etc.), remboursement intégral des actes afférents à l’avortement, création d’un nouveau délit d’entrave à l’avortement.

    42 ans d’IVG : 42 ans d’errance

    La loi Veil devait contribuer à réduire le nombre des avortements : 42 ans plus tard, ils ont explosé.

    La loi Veil devait favoriser le soutien aux femmes en détresse souhaitant garder leur bébé : 42 ans plus tard, ce volet de la loi n’a jamais été mis en œuvre.

    La loi Veil devait libérer les femmes des grossesses imposées : 42 ans plus tard, ce sont 80 % des avortements qui sont imposés à la femme enceinte par son entourage, les parents des jeunes filles mineures ou le compagnon de la femme majeure.

    La loi Veil devait donner le choix aux femmes : 42 ans plus tard, un nouveau délit d’entrave à l’avortement va menacer tous ceux qui veulent proposer des solutions alternatives et va donc réduire à presque rien la possibilité du choix.

    La loi Veil devait rendre les femmes plus heureuses : 42 ans plus tard, le syndrome de stress post abortif est un sujet tabou et le regret de l’enfant qu’on a porté dans son ventre n’est ni reconnu, ni pris en charge."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/01/loi-sur-lavortement-42-ans-dune-r%C3%A9alit%C3%A9-sordide.html

  • Jacques de Guillebon : « Il y a une collusion de cathos bon teint pour écarter les cathos identitaires »

    Le journaliste et essayiste Jacques de Guillebon analyse, pour Boulevard Voltaire, la polémique dite des « cathos identitaires ».

    Selon lui, on assiste, chez les catholiques français, à un basculement vers un champ politique plus à droite, qui correspond au basculement des Français en général.

    Certains catholiques bourgeois, paniqués par ce phénomène, qualifient ces catholiques « d’identitaires » et ont décidé souverainement qu’ils étaient infréquentables.

    http://www.bvoltaire.fr/jacquesdeguillebon/y-a-collusion-de-cathos-teint-ecarter-cathos-identitaires,306621