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magouille et compagnie - Page 1767

  • Saint-Bauzille (34) : démission de tout le conseil municipal et action mercredi !

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    Richard Roudier Porte-parole de la Ligue du Midi

    « La seule liberté qui reste à un élu pour ne pas accepter une décision qu’il considère prise sans concertation, injuste et inéquitable, c’est de démissionner », c’est ainsi que la première adjointe de la mairie de Saint-Bauzille-de-Putois, Elisabeth Thérond, justifie sa décision dans un communiqué de presse dénonçant les oukases du Préfet de l’Hérault. Suite à la démission du maire Michel Issert annoncée en fin de matinée le vendredi 21 octobre, l’élue a réuni l’équipe municipale, vendredi à 18 heures, avant de rendre publique cette décision le lendemain, le samedi 22.

    En moins de 24 heures, l’intégralité du Conseil municipal de Saint-Bauzille-de-Putois a décidé de démissionner par solidarité avec l’ancien édile. Ce qui fait que ce sont les dix-huit élus du Conseil municipal qui ont dénoncé l’absence de concertation du Préfet Pouëssel, qui a refusé d’entendre les soucis et les souhaits de la population. Dans la journée de dimanche on apprenait qu’un autre maire de la Communauté de commune de Ganges-Sumène aurait annoncé son intention de démissionner, laissant peut-être présager une réaction en chaine qui pourrait ne pas s’arrêter aux limites du canton.

    Cette “affaire dans l’affaire” ne va pas renforcer le prestige du dit préfet car elle impliquerait, à la brève échéance de 2 mois, la tenue d’une nouvelle élection avec pour conséquence un vote protestataire inévitable. Dans le cas où la population souhaiterait sanctionner ce déni de démocratie en boudant le scrutin (en ne présentant pas de liste), la gestion de la commune passerait alors sous la tutelle du préfet en gestion directe, rappelant les pratiques du “Second Empire”. Rappelons que le vote populiste dans cette région des Basses Cévennes se situe selon les communes entre 25 et 45 % et que selon les experts, on serait encore loin du “plafond de verre”.

    saintbauzillesansmigrantsFace à la morgue du préfet qui n’a apporté aucune réponse concrète aux exigences de la population énoncées lors de la réunion du jeudi 20 octobre, le collectif des mamans de Saint-Bauzille appelle à une manifestation pacifique le mercredi 26 octobre à 17 heures. Rendez-vous devant le “snack” avec des poussettes, des casseroles, des cuillères en bois et des sifflets.

    Se mobiliser pour vaincre. Demain il sera trop tard!

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Répartition des migrants : La révolte qui vient – par Jérôme Gerber

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    Source : Les Identitaires – « Répartition des migrants : La révolte qui vient »

    Saint-Gaudens, Saint-Brévin les Pins, Decazeville, Forges les Bains, Trégunc ou encore Saint-Denis-de-Cabannes sont quelques-unes des centaines de communes françaises concernées par l’accueil des « migrants » permettant ou tentant ainsi de désengorger la tristement célèbre « jungle de Calais ». Si certains édiles locaux se sont portés volontaires pour accueillir ces milliers de clandestins, beaucoup d’autres se retrouvent dans des situations plus que difficiles, malgré l’engagement du gouvernement pour que « cette opération se déroule dans une démarche de dialogue et de concertation préalable et en tenant compte de la capacité d’accueil mais aussi des conditions économiques, sociales et financières des communes ».

    En effet, l’état n’ayant consulté que rarement les élus locaux, refusant même la tenue d’un référendum populaire comme à Allex dans la Drôme, et encore moins la population, première concernée par ces mesures, les maires se retrouvent en première ligne face aux mécontentements de leurs administrés d’un côté et la pression exercée par les préfets, représentants légaux de l’état de l’autre.

    Comme l’a si bien dit Christian Abrard, sous-préfet de la Loire :

    « La décision est prise, donc ce n’est pas un marchandage. Nous disons simplement au maire : présentez-nous des projets, nous les prendrons en compte en priorité ».

    Nous sommes bien loin des démarches de dialogue et de concertation proposées par l’état qui, se rendant bien compte du peu d’enthousiasme soulevé par la politique gouvernementale auprès des populations, tente un passage en force. Peut-être pense-t-il, comme Bertold Brecht, que « le peuple a par sa faute perdu la confiance du gouvernement. Il convient donc pour le gouvernement de dissoudre le peuple et d’en élire un autre ».

    On pourrait être démoralisé et se croire désarmé face à cette situation qui semble inéluctable. Pourtant à Sisco cet été, ce sont des pères de famille qui sont montés en première ligne pour défendre des jeunes du village pris à partie par des racailles. L’affaire fit beaucoup de bruit, tant de bruit qu’on ne peut s’empêcher de faire une relation de cause à effet quant à la décision de l’état de ne pas obliger la Corse à accueillir des migrants. La Corse sera donc la seule région de métropole « sans migrants » !

    À Saint-Denis-de-Cabannes dans la Loire, ce sont les mères de familles qui ont interpellées le sous-préfet de Roanne venue tenter lors d’une réunion d’apaiser les inquiétudes des centaines d’habitants présents. Les incidents de janvier dernier à Cologne sont encore dans tous les esprits, les vraies questions sont enfin posées :

    « Nos enfants peuvent-ils traîner dans la rue, ils ne risquent rien ? Moi j’ai peur des vols, des viols… Qui va satisfaire leurs besoins sexuels ? (ceux des migrants) », crient des mères de famille légitimement inquiètes pour leurs enfants lors de la réunion de Saint-Denis-de-Cabannes.

    À chaque réunion publique, malgré la présence minoritaire de militants d’extrême-gauche, le pays réel se déplace en nombre ne voulant plus subir ce remplacement forcé, imposé par une caste politique décalée de la réalité. Des manifestations spontanées et apolitiques s’organisent sur tout le territoire rassemblant des centaines de personnes comme à Pierrefeu, Allex ou encore Forge-les-Bains. Mais face à la volonté de l’état, face au système et face aussi, parfois, à une volonté de récupération électoraliste, ces mères et pères de famille se sentent souvent seuls, désorganisés, voire abandonnés.

    Il devient clair face à cette volonté de nos « élites » de nous imposer ce grand remplacement que seule la volonté du peuple fera plier le système. Autrement dit la peur d’événements immaîtrisables, d’une révolte populaire. Mais si « la république gouverne mal, elle se défend bien » d’autant qu’elle se méfie de cette France bien élevée qui commence à perdre patience.

    C’est à nous, militants, anciens militants, cadres politiques formés et aguerris, connaissant et maîtrisant les règles de l’Agit-pro et de la communication politique de composer cette première ligne de pères de famille comme le disais très justement Cyril Raul dans un article précédent. Être le fer de lance de ces groupes de citoyens qui face à l’urgence se rassemblent pour tenter d’inverser le cours de l’histoire, se battant pour leur village, leur famille, leur terre, leur héritage.

    Hic et Nunc. Ici et maintenant, avec les nôtres.

    Jérôme Gerber

    http://fr.novopress.info/201226/repartition-des-migrants-la-revolte-qui-vient-par-jerome-gerber/#more-201226

  • Rééduquer les masses contre la superstition égalitariste et son rejeton antiraciste

    L’Occident, c’est-à-dire le monde européen et anglo-américain, s’est délibérément enivré du poison de l’égalitarisme au nom d’un utopisme qui confine, désormais, au nihilisme. On ne peut nier que c’est là le produit d’une sécularisation malheureuse et hérétique du christianisme, sur plus de quatre siècles, qui a fait le lit du virus socialiste.

    Quiconque s’intéresse au cas français peut contempler les ravages de la superstition égalitariste, car c’est bien d’une superstition rageuse qu’il s’agit. Ce principe, faux de bout en bout, a ouvert la voie aux pires démagogues bourgeois qui ont progressivement remplacé l’ancienne aristocratie tout en singeant son penchant pour la fossilisation sociale. Peu importe la créolisation complète de la France –  et de l’Europe – pour peu que ces escrocs en retirent leurs dividendes annuels. Pire : c’est devenu un article de foi.

    Quand une classe politique subordonne l’avenir de son peuple au point de le mener à l’anéantissement complet, la voie révolutionnaire devient incontournable. Et généralement celle empruntée.

    L’homme ouest-européen est aujourd’hui un parfait crétin qui s’aveugle volontairement sur les réalités humaines les plus élémentaires et les plus irréductibles. Le fanatisme religieux qui aiguillonne toujours la bourgeoisie croulante qui préside aux destinées de la France arrime chaque jour davantage ce pays aux profondeurs de l’Afrique.

    Cette destruction du bon sens est observable partout. Il y a deux générations, un paysan gaulois dépourvu de certificat d’études comprenait d’instinct l’immensité qui le séparait d’un nègre. Aujourd’hui, une croûte de vieux bavards surnageant sur 71 ans de paix, opérant à tous les niveaux de la vie intellectuelle, répandent leurs insanités sur l’heureux développement que constituerait à leurs yeux le mélange du sang européen avec celui de toutes les peuplades puantes du tiers-monde. De l’Afghanistan au Congo, de la Colombie aux marges de l’Irak.

    La plus grande tâche qui se place devant nous est celle du réapprentissage des réalités raciales. Je suis à ce titre un athée militant de la superstition égalitariste. Ce mythe s’articule sur des pulsions particulièrement tenaces parce que primitives et émotionnelles. Mais plus tenaces sont les réalités que ce mythe prétend abolir.

    Parallèlement, je suis donc un optimiste résolu en ce sens que l’arrogance des demi-marxistes occidentaux adeptes de l’islamo-négrification de l’Europe doit nous rappeler qu’ils ont les yeux plus gros que le ventre. La vieille race européenne qui s’étend sur tout l’hémisphère nord – en plus de l’Océanie et de parts de l’Amérique du Sud – disposent d’atouts colossaux, malgré une politique migratoire – donc raciale – parfaitement destructrice.

    Mais si les dommages sont significatifs, ils ne le sont pas au point changer les lois de la nature voulues par le Créateur.

    Nous devons travailler inlassablement au réveil de nos populations pour qu’elles redécouvrent la boussole sans laquelle il n’est pas de navigation possible en ce monde. Cette boussole, c’est celle de l’inégalité de potentiel et de réalisation des individus comme des groupes humains. Il a fallu bien des combats intellectuels et politiques – et de morts – pour que chacun finisse par admettre que la terre est ronde. Il n’en va pas différemment des réalités raciales et culturelles.

    Cette réalité doit servir d’étoile polaire à un ensemble politique qui reste à édifier. Le point faible de cet édifice est l’Europe péninsulaire tandis que l’imbécilité nord-américaine pousse la Russie dans les bras des Chinois. Nos querelles d’arrière-boutique, en Europe, nous ont ramené au rang de nains géopolitiques, offrant à des pays économiquement sous développés comme la Turquie orientalo-asiate des leviers exorbitants.

    La fumisterie qu’est la superstition des droits-de-l’homme, qui codifie toute l’escroquerie, parvient à convaincre jusqu’à des docteurs ou des ingénieurs de ce qu’un aborigène est leur égal, malgré ses 60 points de QI !

    A la différence de nombre de tenants de cette superstition destructrice, j’ai eu le privilège de fréquenter cette humanité archaïque sortie des déserts d’Australie et de devoir assurer l’entretien de leurs chambres d’hôtel gracieusement offertes par le prolétariat anglo-saxon de ce pays, sous l’égide éclairée des puritains convertis à l’antiracisme. Il suffit de voir une de ces tribus déféquer dans ses lits et manger à même le sol pour comprendre, en moins de 10 minutes, qu’on ne comble pas 60 000 ans avec des chèques et des bons sentiments.

    La raison et la sagesse ne gouvernent plus l’Europe, seulement une litanie sans fin d’émotions de communiantes. Cette pâtisserie sentimentale a aboli le sens commun et met en confiance le barbare afro-musulman qui croit soudainement pouvoir revendiquer des droits sur nous.

    Quand ce simulacre prendra fin, Mohammed et Mamadou tomberont soudainement du haut de leurs illusions. Ces masses, gouvernées par leur psychologie infantile, ont déjà perdu la tête à l’idée alléchante et naïve de ce qu’ils seraient sur le point de nous dominer. De la complainte poussive de la victime les voilà hurlant leurs récriminations, préalables à l’émeute meurtrière.

    Il ne faudra pas grand chose pour que la déconvenue soit au rendez-vous et que les espoirs de fainéantise éternelle ne fondent comme neige au soleil. Le pullulement de cette basse humanité au cœur de l’Europe n’est du qu’aux subsides colossaux que leur accorde l’oligarchie dégénérée qui gouverne les démocraties occidentales.

    L’anarchie continuant de se répandre, les efforts du fanatisme antiraciste finiront par épuiser tous leurs effets au sein des masses. Nos efforts pour en finir avec la terreur antiraciste seront progressivement couronnés de succès à mesure que la réalité et le bon sens conforteront nos avertissements.

    Paradoxalement, nous devons avoir la patience de ceux qui voient plus loin que les hystériques de notre époque. L’effondrement du système actuel comme de ses valeurs préfigure de la victoire de nos conceptions.

    http://borislelay.com/index.php/2016/09/08/reeduquer-les-masses-contre-la-superstition-egalitariste-et-son-rejeton-antiraciste/

  • Qatar, Arabie Saoudite : Quand la France entretient des relations avec des pays qui financent l’islamisme

    « Nos très chers Emirs ». Tel est le titre d’un livre consacré aux relations qu’entretiennent la France avec les monarchies du Golfe.

    Pour les journalistes et ex-otages Christian Chesnot et Georges Malbrunot, les gouvernements français successifs se sont montrés complaisants avec des pays qui financent une idéologie qui nous menace et des réseaux terroristes que nous ciblent.

    Sous Sarkozy, c’est la lune de miel avec le Qatar. Leur ambassadeur arrose Paris. Subventions, financements, cadeaux personnels. A chaque Noël, il envoie des paquets à une trentaine de personnalités, d’une valeur de 10 000 euros à peu près. Aucun sac de grand luxe n’a été retourné à l’ambassade. Certains élus français se plaignent même lorsque le cadeau n’arrive pas ou les Qataris refusent de payer tel ou tel voyage.

    Le Qatar et l’Arabie Saoudite ont pourtant joué un rôle important dans le financement du terrorisme islamiste :

    Depuis la révolution iranienne en 1979 et l’aide apportée aux mudjaïdines en Afghanistan, des réseaux financiers se sont créés pour financer le djihad dans le monde. Les rapports américains, du FBI et de la CIA, le disent clairement.

    http://fr.novopress.info/201217/qatar-arabie-saoudite-quand-la-france-entretient-des-relations-avec-des-pays-qui-financent-lislamisme/

  • Journal du Lundi 24 octobre 2016 - Immigration / Calais : la jungle évacuée

  • La peur doit changer de camp : soutenons les policiers !

    Le paysage effarant dessiné par nos dirigeants politiques montre des policiers qui ont peur plus que jamais
    Les policiers aujourd’hui, comme les militaires de tout temps, risquent leur vie. On vient les assassiner chez eux. On les achève lorsqu’ils sont blessés. On leur lance des cocktails Molotov quand on ne leur tire pas dessus. Des manifestants violents les prennent directement pour cibles. Des slogans meurtriers sont lancés à leur encontre. Des magistrats semblent plus enclins à les poursuivre et à les condamner qu’à donner suite rapidement et efficacement aux procédures qui leur ont demandé beaucoup de travail.

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  • Calais : opposition nationale au saupoudrage de clandestins

    FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :

    Souhaitant en finir avec la jungle de Calais, le gouvernement a décidé de procéder à son démantèlement aujourd’hui par les forces de l’ordre. Les plus de 10 000 réfugiés et clandestins seront acheminés dans toute la France en bus dans les prochains jours. Ils seront logés dans les centres d’accueil prévus à cet effet. Si tout se passe comme prévu, ce sera donc la fin du plus grand bidonville d’Europe qui empoisonne l’existence des Calaisiens depuis plus de 10 ans. Mais des heurts sont à craindre avec les factions d’extrême gauche opposées au démantèlement, les Black blocs et autre No Borders.

    Comment réagissent les communes et régions supposées accueillir les habitants de la jungle ?

    Partout, l’opposition est grande face à cette dissémination de ces clandestins et réfugiés, imposée par l’Etat socialiste. A Saint Bauzille de Putois, dans l’Hérault, le maire démissionne en signe de protestation. A Valfleury, dans la Loire, les habitants sont vent debout. Pareil dans la Manche, à la Chapelle sur Vire. A noter le choix systématique d’implanter des migrants par paquet de 50 ou plus dans des communes de moins de 1000 habitants, qui sont démunies face au gouvernement. Manuel Valls a d’ailleurs promis JE CITE « ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront L’Etat devant eux »

    Comment les élus locaux réagissent ?

    Sans surprise, seule la droite nationale entend la colère des habitants. Ce sont eux qui vont chercher parfois les responsables locaux du FN pour structurer l’opposition dans leur commune. Dans le Vaucluse, le député Marion Maréchal-Le Pen a appelé à un rassemblement réunissant plusieurs centaines de personnes dimanche dans la commune de la Tour-d’Aigues. « Avons-nous vu autant d’argent et d’énergie pour le retraité à la pension de misère, l’agriculteur en redressement ou la mère de famille seule ? », s’est interrogée devant la foule la benjamine de l’Assemblée nationale.

    http://fr.novopress.info/201221/calais-opposition-nationale-au-saupoudrage-de-clandestins/

  • Les Wallons ne lâchent rien sur l’accord avec le Canada

    Malgré les efforts déployés lors du sommet européen de Bruxelles, aucune solution n’a été trouvée.

    Tout ça pour ça. Au terme d’une longue soirée, les Européens se sont séparés, dans la nuit de jeudi à vendredi, sans réelle percée sur les deux principaux sujets qui occupaient les esprits. S’ils ont pu afficher un communiqué relativement consensuel au sujet des migrants, c’est au prix de renoncements : peu d’annonces nouvelles et une note de bas de page ménageant, une fois de plus, les susceptibilités des pays opposés à l’idée d’être obligés d’accueillir sur leur sol des réfugiés.

    Au sujet de la Russie, ils ont certes dégagé une ligne commune, faisant montre de fermeté en demandant l’arrêt des bombardements sur Alep , la prolongation de la trêve et l’acheminement d’une aide humanitaire. Mais à ce stade, pas la moindre mention d’éventuelles sanctions – le Premier ministre italien, Matteo Renzi, s’étant farouchement opposé à cette idée. Malgré tout, a averti François Hollande devant les médias, « si se perpétuaient de nouvelles atrocités, toutes les options seraient envisagées « .

    Efforts diplomatiques

    Mais c’est au sujet de l’accord de libre-échange avec le Canada (CETA) que la déception était palpable. En dépit des efforts des diplomates et des chefs d’Etat , aucune issue n’a été trouvée au blocage de la Wallonie, bien décidée à ne pas signer ce texte qu’elle juge contraire à ses intérêts.

    Pour conjurer le scénario d’un échec, une rencontre s’était déroulée, avant l’ouverture du sommet, entre le président du Conseil européen, Donald Tusk, et le Premier ministre belge, Charles Michel. Celui-ci affirmait que le « moment de vérité est proche ».

    A vingt heures, les ambassadeurs de tous les Etats se réunissaient pour chercher une solution. Plus tard dans la soirée, on apprenait que le Parlement wallon allait être réuni, ce vendredi matin, pour se prononcer à nouveau sur la déclaration politique qui accompagne le texte, laquelle avait subi de substantielles modifications. Mais en fin de soirée, le ministre président de la Wallonie, Paul Magnette, rejetait la nouvelle version du texte. « Il y a des améliorations mais le texte est encore clairement insuffisant », lâchait-il.

    Vers un fiasco définitif ?
    Pour autant, le scénario d’un fiasco définitif ne semble pas encore écrit. Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, est censé venir signer le traité jeudi 27 octobre, à Bruxelles. Pour d’élémentaires raisons de courtoisie, les Européens considèrent que si ce voyage doit être annulé, cela ne pourra pas se faire au-delà de lundi. Le week-end pourrait donc être intense, d’autant que dès ce vendredi matin, Paul Magnette devrait rencontrer directement la ministre canadienne du Commerce.

    Pour certains observateurs, ce dernier n’aurait aucun intérêt politique à lâcher prise durant le sommet, car cela permettrait au Premier ministre belge, un adversaire politique, d’empocher un succès diplomatique. Pour autant, s’il obtient de réelles concessions, il pourrait céder dans les tout prochains jours, et emporter par la même occasion une belle victoire politique.

    Angoisse des responsables européens

    Si cette épée de Damoclès était levée, ce serait un soulagement majeur pour les Européens. Donald Tusk, le président du Conseil européen, connu pour ne pas cacher son pessimisme, avait donné le ton, à l’ouverture du sommet, prévenant que si l’Union européenne se révélait incapable de signer le CETA, cela signifierait que celui-ci « pourrait être notre dernier accord de libre-échange ».

    De fait, l’angoisse de tous les responsables européens est que le sacrifice d’un accord dans son ultime ligne droite, alors que celui-ci a donné lieu à cinq années d’intenses négociations, envoie au monde entier un signal déplorable, démontrant que la Commission européenne n’a plus les moyens de son action en la matière. L’Union ne serait plus, dès lors, un partenaire fiable, ni même une entité capable d’agir collectivement. Ce dont Paul Magnette, professeur de sciences politiques et spécialiste des questions européennes, se dit conscient.

    Les Echos

    http://www.voxnr.com/4850/les-wallons-ne-lachent-rien-sur-laccord-avec-le-canada

  • Policiers en colère : « Viry, c’était prévisible »

    Après une semaine de manifestation nocturnes suite à la violente agression au coktail molotov dont ont étés victimes leurs collègues à Viry-Châtillon il y a quinze jours, une centaine de policiers se sont rassemblés devant la mairie d’Evry, accompagnés pour certains de leur familles afin de montrer qu’il y a « des hommes derrière l’uniforme ».

    http://fr.novopress.info/

  • Cachez cette personne homosexuelle qui ne pense pas comme le lobby LGBT

    6a00d83451619c69e201b8d22ff182970c-800wi.jpgUltra média­tisé après sa parti­ci­pa­tion à la Ferme Célé­bri­tés, au début des années 2000, on ne voyait que lui sur les plateaux de télé­vi­sion. Vincent McDoom fut le premier trans­genre-star catho­dique. Mais il a disparu des écrans. Lors de la loi Taubira, son avis n'a pas été sollicité par les médias. Trans­genre, homme effé­miné aimant les hommes, comme les femmes, pas « raboté » comme il dit, faisant réfé­rence au fait qu'il ne désire aucu­ne­ment se faire opérer pour chan­ger de sexe, il explique :

    "J'ai peur de Dieu, je pense qu'on doit lui rendre des comptes et comme il m'a fait naître homme, je ne veux pas arri­ver devant lui avec des seins !«

    »Bien sûr je suis pour que les couples homo­sexuels aient exactement les mêmes droits que les autres, mais le mariage, pour moi, c'est sacré, parce que c'est un serment devant Dieu. »

    Michel Janva