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magouille et compagnie - Page 1781

  • Le nouveau corps de gardes-frontières de l'UE est un énorme bobard

    Présenté comme LA solution pour faire face à la crise migratoire,l'Union européenne prend vraiment les peuples européens pour des imbéciles...à moins que ces 1 500 gardes ne servent à secourir et transformer de manière plus efficace l'immigration illégale en immigration légale :

    "Un an après l’afflux inédit de demandeurs d’asile aux portes du continent, l’Union européenne a décidé de se doter d’ un nouveau corps européen de gardes-frontières et de gardes-côtes. Effectifs et moyens renforcés, mandat élargi : cette nouvelle agence va officiellement être lancée ce jeudi (...)

    Le nouveau corps européen va remplacer Frontex, officiellement à partir de jeudi, en renforçant sensiblement cette agence basée à Varsovie. Ses effectifs permanents atteindront un millier de personnes, plus du double de ceux de Frontex, au terme d’une montée en puissance progressive (...) Il pourra faire appel rapidement à une réserve de 1.500 gardes-frontières "

    Vous avez bien lu : un effectif de 1 000 personnes dont certains seront basés... à Varsovie !

    Les frontières de l'UE sont constituées de 14 000 kms de frontières terrestres et de 65 000 kms de côtes ce qui correspond schématiquement à un garde-frontière tous les 79 kms. A titre de comparaison, voici quelques chiffres venant des Etats-Unis :

    Frontière entre les Etats-Unis et le Mexique : 3 200 kms et un corps de patrouilleurs d'un effectif de 17 415 personnes (pour le résultat qu'on connait)

    Longueur de côtes aux Etats-Unis : 20 000 kms et un corps de gardes côtes (USCG) d'un effectif de plus de 40 000 personnes

    L'Union européenne ne veut pas lutter contre l'invasion migratoire mais l'organiser...

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Bérénice Levet : « Le système scolaire tout entier est imprégné des fondements de la théorie du genre »

    Par Alexis Feertchak   

    Après que le pape François a dénoncé la présence de la théorie du genre dans les manuels scolaires, provoquant la « colère » de Najat Vallaud-Belkacem, Bérénice Levet, philosophe, confirme que cette idéologie est bien présente à l'école. Nous n'allongerons pas cet entretien déjà long par lui-même - et très important [Figarovox - 04.10] : Disons seulement que Bérénice Levet va bien au delà de cette constatation et pose des principes ontologiques, anthropologiques et sociétaux en opposition frontale avec la pensée et la société modernes ou post-modernes, y compris lorsque, in fine, elle se permet une forte et juste critique des positions du Saint-Père en matière d'immigration et de mondialisation, jugées de nature déconstructionniste au même titre que la théorie du Genre ... Une liberté de ton et d'esprit, une lucidité de fond qui intéressera les contre-révolutionnaires que nous sommes.Lafautearousseau   

    Dimanche 2 octobre, le pape s'en est pris « au sournois endoctrinement de la théorie du genre » que propageraient les manuels scolaires. La théorie du genre existe-t-elle en tant qu'idéologie ?

    La théorie du genre ? Ça n'existe pas, nous tympanise-t-on, à commencer par Najat Vallaud-Belkacem. La seule expression légitime serait « études de genre » qui aurait pour avantage de respecter la pluralité des travaux. Mais pour qu'il y ait des études de genre, encore faut-il que ce petit vocable de genre ait été conceptualisé, théorisé. Or, lorsque nous parlons de théorie du genre, nous n'affirmons rien d'autre. Judith Butler se définit elle-même comme théoricienne du genre. Il a été forgé afin d'affranchir l'identité sexuelle du sexe biologique. Au commencement est la neutralité, en quelque sorte, et seule la machine sociale vous « assigne » à une identité - ce que l'on retrouve dans les manuels.

    Il faut bien comprendre que le vocable de « genre » ne sert pas simplement à distinguer le donné naturel et les constructions culturelles, mais à les dissocier. Simone de Beauvoir est restée, aux yeux des promoteurs du genre, comme en retrait par rapport à sa propre intuition. Lorsqu'elle dit « On ne naît pas femme, on le devient », le Genre lui réplique, puisqu'on ne naît pas femme, pourquoi le deviendrait-on ? En l'absence de tout étayage dans la nature, on doit se jouer de toutes les identités sexuées et sexuelles. « Le travesti est notre vérité à tous », dit Judith Butler. Ce petit vocable de genre soutient en outre - et c'est là qu'il est instrument de lutte - que les différences sexuelles sont construites mais construites par des mâles blancs hétérosexuels donc selon un ordre exclusivement inégalitaire.

    Voilà le message qui est délivré à la jeunesse. « Le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, ce n'est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou de féminin »,apprennent les lycéens dans le manuel Hachette. Pour aiguiser leur rage, les convertir à la cause de la déconstruction, il convient de les convaincre que ces représentations sont inégalitaires.

    On raille le Pape, parce qu'il ne suffirait pas d'apprendre ces axiomes pour ipso facto aspirer à changer de sexe. Sans doute et la différence des sexes ayant un fondement dans la nature, contrairement à ce que soutient le Genre, tout comme l'hétérosexualité, quand bien même on cherche à les chasser, elles reviennent au galop, mais l'enfant ou l'adolescent est un être fragile; si on le persuade que tout est construit, alors la tentation est grande de s'essayer à toutes les identités et toutes les sexualités. La question dans les cours de lycées est désormais : «Alors, tu es bi, hétéro, homo ? ». Je rapporte dans mon livre des paroles d'adolescents qui nourrissent un véritable sentiment d'infériorité de se sentir «désespérément » hétérosexuels.

    Le Pape a raison de dire que l'endoctrinement se fait sournoisement, car le Genre avance toujours masqué : c'est au nom de l'égalité, du respect des différences, que s'opère la déconstruction du masculin et du féminin. C'est au chapitre «l'égalité homme-femme », ou plutôt selon l'injonction de Najat Vallaud-Belkacem, « l'égalité femme-homme » , que l'élève apprend que le masculin et le féminin sont de pures conventions, et qu'il lui appartient de s'en délier. Le Genre se veut notre nouvel Évangile, il vient nous annoncer la bonne nouvelle que les identités sexuées et sexuelles n'étant que des constructions, elles peuvent être déconstruites. L'enseigner dans les établissements scolaires, c'est fabriquer une armée de soldats de la déconstruction.

    Les propos du pape François sont forts. Il parle notamment de « guerre mondiale pour détruire le mariage » et de « colonisation idéologique » destinée à « changer les mentalités ». Comprenez-vous ces mots historiquement lourds de sens ?

    Ils ont une vérité. Le projet de « changer les mentalités » définit le programme des progressistes depuis la décennie soixante-dix.

    Le Genre travaille à disqualifier les représentations du masculin et du féminin qui sont des significations partagées, héritées, et qui cimentent une société. Le Genre est le dernier avatar de cette grande offensive menée contre la civilisation occidentale depuis les années soixante par le structuraliste Michel Foucault ou Jacques Derrida. La filiation est d'ailleurs revendiquée par les adeptes du Genre.

    Les formulations du Pape sont sans doute excessives mais là encore il y a une certaine vérité. Le genre est un militantisme, et la gauche y est acquise ainsi qu'une bonne partie de la droite. En étendant le mariage à des couples de même sexe, la loi Taubira en destituait le sens, qui n'est pas de consacrer l'amour mais la procréation et la filiation. Et dessinait le cadre pour une reconnaissance de la « filiation » aux homosexuels.

    Quant à la colonisation idéologique, les promoteurs du Genre entendent bien investir les esprits à travers le monde, semer le trouble dans le Genre, c'est-à-dire dans les identités sexuées, et défaire le Genre - pour reprendre les titres programmatiques de deux ouvrages de Judith Butler - et bon nombre de pays d'Amérique du Sud se laissent séduire.

    Le souverain Pontife a également déclaré : « La théorie du genre continue à être enseignée, alors que c'est contre les choses naturelles ». Cette évocation d'une nature humaine est-elle devenue un tabou aujourd'hui ?

    En effet. La rébellion contre le donné naturel et le consentement comme fondement de la légitimité définissent le projet moderne. L'homme doit « se rendre comme maître et possesseur de la nature » et les seuls liens légitimes sont ceux que le sujet contracte volontairement. Or, l'identité sexuelle n'est pas choisie par le sujet, elle est donc perçue comme oppressive. Naître, c'est recevoir, recevoir un corps, une histoire, un passé hypertrophie de la volonté. Nous sommes endettés par nature, dit magnifiquement l'anthropologue Marcel Hénaff.

    Cette récusation de toute forme de donné naturel nous voue à une abstraction dont Merleau-Ponty nous invitait à méditer les conséquences pour la condition humaine : « Une ontologie qui passe sous silence la Nature s'enferme dans l'incorporel et donne, pour cette raison même, une image fantastique de l'homme, de l'esprit et de l'histoire ».

    La nature ne décide pas de tout cependant. « On naît femme et on le devient ».

    Najat Vallaud-Belkacem a réagi au micro de France Inter. Elle s'est dite « peinée » et « très en colère » par ces paroles « légères et infondées ». Elle a précisé qu'il n'y avait pas de « théorie du genre - qui d'ailleurs n'existe pas - dans ces livres ». Que pensez-vous de la réaction du ministre de l'Éducation nationale ?

    Comme toujours avec Najat Vallaud-Belkacem, justifiant par là même le surnom de Pimprenelle que lui a donné François Hollande, elle croit endormir les consciences en pratiquant la dénégation systématique.

    Elle sait parfaitement que les postulats du Genre sont enseignés dans les établissements scolaires. Elle aurait même pu se défausser en incriminant un de ses prédécesseurs, Luc Chatel. C'est en effet sous la présidence de Nicolas Sarkozy, en 2011, que l'enseignement du Genre a été introduit dans les manuels de « Sciences de la Vie et de la Terre » des classes de Terminales.

    Les spécialistes du déni nous objectent que le Genre n'est pas enseigné à l'école primaire, au collège puisque le mot ne figure nulle part. Peut-être, mais là n'est pas la question. Ce qui est bel et bien diffusé, ce sont les postulats du Genre, et pas seulement dans et par les manuels. Les livres lus dès le Primaire, dont les élèves doivent rédiger une fiche de lecture, en sont les émissaires. C'est d'ailleurs, ce qui m'avait conduite à me pencher sur cette question du Genre, lorsqu'en 2012, mon neveu qui était alors en classe de CM1, est rentré de l'école avec pour devoir la rédaction d'une fiche de lecture consacrée à un ouvrage de David Wallians, Le Jour où je me suis déguisé en fille. Cet ouvrage d'une indigence littéraire qui aurait dû suffire à l'écarter d'une institution censée transmettre la langue et l'art d'écrire - mais les lectures scolaires n'ont plus d'autres finalités que de former des indignés et surtout pas des héritiers -, véhiculait un des axiomes majeurs du Genre : l'identité sexuée, le masculin et le féminin ne sont que des conventions, des normes imposées, travaillant précisément à « normaliser » les individus. Le Genre et la gauche s'emploient ainsi à déconstruire, à défaire les représentations, les significations qui cimentent une société. Sans doute le masculin et le féminin sont-ils, en partie, dans la continuité du donné naturel cependant, construits - chaque civilisation compose sa propre partition sur cet invariant - mais ces représentations constituent un lieu commun au sens littéral, les membres d'une même société s'y retrouvent, elles tissent un lien. Observons que cette même gauche n'a qu'un mot à la bouche «créer du lien social ».

    Najat Vallaud-Belkacem invite le Pape à consulter les manuels scolaires. Non seulement il vérifiera que l'idéologie du Genre imprègne bien les chapitres consacrés à l'égalité des sexes, mais surtout, lorsqu'il parle de manuels, il entend assurément les programmes scolaires dans leur entier. Bon nombre de professeurs n'ont guère besoin de directives ministérielles pour inscrire à leur programme des ouvrages qui sont les vecteurs de cette idéologie. Les spectacles destinés aux écoles sont également édifiants.

    Najat Vallaud-Belkacem a rappelé qu'elle avait déjà rencontré le pape et qu'elle était pleine de « respect » à son endroit. Comment comprenez-vous cette ambivalence de la gauche qui admire le pape François sur les sujets sociaux, économiques, migratoires et écologiques, mais le condamne sur les questions sociétales ?

    Ambivalence du Pape non moins, si vous me le permettez. Le Genre et l'idéologie sans-frontiériste, à laquelle le Pape demande aux nations européennes de se convertir en matière d'immigration, relèvent de la même logique : le combat contre le principe de limite, de frontière - frontière entre les nations comme entre les sexes, refus des limites que nous fixe la nature.

    Toutefois, les déclarations du Pape contre le Grand Capital séduisent assurément la gauche mais l'accord se fait sur l'écume, non sur les fondements. L'anthropologie chrétienne est une anthropologie de la finitude. L'homme est créature de Dieu; pour le chrétien, il n'est pas, comme le sujet moderne, au fondement de lui-même. L'individu comme absolu est étranger à la philosophie vaticane.   

    Bérénice Levet est docteur en philosophie et professeur de philosophie au Centre Sèvres. Son dernier livre La théorie du genre ou le monde rêvé des anges, publié chez Grasset en novembre 2014, vient de sortir dans une version « Poche » chez Hachette avec une préface inédite de Michel Onfray.  

    Alexis Feertchak

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Il est contre la « colonisation idéologique » : François, Janus aux deux visages...    

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Bernard Monot (FN) sur les scandales à répétition au sein des instances de l'Union européenne.

  • L'immigration devient préoccupante quand elle arrive dans les "beaux quartiers"

    Un élu FN remet des élus LR à leur place, lors de la manifestation à Louveciennes :

    Michel Janva

  • Liste des problèmes qui n’existent pas aux yeux du pouvoir Hollande et qui détruisent la France | Par Adrien Abauzit

    Nous pouvons prédire avec calme et conviction que notre système politique disparaîtra à court ou moyen terme.

    Pourquoi cette certitude ? Parce que la plupart des maux dont souffrent le peuple français n’existent officiellement pas aux yeux du pouvoir. Dès lors, ces problèmes ne sont pas traités et continuent à produire leurs effets néfastes. La souffrance engendrée par la persistance de ces maux obligera tôt ou tard les Français, même les moins politisés, à agir par survivre.

    Ces problèmes, listons-les :

    • Impossibilité pour la jeunesse française d’accéder à une « situation ».
    • Persécution des Français par les racailles.
    • Persécution des femmes blanches dans l’espace public par les Suèves et les Lombards.
    • Augmentation constante des tensions ethno-culturelles.
    • Harcèlement fiscal des professions agricoles, libérales et artisanales.
    • Harcèlement administratif des professions agricoles, libérales et artisanales.
    • Defrancisation du territoire.
    • Racisme anti-blanc/anti-Français.
    • Saturation démographique de l’Ile-de-France.
    • Destruction du reliquat de valeurs traditionnelles.
    • Soumission de la diplomatie française aux intérêts anglo-américains.
    • Coût du travail exorbitant.
    • Coût de la paix ethnique exorbitant.
    • Poids irraisonnable de l’Etat-« Providence ».

    Il serait bien naïf de croire que tout cela n’aboutisse pas inéluctablement à faire sauter le couvercle de la cocotte-minute républicaine.

    La situation est devenue si grave que le pouvoir ne peut même plus faire semblant de régler un problème à coup d’opération médiatique. La réalité lui glisse trop entre les doigts.

    Les Français ne résoudront les problèmes listés supra qu’on adoptant un paradigme juridique, politique et spirituel nouveau. Pour cela, il ne faudra pas compter sur la classe politique actuelle, composée de médiocres soumis au mondialisme.

    Le pays réel doit se prendre en main. Lui et lui seul peut mettre fin à son calvaire.

    Adrien Abauzit
    Juriste, écrivain et conférencier
    Auteur de Né en 1984 (Ed. Le retour aux sources, 2012)
    3 septembre 2016
    Billet publié sur La Gauche m'a tuer.

    http://www.scriptoblog.com/index.php/archives/billets-d-auteurs/45-politique9/2002-liste-des-problemes-qui-n-existent-pas-aux-yeux-du-pouvoir-hollande-et-qui-detruisent-la-france-par-adrien-abauzit

  • La dette de l’Etat approche les 99% du PIB

    Selon l’Insee, la dette publique s’est élevé à 98,4% du PIB à la fin du deuxième trimestre, loin des 96,1% visés par Bercy en fin d’année. Le ministère de l’Economie et des Finances est-il trop optimiste ?

    Michel Sapin a le dos rond. Vieux briscard de la politique, l’actuel ministre de l’Economie et des Finances n’a pas sourcillé après les commentaires acerbes de l’opposition  qui ont accompagné la présentation du dernier projet de loi de finances du quinquennat. Les prévisions de croissance seraient trop élevées, les prévisions de réduction de déficit public seraient trop optimistes. Quant à l’objectif de réduction de la dette publique, il serait irréaliste. Tels sont, en résumé, les critiques émises contre un budget 2017 globalement jugé insincère.

    Sur ce point, la publication ce vendredi par l’Insee des statistiques datées du deuxième trimestre apportent un peu plus d’eau au moulin aux détracteurs du locataire de Bercy.

    Déjà en 2015

    Selon l’Institut, la dette publique de l’Etat, des administrations de sécurité sociale et des administrations publiques locales a augmenté au deuxième trimestre pour s’élever à 98,4% du PIB, soit 0,9 point de PIB de plus qu’au premier trimestre.  » À la fin du deuxième trimestre 2016, la dette publique de Maastricht s’établit à 2 170,6 milliards d’euros, en hausse de 31,7 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent « , précise l’Insee. Pour mémoire, la France n’a pas affiché d’excédent budgétaire depuis 1974.

    Des chiffres révisables

    Bercy est donc trop optimiste ? A l’Insee, cette augmentation de la dette ne surprend pas vraiment.  » Depuis plusieurs années, il existe une sorte de saisonnalité de la dette. Au premier semestre, l’Etat émet traditionnellement plus de besoins de trésorerie au premier qu’au deuxième semestre. ainsi, en 2015, la dette publique s’élevait à 97,6% du PIB au 30 juin, avant de reculer à 96,2% du PIB au 31 décembre « , explique-t-on à l’Insee où l’on rappelle également que la dette trimestrielle est fondée sur des sources comptables moins complètes que les comptes annuels. A ce titre, elle reste donc révisable pendant plusieurs trimestres.

    Un effort à produire

    Quel effort de désendettement l’Etat devra-t-il produire au deuxième semestre ? Sachant qu’à la fin du deuxième trimestre, l’Etat avait accumulé 28 milliards d’euros de trésorerie et que son objectif annuel est de réduire sa dette de 8 milliards d’euros, il devra alléger sa trésorerie de 36 milliards d’euros pour être dans les clous. L’année dernière, c’est un effort de 19 milliards d’euros que l’Etat avait dû produire au second semestre.

    La Tribune

    http://www.voxnr.com/4087/dette-de-letat-approche-99-pib

  • Alain Juppé droit dans… la vulgarité !

    Et là, on se dit que les communicants de M. Juppé sont aussi doués que ceux de M. Hollande…

    Alain Juppé commence à m’inquiéter. Depuis plusieurs mois, il a entrepris son opération de ratissage sur tous les terrains : café avec NKM, invitation à la gauche, soutien de Bayrou et même ralliement de l’anti-loi Taubira – M. Mariton. Côté religieux, même éclectisme : très pro-musulman avec son imam bordelais M. Oubrou, il a quand même profité de l’horreur de l’égorgement du père Hamel pour se montrer à Lourdes le 15 août, façon clin d’œil appuyé à l’électorat catholique. À gauche, à droite, au centre, à la mosquée, à l’église : M. Juppé est à l’aise partout. À l’aise ?

    Non, bien sûr. Dans toutes ces opérations de racolage, on a toujours retrouvé ce sans quoi Juppé ne serait pas Juppé : son style froid et sa parole grise, son sérieux d’éternel énarque.

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  • Migrants : Angela Merkel conspuée

    Encore une journée difficile lundi à Dresde pour Angela Merkel venue commémorer les 26 ans de la réunification allemande. Huée et sifflée par plusieurs centaines de personnes, elle n’était toutefois pas le seul dignitaire pris pour cible par la populace, aux cris de « Merkel, dégage ! », « Traîtres », etc. Le président Joachim Gauck a lui aussi fait les frais de la vindicte populaire. Le président du Bundestag était de la partie, de même que le ministre-président de Saxe, membre comme Angela Merkel de la CDU et dont l’épouse a même fondu en larmes. Tous ont parlé du besoin d’ouverture aux autres, de tolérance et de respect mutuel mais n’ont pu s’empêcher, comme à leur habitude, d’insulter ces Allemands inquiets pour l’avenir de leur pays face à l’invasion migratoire, les traitant de racistes et d’extrémistes, et les mettant sur le même plan que les terroristes islamistes.

    Pour le correspondant de la chaîne Deutsche Welle, ces protestations ne sont pas représentatives de l’ensemble du peuple allemand mais il faut bien reconnaître qu’elles sont devenues chose courante. Aussi les dirigeants socialistes français, habitués des sifflets et des quolibets quand ils viennent au contact du peuple, n’ont-ils plus grand-chose à envier à leurs collègues allemands. 2 600 policiers étaient présents pour assurer la sécurité des élites lundi à Dresde où deux bombes artisanales avaient explosé une semaine plus tôt, dont une devant le centre des congrès et l’autre devant une mosquée.

    Mais il n’y a pas que l’ex-Allemagne de l’Est où la tension est grande, car même dans l’ouest du pays, où la chape de plomb du politiquement correct pèse plus lourdement sur les esprits, les incidents se multiplient, de l’aveu même d’un rapport publié fin septembre par le gouvernement fédéral sur l’état du pays 26 ans après la réunification.

    Ainsi, dans la petite commune d’Oersdorf (900 habitants), près de Hambourg, le maire insistait pour accueillir des « migrants ». Malgré les menaces qu’il avait reçues, le maire de 61 ans a voulu organiser jeudi une nouvelle réunion avec les fonctionnaires de la ville pour discuter de la question, même si des réunions précédentes avaient dû être écourtées à deux reprises après de fausses alertes à la bombe. Six policiers étaient présents pour sécuriser la réunion, mais Joachim Kebschull est retourné seul à sa voiture pour y prendre son ordinateur, et c’est là qu’il a été violemment agressé et laissé sans connaissance sur le trottoir.

    Olivier Bault

    Article pau dans Présent daté du 5 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/200870/migrants-angela-merkel-conspuee/

  • La « Justice » dans la France hollando-vallsienne

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    Philippe Vardon, élu de PACA, agressé... et condamné

    Bernard Plouvier

    Dans Les Nuées de l’antique Aristophane, l’on trouve ce vers cynique : « La Justice, je l’affirme, ça n’a même pas une ombre d’existence ». Désabusée ou pas, l’affirmation du poète comique, ancêtre spirituel (avec moins de grossièreté et davantage de subtilité) de Louis-Ferdinand Destouches, dit « Céline », illustre parfaitement la comédie judiciaire de la VeRépublique, entrée dans sa phase d’agonie et de pourriture terminale.

    Deux affaires judiciaires tombent de façon quasi-simultanée, diffusées sur le Net, car il ne faut pas attendre grand-chose des media collaborateurs du globalo-mondialisme et de l’immigration-invasion. Dans les deux cas, la « Justice » déraille, comme le font d’ailleurs une partie des commentateurs débiles qui s’expriment sur le Net.

    Un tribunal du Sud-Est condamne une victime d’agression ! Un homme, Philippe Vardon, attaqué en même temps que sa femme et sa fille, par trois lascars issus de l’immigration maghrébine (dont deux repris de justice), a osé se défendre et protéger sa famille. Au fait, avec quoi s’est-il défendu ? Avec ses clés de voiture (une arme de première catégorie, c’est bien connu) et une bombe lacrymogène, tandis que ses honorables agresseurs l’ont blessé d’un coup de couteau (d’où une incapacité de travail de plusieurs jours pour l’agressé).

    Oui, mais voilà : les honorables agresseurs l’accusent d’avoir proféré des « mots racistes » (dire « rouaacistes », par respect pour le défaut de prononciation d’une langue étrangère par d’honnêtes maghrébins) et, circonstance éminemment aggravante, ce citoyen européen de souche est un élu local du Front National, de la tendance identitaire, pas la version centre-droit de l’actuelle direction invertie.

    Agressé – donc couvert par le principe d’antique jurisprudence de la légitime défense -, blessé par arme blanche, l’élu est condamné à six mois de prison FERME !!! Aurait-il mieux valu qu’il se laisse tabasser et larder de coups de couteaux par ses estimables agresseurs maghrébins, sans préjudice des sévices sexuels infligés à son épouse et à sa fille ? Au vu de la décision de première instance judiciaire, c’est probable. L’affaire sera rejugée en appel… et l’on se demande où passe l’argent du contribuable !

    La leçon à tirer de cette première histoire, c’est que les honnêtes citoyens n’ont rien à attendre de juges carriéristes, perturbés soit par leurs idées politiques, soit par des suggestions « venues d’en-haut ».

    Plutôt que de se faire massacrer, violenter, blesser sans réagir, il peut paraître préférable, aux Français de souche européenne, d’organiser ces milices citoyennes. Il est illusoire de faire confiance aux « forces de l’ordre » et bien plus encore à une « Justice » de plus en plus bizarre dans ses jugements. Si l’on ne s’organise pas, l’on risque un jour ou l’autre de voir des « vengeurs » s’arroger le droit de nettoyer nos cités des racailles qui les polluent.         

    La seconde histoire est pire encore, car elle touche à la vie de famille et à l’éducation qui est un Droit absolu des parents, sauf s’ils sont indignes ou imbéciles. Une mère de famille de la Réunion bat son délinquant de fils à coups de ceinture en filmant la chose puis en diffusant la correction sur le Net. Plus intelligente que nombre de magistrats et d’agents d’encadrement de la jeunesse, elle croit au caractère dissuasif du châtiment : de fait, durant des siècles, ce fut l’un des fondements tant de l’organisation judiciaire que de la théologie morale.

    Cette mère aurait dû être blâmée pour avoir mal éduqué son rejeton qui est entré, encore mineur d’âge, dans la délinquance, et félicitée pour avoir – peut-être un peu tard – tenté d’inculquer de sains principes à son fils. C’est bien sûr l’inverse que l’on observe. La mère est déférée à la « Justice » et le petit chéri plaint par des centaines de crétins de blogueurs… ce qui réalise les conditions expérimentales pour transformer ce délinquant en psychopathe assoiffé de publicité.

    Notre France va mal. Plus exactement, elle marche sur la tête depuis que des gosses de riches ont, en 1968 et ensuite, déversé des tombereaux d’âneries freudiennes et marxistes à propos d’une société dont ils ne connaissaient rien que les voitures de sport, le haschich et le LSD, les amants de maman et les poules de luxe de papa.

    Il est temps de réaliser une authentique révolution culturelle. En l’occurrence d’en revenir aux fondamentaux : le Code Napoléon, dans toute sa rigueur ; l’adéquation entre race et continent ; une instruction dépolitisée, technique et humaniste, dépourvue de toute référence religieuse, mais insistant sur les notions d’honneur, de travail, de famille et d’appartenance au continent européen et à sa race.

    Il n’est jamais trop tard pour bien faire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Relaxé par la justice, le général Piquemal est radié des cadres de l'armée française

    L'affaire avait fait grand bruit en février 2016. Relaxé par la justice en mai 2016 après un rétro pédalage politiquement correct, le ministre de la défense a eu ce qu'il voulait : la radiation des cadres du général (2S) Piquemal :

    6a00d83451619c69e201b7c89bd829970b-320wi.jpg"Le général de corps d'armée Christian Piquemal, qui avait participé à une manifestation non autorisée contre la politique migratoire à Calais le 6 février dernier, est, selon nos informations, radié des cadres. Cette mesure disciplinaire très forte intervient comme une surprise, cinq mois après sa comparution devant le tribunal de Boulogne-sur-mer, d'autant que l'institution judiciaire l'avait finalement relaxé le 26 mai (...)

    Depuis sa relaxe, le général Piquemal s'estimait «totalement blanchi», le Parquet n'ayant pas fait appel de ce jugement. Mais sur le plan administratif, une procédure disciplinaire, lancée en mars par le ministre de la Défense, vient d'aboutir à sa radiation des cadres, le devoir de réserve du militaire étant au cœur du dossier. Le général, qui l'a seulement appris mi-septembre par un courrier recommandé, avait été entendu le 14 juin par le Conseil Supérieur de l'Armée de Terre (CSAT), siégeant disciplinairement à l'Hôtel des Invalides à Paris. L'instance avait transmis son avis consultatif - non communiqué au général ni à ses deux avocats - au ministère de la Défense, et la radiation avait ensuite été prise par un décret du 23 août signé par le président de la République, le premier ministre et le ministre de la Défense (...)

    «Profondément indigné par cette décision injuste et injustifiée, excessive et disproportionnée», réagit-il. Le général quatre étoiles entreprend aujourd'hui une procédure de recours devant le Conseil d'État, confie-t-il au Figaro, «avant d'aller devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), si besoin». «Cette sanction est un hiatus, une anomalie grave, en totale contradiction avec ma relaxe, se scandalise-t-il. C'est le désaveu du pouvoir judiciaire par le pouvoir administratif, cela bouleverse la hiérarchie des normes juridictionnelles, c'est tout simplement du jamais-vu!» (...) Si son grade ne peut lui être retiré, le port de son uniforme lui est en revanche interdit, tout comme sa carte d'identité militaire d'officier général - en principe accordée à vie. C'est l'atteinte à ces symboles forts et ce retour forcé au statut civil qui lui «font le plus mal», plus que les autres attributs, notamment financiers, liés à son statut. «Le plus inacceptable pour moi, c'est d'être mis au ban de cette manière après avoir donné quarante années au service de la France, d'être rayé comme ça et traité comme un paria» (...)

    Pour beaucoup de ses soutiens, cette sanction disciplinaire n'est rien d'autre qu'«un règlement de compte politique», dit l'un d'eux. «Si l'administration estime que j'ai transgressé mon devoir de réserve (...) en usant de ma liberté d'expression, analyse le général, cela veut dire une chose: c'est que ma liberté d'expression ne peut être que celle de la pensée dominante. Et si elle n'est pas conforme à la bien-pensance politique, alors elle est sanctionnée. La vérité, c'est que mon cas sert d'instrument pour faire taire la Grande Muette, car les officiers généraux s'expriment aujourd'hui beaucoup plus qu'avant. Ils veulent faire de moi un exemple pour imposer le silence dans les rangs».

    Philippe Carhon