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magouille et compagnie - Page 1778

  • Migrants : ce gouvernement se moque de nous !

    Sur injonction de Bruxelles, la France va répartir ses « réfugiés » migrants clandestins hors la loi dans ses villes et villages.
    C’est parti ! Sur injonction de Bruxelles, dont les « commissaires » sont bien au chaud dans leurs charentaises dorées, la France va répartir ses « réfugiés » migrants clandestins hors la loi dans ses villes et villages. Sans identité souvent, sans visa toujours, sans âge pour les ados qui préfèrent être traités comme mineurs, voilà que notre gouvernement va les choyer avec nos sous. « C’est l’État qui paie ». À raison d’un coût estimé entre 25 et 40 euros par jour, ces sans-loi mais grande foi pour Allah, hélas, vont être logés, nourris, qui dans un château comme à Allex (petit bourg de la Drôme), qui dans des foyers ou des appartements et hangars réquisitionnés. 

De qui se moque-t-on ? Manuel Valls cornaqué par François Hollande se moque de nous, et surtout de nos huit millions de pauvres. « Charité bien ordonnée commence par soi-même », nous dit la Bible. Mais il est vrai que ce n’est pas tellement leur livre de chevet. Alors, ils abandonnent l’idée de secourir nos milliers de SDF auxquels jamais ils n’auraient eu l’idée de proposer une résidence de châtelain. Et à la fin de cet hiver, le SAMU social nous annoncera que X sans-abri français sont morts sur nos trottoirs pendant que ces milliers de clandestins auront été hébergés à travers la France. A-t-on jamais proposé à des SDF de leur ouvrir les chambres d’un château ? Leur a-t-on ouvert un dortoir dans un hangar désaffecté et réhabilité à grands frais ?

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  • « Dans un sondage, le choix des mots change la donne ! »

    Ludovine de La Rochère répond à Charlotte d'Ornellas, au sujet du sondage manipulé :


    Ludovine de la Rochère : "Dans un sondage, le... par bvoltaire

    Michel Janva

  • Rentrée scolaire : « la » Ministre est contente. D'elle ...

    Avez-vous écouté la conférence de rentrée de notre Ministre de la (dés) Education nationale ?  Morceau bien préparé de « désinformation incantatoire » - pour reprendre l'expression juste employée par SOS-Education, elle s'est félicitée de l’achèvement de sa soi-disant « refondation de l’école ».

    La réalité, évidemment, est toute autre.

    Les horaires de mathématiques et de français ont été rabotés, au profit d’un fatras pédagogiste interdisciplinaire, et cela nous est annoncé comme « un renforcement des enseignements disciplinaires » ! ...

    Le CAPES (Certificat d'Aptitude au professorat du Second degré) n'attire plus assez de jeunes, le « plus beau métier du monde » étant très largement dévalorisé aux yeux des élèves comme des parents, et du public en général.  Pourtant, dans certaines Académies, on l'a bradé à 7/20, et même à 4/20, certaines copies de philo « se disqualifiant d'elles-mêmes, dit un rapport digne de foi, hélas. Qu'à cela ne tienne : « la » Ministre a réponse à tout, et elle a appelé ce double naufrage « une inédite appétence des enseignants à aller enseigner dans les endroits considérés comme les plus difficiles ».Comme dirait Molière : « Ah ! Qu'en termes galants ces choses-là sont dites ! »

    D'ailleurs, pour « la » Ministre, tout va forcément bien puisque, assène-t-elle, « le monde d'hier (c'était) le monde de l'injustice et de l'indécence ».

    On ne parlait pas différemment dans la patrie des Soviets, au temps du « génial petit père des peuples », ou dans l'Allemagne qui promettait « le Reich pour mille ans ».

    Et dire que, ce « discours », c'est celui de la personne en charge de ... l'instruction des enfants !  

    « Un rapport digne de foi »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le PCF, la fête de L'Huma et la ligne du parti

    Cette année encore à La Courneuve, les 10 et 11 septembre, la Fête de L'Humanité a pu rassembler des dizaines de milliers de visiteurs. Difficile, certes, d'avaliser ici le chiffre incontrôlable, énorme, de 600 000 personnes, annoncé par les organisateurs pour cette 81e édition. Il s'agissait en tout état de cause de rappeler, à ceux qui voudraient l'oublier, la force du parti communiste relativement aux autres composantes de la gauche.

    Sans doute dans l'absolu on nous rappellera que ce parti "n'est plus ce qu'il était". Mais on doit comparer son déclin relativement à celui des autres forces politiques.

    Son quotidien l'Humanité éprouve par exemple les plus grandes difficultés à survivre. Maurice Ullrich indiqua ainsi que, pour couvrir la crise politique brésilienne il n'avait pas les moyens de faire voyager un envoyé spécial. Évidemment, le PCF "soutient" Dilma Rousseff et, à défaut de présence physique, le site de L'Humanité diffuse une petite vidéo de la présidente déchue…

    Mais si l'on veut comparer le PCF aux autres forces politiques de ce pays on doit, aussi, se demander où en est la presse du parti socialiste, celle des radicaux, celle des écolos, celle de l'UDI, celle du FN, celle des Républicains ?

    De même, en termes de locaux, de permanents, d'associations, de syndicats, de comités d'entreprises, de manifestants etc.

    Un renfort plus que symbolique, exceptionnel, était venu cette année de la centrale syndicale Force Ouvrière : son secrétaire national était présent pour la première fois depuis la scission de 1947 en la personne de Jean-Claude Mailly.

    Dans une optique démocratique, on préfère s'en tenir au nombre d'élus, d'électeurs, voire en pourcentages virtuels d'intentions de vote ou de popularité du leader dans les sondages.

    Le parti communiste, qui conserve son appellation contre vents et marées, ne l'entend pas de la sorte. Dans l'attente de jours meilleurs, les militants communistes, du PCF, de la CGT ou de la FSU demeurent une force de blocage, incontournable à gauche.

    Or, l'un des objectifs proclamés était l'union de la gauche.

    L'éditorial de L'Huma de ce 12 septembre, signé de Patrick Appel-Muller donnait le ton, celui d'une " quête de rassemblement" : "une ligne de force dit-il parcourait le rendez-vous de La Courneuve, la recherche de rassemblements plus larges et plus efficaces pour reprendre la marche vers plus de progrès social."

    Le débat avec Philippe Martinez, Jean-Claude Mailly et les cinq autres syndicats hostiles à la loi El Khomri était empreint de cette quête d'unité.

    L'écoute attentive des discours tenus, d'une part par les candidats de la "gauche critique", déjà déclarés contre Hollande et Valls, en vue de l'élection présidentielle, et, d'autre part des propos de Pierre Laurent permet d'attester cette affirmation de la recherche d'un nécessaire "rassemblement pour que soit démenti le scénario annoncé, un sinistre tête-à-tête entre la droite extrémisée et l'extrême droite."

    La vedette de ce combat se situait d'ailleurs sur le terrain social et syndical. "On se rue sur les téléphones portables (…) pour se prendre en photo avec Philippe Martinez, celui qui a incarné la résistance contre la loi El Khomri."

    L'élément central reste Pierre Laurent. En page V de L'Huma, figurait une longue colonne de personnalités, tant communistes que compagnons d'une route de fin de semaine, sous la rubrique "ils ont fait la fête"

    Citons donc les plus connus de ces "fêtards" d'un genre un peu particulier : Alain Bocquet, André Chassaigne, Régis Debray, Caroline de Hass, Cécile Duflot, Aurélie Filipetti, Gérard Filoche, Benoît Hamon, Didier Le Reste, Marie-Noêlle Lienemann, Jean-Claude Mailly, Philippe Martinez, Jean-Luc Mélenchon, Arnaud Montebourg, Christian Paul, Évelyne Sire-Marin, Christiane Taubira, Bernard Thibault…

    Acte manqué du maquettiste ou intention délibérée ?, seul le chef du parti, manque à l'appel. Il ne fait pas "la fête", lui … il va au charbon…

    Pierre Laurent, secrétaire national, réaffirme son rôle à sa manière. Dans un entretien avec Yves Calvi sur LCI le 12 septembre au soir, il soulignera "qu'aucun candidat de gauche ne peut être élu sans les voix du parti communiste."

    D'autre part, dans toute sa démarche pour aboutir à une forme de "candidat unique" il rappelle constamment une donnée. Celle-ci le sépare des positions fluctuantes de ses partenaires "socialistes frondeurs". Sans privilégier l'hypothèse d'une candidature de son secrétaire nationale le PCF écarte toute idée d'un ralliement à François Hollande ou à Manuel Valls, impardonnables d'avoir touché au "modèle social français" par la Loi El Khomri.

    En point d'orgue de cette fête de L'Huma on a pu entendre un discours interminable, lyrique et creux, du directeur du journal et député européen, Patrick Le Hyaric s'employait à galvaniser les militants. L'orateur était flanqué de Pierre Laurent ce qui ne l'empêchait pas de proclamer dans sa péroraison : "Ici on rêve"… 

    "Ici, rassemblés, psalmodia Le Hyaric, nous sommes la force qui refuse que nous nous jetions les uns contre les autres… Nous n’en pouvons plus d’une société qui maltraite, qui méprise ceux qui n’ont que leur travail ou leur retraite pour vivre. Nous n’en pouvons plus d’une démocratie vidée de son sens, des décisions prises dans le dos du peuple et contre lui, comme cette loi de précarisation du travail adoptée contre le peuple et contre l’Assemblée nationale Nous voulons être respectés et nous sommes des millions à le vouloir dans ce pays que nous aimons tant (...) Le visage que nous offrons, que vous offrez aujourd’hui, c'est celui d’une France rayonnante, solide, prête à affronter les défis. D’ici, nous crions : 'Un État palestinien maintenant ! Liberté pour les prisonniers politiques palestiniens ! Liberté pour Marwan Barghouti !' (…) C’est l’aspiration au progrès social, à vivre mieux, à être entendu, que tente de balayer la clique d’oligarques qui s’acharnent à renverser tous les gouvernements progressistes en Amérique latine, en s’essuyant les pieds sur le suffrage universel et la démocratie. Oui, de cette Fête de l’Humanité, nous affirmons notre soutien au peuple brésilien, à sa présidente Dilma Rousseff et à notre ami Lula !"

    Ce samedi 10 septembre, à La Courneuve les candidats de gauche avaient défilé, égrenant des opinions largement convergentes, ne révélant que de bien petites divergences, sauf sur la question essentielle pour chacun d'entre eux, de leurs ego respectifs. Jean-Luc Mélenchon déclina ses belles formules "le plus grand dénominateur commun, c’est l’insoumission"… "L’enjeu de la lutte des classes, ce n’est pas la richesse, c’est la conscience" … car "produire en France, ce n’est pas du nationalisme, c’est de l’écologie". Arnaud Montebourg, lui aussi défenseur du "made in France", a argumenté que la France devait "passer commande en France, notamment sur la question du rail." Benoît Hamon, plus sobre, parle d'abroger la loi travail. Et puis, il faut rompre avec le culte de la croissance, dont "le coût écologique et social est insoutenable". Christiane Taubira pas [pas encore ?] candidate a twitté de la fête : "Moment privilégié de rencontre avec les militants et les visiteurs de la fête de l'Humanité"

    En regard et en réponse, le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, posait ainsi le problème : "Nous ne voulons pas cinq mais un candidat car nous voulons la victoire en 2017 sur la droite et l’extrême droite".

    Or, il considère que "la majorité sociale existe dans le pays".

    C'est cette conception, héritière du prétendu "mouvement social" de l'automne 1995, qui s'est développée dans le contexte des grèves et manifs contre la Loi El Khomri, qu'il faudra observer avec vigilance car il peut se révéler gros de menaces pour les institutions et les libertés. Le chef du PCF appelle en effet à "regarder cette fête dans le peuple qui la traverse" et où "il existe une majorité sociale de progrès à transformer en majorité politique en 2017".

    Le rappel des sept organisations syndicales rassemblées à la Fête et qui militent "contre l'horizon sans fin de la précarité que promet la loi El Khomri" déclenche dans le public un "tous ensemble !"

    La veille, après avoir écouté les 5 candidats annoncés, le secrétaire national du PCF était intervenu dans une salle de 200 personnalités politiques et associatives, invitées du parti. Il avait donné un son de cloche supposé constructif sinon optimiste, celui d'une "visée à long terme". Pierre Laurent n'a donc pas hésité à proclamer, 99 ans après le coup d'État du 7 novembre 1917 : "L'heure est à la révolution politique"

    "Les jours de la Ve république sont comptés, ce temps est inexorable", dit-il. Prétendant tenir "un discours de vérité", exprimant son dégoût "des discours démagogiques sur la République", il affirme : "Nous avons une haute définition de ce que doit être la vie", avant de donner une définition renouvelée de cette nouvelle république qu'il appelle de ses vœux, elle sera "sans 49-3, démocratique, élargissant le droit de vote aux résidents étrangers, limitant le cumul des mandats, défendant une laïcité qui n'exclut pas". Sa république sociale visera "la réduction des inégalités, le développement des services publics et l'avancée des droits".

    La suite des événements pourrait bien s'articuler autour de la consultation citoyenne "que demande le peuple ?". Ce questionnaire visera à démontrer qu'un "socle majoritaire populaire existe pour mener une véritable politique de gauche." Aux 40 000 formulaires remplis s'ajouteront ceux recueillis lors de la fête avant leur restitution le 8 octobre. La synthèse, certainement très objective, permettra sans doute aux communistes de présenter le programme que leurs dirigeants auront rédigé en petit comité comme "la volonté du peuple" et celle de sa prétendue "majorité sociale".

    http://www.insolent.fr/

  • 15 ans après, que reste-t-il de la version officielle du 11 septembre 2001 ?

    Voici un reportage allemand diffusé quinze ans après les attentats du 11 septembre 2001.

  • Comment le gouvernement veut répartir les migrants de Calais en région

    Avant fin 2016, les préfets devront avoir trouvé 12.000 places d’hébergement pour les personnes censées être évacuées.

    Objectif déclaré de Bernard Cazeneuve : avoir fait émerger « d’ici à la fin de l’année 2016 » plus de 12.000 places dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) partout en France. Crédits photo : CHARLES PLATIAU/REUTERS

    Un plan pour sortir de l’épineux dossier des migrants de Calais ? Le Figaro a eu connaissance des consignes envoyées aux préfets pour pourvoir à l’hébergement de ces milliers de déracinés qui s’entassent dans le camp de la « jungle ». « Afin d’accueillir les migrants de Calais et de la plaque parisienne, le schéma de mobilisation de places d’hébergement sur l’ensemble du territoire a été validé », indique ce « relevé de conclusions » daté du 1er septembre. Il fixe donc des « orientations » qui « valent instructions ».

    C’est qu’avant de vider progressivement Calais, comme l’a promis le ministre de l’Intérieur, encore faut-il trouver des centres pour évaluer les situations individuelles et orienter les personnes. C’est, en tout cas, la stratégie adoptée par Bernard Cazeneuve. Objectif déclaré : avoir fait émerger « d’ici à la fin de l’année 2016 » plus de 12.000 places dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) partout en France.

    « Il a été décidé d’écarter dans la répartition les régions Île-de-France, particulièrement tendue sur la question de l’hébergement, et Corse », révèle toutefois le document. [....]

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Comment-le-gouvernement-veut

  • ZOOM - Vincent Badré : "L'idéologie contestable de l'Éducation nationale"

  • Alstom : retour sur une trahison en plusieurs actes !

    Alstom vient d’annoncer l’arrêt de la production de trains à Belfort, pour la rapatrier notamment à Reichshoffen dans le Bas-Rhin.

    Colère et sentiment de « trahison » des salariés comme des élus locaux, réunion de crise à l’Élysée, critiques politiques… Car, au printemps 2015, Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, avait engagé sa responsabilité en promettant « zéro licenciement chez Alstom Transport »

    http://www.bvoltaire.fr/videos/alstom-retour-sur-une-trahison-en-plusieurs-actes,282360

  • La gauche veut faire fermer le nouveau local identitaire lillois : SOUTENONS LA CITADELLE" !

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    Depuis quelques jours, Josiane Dabit, responsable locale d'Europe Ecologie-Les Verts, a lancé une pétition exigeant la fermeture de la Citadelle, maison de l’identité flamande située au cœur de Lille. Le prétexte invoqué serait les éventuels troubles provoqués par les extrémistes de gauche qu’elle semble appeler de ses vœux.

    Bien entendu, elle ne réclame pas la fermeture des mosquées salafistes qui jouent un rôle direct ou indirect dans le recrutement de djihadistes.

    Dans une France meurtrie par les attentats islamistes, tout le monde saura apprécier le sens des priorités de Josiane Dabit : faire taire ceux qui luttent en première ligne face à l'islamisation de la France et de l'Europe.

    Aujourd’hui, c’est toute la presse qui se fait le relais de cette pétition et il y a fort à parier que la Citadelle et les identitaires lillois devront faire face à de nombreuses pressions ces prochains jours.

    Pour montrer votre soutien aux identitaires lillois et à leur Citadelle, signez cette pétition ! 

    Signez la pétition cliquez ici