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magouille et compagnie - Page 1880

  • Le doyen FN rafraîchit la mémoire d’Estrosi

    Président de la séance inaugurale du conseil régional de Paca, au titre de doyen d’âge, Jean-Pierre Daugreilh s’est fait plaisir en rappelant à Christian Estrosi le temps où, dans ses culottes courtes (ou presque), il portait à droite.

    Lors des élections régionales de 2010, le traditionnel discours du doyen, lors de la séance inaugurale de la mandature, avait déjà été prononcé par un élu du Front national. Il s'agissait alors d’un certain… Jean-Marie Le Pen. Vendredi dernier à Marseille, c’est un autre frontiste qui a présidé à l’installation du nouveau conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) : Jean-Pierre Daugreilh.
    Agé de 73 ans, ce conseiller municipal d’opposition à Vence figurait en neuvième position sur la liste des Alpes-Maritimes menée par l’ex-UMP Olivier Bettati. Si ces deux mandats sont récents, l’homme n’en est pas moins un vieux routier de la droite nationale dans le sud de la France et même de l'autre côté de la Méditerranée : il fut un ardent défenseur (euphémisme) de la cause de l’Algérie française avant de participer à toutes les aventures activistes puis intellectuelles du camp patriote dans les années 1960 et 1970.

    « Je suis d'accord à 99 % avec le FN. »
    Si Jean-Marie Le Pen avait prononcé un discours à la connotation très nationale en 2010, cette fois-ci, Jean-Pierre Daugreilh s’est attaché à s'en tenir au plan local, évoquant en particulier les conditions particulières de cette élection et la personnalité de celui qui allait être élu président de
    la nouvelle assemblée régionale quelques instants plus tard.
    Car si Jean-Pierre Daugreilh connaît bien Jean-Marie Le Pen, il connaît aussi très bien Christian Estrosi. Et pour cause : il l’a vu faire ses premiers pas en politique !

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  • Plan américain pour évacuer les chefs de Daesh de la ville de Ramadi par hélicoptère

    Il y aurait aussi, à ce qu’il semble, des djihadistes modérés en Irak. Comment font-ils, à la Maison Blanche et au Pentagone pour ne pas se mélanger les pinceaux avec les bons, les méchants, les modérés et les durs de durs ? Heureusement que la Russie est là pour nous aider à y voir clair. RI

    ***

    Aime ton ennemi ? Découverte d’un plan américain d’évacuation de chefs djihadistes de Ramadi

    Un complot américain pour évacuer les dirigeants de Daesh de la ville stratégique de Ramadi au centre de l’Irak aurait été divulgué par un commandant des forces des volontaires.

    Un commandant irakien des forces volontaires a révélé des plans américains pour évacuer les dirigeants de Daesh (ISIL / ISIS) de la ville de Ramadi au centre de l’Irak, selon  l’agence de presse iranienne FARS.

    Cette divulgation a eu lieu alors que l’armée irakienne et les troupes populaires tentent de conforter leur victoire sur le groupe djihadiste à Ramadi.

    FARS a cité le commandant du Bataillon de l’Imam Khamenei Haidar al-Hosseini al-Ardavi qui a déclaré que « le ralentissement dans les opérations de libération des villes de Ramadi et Falloujah dans la province d’Anbar était dû à l’ingérence des États-Unis ».

    Les forces de sécurité irakiennes et les Forces de Mobilisation populaires alliées ont tiré des roquettes sur les positions de Daesh dans un champ de pétrole près de Beiji, à environ 250 kilomètres (155 miles) au nord de Bagdad en Irak, le samedi 24 octobre 2015

    « Il semble que les Etats-Unis ont l’intention d’évacuer en secret les infâmes meneurs du groupe terroriste ISIL (avec des hélicoptères) de la ville de Ramadi pour les mener dans des lieux inconnus », a-t-il dit, selon FARS.

    Ses remarques ont été faites au milieu des efforts déployés par les forces de sécurité irakiennes pour continuer à gagner du terrain dans le centre de Ramadi, où des centaines de terroristes Daesh sont pris au piège grâce au siège.

    Le mercredi, il a été signalé que les troupes irakiennes avaient réussi à faire des progrès significatifs dans Ramadi après avoir atteint le Tigre, et avaient commencé à entrer dans le centre-ville après avoir traversé le pont Al-Khor.

    Dans un autre développement, les forces spéciales de l’armée ont attaqué des cachettes de Daesh dans le quartier al-Zubat de la ville, et ont commencé à libérer des bâtiments gouvernementaux dans le quartier al-Hoz de Ramadi.

    Plus tôt cette semaine, le chef d’état-major de l’armée irakienne, le lieutenant général Othman al-Ghanimi avait dit que ses troupes n’avaient besoin que de quelques jours pour complètement faire sortir Daesh de la ville de Ramadi qui a été sous le contrôle des terroristes depuis mai 2015.

    Traduction Avic – Réseau International

    Source : http://sputniknews.com/middleeast/20151227/1032365363/iraq-us-daesh-ramadi.html#ixzz3vZMLLmIU

    Source Article from http://reseauinternational.net/plan-americain-pour-evacuer-les-chefs-de-daesh-de-la-ville-de-ramadi-par-helicoptere/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • « Que fait donc SOS Racisme à part porter plainte ? »

    Puisque la grosse presse se contente de condamner Robert Ménard sans lui donner la parole, laissons-le s'exprimer :

    Michel Janva

  • Vers un "état d’urgence à volonté" + un "grand parti central à vocation majoritaire permanente" ?

    Institutionnaliser l’état d’urgence est la nouvelle « feuille de route » : il s’agit d’utiliser la peur du terrorisme pour donner à l’exécutif des pouvoirs exorbitants qu’il utilisera dans tous les domaines. La lutte contre « Daech » devient un prétexte pour autre chose. 

    Contre les écologistes et les alternatifs (par exemple), on a vu des débordements à la veille de la COP 21. De nouvelles affaires-de-Tarnac vont se multiplier sous les yeux des populations, inquiètes, par ailleurs, de l’absence de résultats dans la lutte anti-jihadistes : 2898 perquisitions administratives hors de tout cadre judiciaire, 384 assignations à résidence (dont peu concernaient le jihad) avec méprises souvent ubuesques, comme l’interpellation pour « salafisme terroriste » d’un Toulousain catholique qui revenait de Lourdes avec ses enfants *... Cette déferlante attrape-tout n’a fourni au parquet anti-terroriste que la matière de trois enquêtes seulement, et d’une seule mise en examen « en relation (mais vague) avec le terrorisme » – puisque le terrorisme n’était pas la cible unique... ni peut-être la cible principale.

    « De toute façon on fait ce qu’on veut, on est en état d’urgence », explique un policier à une femme dont on vient d’enfoncer la porte sans raison valable (Le Monde 22/12). Ce que confirme un policier du renseignement territorial : « On profite de l’état d’urgence pour faire du boulot de police basique. Pour se couvrir, on dit qu’il y a un lien entre terrorisme jihadiste et banditisme »**. Le « banditisme » a le dos large, quand on perquisitionne chez des maraîchers bio de Dordogne parce qu’ils ont défilé pour Notre-Dame-des-Landes en 2012 ! [....]

    Patrice de Plunkett

    La suite sur Patrice de Plunkett : le blog

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Vers-un-etat-d-urgence-a-volonte

  • Les exigences luxueuses de Yanis Varoufakis (gauche radicale)

    Le journal athénien Proto Thema a rendu public un courriel reçu de l’agence The London Speaker Bureau qui gère les conférences de l’ancien ministre grec des finances  Yanis Varoufakis (égérie de la gauche radicale française), démissionnaire en juillet dernier.

    On y apprend que le chantre de la lutte contre le capitalisme financier réclame 60 000 dollars par discours hors Europe, 5 000 dollars en Europe et 1500 dollars pour les universités.

    Il voyage en première classe, exige logement, transport, repas et extras. Les sommes sont directement versées sur un compte bancaire à la HSBC dans le sultanat d’Oman. »

    Source Faits & Documents n°406

    http://www.contre-info.com/

  • Aucune "mosquée" n'aurait été vandalisée à Ajaccio

    Et pour cause : officiellement il ne s'agirait que de la salle d''une association culturelle et sportive.

    Michel Janva

  • L’honneur perdu de la démocratie

    Les Français ont été bousculés, non pas pour consolider la gestion de leur territoire régional, mais pour sauver la mise d’un gouvernement minoritaire.
    La France vit depuis 15 ans une situation dramatique, dans l’impasse du chômage, la ruine des finances publiques, l’incapacité de réformer, la réaction tardive à une guerre terroriste implacable. Le gouvernement sonne le tocsin et – quelle surprise ! – il ne s’agit pas de rassembler nos forces mais de créer la fracture dans la nation pour s’opposer à une tendance majoritaire des citoyens.
    Ainsi, après la crise avortée de 2002, le deuxième rendez-vous avec le peuple vient d’être manqué. Les élections régionales des 6 et 13 décembre ont présenté une curieuse supercherie politicienne. La manipulation malhonnête des sectes partisanes qui capte le pouvoir du peuple depuis des décennies consiste seulement à se cramponner à l’apparence du pouvoir. La manœuvre habituelle des partis est allée jusqu’à l’abandon de poste électoral en rase campagne afin de préserver le système qui leur assure la survie.

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  • Fausses priorités de l'UE et son instrumentalisation des droits de l'Homme

  • Schengen : la faille de l’Europe

    Alain Juppé, ancien Premier ministre et candidat à la primaire de la droite et du centre, a affirmé en visite à Mayotte le dimanche 20 décembre qu’il fallait « arrêter le flux permanent de l’immigration ». Comment pourrait-on le contredire ?
    L’INSEE a publié, le 13 octobre dernier, une note sur les flux migratoires en 2006 et en 2013. Il en ressort qu’au 1er janvier 2014, il y avait 5,9 millions d’étrangers en France, soit 731.000 personnes de plus qu’en 2006. Il est normal que des hommes et des femmes qui sont, dans leurs pays, confrontés à la guerre et à la misère, essayent, malgré les risques évidents, de rejoindre notre Europe. Néanmoins, force est de reconnaître que l’immigration représente un problème qu’il faut régler.
    Alors comment y parvenir ? La tâche est loin d’être aisée et son issue ne peut s’inscrire que sur le long terme. Car, contrairement à ce que prétendent certaines personnalités politiques de notre pays, rétablir les frontières nationales ne résoudrait rien. Ce qu’il faut, en revanche, c’est relancer la coopération avec les pays d’origine. Nous, Européens devons engager un projet de développement avec l’Afrique. Ce qui réclame courage, détermination et anticipation.
    Pour l’heure, l’Union européenne se contente de prendre des positions de principe comme traiter humainement les migrants qui arrivent sur le sol européen. Une position de principe qui, si elle est nécessaire, est cependant loin d’être suffisante parce qu’elle est un signe d’encouragement pour tous les candidats au départ. L’ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard l’avait dit : « L’Europe ne peut accueillir toute la misère du monde. »
    Si l’Union européenne ne souhaite pas perdre le contrôle des événements et qu’ainsi aux problèmes migratoires s’additionnent des problèmes économiques et sociaux, les dirigeants européens doivent être conscients des failles du système actuel. En être conscients de pouvoir les résoudre.
    Ces failles, aujourd’hui, se nomment droit d’asile et Schengen. Droit d’asile parce qu’il fait quotidiennement l’objet de détournement. En France, par exemple, les reconduites à la frontière font l’objet de recours systématiques devant les tribunaux administratifs et le Conseil d’État. Les déboutés en appellent aux droits fondamentaux : avec succès puisque seuls 10 % d’entre eux (environ) quittent réellement le territoire ; le reste demeure sur le territoire national de façon totalement irrégulière. Nous ne pouvons ni ne devons plus accepter cela. Enfin l’espace Schengen, quant à lui, est devenu une vraie passoire. En effet, l’agence Frontex chargée d’assurer le contrôle des frontières externes de la zone ne dispose que de très peu de moyens budgétaires et humains. C’est pourquoi il est urgent d’augmenter de façon massive son budget. Notre économie, notre prospérité, notre identité et notre société sont en jeu.

    Romain Bonnin

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuVEpFkkpyFCAJIGWg.shtml