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magouille et compagnie - Page 1973

  • Bruno Retailleau renonce au conseil général de Vendée

    Le sénateur UMP a annoncé qu'il brigue la présidence de la Région. Il ne se représentera pas aux élections départementales. Bruno Retailleau (UMP)  conduira la liste UMP aux prochaines élections régionales, en décembre 2015. Élu depuis 1988 au conseil général de Vendée, Bruno Retailleau en assurait la présidence depuis novembre 2010.

    Philippe de Villiers, ancien président du Département, estime que son successeur"trahit" les Vendéens.

    "La preuve est faite que la Vendée n’était, pour mon successeur, qu’un tremplin. Aujourd’hui, il quitte la Vendée.  La Région sera pour lui un nouveau tremplin éphémère. En effet, il y restera à peine deux ans puisque la loi interdisant le cumul sénateur – exécutif  régional s’appliquera en septembre 2017.

    Il avait juré fidélité aux Vendéens : « la Vendée d’abord ». Aujourd’hui, c’est « la Carrière d’abord ».  L’ivresse du pouvoir l’emporte loin de ses racines. Trahir un jour, trahir toujours."

    Michel Janva

  • Encore un déséquilibré musulman…

    Un jeune homme de 23 ans tente d’étrangler un policier au cri d’« Allahu Akbar », forcément c’est un malade mental. Beaucoup de déséquilibrés font parler d’eux en France ces dernières semaines.

    Lu sur Estrepublicain.fr : Jusque-là, il s’était montré calme et conciliant. Jusque-là, il n’y avait pas de problème avec ce jeune homme de 23 ans, placé en garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police de Metz depuis hier matin, pour une simple histoire de vol à la tire commis dans le quartier de la gare.

    Le policier chargé des geôles n’avait aucune raison de se méfier particulièrement. Lorsque le gardé à vue lui a demandé à se désaltérer, en début d’après-midi, l’agent a ouvert la porte pour lui donner un verre d’eau. « Et il lui a sauté dessus », explique le commissaire Dominique Rodriguez, directeur départemental adjoint de la Sécurité publique de Moselle. En criant « Allahu Akbar » d’après une note transmise, hier soir, à la direction centrale de la police nationale.

    Des antécédents psychiatriques

    Le fonctionnaire a été surpris, l’homme a profité de la situation pour prendre le dessus. « L’agent s’est retrouvé sur le dos. Et l’individu s’est mis à l’étrangler à mains nues », décrit le commissaire. Dans la salle des geôles, un système de sécurité permet de sonner l’alerte en cas de problème. Mais le policier n’est pas parvenu à appuyer sur le bouton d’alarme. « Il y a aussi des images de vidéosurveillance transmises à deux endroits différents. C’est comme ça qu’un collègue a envoyé une équipe pour secourir la victime. » Il a fallu cinq hommes de la Section d’intervention pour maîtriser le forcené d’origine turque.

    Le policier agressé s’en sort avec des marques au cou. Et cinq jours d’ITT. « D’après le médecin, qui l’a vu, il s’en est fallu de quelques secondes », assure Michaël Philippart (SGP Police FO). Le parquet poursuit l’agresseur pour violences aggravées. En creusant son passé, les policiers ont découvert des antécédents psychiatriques. « Il a fait plusieurs séjours à Jury. Et visiblement, cela faisait une quinzaine de jours qu’il ne prenait plus de cachets », indique le commissaire. L’hôpital spécialisé de Jury, c’est là que le jeune homme a été placé dans la foulée. N’est-ce qu’un illuminé ? L’enquête judiciaire devra le dire, même si elle s’est arrêtée pour le moment en raison de la santé psychologique de l’auteur des faits.

    Des fonctionnaires se demandaient, hier, s’il était admissible qu’un seul agent se trouve à ce moment-là dans les geôles. « Il n’y avait que deux gardés à vue. Qui n’étaient pas virulents. Un policier suffisait », estime Dominique Rodriguez.

    http://www.contre-info.com/encore-un-desequilibre-musulman#more-36137

  • Hollande renonce à la proportionnelle et, une fois de plus, à ses promesses

    Ce n’est pas la première fois que François Hollande recule et agit en couard, ce ne sera pas non plus la dernière avant 2017.

    Le 20 août dernier, François Hollande s’était exprimé ainsi dans le journal Le Monde : « J’avais indiqué pendant la campagne présidentielle que j’étais favorable à l’introduction d’une part de proportionnelle. J’y suis prêt, si une majorité peut s’accorder sur cette orientation. » Durant cette campagne, François Hollande avait aussi promis qu’il serait « l’ennemi de la finance », qu’il rendrait la France « apaisée », qu’il relancerait la croissance ou que la République serait, avec lui, « exemplaire ». Il avait même avancé l’idée qu’il serait président de cette République. Deux ans et demi plus tard, il est aisé de constater qu’aucune de ses promesses n’a été tenue. François Hollande peut prétendre au titre que détenait son mentor corrézien, Jacques Chirac, celui de « super-menteur » et de président fantoche, tout entier occupé à découper des rubans.

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  • Désintox : la dhimmitude ne protège pas les chrétiens d'Orient

    Le géographe Gérard-François Dumont, professeur à la Sorbonne, a fourni à Atlantico, dans un article paru la veille de Noël, des éléments précis concernant l'annus horibilis des chrétiens d'Orient, notamment sur l'ampleur de l'exode en Irak et en Syrie. Interrogé sur le statut de "dhimmis" ("protégés"), qui assurerait aux chrétiens une protection des musulmans en échange du versement d'un impôt, il égratigne la définition officielle (voir sur Wikipedia par exemple) :

    "Selon le Coran, les chrétiens sont "des gens du Livre", c'est-à-dire des monothéistes, les musulmans leur doivent donc un certain respect. Dans quelle mesure les chrétiens d'Orient ont-ils été préservés des exactions des djihadistes, par rapport à d'autres minorités comme les yézidis par exemple ?

    Il faut d'abord préciser que le principe appelé de "dhimmitude" consiste certes à ne pas tuer les chrétiens, mais à les traiter, comme les adeptes des autres religions du Livre, de manière nettement inférieure. Les chrétiens subissent donc un certain nombre de vexations, juridiques, fiscales ou autres, qui ont d’ailleurs conduit, au fil des siècles, nombre de chrétiens à être contraints de se convertir à l’islam. Il faut en effet rappeler que, lors de la conquête islamique du VIIe siècle, la Mésopotamie était très majoritairement chrétienne, et l’est restée encore quelques siècles jusqu’à ce que les conversions à l’islam modifient le rapport de force.

    En outre, l'histoire de l'islam dans cette région du Moyen-Orient montre qu'il y a des variations dans l’interprétation de la "dhimmitude". A certaines périodes, la "dhimmitude" consiste à seulement imposer aux chrétiens des impôts spécifiques, à leur interdire certaines charges, à les obliger à porter certains signes distinctifs… ; à d'autres périodes, cela se traduit par des violences contre les chrétiens, notamment lorsque cela arrange le pouvoir politique en place. Vivre comme dhimmis, c’est-à-dire comme sujets à statut inférieur dans un pays où le pouvoir politique est musulman, c’est donc non seulement subir des règles implacables d’infériorité, mais  aussi avoir une épée de Damoclès au-dessus de sa tête, car les règles de la "dhimmitude" peuvent toujours se trouver durcies sans préavispar les autorités politiques. La "dhimmitude" signifie toujours une politique d’exclusion vis-à-vis de ceux considérés comme dhimmis.

    En 2014, les chrétiens ont subi le même sort que les Yézidis dans les régions prises sous la férule de l’état islamique. Toutefois, il est vrai que les Yézidis, également monothéistes, ont particulièrement souffert à l’été 2014 parce que le territoire sur lequel ils vivaient, les monts Sinjar, dans la province irakienne de Ninive, est stratégique d’un point de vue militaire. C’était donc une priorité pour le groupe Etat Islamique de s'en emparer."

    Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Belkacem n’aime pas le mérite, sauf celui des recteurs d’académie

    Que pèse le sort d'une poignée d'étudiants face à 30 recteurs dont 25 d'entre eux ont été nommés par François Hollande depuis 2012 ?

    Les attouchements dans le cadre familial ne justifieront plus la prison…Quand NVB autorise le voile dans l’espace publicPour une piscine « muslim-friendly »

    Rappelons-nous : en septembre 2014, Mme Belkacem disait voir dans la bourse au mérite – accordée aux étudiants sous critères sociaux et ayant obtenu mention TB au bac – un dispositif « moins efficace pour la réussite du plus grand nombre » : « argument massue » pour justifier sa suppression. Trois mois plus tard, son ministère augmente fabuleusement la prime de ses trente recteurs.

    En effet, le 23 décembre 2014, un arrêté ministériel a porté « l’indemnité de responsabilité » – novlangue pour ne pas dire « méritocratie » – pour les recteurs d’académie à 25.620 euros contre 15.200 euros précédemment, soit une augmentation de… 68 %. Et encore ne s’agit-il que de la part fixe de la prime à laquelle a droit tout recteur. La part variable étant quant à elle maintenue, qui peut aller jusqu’à 45 % de cette somme, soit 37.140 euros. Part liée à la taille de l’académie plus qu’au mérite proprement dit, précisait, en 2011, Michel Barat dans un entretien à Corse Matin. En outre, selon des mouvements syndicaux, la même année, « la prime au mérite » accordée aux patrons d’académie servirait à inciter ces derniers à « faire le sale boulot », entendez par là supprimer des postes d’enseignants.

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  • Le gouvernement recrée les Renseignements généraux

    Au-delà des divers prétextes sécuritaires et motivations politiciennes, il est sûr que le gouvernement socialiste craint les mouvements d’opinion contestataires comme ceux qui se sont multipliés depuis l’accession de F. Hollande à l’Elysée, et que, plus généralement, la République poursuit la mise en place d’un flicage généralisé de la population.

    PS : on peut encore se procurer ici les mémoires de l’ancien patron des RG Yves Bertrand mort en 2013.

    Vu sur BFM :

    « Supprimés en 2008, les célèbres « RG » chargés de renseigner le gouvernement sur l’état de l’opinion et les mouvements sociaux, viennent d’être discrètement recrées sous le nom de Service central de renseignement territorial. Ce dernier doit aussi lutter contre l’économie souterraine.

    Les « grandes oreilles » sont de retour. Les grandes oreilles, c’était le nom donné aux Renseignements généraux, les fameux « RG », ce service de police crée en 1908 et chargé de renseigner le gouvernement sur l’état de l’opinion et « surveiller » hommes politiques, journalistes, responsables économiques et sociaux.

    En 2008, à l’occasion d’une réforme du ministère de l’Intérieur, les RG ont officiellement été supprimés et leurs effectifs dispersés dans d’autres structures. Priorité a alors été donnée à la lutte contre le terrorisme et les activités liées à l’islamisme radical.

    Hausse des effectifs en 2015

    Pourtant, au détour du tout récent rapport de la Délégation parlementaire au renseignement, co-présidée par l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, on apprend qu’un Service central de renseignement territorial (SCRT) vient de voir le jour.

     

    Implanté dans chaque département (voir schéma ci-dessous), il est composé de 1.900 fonctionnaires de police (contre 3.900 pour les ex-RG) et de quelques dizaines de gendarmes. Mais les effectifs devraient augmenter en 2015. A ceux-ci s’ajoutent 700 policiers de la préfecture de police de Paris également chargés du renseignement.

    Le nouveau SCRT s’est aussi vu attribuer 108 autorisations d’écoutes téléphoniques par an. En revanche, il ne disposera pas d’une véritable base documentaire avant 2017, estime le rapport parlementaire.

    Cyber renseignement

    Si le nom change, les missions restent voisines de celles des anciens RG. Une circulaire gouvernementale citée dans le rapport parlementaire précise que « les renseignements recherchés concernent tous les domaines de la vie institutionnelle, économique et sociale susceptibles d’entraîner des mouvements revendicatifs ou protestataires ». Le nouveau service dispose ainsi d’une importante division dénommée « information économique et sociale » spécialisée dans la recherche de ce type d’informations. Exactement comme les anciens RG.

    L’exécutif veut également être mieux renseigné sur les activités en province des militants écologiques violents qui contestent des projets d’aménagements comme le futur aéroport de Notre-Dame des Landes ou le barrage de Sivens.

    Mais les agents du SCRT devront aussi  » par leur implication dans la détection des phénomènes violents et la veille des quartiers sensibles » participer « à la lutte contre la délinquance liée principalement à l’économie souterraine », ajoute la circulaire.

    Elle précise aussi que « ce champ de compétence induit des modes de fonctionnement qui feront appel à des méthodes de recherche opérationnelle ainsi qu’au développement du cyber-renseignement ». En clair, le suivi des informations postées sur internet.

    Sonder les chefs d’entreprise

    Les esprits chagrins feront remarquer que la renaissance de ces Renseignements généraux sans le nom intervient alors que se profilent les élections présidentielles et législatives de 2017. Une période où l’exécutif est très demandeur d’informations sur l’état de l’opinion !

    Mais l’exécutif a aussi constaté depuis 2008 et la suppression des anciens RG que les informations sur la situation économique et sociale dans les départements avaient été négligées par le ministère de l’Intérieur. Les policiers du SCRT devront donc renouer des contacts avec les chefs d’entreprises pour évaluer par exemple les risques de grève.

    RAPPEL sur les services de renseignement français :

    > La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Créée en 2008 et réformée en 2013, elle a succédé à la Direction de la surveillance du territoire (DST). Elle est principalement chargée de lutter contre les activités terroristes sur le sol français.

    > Le Service central de renseignement territorial (SCRT). Héritier des RG et implanté dans chaque département, il est chargé d’informer l’exécutif sur l’état de l’opinion et la situation économique et sociale.

    > La Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Dépendant de la Défense, elle collecte les renseignements à l’étranger. Elle dispose également d’un « service action » composé de militaires et chargé des opérations dites « spéciales ».

    > La Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED). Les Douanes disposent d’un service peu connu chargé de collecter les informations sur les grands trafics internationaux, armes, stupéfiants, tabacs…

    > Tracfin. Dépendant de Bercy, ce service est chargé de récolter les informations sur les circuits financiers clandestins, le blanchiment d’argent, et le financement du terrorisme. »

    http://www.contre-info.com/le-gouvernement-recree-les-renseignements-generaux#more-36101

  • Médecins contre Touraine : une guerre sans merci

    Les médecins ont raison, ils se battent pour conserver la médecine dont on disait encore il y a quelques années qu’elle était la meilleure du monde. 

    La guerre entre les médecins et le gouvernement dure maintenant depuis assez longtemps pour que la vérité soit enfin écrite sur ce qui motive ce conflit. Jusqu’à ce jour, c’est plutôt la désinformation de la presse d’État qui a primé.

    Non, les médecins ne sont pas des nantis qui défendent leurs intérêts. La loi santé voulue idéologiquement par la gauche de Hollande et Macron, c’est la mort de la liberté de soins. Ce sont les patients qui seront les premiers à trinquer, même si on veut leur faire croire le contraire.

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  • LBO

    Technique de crédit ayant permis aux fonds de pension et aux fonds spéculatifs américains d’acheter la moitié du CAC 40 avec de l’argent qui n’existe pas. En effet, le LBO permet d’acheter une entreprise avec un crédit s’élevant jusqu’à 90% de la valeur de celle-ci, crédit censé se rembourser directement sur les résultats de l’entreprise. Est-il besoin de préciser que le retour sur investissement s’en trouve impacté ?

    Adrien Abauzit, Né en 1984

    http://www.oragesdacier.info/

  • La dernière mauvaise nouvelle de l'année 2014 pour les socialistes

    Jean-Pierre Maggi, député PS des Bouches-du-Rhône, élu en tant que suppléant du décédé Olivier Ferrand,a fait savoir qu'il voulait quitter le groupe socialisteau Palais-Bourbon. C'est dans une lettre envoyée au président de l'Assemblée nationale qu'il a formulé sa demande. Á Claude Bartolone, il explique qu'il veut se rattacher au groupe RRDP, celui des radicaux de gauche. Il accuse Bruno Le Roux, président du groupe, de «mépris envers les députés de base». 

    Avec ce départ, la majorité absolue sera définitivement perdue pour le groupe socialiste à l'Assemblée nationale.

    Michel Janva

  • « La France, c’est… »

    À l’écoute des premiers mots des vœux présidentiels pour 2015, dès la première anaphore hollandaise (« La France, c’est… »), mes cheveux se sont dressés et j’ai changé de crémerie. Celle-ci m’a toutefois inspiré celle-là : un petit coup de France réelle en 32 exemplaires pour le clown triste, ennemi de la finance qui embauche un ex de la banque Rothschild comme ministre de l’Économie. Par terre depuis belle lurette (pas fou le bonhomme, j’y reste), je ne puis plus tomber de ma chaise. Tous les titres sont authentiques.

    Bilan ci-dessous. La France, c’est…

    La France, c’est « Le chômage a fortement augmenté en mai » (Lci.Tf1, 2012)

    La France, c’est « Chômage, la hausse continue en juin 2012″ (Huffington Post)

    La France, c’est « Très forte hausse du chômage au mois de juillet » (Le Figaro, 2012)

    La France, c’est « Août 2012, + 39.700 chômeurs et 281.500 radiations » (Agoravox)

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