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magouille et compagnie - Page 1977

  • Le Conseil d’Etat valide la circulaire Taubira sur la GPA

    Comme l’avait préconisé son rapporteur public, le Conseil d’État a rejeté les requêtes en annulation contre la « circulaire Taubira » du 25 janvier 2013 qui permet de délivrer des certificats de nationalité française aux enfants nés à l’étranger de parents français même lorsque ceux ci ont eu recours à une GPA (gestation pour autrui), procédure pourtant interdite en France.

    Le gouvernement peut bien continuer à promettre qu’il y reste opposé, Manuel Valls peut bien jouer les girouettes à la veille des Manif Pour Tous, le fait est là : la GPA est autorisée en France à condition que le chèque soit fait à l’étranger. L’hypocrisie est totale.

    Dans sa décision, le Conseil d’État rappelle l’interdiction de cette procédure, mais juge que « la seule circonstance qu’un enfant soit né à l’étranger dans le cadre d’un tel contrat, même s’il est nul et non avenu au regard du droit français, ne peut conduire à priver cet enfant de la nationalité française ».

    Même rengaine toujours, et marche forcée vers le « progrès » par la politique du fait accompli. On se sert de la situation dramatique de quelques enfants pour justifier et encourager celle de beaucoup d’autres… Car une loi qui ne sanctionne plus encourage.

    http://www.contre-info.com/le-conseil-detat-valide-la-circulaire-taubira-sur-la-gpa

  • South Stream bloqué, la « claque » des USA à l’Europe,

     « La Russie pour le moment est obligée de se retirer du projet South Stream, à cause du manque de volonté de l’Union européenne de le soutenir et du fait qu’elle n’a toujours pas reçu l’autorisation par la Bulgarie de faire passer le gazoduc sur son propre territoire ».

    Voilà comment le président russe Vladimir Poutine a annoncé l’arrêt du projet South Stream, le gazoduc qui aurait dû amener le gaz russe dans l’Union européenne à travers un corridor énergétique méridional, sans passer par l’Ukraine. De cette façon, écrit l’Ansa (principale agence de presse italienne, ndt), Moscou « donne une claque à l’Europe ». En réalité c’est Washington qui donne une autre forte claque à l’Europe, en bloquant un projet de 16 milliards d’euros qui aurait pu être de grande importance économique pour les pays de l’UE, en commençant par l’Italie où aurait dû être construit le terminal du gazoduc.

    Pour comprendre ce qui s’est passé, il faut reprendre l’histoire du South Stream. Le projet naît de l’accord de partenariat stratégique, stipulé par la compagnie publique russe Gazprom et par l’italienne Eni en novembre 2006, pendant le gouvernement Prodi II. En juin 2007 le ministre pour le développement économique, Pierluigi Bersani, signe avec le ministre russe de l’industrie et de l’énergie le mémorandum d’entente pour la réalisation du South Stream. Le projet prévoit que le gazoduc sera composé d’un tronçon sous-marin de 930 Km à travers la Mer Noire (en eaux territoriales russes, bulgares et turques) et par un tronçon sur terre à travers Bulgarie, Serbie, Hongrie, Slovénie et Italie jusqu’à Tarvisio (Province d’Udine). En 2012 entrent aussi dans la société par actions qui finance la réalisation du tronçon sous-marin la société allemande Wintershall et la française Edf à hauteur de 15% chacune, alors qu’Eni (qui a cédé 30%) détient 20% et Gazprom 50% des actions. La construction du gazoduc commence en décembre 2012, avec l’objectif de lancer la fourniture de gaz pour 2015. En mars 2014, Saipem (Eni) s’adjudique un contrat de 2 milliards d’euros pour la construction de la première ligne du gazoduc sous-marin.

    Entre temps, cependant, éclate la crise ukrainienne et les Etats-Unis font pression sur les alliés européens pour qu’ils réduisent les importations de gaz et de pétrole russes. Premier objectif étasunien : empêcher la réalisation du South Stream. A cet effet Washington exerce une pression croissante sur le gouvernement bulgare pour qu’il bloque les travaux du gazoduc. D’abord il le critique pour avoir confié la construction du tronçon bulgare du gazoduc à un consortium dont fait partie la société russe Stroytransgaz, sujette à des sanctions étasuniennes. Puis l’ambassadrice US à Sofia, Marcie Ries, avertit les hommes d’affaires bulgares d’éviter de travailler avec des sociétés sujettes à des sanctions de la part des USA. Un grand coup de main est donné à Washington par le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, qui annonce l’ouverture d’une procédure Ue contre la Bulgarie pour de présumées irrégularités dans les appels d’offre du South Stream. Le moment décisif est celui où, en juin dernier, arrive à Sofia le sénateur étasunien John McCain, qui rencontre le premier ministre bulgare Plamen Oresharski en lui transmettant les ordres de Washington. Immédiatement après Oresharski annonce le blocus des travaux du South Stream, dans lequel Gazprom a déjà investi 4,5 milliards de dollars.

    En même temps la compagnie étasunienne Chevron commence les perforations en Pologne, Roumanie et Ukraine pour extraire les gaz de schiste bitumineux, par la technique de fracturation hydraulique : on injecte dans les strates rocheuses profondes des jets d’eau et de solvants chimiques à haute pression. Cette technique est extrêmement dangereuse pour l’environnement et la santé, à cause surtout de la pollution des nappes phréatiques. Le projet de Washington de remplacer le gaz naturel russe, importé par l’Ue, par celui extrait des schistes bitumineux en Europe et aux Etats-Unis, est un véritable bluff, à la fois par ses coûts élevés et par les dommages environnementaux et sanitaires de cette technique d’extraction. Et, en effet, en Pologne et en Roumanie plusieurs communautés locales se rebellent.

    A la suite du blocus de South Stream, a annoncé Poutine, la Russie est obligée de « réorienter ses fournitures de gaz ». Celles destinées à la Turquie vont augmenter, à travers le gazoduc Blue Stream. Et vont augmenter surtout celles vers la Chine. Gazprom lui fournira, d’ici 2018, 38 milliards de mètres cubes de gaz par an, c’est-à-dire environ un quart de celui qu’elle fournit aujourd’hui à l’Europe. Se servant aussi d’investissements chinois prévus pour 20 milliards de dollars, Moscou projette de potentialiser l’oléoduc entre la Sibérie orientale et le Pacifique, en l’accompagnant d’un gazoduc de 4000 Km pour approvisionner la Chine. Pékin est aussi intéressé pour des investissements en Crimée, notamment pour la production et l’exportation de gaz naturel liquéfié.

    Les perdants sont les pays de l’Ue : la Bulgarie, par exemple, devra renoncer à des droits de transit de l’ordre de 500 millions de dollars annuels. En Italie, à peine annoncée l’arrêt du projet South Stream, l’action Saipem en bourse a subi, à la suite des ventes, une chute continue, descendant au niveau le plus bas des six dernières années. Avec le blocus de South Stream, Saipem perd, outre le contrat pour la construction de la première ligne du gazoduc sous-marin, un autre contrat pour les travaux de support de la seconde ligne, pour une valeur totale de 2,4 milliards d’euros, auxquels se seraient ajoutés d’autres contrats si le projet avait été poursuivi.

    On prévoit de lourdes répercussions sur l’emploi. A la suite de l’effacement du projet South Stream seront annulées ou re-dimensionnées les nouvelles embauches que Saipem prévoyait pour augmenter ses propres effectifs en Italie. On n’exclut pas non plus une coupe dans les effectifs actuels. L’effacement du projet South Stream assène donc un coup dur non seulement à Saipem mais à d’autres secteurs de l’industrie et des services, au moment critique où chute la production et, en conséquence, l’emploi. Il suffit de penser que le terminal de Tarvisio, prévu dans le projet originaire, aurait pu être le hub de distribution du gaz russe et donc source de fortes recettes et augmentation de l’embauche.

    Tout cela est à présent devenu vain. Tandis que tirent avantage de cet arrêt du South Stream les compagnies étasuniennes comme Chevron, engagées à remplacer le gaz russe fourni à l’UE.

    Il ne reste qu’à remercier « l’ami américain ».

    Manlio Dinucci 3/12/2014

    Sources :

    -Edition de mercredi 3 décembre de il manifesto sous le titre South Stream, USA e getta
    Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio
    -Avenir en face.blogspot.fr

    http://www.polemia.com/south-stream-bloque-la-claque-des-usa-a-leurope/

  • Des retraités floués par une mutuelle PS

    Les « gestionnaires » PS ne ruinent pas seulement leur pays : pas regardants, ils ruinent aussi leurs adhérents !
    Evidemment, les médias de propagande ne vous en parleront pas :

    Le dernier numéro du Particulier (décembre 2014) évoque, sous le titre « Les adhérents du CREF et du COREM sacrifiés », une affaire de petits épargnants floués.

    Floués par qui ? Par un requin de la finance internationale ? Par un émule de Madoff ?

    Vous n’y êtes pas : floués par un de ces multiples organismes mutualistes placés sous la vigilante égide du PS par Education nationale interposée. Il s’agit du ci-devant CREF (Complémentaire de retraite de l’éducation nationale et de la fonction publique), qui a mis la clé sous la porte en 2001 à la suite d’un « trou » de 1,5 milliard d’euros (oui, on ne joue pas « petit bras » chez les mutualistes protégés).

    Pour combler le « trou », c’est-à-dire une « insuffisance de provisionnement », l’organisme avait, en toute simplicité, baissé les « retraites acquises » de ses adhérents de 16%.

    Lesdits adhérents (ingrats, va ! ) avaient alors entamé une action pénale qui avait débouché en 2011 sur la condamnation de 8 dirigeants de la mutuelle à la prison avec sursis pour abus de confiance.

    Au nombre des condamnés figurait le président de la mutuelle, René Teulade. Ce personnage important du sérail socialiste, aujourd’hui décédé, mérite un instant d’attention, car il est à lui seul un résumé de ce qui fait le PS et ses annexes. Voici ce qu’en dit le site « l’Argus de l’assurance » :

    « Ancien instituteur, qui prend très rapidement des responsabilités au sein de la puissante FEN.

    « Administrateur de la MGEN, il accède en 1972 à la présidence de l’Union nationale des Mutuelles retraites des instituteurs et fonctionnaires de l’Education nationale (UMRIFEN). En 1979, il devient président de la Fédération nationale de la mutualité française.

    « Membre du Parti socialiste, profondément ancré dans son département de naissance, la Corrèze, où il aura exercé quasiment tous les mandats.

    « Maire d’Argentat depuis 1989, il est élu en 1992 au Conseil général, puis au Sénat en 2008. Entretemps, il aura également été le suppléant à l’Assemblée nationale d’un certain François Hollande. »

    Mais, dira-t-on, pourquoi reparler maintenant de ce scandale passé et jugé depuis un an ?

    Eh bien parce que, décidément, les professeurs de morale socialistes et leurs auxiliaires ne se lassent jamais de l’exercice grisant qui consiste à faire les poches des gogos, sous toutes les formes possibles.

    Figurez-vous que, lorsque la mutuelle gestionnaire du CREF s’est trouvée mise en cause pour ce « trou » d’un milliard et demi, ses contrats et obligations ont été repris par une autre mutuelle : l’UMR (Union mutualiste retraite).

    La fiabilité de ce repreneur lui-même ayant été mise en cause en 2013 par les associations d’adhérents, le président de l’UMR avait alors montré ses biceps en déclarant qu’il « ne s’inquiétait pas de la situation des contrats d’épargne retraite « Même si nous sommes confrontés à des taux d’intérêt assez bas, qui expliquent en partie ce sous-provisionnement, nous progressons vers l’atteinte de la convergence qui nous avait été fixée lors de la création de l’UMR en 2002. N’oublions pas quand même que nous partons de loin. »

    C’était bien dit, pour un 3 juin (2013).

    Patatras !

    Le 10 octobre 2014, le site « Tout sur la retraite » titre : « Epargne retraite : baisse de 30% des rentes de l’ex-Cref en 2015 », par Jean-Philippe Dubosc – vendredi 10 octobre 2014 14:26 :

    Les 110.000 adhérents de feu la Complémentaire retraite de l’Education nationale et de la Fonction publique (Crefvont subir une baisse de 30% de leur rente à compter du 1er janvier 2015. Selon le magazine professionnel L’Argus de l’Assurance qui a divulgué l’information le 10 octobre 2014, la mesure devrait être entérinée le 18 novembre prochain lors d’une assemblée générale extraordinaire de l’Union mutualiste retraite (UMR) qui gère plusieurs produits d’épargne retraite par capitalisation, dont le Corem et l’ex-Cref.

    Incorrigibles ?

    Ce serait trop simple : il n’y a rien de fortuit là-dedans. Disons plus clairement : « expression et produits d’un Système ».

     Julius Muzart, 9/12/2014

    http://www.polemia.com/des-retraites-floues-par-une-mutuelle-ps/

  • Ban Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda

    Avec plus d'un an et demi de retard, les Nations unies ont finalement évoqué les étroites relations qui existent entre les groupes terroristes actifs dans le sud syrien, plus particulièrement dans les provinces de Quneitra et Deraa, et «Israël».

    Dans son rapport trimestriel présenté au Conseil de sécurité, il y a quelques jours, le secrétaire général de l'Onu, le très docile pro-américain Ban Ki-moon, a révélé un secret de polichinelle, qu'ilBan Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda n'était plus en mesure de protéger tant il frôlait le scandale. Le rapport reconnait que les «Israéliens» entretiennent des rapports avec les «rebelles syriens» depuis plus de 18 mois, facilitant le traitement médical des combattants blessés. Le document souligne que l'entité sioniste a soigné plus de 1000 combattants syriens.

    Le texte présenté par Ban Ki-moon se base essentiellement sur les rapports fournis par les contingents de l'Undof, déployés sur le terrain dans le Golan occupé. Ces rapports font état d'une «coordination quotidienne entre Israël et les rebelles syriens, y compris les groupes islamistes affiliés à Al-Qaïda», grâce à des «canaux de communication ouverts en permanence».

    Les rapports des Casques bleus précisent que «soldats israéliens ont été observés permettant à des personnes de passer de la ligne ‘Bravo' -du côté syrien- à la ligne ‘Alpha' du côté israélien, ainsi que des discussions entre des membres de l'opposition armée et des militaires de Tsahal à travers la ligne de cessez-le à proximité de la position 85 des Nations unies».

    Le rapport trimestriel de l'Onu ne nous apprend rien de nouveau. Mais il a l'avantage d'inscrire dans la documentation officielle de l'organisation internationale ce que les analystes savaient depuis longtemps, et que nous avions évoqué à plusieurs reprises sur notre site.

    Coopération dans le renseignement

    En réalité, la coopération entre «Israël» et les groupes terroristes va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés, et qui ont déjà coûté au contribuable «israélien» plus de 14 millions de dollars, selon l'édition de dimanche dernier du quotidien Maariv.

    L'armée syrienne dispose de preuves irréfutables sur l'assistance militaire directe apportée parUne coopération qui va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés les «Israéliens» aux groupes extrémistes lors de leur offensive de l'été dernier à Quneitra. Cette aide a permis aux terroristes de prendre, entre autres, les collines stratégiques appelées al-Touloul al-Homr, où l'armée syrienne disposait de matériel de guerre électronique sophistiqué lui permettant de surveiller les réseaux de télécommunication de l'armée «israélienne». Cette aide s'est manifestée par un bombardement à l'artillerie et des raids aériens contre des positions de l'armée syrienne, afin d'ouvrir la voie aux combattants extrémistes. «Israël» est même allé plus loin en abattant, à l'aide d'un missile Patriot, un chasseur syrien au-dessus du Golan, au plus fort de l'attaque terroriste.

    Des sources bien informées en Syrie et à Beyrouth font également état d'une coopération étroite entre les groupes terroristes d'un côté, le Mossad et les autres agences du renseignement «israélien», de l'autre, pour la collecte et le transfert d'informations au sujet des programmes d‘armement et de recherche en Syrie. C'est grâce à cette coopération que l'entité sioniste est parvenue à éliminer plusieurs savants syriens ces trois dernières années. L'opération la plus récente remonte au 10 novembre dernier, lorsque cinq ingénieurs travaillant dans l'énergie nucléaire au Centre de recherches scientifiques à la périphérie de Barzé, dans le nord de Damas, ont été tués dans l'attaque de leur bus par des terroristes.

    En juillet 2013, six fonctionnaires de ce même centre avaient trouvé la mort dans une attaque au mortier menée par les «rebelles». Le 24 août 2012, Nabil Zoughaib, considéré comme l'artisan du programme balistique syrien, a été assassiné par des inconnus. Un an plus tôt, Aws Abdel Karim Khalil, physicien nucléaire et professeur à l'Université al-Baas, à Homs, avait subi le même sort. Et la liste est longue.

    «Israël» viole la résolution 2178

    «Israël» se trouve donc en porte-à-faux avec la fameuse «légalité internationale». En effet, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté, le 24 septembre dernier, à l'unanimité de ses 15 membres, la résolution 2178, imposant des sanctions contre Daech et le Front el-Nosra.

    Dans cette résolution, les membres du Conseil se disent très préoccupés par le fait qu'une partie du territoire d'Irak et de Syrie est «sous le contrôle de l'Etat islamique et du Front el-Nosra» et que leur présence, leur idéologie extrémiste violente et leurs agissements sont préjudiciables à la stabilité de ces deux pays et de la région.

    Le Conseil de sécurité se déclare disposé à inscrire sur la liste de sanctions les individus, groupes, entreprises ou entités qui apportent leur appui à l'un ou à l'autre de ces deux groupes terroristes.

    Le Conseil prie instamment tous les Etats de coopérer aux efforts faits pour trouver et traduire en justice les individus, groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda, y compris l'EI et le Front el-Nosra, «qui perpètrent, organisent et commanditent des actes terroristes.»

    Le Conseil de sécurité demande aussi à tous les Etats membres de prendre des mesures nationales pour endiguer le flux de combattants terroristes étrangers qui rejoignent les rangs de l'EI et du Front el-Nosra.

    Le Conseil de sécurité rappelle également, qu'en vertu d'une précédente résolution adoptée cette année, tous les Etats doivent prévenir et réprimer le financement des actes de terrorisme et doivent veiller à ce qu'aucuns fonds, autres avoirs financiers ou ressources économiques ne soient mis directement ou indirectement à la disposition de ces deux groupes extrémistes.

    On voit bien qu'en apportant un soutien au Front al-Nosra et en coopérant avec lui -de l'aveu même de Ban Ki-moon-, «Israël» est en train de violer la plupart des dispositions de la résolution 2178. Y aura-t-il quelqu'un qui osera lui demander des comptes ?

    Samer R. Zoughaib

    Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuElFEVkAVFmJieEKs.shtml

  • [Chez nos confrères] Kiosque Infos Sida, l’association qui suce vos impôts

     (via Contribuables Associés)
    La semaine dernière, à l’Université Paris III-Sorbonne-Nouvelle, étaient distribués des tracts intitulés « Tu suces ? » aux étudiants. L’association qui les a édités,Kiosque Infos Sida, est officiellement vouée à la prévention du VIH, et reçoit à ce titre de grasses subventions. Mais l’usage qui est fait de votre argent est tout autre…

    La prévention du sida, en principe, consiste à expliquer aux personnes les plus susceptibles de contracter le VIH qu’elles doivent éviter les pratiques à risques afin de se prémunir elles-mêmes, et de prémunir les autres.

    Si l’on s’en tient aux professions de foi de l’association Kiosque Infos Sida, c’est ce qui est fait par l’association, avec notamment un centre de dépistage du VIH et, officiellement du moins, des actions de prévention.

    Mais dès que l’on se penche sur les brochures éditées par l’association à destination des jeunes, on se rend compte que l’objet de l’association est tout autre. Il s’agit tout bonnement de faire la promotion de la sexualité sans entraves (entre « hommes qui aiment les hommes ») sous couvert d’encadrement des pratiques à risques.

    La semaine dernière, l’association distribuait des tracts à Censier, le campus de l’Université Paris III-Sorbonne Nouvelle. Intitulée carrément « Tu suces ? », cette série de trois dépliants peut difficilement être classée dans le matériel de prévention des MST. (Attention images et mots réservés à un public averti, note de Novopress, comme l’image en Une)

    >> Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/179737/chez-confreres-kiosque-infos-sida-lassociation-suce-vos-impots/

  • Plus dangereux que les voyous à capuche… les prédateurs financiers !

    Alors qu’il se rendait à la Défense, notre collaborateur Xavier Raufer s’est un jour égaré du côté de Nanterre. Il demande alors son chemin à quelques voyous à capuche qui le reconnaissent aussitôt, puisque souvent vu à la télévision. Ils admettent le bien-fondé de son travail de criminologue, mais lui assurent que les vrais voyous sont là-bas, au sommet des tours de cette même Défense. Et Xavier Raufer d’avouer : « Le pire, c’est qu’ils ont raison… » Que vous inspire cette anecdote concernant la délinquance des « cols blancs » ? 

    Les « voyous à capuche » ne s’y trompent pas : ils savent où sont les « caïds ». N’a-t-on pas appris encore tout récemment que, grâce à des accords fiscaux secrets signés depuis 2002 par le Luxembourg, quelque 340 firmes transnationales (et non des moindres : Pepsi, Apple, FedEx, LVMH, AXA, la BNP, le Crédit agricole, la Banque populaire, etc.) ont pratiquement pu échapper à l’impôt, ce qui a fait perdre plusieurs dizaines de milliards d’euros de recettes fiscales aux États sur le territoire desquels elles réalisent leurs bénéfices ? Or, lesdits accords (« tax rulings ») ont été signés avec la bénédiction du nouveau président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, qui, en tant que Premier ministre du Luxembourg, a ainsi couvert de son autorité une vaste opération de spoliation « légale » des États. « Que dire d’une Europe qui prend le visage de M. Juncker, un homme qui, à la tête du gouvernement luxembourgeois, a organisé le pillage fiscal méthodique de tous les autres pays européens ? » a très justement déclaré Henri Guaino. Et que dire d’Emmanuel Macron qui, en visite à Bruxelles, a tenu à lui réaffirmer toute sa « confiance » ? 

    Mais ce n’est là que la pointe émergée de l’iceberg. On pourrait tout aussi bien évoquer la façon dont les banques d’affaires ont, après avoir reçu des milliers de milliards de dollars de la part des banques centrales pour faire face à la crise financière de 2008, détourné la plus grande partie de cette manne, théoriquement destinée à faire repartir l’économie réelle, pour l’investir dans des marchés jugés plus rentables et des spéculations douteuses. 

    Pourquoi en parle-t-on si peu ? 

    On en parle de temps à autre, mais cette délinquance là ne gêne personne, parce que personne ne la voit. Les requins de la finance ne pourrissent pas la vie des « honnêtes gens » dans la rue, ils ne sont responsables d’aucune « incivilité », ils ne tuent pas pour s’emparer d’un téléphone portable ou pour une cigarette refusée. Ils font simplement à grande échelle ce que les racailles font dans le style besogneux. Ce sont des industriels de la prédation, quand les autres ne sont que de petits artisans. En matière de fraude fiscale, Jérôme Cahuzac et Thomas Thévenoud ont également beaucoup fait parler d’eux, alors qu’à côté des multinationales, ils ne représentent même pas la moitié d’une virgule dans une note de bas de page. 

    Il semble qu’argent « sale » et argent « propre » coexistent de plus en plus, au point que les pandores ont le plus grand mal à s’y retrouver. 

    Voyez la banque HSBC (Hongkong and Shanghai Banking Corporation), qui vient d’être inculpée pour des faits de fraude fiscale aggravée, de blanchiment d’argent sale et même d’organisation criminelle, suite à une enquête ouverte en Belgique il y a plusieurs années. C’est en effet l’un des traits caractéristiques de la grande criminalité internationale que profits licites et illicites se mêlent désormais dans une vaste zone grise où les radars ne permettent même plus de piloter à vue. Le grand public, qui ne réalise pas l’ampleur de cette criminalité transnationale (où la contrefaçon, pour ne citer qu’elle, est en passe de détrôner le trafic de drogue), ne sait pas non plus que la délinquance en col blanc échappe le plus souvent à toute sanction. Les chiffres dont on dispose donnent pourtant le vertige. D’après le FMI, sur un PIB mondial qui se montait en 2006 à 48.144 milliards de dollars (39.000 milliards d’euros), l’argent volé, détourné ou évadé n’a pas représenté moins de 1000 à 2.500 milliards de dollars (800 à 2.000 milliards d’euros). À eux seuls, les échanges internes des multinationales, dont les filiales s’activent pour échapper à l’impôt, représentent de 700 à 1000 milliards de dollars (560 à 800 milliards d’euros) par an. D’autres auteurs estiment que l’argent blanchi dans le monde représente 800 milliards de dollars (650 milliards d’euros) par an. L’économiste Gabriel Zucman évalue de son côté l’argent caché dans les paradis fiscaux à près de 8.000 milliards d’euros, ce qui représente pour les États une perte annuelle d’environ 130 milliards d’euros, dont 17 milliards pour la France. On est loin du casseur de banlieue, pour ne rien dire du Voleur de bicyclette de Vittorio De Sica (1948) ! Nous sommes aujourd’hui à l’époque de la prédation généralisée.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • En politique, seules comptent les places prises et non les problèmes résolus…

    La foule des ambitieux sans talent se presse déjà autour du futur vainqueur...

    Lors de la législative partielle de la 3e circonscription de l’Aube, trois électeurs sur quatre ont boudé les urnes. Certes, il s’agissait d’une partielle. Certes, ce siège est destiné à un élu UMP. Certes, la gauche est en plein désarroi. Mais, au-delà de ces circonstances particulières, ne faut-il pas y voir la marque plus profonde de la Cité telle qu’elle devient ?

    L’ancien maire de Troyes, Robert Galley, m’a dit un jour, alors que j’étais son vice-président du groupe textile à l’Assemblée : « Je n’ai pas entendu l’appel du 18 juin, j’étais déjà sur la route. » À 19 ans, il rejoint les Français libres, puis ce sera la Syrie, El-Alamein, la 2e DB jusqu’à la victoire. Gaulliste de la première heure, Compagnon de la Libération, cet ingénieur de Centrale participera à l’aventure nucléaire, puis sera ministre du Général. Le député-maire de Troyes qui a tant fait pour sa ville n’y était ni par hasard, ni par protection. Il y était par le mérite et la reconnaissance.

    Lire la suite

  • Dégradations à Lyon : les casseurs gauchistes mentent

    LYON (information exclusive Bloc Identitaire Lyon)
    Dans une tribune libre publiée sur le site Lyon Capitale intitulée « Nous détruisons pour passer un message », des militants d’extrême gauche tentent de justifier politiquement les violences commises (une quinzaine de policiers blessés, des dizaines de vitrines brisées, etc.) lors de la manifestation organisée par le Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite et Conex le 29 novembre dernier dans le centre-ville de Lyon.

    Selon les auteurs anonymes, « les cibles avaient une signification politique » et « aucun pillage n’a eu lieu et aucun commerçant “ordinaire” n’a été touché. Non. Seulement les banques, les panneaux publicitaires, les abris-bus, les agences d’intérim, les agences immobilières et McDo ont été touchés. »

    FAUX ! Puisque des militants du Bloc Identitaire Lyon ont pu constater les dégâts et discuter avec le soir même avec les commerçants attaqués dans la rue du Plâtre, et sont allés à la rencontre des victimes le week-end dernier avec un accueil très favorable de leur part.

    Liste non exhaustive :
    - Un magasin de vêtements pour femme : la porte vitrée a été brisée et quelques individus se sont introduits pour voler des affaires.
    - Boutiques ayant subi des coups de marteau dans leurs vitrines : un magasin de caleçons, une boucherie et un commerce d’ustensiles de cuisine !
    - Vitrines brisées pour un magasin de vêtement dans le secteur de Saxe-Gambetta.

    On est donc bien loin des « gentils militants » qui choisissent leurs cibles pour des considérations politiques… Les membres violents de la manifestation organisée par le Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite et Conex ressemblent plutôt à des casseurs incapables de la moindre réflexion politique. Une mouvance hétéroclite qui bénéficie d’une quasi-impunité judiciaire depuis plusieurs années, d’une coupable bienveillance journalistique et menaçant clairement de s’en prendre au local des Identitaires, « La Traboule ».

    http://fr.novopress.info/179660/degradations-lyon-les-casseurs-gauchistes-mentent/

  • TVL : Jean-Paul Brighelli dresse le "tableau noir" de l'école française

  • 76 775 € de subventions pour « Le Kiosque Infos Sida » qui endoctrine les étudiants…

    La semaine dernière, l’association « Kiosque Infos Sida » distribuait des tracts à l’Université Paris III-Sorbonne-Nouvelle intitulés « Tu suces ? ». A destination des étudiants, cette campagne s’inscrivait dans la semaine de prévention du VIH…

    Un combat que l’association porte fièrement et qui lui permet de récolter de grasses suventions publiques mais dans les faits c’est une dépravation sexuelle sans limite qui est encouragée (et accessoirement des comportements qui augmentent les risques de VIH d’ailleurs…)

    Avec les brochures distribuées, on se rend compte qu’il s’agit tout bonnement de faire la promotion d’une sexualité sans fin ni limite (entre « hommes qui aiment les hommes ») sous couvert d’encadrement des pratiques à risques.
    La semaine dernière, l’association distribuait des tracts sur le campus de l’Université, une série de trois dépliants difficilement classable dans le matériel de prévention des MST.

    [attention, images pour public averti, et nous ne mettons pas le pire]

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