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magouille et compagnie - Page 1976

  • Quatre membres d’Aqmi remis en liberté contre Serge Lazarevic

    Si l’on se réjouit sans réserve de la libération de Serge Lazarevic, détenu depuis plus de trois ans au Sahel, les conditions de cet événement laissent amers : l’otage français a été échangé non pas contre une rançon payée par son gouvernement, mais par quatre criminels, au mépris de la Justice malienne et du droit de leurs victimes.

     Interrogé sur la libération par le Mali, en contrepartie de la libération de Serge Lazarevic, de prisonniers membres d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) Stéphane Le Foll avait répondu : « J’ai entendu ça, je ne sais pas. Je ne m’aventurerai pas sur des commentaires sur des choses que je ne connais pas ».

    Alors, voici quelques précisions.

    Quatre membres d’Aqmi, qui étaient détenus sous mandats prononcés par des juges maliens, ont été relâchés sur ordre de la puissance coloniale.

    Le plus important est Mohamed Aly Ag Wadoussène, impliqué dans deux dossiers, dont le premier est en phase de jugement et le second en instruction. C’est un déserteur de la garde nationale du Mali, arrêté par la sécurité d’État le 10 décembre 2011 à Gao et mis sous mandat de dépôt en mars 2012. Il est poursuivi pour terrorisme, association de malfaiteurs, prise d’otages et séquestration. C’est lui l’organisateur principal de l’enlèvement le 24 novembre 2011 à Hombori de Serge Lazarevic et Philippe Verdon, qui a été assassiné en mars 2013. C’est donc l’organisateur du rapt et l’assassin de Philippe Verdon. Il ne sera jamais jugé et va pouvoir reprendre ses activités.

     

    Les surveillants de la pénitentiaires sont outrés car Mohamed Aly Ag Wadoussène, lors d’une tentative d’évasion de la maison centrale d’arrêt de Bamako, avait tué un gardien et une jeune femme. Le contrôleur des services pénitentiaires, Abdoulaye Fofana, déplore : « Nous, surveillants des prisons du Mali, nous sommes consternés. On pouvait peut-être laisser Ali ag Wadoussène en prison pour que la justice termine avec lui. C’est quand même lui qui a tiré à bout portant sur notre collègue, le regretté adjudant Kola Sofara ».

    Vient ensuite Haiba Ag Acherif, qui est l’aide de camp de Mohamed Aly Ag Wadoussène. Tous deux sont membres du sous-groupe dénommé Katiba Al Ansar, qui est soupçonné de l’enlèvement et l’exécution le 2 novembre 2013 à Kidal des journalistes français Claude Verlon et Ghislaine Dupont.

    Les deux derniers sont des hommes de main du terrorisme, Oussama Ben Gouzzi et Habib Ould Mahouloud.

    Les deux principales associations maliennes des droits de l’homme, l’AMDH et le Wildaf, ont dénoncé cette prime à l’impunité : « La paix et la réconciliation ne peuvent pas passer par la promotion de l’impunité… S’il faut échanger un terroriste malien contre un Français, cela signifie que nous n’avons plus notre raison d’être. S’il s’agit d’un succès pour la diplomatie française, pour nous c’est une grave violation des droits des victimes maliennes ».

    Ce sont les gardiens de prison, révoltés par ce mépris de la puissance coloniale, qui ont laissé fuiter les infos, et devant l’évidence, le ministre de la Justice du Mali, Mohamed Ali Bathily a confirmé benoîtement : « Le Mali ne peut pas ne pas dire qu’ils ont été libérés, c’est un fait, tout le monde le sait, ça ne sert à rien de dénier la réalité ».

    http://www.contre-info.com/quatre-membres-daqmi-remis-en-liberte-contre-serge-lazarevic#more-35883

  • Les profiteurs de la diversité : « La diversité, on a (presque) tous à y gagner ! »

    Chronique de Bernard Mazin, essayiste.

    ♦ « Ce faisant, elle [la presse] ne peut que contribuer à décrédibiliser un peu plus la classe politique, déjà bien affectée, toutes tendances confondues, par les “affaires” en tout genre où des politiques pas très regardants profitent d’un argent pas très bien gagné. »

    Depuis quelques années, les administrations et les grandes entreprises publiques ou privées sont sommées d’inscrire leur gestion des ressources humaines dans le cadre d’une campagne qui les invite à refuser les stéréotypes de tous ordres, reflétant ainsi l’omniprésente influence du lobby des droits de l’homme et de l’antiracisme. Le slogan-phare en est « La diversité, on a tous à y gagner ! ». L’on ne sait si le caractère savoureux de cette expression, prise au second degré, est à mettre au compte de l’inconscience ou de la malice de ses inventeurs. Toujours est-il que, si nous avons du mal à nous persuader des bienfaits pour tous de la diversité au sens où l’entendent ses promoteurs, il est beaucoup plus aisé de se rendre compte que certains en ont bien, littéralement, « tiré profit ». Une fois n’est pas coutume, c’est à notre tour d’invoquer le « devoir de mémoire ».

    « Ils n’en mouraient pas tous, mais tous étaient frappés »

    Faouzi Lamdaoui, qui occupait auprès de François Hollande le poste de « conseiller pour les questions d’égalité et de diversité », ce qui constitue en soi tout un programme, a été contraint de démissionner le 3 décembre 2014. L’intéressé venait d’être cité à comparaître dans le cadre d’une enquête préliminaire pour d’éventuels « recel d’abus de biens sociaux » et « fraude fiscale ».

    Selon Le Monde, « Les magistrats et les policiers estiment que ce compagnon de route historique de François Hollande, chef de son cabinet pendant sa campagne présidentielle, a été “le gérant de fait” d’Alpha Distributions et d’Alpha (devenue Cronoservice), deux SARL inscrites dans la même société de domiciliation parisienne. La première – dont M. Lamdaoui était directeur logistique – a été liquidée en juin 2010 et radiée du Registre du commerce en mars 2012. La seconde, spécialisée dans la sous-traitance de laboratoires photo, a cessé ses activités en juin 2012 et a été radiée en mars 2014 ».

    A l’issue d’une perquisition, les enquêteurs se sont interrogés sur les « rémunérations élevées » perçues par Faouzi Lamdaoui et sur une possible dissimulation de ces sommes au fisc. En 2010 déjà, Alpha Distributions avait été épinglée par la Commission des infractions fiscales pour « dissimulation de recettes imposables ».

    Le parquet de Paris a ouvert deux enquêtes préliminaires, en mai 2012, à la suite des plaintes déposées par Mohamed Belaïd, un ex-militant PS d’Argenteuil (Val-d’Oise) et ancien chauffeur de Hollande. La première, qui visait François Hollande et Faouzi Lamdaoui pour « travail dissimulé », « menaces et intimidations », a été classée sans suite, le 29 novembre 2013. Mais la seconde, ouverte pour « faux et usage de faux » devrait donner lieu à l’audition prochaine du conseiller à l’égalité et à la diversité. M. Belaïd estime en effet que Faouzi Lamdaoui a, pour créer la société Alpha, usurpé l’identité de son épouse. « Les investigations, confiées dans un premier temps à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne, ne l’ont pas démontré. Mais des questions ont vu le jour sur l’utilisation des fonds de l’entreprise », précise de son côté L’Express.

    Cette affaire constitue le dernier épisode – et sans doute pas le dernier – du long feuilleton des démêlés judiciaires impliquant les représentants tant médiatisés de la « pote-génération », et en particulier les pères-fondateurs et les dirigeants successifs de SOS Racisme. En voici, brièvement résumés, les épisodes précédents :

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  • Ali Rastbeen dénonce « le Qatar devenu l’une des plates-formes des mouvements terroristes »

    Le mot d’introduction de Ali Rastbeen, président de l’Académie de Géopolitique de Paris, au colloque consacré à la géopolitique du terrorisme qui s’est tenu le jeudi 11 décembre 2014 à Paris.

    http://www.medias-presse.info/ali-rastbeen-denonce-le-qatar-devenu-lune-des-plates-formes-des-mouvements-terroristes/20400

  • Etat policier : à Nantes, jugé pour avoir transporté… un couteau suisse dans sa voiture !

    Un jeune homme a été jugé mardi 9 par le tribunal correctionnel de Nantes pour « transport d’armes prohibé ».
    Il transportait dans sa voiture un couteau et une hachette, rapporte le journal Ouest-France dans son édition de mercredi.

    Le jeune, qui vient de finir des études d’architecte, a en fait été contrôlé alors qu’il se garait devant chez lui, dans un quartier de l’île de Nantes, le 22 novembre dernier. La police était sur les dents car se tenait ce jour-là en ville une manifestation d’extrême-gauche.

    L’architecte a donc dû s’expliquer sur ce « transport d’armes » devant le tribunal : le couteau lui a ainsi servi à « déboucher une bouteille la veille » ; le cutter est un de ses outils de travail ; et la hachette lui sert à couper du bois pour faire du feu. Mais le procureur le soupçonne d’avoir voulu participer à la manifestation qui était non déclarée.
    Il a requis 1 000 euros d’amende. Le jeune homme, « un peu abasourdi », a assuré ne pas se rendre à la manifestation : il rentrait chez lui, après avoir fait des courses à Orvault, après avoir pris des auto-stoppeurs… Le tribunal rendra sa décision en janvier.

    Quoiqu’il en soit, sans même avoir participé à une manifestation ou action répréhensible, les citoyens se trouvent à la merci de la police et de la justice républicaine au motif d’avoir un couteau-suisse dans leur voiture ! Le totalitarisme s’étend toujours davantage, et toujours au motif de la « sécurité » !

    http://www.contre-info.com/

  • La majorité des Français rejettent désormais le droit de vote des étrangers

    La gauche veut remplacer l’électorat qu’elle a perdu à force de mensonges… Mauvaise nouvelle pour elle : les Français tiennent encore à leur pays !

    Il y a quelques années, Coluche faisait rire en déclarant que  » si voter changeait quelque chose, il y a bien longtemps que ce serait interdit ». Ce trait d’humour est devenu, peu à peu, une certitude pour bon nombre de Français qui ne se déplacent même plus pour aller voter, à cause de décennies entières de mensonges politiciens.

    Les autres ont récemment poussé sur le devant de la scène le parti de Marine Le Pen. Le Front national est devenu le repère (contesté ou plébiscité) du jeu politique, la question identitaire étant sans conteste la motivation majeure de ses électeurs…

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  • La gauche, l'affaire Lepaon et la faillite des élites

    A son arrivée au pouvoir, François Hollande avait fait de "la République exemplaire" le leitmotiv de son quinquennat. Deux ans et demi plus tard, la gauche alimente la chronique des affaires, accréditant auprès de l'opinion l'idée d'une faillite générale des élites.

    Dernier épisode en date, la mise en cause du numéro un de la CGT, Thierry Lepaon, pour son train de vie, est venue s'ajouter à la récente démission de Kader Arif de son poste de secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et à celle de Faouzi Lamdaoui, conseiller de François Hollande à l'Elysée. "C'est gênant, cela donne le sentiment d'une litanie, d'un feuilleton", estime le politologue Frédéric Dabi (Ifop).

    "Lepaon avait, à raison, admonesté tel ou tel patron voyou. Mais, maintenant avec cette mise en cause, il alimente le refrain "faites ce que je dis, pas ce que je fais" et accrédite l'idée d'une faillite des élites. C'est la loi d'airain", ajoute-t-il.

    Jean-Daniel Levy (Harris-Interactiv) partage cette analyse sur une coupure entre la minorité dirigeante et la majorité dirigée. "Un responsable politique ou syndical a vocation à faire don de soi à la collectivité. Personne ne pense qu'ils doivent vivre comme tout un chacun, mais tous attendent d'eux une probité importante", explique-t-il.

    Pour inédits qu'ils soient, les démêlés du numéro un de la CGT n'auront pas "un grand impact" en eux-mêmes sur l'opinion publique, selon les analystes interrogés par l'AFP.

    En revanche, tous notent leur effet cumulatif néfaste sur la gauche, après les épisodes de Jérôme Cahuzac, Thomas Thévenoud, Aquilino Morelle (conseiller politique du chef de l'Etat contraint à la démission, ndlr), Kader Arif et Faouzi Lamdaoui. Et cela même si ces affaires sont de nature différente et ne préjugent pas la culpabilité des uns ou des autres.

    "La gauche ne peut plus se parer de vertu. Tout cela PARTICIPE d'un climat général. Et dans ces temps de crise, cela devient insupportable pour l'opinion", fait valoir Stéphane Rozès, président de Cap (Conseils, analyses et perspectives). Pour lui, le résultat sera, en termes électoraux, une abstention plus grande ou un vote en faveur du Front national.

    Néanmoins, sur ce dernier point, il estime que les affaires touchant l'UMP et le PS ne sont "pas la dynamique essentielle" du vote en faveur de Marine Le Pen. "La dynamique en faveur du FN, dit-il, est de nature politique reposant sur l'idée de s'opposer à une mise du pays sous contrainte extérieure".

    - 'Un voile noir' -

    Frédéric Dabi juge, pour sa part, que cette litanie mortifère d'affaires touchant la gauche, au moment où l'UMP en a elle aussi son lot, "favorise le vote en faveur du FN, des partis anti-système".

    "75% des Français considèrent les responsables politiques comme corrompus, mais finalement ils s'en accommodent", relève Jean-Daniel Levy, qui y voit pour preuve, par exemple, la réélection de Patrick Balkany (UMP) à Levallois-Perret. Il note qu'entre 2012 et 2014, "les traits d'image de Nicolas Sarkozy n'ont pratiquement pas bougé auprès des sympathisants UMP, hormis sur un point, l'honnêteté". L'ex chef de l'Etat, qui "est pourtant cité dans 11 procédures judiciaires, a été élu président de l'UMP", ajoute-t-il.

    Dans les années 90, moult affaires avaient émaillé la fin du deuxième septennat de François Mitterrand: financement occulte du PS, suicide de l'ex Premier ministre Pierre Bérégovoy, suicide d'un conseiller à l'intérieur même de l'Elysée, délits d'initiés, écoutes, etc. Mais, pour Stéphane Rozès, la défaite cinglante du PS aux législatives de 1993 s'explique davantage par "l'incapacité du pouvoir face à la montée du chômage" que par les affaires qui "ne faisaient alors qu'émerger".

    Quel sera l'impact sur François Hollande? Pour Jean-Daniel Levy, le chef de l'Etat "est encore un peu protégé". "Son rapport à l'argent n'est pas une critique qui émerge. Il est perçu comme un homme honnête, indépendant par rapport à l'argent".

    Pour l'avenir, et notamment son souhait de se représenter à la présidentielle de 2017, Frédéric Dabi est prudent. Il considère que le "feuilleton des affaires renvoie François Hollande à son anaphore "Moi, président..." qui sera alors utilisée comme un boomerang par ses adversaires". "C'est un voile noir sur un des leviers de sa victoire à la présidentielle de 2012", et cela met à bas "la République exemplaire" qu'il avait promise.

    Sylvie Maligorne

    Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuElupypuFuQwkuFiu.shtml

  • Agression de Créteil : nouvel exploit des journalistes de propagande

    Pourquoi Ladji, Yacine et Omar haïssent-ils les juifs ? À quel genre d’antisémitisme sommes-nous confrontés ?

     

    Je ne sais pas ce qu’il faut penser des journalistes ; je ne sais pas s’il faut les plaindre ou les admirer. À quelle sévère gymnastique ne doivent-ils pas s’astreindre lorsque surgit la déplaisante réalité ! À quelle espèce de torture ne sont-ils pas forcés de soumettre les mots pour leur faire dire une autre réalité ! C’est un art subtil qui consiste à rapporter tout en dissimulant, à imposer sa vision tout en revendiquant l’« objectivité ».

    À Créteil, un couple juif est séquestré à son domicile par trois hommes. La femme est violée et l’appartement cambriolé. Qui sont les agresseurs ? La question est sensible, d’autant plus que, d’après le témoignage des victimes, le caractère antisémite de l’agression semble avéré. Quand les journalistes, de surcroît, découvrent les prénoms des délinquants, le traitement de l’information devient pour eux un exercice infiniment délicat.

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  • Les secrets cachés de la Loi Macron au profit du Grand Capital Mondial et au Grand Mépris du Peuple – La France à l’encan!

    Intéressante et originale analyse de la loi Macron, qui démontre que contrairement à l’avis des sceptiques qui la décrivent comme vide, cette loi ne l’est pas du tout, bien au contraire. Ce n’est pas pour « booster » le travail qu’elle veut détruire le caractère sacré et chrétien du dimanche. Le dimanche de toute façon, a déjà été dépossédé de son caractère sacré. Lui porter le coup de grâce n’est donc qu’une petite amusette pour détourner l’attention si on en croit l’analyse de Charles Sannat, observateur attentif de la vie économique de notre pays et du monde. Il apparaît bien à lire le décryptage qu’il fait de la loi Macron que dans cette affaire le jour du Seigneur et l’atteinte au numérus closus des notaires ou autres pharmaciens, n’est qu’une petite friandise dans la bouche du Dieu argent, celui dont Notre-Seigneur Jésus-Christ a dit: « on ne peut servir deux maître à la fois, Dieu et Mammon. »

    Monsieur Macron et son gouvernement avec lui ont donc choisi leur maître. Nous le savions, mais là c’est la France d’un bloc qu’ils veulent lui offrir en sacrifice.

    Le reste, ce qui agite le landerneau depuis une semaine n’est que de la poudre aux yeux jetée à la face des gogos pour les faire gloser pendant que, comme la grenouille, on les ébouillante à petit feu. Le coup porté aux Droits de Dieu est  magistral : Il s’agit de hisser Mammon au sommet de la pyramide pour établir une tyrannie mondialiste du Grand Capital sur la France, bien pire que tout ce que nous avons pu connaître ou même imaginé jusque-là.  

    Bonne lecture, prévoyez un stock de mouchoirs pour éponger vos larmes,

    E. D

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  • "Homos, la haine", documentaire propagande sur France 2