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magouille et compagnie - Page 1972

  • Les arrière-pensées politiques sont une insulte aux victimes

    Il est indigne d’exploiter cette tragédie à des fins politiques.

    Les événements tragiques que nous connaissons doivent inspirer à tous les Français du recueillement et de la compassion pour les victimes et leurs proches et, à nos gouvernants, la volonté de faire front, avec fermeté et lucidité, dans une guerre d’un genre nouveau. Il est pour le moins regrettable que l’union nationale officiellement prônée dissimule, chez certains, bien des arrière-pensées, des non-dits et des incohérences.

    La plupart des dirigeants politiques ont déclaré à juste titre qu’il ne fallait surtout pas faire d’amalgame. Mais ce n’est pas résoudre le problème que de vouloir nier que ces terroristes, qu’ils se réclament d’Al-Qaïda ou de Daech, aient quelque chose à voir avec l’islam. Pour résoudre un problème, il faut d’abord le poser. Nier cette proximité, ne pas clarifier la situation, ce n’est ni protéger ni respecter les Français de confession musulmane qui, dans leur grande majorité, sont intégrés ou souhaitent l’être ; c’est une forme de lâcheté, c’est laisser le champ libre aux amalgames.

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  • Non, je ne suis pas Charlie !

    Je ne crois pas qu’il faille se sentir obligé de répéter cette phrase toute faite comme une incantation pour avoir le droit d’exprimer sa compassion, de plaindre les victimes et les familles, de dire son inquiétude.

    « Non, je ne suis pas Charlie. » Et je ne crois pas qu’il faille se sentir obligé de répéter cette phrase toute faite comme une incantation pour avoir le droit d’exprimer sa compassion, de plaindre les victimes et les familles, de dire son inquiétude.

    Je ne suis pas Charlie parce que ce serait faire injure aux policiers qui sont morts, eux aussi. Ou alors, il faudrait dire également « je suis flic ».

    Je ne suis pas Charlie, parce que j’en ai toujours détesté le contenu, et que je n’envisage pas de le prendre aujourd’hui à mon compte. Pour être solidaire de leur calvaire, pour être indignée par ces sordides exécutions, la France entière n’est pas forcée de s’identifier à Charlie Hebdo.

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  • Pour Marine Le Pen, « avec l’exclusion du FN, l’union nationale est une manœuvre politicienne »

    L’ensemble des partis politiques, du Front de gauche à l’UMP, participeront à la marche républicaine organisée à l’initiative des partis de gauche, dimanche 11 janvier à Paris, après l’attentat contre Charlie Hebdo.

    Mais cet appel à l’unité nationale lancé par toute la classe politique s’arrête au Front national. Pour l’instant, le parti d’extrême droite n’a reçu aucune invitation officielle à rejoindre la marche de la part de Manuel Valls ou François Hollande.

    Contactée par Le Monde, Marine Le Pen s’indigne contre le fait d’être tenue à l’écart de la « marche républicaine » et parle d’une « manœuvre politicienne minable ».

    « Je ne demande pas à être intégrée à l’union nationale. L’union nationale, ce n’est pas un chantage où on peut venir à condition de la fermer. Je n’entends pas me soumettre à ce chantage. Il y a un dévoiement total du concept d’union nationale. Nous en assumerons les conséquences."

    « Tout cela c’est une manière de tenter d’écarter le seul mouvement politique qui n’a aucune responsabilité dans la situation actuelle, ainsi que ses millions d’électeurs. Tous les autres partis sont morts de peur. Ils pensent à leurs petites élections et à leurs petits mandats. Ce sont des vieux réflexes qui ont congelé la vie politique depuis vingt ans et qui ont creusé la fracture entre les gouvernants et le peuple. Si on ne m’invite pas, je ne vais pas m’imposer. C’est un vieux piège. Au moindre incident on dira que c’est de ma faute. »

    [....]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pour-Marine-Le-Pen-avec-l

  • Liste des affaires qui impliquent la GLNF ou le GODF

    Cogedim (50 millions de francs détournés) 

    Carambouille de Carcassonne (72 millions de francs envolés) 

    Canson (trafic de tableaux et captation d’héritage) 

    Démêlés Noir-Mouillot-Botton

    Embrouilles de la tour BP (détournements de fonds, sept morts suspectes) 

    Krach municipal à Draguignan (trou de 50 millions) 

    Écoutes téléphoniques par la société de sécurité Century (six arrestations) 

    Cliniques de Marseille (meurtres en pagaille) 

    Affaire Schuller-Maréchal

    Carrefour du développement (100 millions détournés) 

    Scandale de la GMF (500 millions évaporés) 

    Si toutes les affaires concernent la GLNF, les deux dernières concernent plutôt le GO, mais une trentaine de frères au total sont cités. 

    L’auteur de ce réquisitoire, Pierre Bertin [un frère indigné], propose d’agir vigoureusement pour rétablir l’ordre au sein de l’obédience. Une sanction exemplaire sera prise contre... Pierre Bertin. Il est suspendu ! Quant aux intrigants impliqués dans des scandales, il ne leur arrivera rien. 

    Ghislaine Ottenheimer, Renaud Lecadre, Les frères invisibles

    http://www.oragesdacier.info/

  • Ecologie...

    Ainsi, M. Hollande serait, sinon devenu écologiste, en tout cas désormais plus sensible aux questions environnementales : après tout, pourquoi pas, même si je reste sceptique… N’est-ce pas lui qui, il y a à peine quelques semaines, en novembre dernier, souhaitait que la France participe à l’exploitation des énergies fossiles en Alberta, au Canada ? A l’époque, son ancienne ministre de l’écologie Delphine Batho déclarait, grinçante : « (L’Alberta) est l’endroit où il y a une catastrophe écologique gigantesque, des destructions de la forêt boréale, des égouts à ciel ouvert et c’est le pétrole qui est le plus sale du monde ». Rien de très rassurant pour l’environnement, n’est-ce pas ?

    Mais le président, désormais engagé dans ce qui ressemble à une campagne électorale présidentielle (deux ans et demi avant le terme de son premier mandat…), cherche à se parer des couleurs de l’écologie pour mieux désarmer d’éventuels concurrents venus des milieux Verts : d’ailleurs, à entendre lundi soir M. de Rugy, député de Loire-Atlantique prêt à assumer des responsabilités ministérielles dans le gouvernement de M. Valls, les sirènes hollandaises ont quelque charme… et quelque succès ! Quand le premier ministre assure que le chantier de l’aéroport annoncé à Notre-Dame-des-Landes démarrera dès la mi-2015, le président en exercice, lui, est moins catégorique, évoquant le début des travaux au terme des recours engagés, ce qui pourrait mener jusqu’en… 2017, après le 2ème tour de l’élection présidentielle ! On l’imagine mal, d’ailleurs, prendre le risque de nouveaux affrontements sur un site désormais symbolique des luttes contre les « grands travaux inutiles » et tenu par des militants déterminés à ne rien céder, confortés par l’échec des précédentes tentatives gouvernementales pour reprendre les lieux : malgré tous les moyens mis à la disposition d’une République habituée à avoir le dernier mot au nom d’une légalité qui, de plus en plus, est contestée par un « pays réel » multiforme, celle-ci ne semble plus en mesure de s’imposer, pour l’heure, face à des révoltes environnementales encore désordonnées mais qui, remplaçant des révoltes sociales désormais (et malheureusement, sans doute…) peu mobilisatrices, pourraient bien couver de nouvelles formes politiques périlleuses pour la partitocratie traditionnelle comme pour l’idéologie dominante elle-même…

     

    En tout cas, l’écologie risque bien de devenir à la fois l’alibi et le cauchemar de M. Hollande et, au-delà, de ses concurrents/alliés Verts : il n’est pas certain que la République sorte intacte de cette configuration nouvelle de la question environnementale, moins consensuelle que les seules inquiétudes évoquées à l'égard d’un réchauffement climatique (mieux vaudrait, d’ailleurs, parler de « dérèglement climatique », ce qui serait plus exact et non moins inquiétant…) qui ne présage rien de bon pour les générations prochaines, qu’elles soient humaines, animales ou végétales. L’environnement n’est pas « un », mais « des » fronts nouveaux : la lutte contre la déforestation, celle contre la rurbanisation anarchique ou contre les grands équipements inutiles et destructeurs, celle-là encore pour la préservation des zones humides et de leurs richesses de biodiversité, la lutte contre l’artificialisation de la nature (par les OGM ou par le remembrement), celle pour une agriculture biologique et de proximité, à taille humaine et d’abord vivrière au lieu de n’être qu’industrielle, la promotion et la mise en pratique des énergies renouvelables (marines, hydraulique, éolienne, solaire, etc.), et tant d’autres contestations et propositions autour du souci environnemental… Que sur ces barricades de l’écologie réelle (qui n’est pas forcément « l’écologie légale »…), l’on y croise les royalistes n’a rien de surprenant : ils en ont parfois été les premiers bâtisseurs, de Chateaubriand à Bernanos, de Paul Bourget à Bertrand de Jouvenel ou à Gustave Thibon…

    « Sur le béton de la démesure urbaine et industrielle, nous planterons nos fleurs de lys, aux couleurs de la colère et de l’espérance ! »

     http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1191:ecologie&catid=49:2015&Itemid=60

  • Records en matière de fraude sociale en France

    Les statistiques sur l’état de notre pays mettent parfois un peu de temps à être publiées. Et quand elles le sont, elles ne nous rassurent pas vraiment. La Délégation Nationale à la Lutte contre la Fraude a publié hier un rapport sur la fraude sociale en 2013. La DNLF recense ainsi que les fraudes sociales ont sérieusement augmenté en 2013. De 330 millions d’euros en 2012, elles sont passées à 386 millions en 2013. Soit une augmentation de plus de 15 %.

    L’assurance‑maladie est tout particulièrement incriminée

    En effet. L’assurance‑maladie représente une grosse partie de ces fraudes sociales. 174 millions d’euros de détectés en 2013. Là encore, une hausse d’environ 12 % par rapport à 2012. Les faux arrêts‑maladies ainsi que les établissements de santé sont tout particulièrement pointés du doigt. Toutefois, le rapport n’indique pas le rapport de la fraude et des programmes étatiques comme l’Aide Médicale d’Etat.

    Mais ce sont tous les secteurs qui sont touchés par cette hausse de la fraude

    Exactement, retraite, famille, chômage, tous connaissent cette augmentation du montant de la fraude. Autre petit exemple, la fraude détectée par Pôle Emploi est passée de 39 millions d’euros à 59 millions d’euros en un an. Soit une augmentation de 51 %. Là encore, aucun mot sur les raisons sociétales de la hausse de la fraude.

    L’exécutif s’attelle‑t‑il à régler ce problème ?

    La détection semble s’être améliorée ces dernières années. C’est d’ailleurs aussi ce qui explique la hausse du montant des fraudes.

    Malgré les réticences du gouvernement, les élus de droite et de gauche ont décidé de compléter le ficher recensant les prestations versées à chaque bénéficiaire. Mais ils continuent de privilégier la lutte contre la fraude fiscale, beaucoup plus rentable.

    http://fr.novopress.info/180620/records-en-matiere-de-fraude-sociale/

  • Genre : la rééducation arrive par les jouets et le Sénat

    « Nous voulons être pairs et non complémentaires », explications… Voilà que les sénateurs, Chantal Jouanno (UDI) en tête, veulent réglementer le monde du jouet, et plus largement celui de la petite enfance, pour mieux rééduquer les enfants et leurs parents. Le rapport d’information du Sénat du 11 décembre 2014 illustre d’une part la motivation et la méthode et d’autre part la profondeur de l’attaque. En voici les points saillants.

    Comme à l’accoutumée seuls les féministes pro-gender sont auditionnés à l’exception de Jean-François Bouvet, neurobiologiste. A l’issue de son exposé, qui n’allait pas dans le sens du postulat de base, il lui est répondu par des affirmations dogmatiques. Voyez plutôt !

    Brigitte Grésy, membre du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, répond clairement : »nous voulons être pairs et non complémentaires ». La lutte pour tendre à cet objectif sera « systémique » (je remplacerai volontiers par systématique…). La lutte des sexes a remplacé la lutte des classes…

    Ainsi l’approche est purement dogmatique, idéologique, écoutons Mme Bouchoux (sénatrice EELV, curieux ces écolos qui respectent la nature à l’exception de la nature humaine) lors de l’audition du 27/11/2014 : « Il me semble que les origines des différences entre hommes et femmes, qu’elles soient hormonales, génétiques, culturelles ou historiques, importent peu. Il nous plaît à penser qu’en France, en vertu des principes affirmés en 1789 puis en 1946 et dans le Préambule de la Constitution de 1958, l’important est l’enjeu républicain d’une société égalitaire ». Il faut rejoindre Eric Zemmour en ce que les textes philosophiques ici cités deviennent des leviers de droit pour appliquer une doctrine, avec pour bras armé des associations ou comités ayant pouvoir de vie ou de mort sur ce qu’il faut penser. [....]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Genre-la-reeducation-arrive-par

  • Répression politique : le SIEL somme le pouvoir socialiste de s’expliquer

    Communiqué de Karim OUCHIKH Président du SIEL :

    "Dans une lettre adressée ces derniers jours au ministère de l’Intérieur au sujet de certains incidents qui émaillèrent en 2013 le mouvement populaire de protestation contre la loi Taubira, le Défenseur des droits vient de condamner fermement les pratiques policières illégales dont furent victimes, sur les consignes explicites du gouvernement socialiste, les partisans de «La Manif pour tous ». Se fondant sur des investigations menées auprès des forces de l’ordre et des manifestants qui défilèrent paisiblement en famille, Jacques Toubon dénonce ainsi avec force l’existence d’innombrables gardes à vue injustifiées qui portent atteinte à la liberté d’aller et venir, mais aussi les modalités de fouille des sacs qui n’ont pas été conformes au droit, ou bien encore le caractère disproportionné de l’interdiction générale faite au public, présent lors du défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées, de porter un vêtement ou de détenir un fanion floqués du logo du mouvement « La Manif Pour Tous ».

    En rappelant à cette occasion que « la liberté d’expression est de rang constitutionnel et bénéficie à ce titre d’une protection accrue », Jacques Toubon souligne la gravité des manquements au respect des libertés publiques dont s’est rendu coupable Manuel Valls, ministre de l’Intérieur de l’époque. Après avoir tenté de minimiser un mouvement de protestation social puissant, qui ne cesse de s’amplifier depuis deux ans, le pouvoir socialiste s’est appliqué méthodiquement à le discréditer par l’usage invraisemblable de sa propagande idéologique, mais aussi le faire taire par l’emploi abusif de la force policière. Partageant l’indignation du Défenseur des droits, le SIEL somme le ministère de l’Intérieur de s’expliquer immédiatement sur ces atteintes liberticides inédites, lesquelles apparaissent désormais, aux yeux de bien des Français, comme étant constitutives d’une forme larvée de répression politique à l’égard des partisans de la famille traditionnelle."

    Michel Janva

  • Cécile Duflot : non au gouvernement mais oui aux places éligibles !

    Cécile Duflot est, décidément, une fille de son temps.

    Sacrés écolos ! Autrefois, la gauche de la gauche avait théorisé le soutien gouvernemental sans participation. Leurs lointains héritiers, eux, ont innové en inventant la participation gouvernementale sans soutien. Et aujourd’hui ? Le bidule semble avoir été customisé : pas de participation, encore moins de soutien ; mais des places éligibles ! Et tout de suite, SVP…

    À ce petit jeu, Jean-Vincent Placé, avec sa frime d’abbé de cour matois, est imbattable, parvenant à convaincre Élysée et Matignon qu’avec moins de 5 % des suffrages – et encore, c’est généreux –, les Verts sont en droit d’exiger pas loin de 20 % d’éventuels futurs élus. D’où âpres négociations d’arrière et de basse-cour. Il est un fait que le vote EELV pèse d’un poids certain dans les mégapoles – axe Paris-Lyon-Marseille ; voire Bordeaux. De l’or là, dans ces grandes villes à Vélib’, dont les habitant estiment qu’il suffit de faire pousser du piment sur son balcon pour faire figure de paysan. Mais du plomb ailleurs, dans cette France péri-urbaine et rurale. En ce sens, le sort du PS et des Verts demeure intimement lié : majoritaire en ces grandes agglomérations et minoritaire dans ce qui devrait être leur « cœur de cible », la France d’ailleurs, la France des champs ; celle d’en bas.

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