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magouille et compagnie - Page 1971

  • Alors toujours Charlie ?

    Voici un dessin en page 2 du nouveau numéro de Charlie Hebdo, attention dessin choquant et injurieux : voir ici

    Analyse de Boris Le Lay : Retourner la mobilisation populaire contre le peuple

    Il aborde notamment le problème des lois qui condamnent l’apologie du terrorisme.

    http://www.contre-info.com/

  • Alors toujours Charlie ?

    Voici un dessin en page 2 du nouveau numéro de Charlie Hebdo, attention dessin choquant et injurieux : voir ici

    Analyse de Boris Le Lay : Retourner la mobilisation populaire contre le peuple

    Il aborde notamment le problème des lois qui condamnent l’apologie du terrorisme.

    http://www.contre-info.com/

  • Directives de Fabius à la presse : « terroristes » plutôt que « islamistes »

    Une fois n’est pas coutume, Fabius passe les consignes à la presse aux ordres. Après « Daech » plutôt que « Etat Islamique » c’est « terroristes » à la place « d’islamistes ». Bêêêêêh répondirent les moutons...

    Dans ce refus de l’amalgame, Laurent Fabius préconise d’aller plus loin encore, en l’espèce en bannissant le mot « islamiste ». Invité ce dimanche matin duGrand Rendez-vous Europe 1-iTélé-Le Monde, le ministre des Affaires Etrangères précise sa pensée :

    Je n’aime pas… Je ne veux pas faire le censeur (sic), mais je pense que l’expression islamiste – et j’en avais aussi fait la remarque dans l’expression Etat islamique – est probablement pas celle qu’il faut utiliser. J’appelle ça des terroristes. Parce dès lors que vous utilisez le mot islam, vous favorisez une espèce de vision de continuité entre le musulman, qui pratique sa religion qui est une religion de paix, et puis quelque chose qui serait une certaine interprétation de la religion musulmane.

  • Islamisme en prison : Christiane Taubira travestit la réalité

    Rediffusion – Cet article a été publié sur Novopress une première fois en juin 2014. Nous en proposons la lecture aux internautes en raison de son actualité.

    Christiane Taubira  l’a annoncé hier matin sur RTL : la « radicalisation » de musulmans en prison ne concernerait que 90 personnes en France. Un ancien détenu nous explique pourquoi ce chiffre n’est pas crédible compte tenu des réalités carcérales.

     

    Les apprentis djihadistes en prison ne seraient donc que 90 en France. 90 personnes sur 69 000 prisonniers (chiffres d’avril 2014), soit 0,13% des détenus. Quand il est possible d’affirmer sans trop s’aventurer que plus de la moitié des détenus en France sont musulmans, il s’agit donc ici d’un taux extrêmement faible.

    Or, pour tout surveillant de prison ou ancien détenu, le nombre annoncé par la Garde des Sceaux a de quoi laisser pantois. Car qui connaît un minimum le fonctionnement d’un établissement pénitentiaire au quotidien sait qu’il est impossible pour l’Etat de précisément chiffrer le phénomène. Explications…

    Des moyens de renseignement limités

    Le lieu le plus sensible d’une prison est la cour de promenade. C’est bien souvent un lieu de bagarres et de règlements de comptes, mais c’est surtout un lieu où les détenus échangent entre eux plusieurs heures par jour. Un terrain qui est donc propice à la diffusion du discours djihadiste ainsi qu’à la transmission de contacts extérieurs à la prison. C’est notamment par ces échanges qu’une personne souhaitant rejoindre les djihadistes saura où se rendre et qui contacter une fois dehors.

     

    Or, par mesure de sécurité tout à fait légitime, les surveillants pénitentiaires ne peuvent pas descendre en cours de promenade. Une interdiction qui limite considérablement les sources d’informations. En la matière, le renseignement de l’Etat se limite ainsi à la simple observation de la cour de l’extérieur : qui échange avec qui. A titre d’exemple, je me souviens que la prière effectuée par les trois quarts des détenus de ma cours de promenade le jour de l’Aïd al-Fitr (fête célébrant la rupture du jeune du Ramadan) était filmée de l’extérieur par un surveillant. Mais en dehors d’images vidéos et de rapports de l’administration pénitentiaire sur les fréquentations des uns et des autres, il est impossible de connaître la nature des propos qui peuvent être tenus entre deux détenus dans une cour de promenade.

    Ce qui est valable pour la cour de promenade l’est également pour les cellules de la prison. Comment se glisser dans l’intimité d’une cellule ? Pour limiter les moyens de communication des détenus à risque, l’administration pénitentiaire aura tendance à les placer seuls en cellule ou à l’isolement. Mais ici encore, ces méthodes sont dérisoires et ne suffisent pas à endiguer le phénomène.

    Compte tenu de ce constat, pour pouvoir annoncer un chiffre crédible, l’Etat devrait avoir recours à des moyens de renseignements tels que infiltration des cours de promenade ou les écoutes en cellule. Des méthodes qui, faute de moyens, sont impossibles à généraliser au regard des dizaines de milliers de détenus musulmans qui entrent et sortent chaque année. A l’heure actuelle, le renseignement en prison repose sur des procédés beaucoup trop superficiels pour cerner l’ampleur du phénomène. Car en vérité, les principaux indicateurs sur lesquels sont fondés les chiffres du ministère reposent sur des méthodes de renseignements se limitant à l’observation des cours de promenades de l’extérieur, au contenu des bons de cantine ou à la surveillance des correspondances…

    Minimiser l’impuissance de l’Etat

    Dans un système marqué par la communication (un système que Jean-Yves Le Gallou qualifie à juste titre de « tyrannie médiatique »), l’Etat doit montrer qu’il n’est pas dépassé par la situation à l’heure où des centaines de « français » partent rejoindre les forces djihadistes en Syrie et en Irak. La manière dont on communique officiellement sur une réalité importe dès lors plus que la réalité elle-même. Entre un Nicolas Sarkozy qui prétend chasser la racaille de la cité des 4000 à la Courneuve et une Chstiane Taubira qui minimise le phénomène djihadiste en prison, la logique est la même : l’impuissance de l’Etat doit être masquée par la communication. Et, dans le cas de la Garde des Sceaux, il est d’autant plus facile de mentir sur la situation des prisons françaises que celles-ci constituent un lieu clos exclusivement contrôlé par le ministère.

    Malheureusement, les seules sources alternatives sur la situation derrière les murs des prisons proviennent d’associations le plus souvent très orientées à gauche (tel que l’Observatoire international des prisons [OIP] dont la liste des anciens présidents comprend des personnes telles que l’avocat Thierry Levy ou la journaliste Florence Aubenas) et dont la politisation occulte tout discours franc et réaliste sur la situation dramatique des prisons françaises (et notamment le racisme anti-blanc qui s’y exprime quotidiennement, voir ainsi cette  interview de l’auteur Gérald Pichon sur le racisme anti-blanc en prison).

    Car en vérité, dans les cités comme dans les prisons, l’Etat est complètement dépassé par les conséquences à long terme de l’immigration massive. La ghettoïsation des quartiers, l’islamisation des prisons ou le départ pour le djihad de musulmans ayant la nationalité française ne sont que les effets de ce phénomène massif et incontrôlé. Des conséquences que les Français sont de plus en plus nombreux à comprendre, et que l’Etat et ses relais médiatiques ne pourront pas perpétuellement minimiser.

    Cyril Raul

    http://fr.novopress.info/169426/islamisme-en-prison-christiane-taubira-travestit-la-realite/#more-169426

  • Les deux autruches et le vilain petit Qatar

    QatarAlors que le PSG envisage de porter plainte contre X en réaction à la banderole des supporteurs bastiais, Nicolas Sarkozy et Laurent Fabius ont défendu le Qatar comme un seul homme à la radio hier. Ou deux autruches, c'est selon :

    "Il faut croire que le responsable du quai d’Orsay n’a pas les mêmes renseignements que... nos services de renseignements ! En juin 2012, le Canard enchaîné citait une note de la Direction du renseignement militaire français (DRM) qui décrivait précisément les financements terroristes opérés par l’émirat. « Selon les renseignements recueillis par la DRM, les insurgés touareg du MNLA (indépendantistes et laïcs), les mouvements Ançar Dine, Aqmi (Al Qaïda au Maghreb islamique) et le Mujao (djihad en Afrique de l'Ouest) ont reçu une aide en dollars du Qatar ». « Les officiers de la DRM affirment, eux, que la générosité du Qatar est sans pareille et qu'il ne s'est pas contenté d'aider financièrement, parfois en leur livrant des armes, les révolutionnaires de Tunisie, d'Egypte ou de Libye », ajoutait l'hebdomadaire.  

    Le rapport venait corroborer une première note diffusée en mars par la DGSE qui précisait les financements de mouvements djihadistes dans le Nord du Mali. Plus récemment, en juin 2014, le site de défense américain Jane’s publiait une photo d’avions de transports militaires qataris posés sur un aéroport contrôlé par des milices djihadistes libyennes. Dans son numéro daté du 28 novembre dernier, Marianne évoquait aussi le rôle trouble du Qatar en Libye."

    S'il porte plainte, le PSG le fera-t-il aussi contre Charlie Hebdo (dont je vous épargne l'avatar) ?

    Q2

    Louise Tudy

  • Valls annonce un (faux ?) état d’urgence qui ne dit pas son nom

    Le premier ministre Manuel Valls vient d’annoncer le déploiement de 8500 militaires sur le territoire français, en plus des 4500 gendarmes et CRS déjà mobilisés. Il s’agit de protéger en priorité les lieux de culte et écoles… juives… Pas de récupération, nous ont-ils dit !

    Deux choses : ou bien il y a une réelle menace d’attaque globale, et un tel dispositif montre que nous sommes dans un état d’urgence qui ne dit pas son nom, ou bien il s’agit un énième effet d’annonce visant à apeurer afin de pouvoir mieux contrôler les communications du pays et la censure sur Internet.

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  • La liberté de la presse ? Vaste foutaise !

    S’il n’y avait eu "que" des victimes anonymes et non des stars du crayon, Paris aurait-elle été, comme l’a dit François Hollande, « la capitale du monde » ?

    La question, déplacée dira-t-on, revenait ce lundi matin sur les radios dans les questions des auditeurs : s’il n’y avait eu « que » des victimes anonymes et non des stars du crayon, Paris aurait-elle été, comme l’a dit François Hollande, « la capitale du monde » ?

    Tout le monde, toute la planète s’est rassemblée – faut-il dire identifiée ? – à Charlie. Pas à Mustapha (le correcteur du journal), pas à Ahmed (le policier achevé sur le trottoir) et pas à Clarissa (la policière venue d’outre-mer). Recevant France 2 dans sa chambre d’hôtel, la mère de cette dernière, effondrée, espérait que le président de la République allait la serrer, elle aussi, dans ses bras, comme Patrice Pelloux. Elle sera repartie avant.

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  • Ne pas être dupe, ne pas baisser la garde

    L’assassinat mercredi par les frères Kouachi de l’équipe de Charlie Heddo,  de deux policiers et, par leur complice Amedi Coulibaly, l’exécution d’une auxiliaire de police puis de quatre juifs abattus dans la prise d’otage d’une hypermarché casher porte de Vincennes vendredi, auront eu une résonnance mondiale. La journée de manifestations d’hier qui a réuni au moins trois millions de personnes, dont une bonne moitié en province, fut historique par son ampleur. Prirent part à la marche parisienne des représentants de tous les partis de l’établissement, des gouvernements de l’UE, des nations occidentales, mais aussi de très nombreux pays arabes, dont le premier ministre palestinien Mahmoud Abbas. Son homologue israélien, Benjamin Netanyahou, était également présent. Il s’est fait acclamer quelques heures plus tard lors de la cérémonie réunissant tous les officiels français à la mémoire des victimes israélites (elles seront inhumées en Israël) à la synagogue des Victoires. Une journée qui fut l’occasion selon Manuel Valls, résumant les propos de la classe politicienne, de «dire non au racisme, à l’antisémitisme et à l’intolérance ». Mais pas que.

    Elle fut certes, pour des centaines de milliers de Français qui ont battu le pavé à Paris ou ailleurs, électeurs et/ou sympathisants de l’opposition nationale, le moyen de manifester leur horreur devant les assassinats perpétrés, le refus du chantage terroriste, mais aussi d’appeler un chat un chat, de marquer leur refus de l’islamisme radical. Une idéologie qui prospère sur l’échec d’une assimilation généré par une immigration à haut débit. Une situation qui est de la responsabilité première des partis, groupuscules, syndicats et obédiences du Système qui défilaient hier.

    Cette liberté d’expression là de nos compatriotes devrait aussi être protégée. En effet, toute contestation de l’invasion migratoire est susceptible de vous conduire  devant les tribunaux, au terme notamment de la loi d’essence stalinienne Fabius-Gayssot.

    « Nous prendrons part au défilé là où l’esprit de tolérance est le plus fort, là où le sectarisme se fait moins violent » expliquait Marine Le Pen dans une vidéo publiée sur le site du Front. La présidente du FN a ainsi défilé dans la ville de Beaucaire chez notre ami Julien Sanchez aux côtés du député RBM  Gilbert Collard. Elle a souligné sur place en quoi le rassemblement parisien s ’apparentait à « une grande machine à laver, à blanchir les consciences ». Julien a précisé qu’il «( n’avait) pas de leçon à recevoir (des grandes consciences de gauche). Je suis Français, comme eux. J’ai été ému, comme eux. La seule différence est que mon parti n’est peut-être pas responsable de ce qui s’est passé en matière d’immigration, en laissant certains jeunes ne pas respecter les minutes de silence dans les banlieues ou déverser leur haine sur Twitter.»

    Florian Philippot était lui Metz, le sénateur-maire David Rachline dans sa ville de Fréjus, Steeve Briois à Hénin-Beaumont, Marion Maréchal-Le Pen à Montauban, Louis Aliot à Perpignan. Est-il besoin de préciser que les manifestations organisées dans les villes FN l’ont été dans un esprit de rassemblement de tous les Français, de concorde nationale.

    D’autres n’ont pas manifesté comme Bruno Gollnisch, Wallerand de Saint-Just le responsable parisien et trésorier du FN, « interdit de séjour » à la marche de la capitale ou encore la vice-présidente Marie-Christine Arnautu, qui n’a pas voulu défiler à Nice aux côtés du maire UMP Christian Estrosi, champion toute catégorie de la récupération et du clientélisme politicien. Le député européen Bernard Monot a souligné son refus de s’associer « à un mouvement qui accepte de défiler avec le club des partis européistes et de l’étranger ».

    L’ambiguïté de ce défilé a aussi suscité l’embarras de nombreux pays musulmans. Par un communiqué officiel de l’ambassade du Maroc,  il a été annoncé que «la délégation marocaine a présenté dimanche à l’Élysée les sincères condoléances du Royaume du Maroc » à la France, mais « n’a pas pris part à la marche organisée à Paris en raison de la présence de caricatures blasphématoires du prophète », comme l’a précisé le ministre des Affaires étrangères marocain, Salaheddine Mezouar.

    Le Maroc incarne pourtant ce qu’il est convenu d’appeler un « islam du juste milieu ». De la même façon et pour les mêmes raisons , on ne peut certainement pas demander au petit peuple musulman, parfaitement audible quand il affirme être écœuré, révolté, scandalisé par la violence des fous d allah, « d’être charlie »…

    Dans un autre registre, le trés ordurier dessinateur néerlandais de Charlie Hebdo (et de Libération) Bernard Holtrop, alias Willem, a déclaré samedi au quotidien néerlandais Volkskrant «vomir sur ceux qui, subitement, disent être nos amis» à la suite de l’attentat contre le journal d’extrême gauche. «Nous avons beaucoup de nouveaux amis, comme le pape, la reine Elizabeth ou Poutine: ça me fait bien rire» a-t-il dit,  avant d’affirmer que «Marine Le Pen est ravie lorsque les islamistes se mettent à tirer un peu partout.» Comme Willem est ravi d’un attentat qui permettra à un mauvais hebdomadaire pour adulescents,  souvent immonde, et qui allait disparaître faute de lecteurs en nombre suffisant, de poursuivre son activité grâce à un vaste élan de solidarité ?

    Jean-Marie Le Pen de son côté,  a déclaré sur son blogue ( c’étai juste avant la prise d’otage porte de Vincennes) qu’il se « (sentait) touché par la mort de douze compatriotes français dont je ne veux même pas savoir l’identité politique, encore que je la connaisse bien, qu’elle soit celle d‘ennemis du FN qui en demandaient la dissolution par pétition il n’y a pas tellement longtemps. Je ne me sens pas du tout l’esprit de Charlie. Je ne vais pas, moi, me battre pour défendre l’esprit de Charlie qui est un esprit anarcho-trotskyste parfaitement dissolvant de la moralité politique ».

    « La manière dont tout cela est orchestré me rappelle des manifestations du même type qui furent organisées avec la complicité des médias, y compris des médias de droite, lors par exemple de l’affaire de Carpentras où le Front national fut accusé d’avoir violé une sépulture dans un cimetière juif alors qu’il était parfaitement innocent. Et puis il y a eu 2002, ce fut exactement le même phénomène ».

    « Dans le fond, notre mise à l’écart (de la marche républicaine à Paris hier, NDLR) est un hommage qui nous est rendu et qui, je pense, sera interprété comme tel par nos concitoyens. Ils auront l’occasion s’ils le souhaitent de manifester leur opinion dans les urnes (…). Je n’ai pas envie de soutenir l’action gouvernementale impuissante et incohérente face à un problème qui touche, évidemment de très près, à l’immigration massive subie par notre pays depuis quarante ans » a constaté le président d’honneur du FN.

    Florian Philippot le rappelait hier sur l’antenne de RTL, exclus officiellement du cortège parisien, les dirigeants du FN étaient tout aussi bien à défiler en province, sans se mêler aux pompiers pyromanes de l’UMPS et de leurs alliés, sans marcher avec les représentants de «l’extrême droite racialiste israélienne»,  du « Qatar » et de « l’Arabie saoudite », les mécènes du terrorisme djihadiste, le président tuc Erdogan turc dont la position est plus qu’ambiguë vis à vis de l’Etat Islamique. Un constat partagé par Alain Marsaud, député UMP des Français de l’étranger, conseiller général de la Haute-Vienne, ancien magistrat, chef du Service central de lutte antiterroriste au Parquet de Paris dans les années 1980, qui a dénoncé la récupération politique des attentats, et notamment la présence du Premier ministre Turc à Paris.

    En ce moment, en Arabie Saoudite, qui condamne elle aussi un coupable d’apostasie à la peine de mort, un journaliste est fouetté et emprisonné pour délit de liberté d’expression. Samedi, les bailleurs de fonds des fous d’Allah de la milice Boko Haram,  ont dû se féliciter de ce qu’une vingtaine de personnes aient été tuées par un attentat à la bombe sur un marché dans la ville de Maiduguri, dans le nord-est du Nigeria. L’engin explosif était attaché  à une fillette, âgée d’une dizaine d’années…

    Alors, n’en déplaise à Nicolas Sarkozy qui le déplorait ce matin au micro de Jean-Michel Apathie sur RTL, la banderole déployée par les supporters de Bastia lors de leur dernière rencontre avec le PSG a sa part de vérité : «Le Qatar finance le PSG…et le terrorisme ».

    Wallerand de Saint-Just notait que «la société française actuelle  est très compassionnelle et médiatique». Il a raison et tout est d’ailleurs fait pour maintenir nos compatriotes dans ce climat, cette camisole psychique là, faire en sorte qu’ils utilisent leur cerveau reptilien plutôt que leur néocortex. Faites nous confiance brave gens,  nous avons les solutions et n’écoutez pas les oiseaux de mauvais augure qui veulent vous réveiller de votre léthargie…. Mais au temps de l’émotion, doit succéder celui de la réflexion et de l’action, c’est cela qu’on attend d’un homme politique digne de ce nom.

    Nous voyons bien constate Bruno Gollnisch, les grosses ficelles de nos adversaires, des docteurs Morphine de l’Etablissement. L’exploitation qui se dessine d’ores et déjà des drames de la semaine passée pour nous vendre, sous le masque du sérieux, du  rassemblement transcourant des gens de bonne volonté, la nécessité de plus d’Europe bruxelloise (et pourquoi pas dans la foulée l’adoption du Grand marché transatlantique), de plus d’Otan, de plus de soumission, d’abandon de souveraineté, d’indépendance, de libertés au profit du Nouvel ordre mondial et de l’Empire, au nom de la lutte contre l’obscurantisme. Nous restons plus que jamais vigilants et ne baissons pas la garde.

    http://gollnisch.com/2015/01/12/ne-pas-etre-dupe-ne-pas-baisser-la-garde/

  • La marche républicaine des gogos et des bobos prépare le gouvernement mondial

    A l’avant, loin de la foule, la gouvernance mondiale.

     

    Le message est matraqué partout, digne d’un scénario d’Orwell. Les moutons croient marcher pour la liberté et valident Big Brother. Les moutons gobent que ce slogan prônerait le respect de tous alors qu’il reflète un syncrétisme qui prépare à la pensée unique.

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  • Comment le Système s’y prend-il pour récupérer un attentat terroriste ?

    Demain aura lieu la grande manifestation républicaine suite aux attentats qui ont eu lieu cette semaine et dans lesquels 17 personnes ont trouvé la mort, sans compter les terroristes abattus par la police. Cette manifestation rassemblera sans doute au moins un million de personnes à Paris et plusieurs millions si l’on ajoute les manifestations en Province qui auront lieu simultanément. Toute la France bien-pensante sera présente puisque sont déjà annoncés tous les partis (PC, PS, EELV, UMP, etc., le FN ne défilera qu’en province), mais aussi toutes les ligues de vertu (ligue des droits de l’homme, SOS Racisme, le CRIF, la Licra, MRAP,…), toutes les religions (l’église conciliaire, les Juifs, les musulmans, etc), des dirigeants étrangers (les principaux dirigeants européens tels Cameron, Merkel, etc.), mais aussi des dirigeants venus d’autres continents, tel Avigdor Lieberman qui représentera Israël. Ne manquera qu’Obama, mais soyons certains qu’il se fendra d’un communiqué de soutien depuis la Maison Blanche.

    Le but de cette marche ? Réaffirmer les valeurs républicaines (entendre les valeurs voulues par les mondialistes), tels le « vivre ensemble » ou l’immigration sans limite, suite à un attentat terroriste qui pourrait leur faire de l’ombre.

    Bref, le but est de nous faire oublier que les terroristes qui ont agi cette semaine appartiennent à une religion bien précise, religion totalement étrangère à l’Europe. Dans la manifestation de demain, on ne rappellera pas que les mots prononcés par les terroristes après le carnage de Charlie Hebdo furent : « On a vengé le prophète », qu’ils ont fréquenté des mosquées soi-disant modérées (les frères Kouachi ont longtemps fréquenté la mosquée de Gennevilliers, c’est-à-dire, soit dit en passant, la même qu’a fréquenté la chanteuse Diam’s). Ces vérités seront tues. Tout ça pour servir les intérêts des mondialistes et endormir le bon peuple afin de continuer à islamiser l’Europe, à continuer à construire toujours plus de mosquées, à céder toujours plus aux revendications communautaristes, alors que la réaction saine eut été de rappeler que cette religion n’a rien à faire sur notre continent, qu’elle y est totalement étrangère et que depuis son introduction elle apporte plus d’ennuis qu’autres choses à notre pays, comme le montrent les affaires précédentes (Merah, Nemmouche –entre autres-) et aujourd’hui, donc, ces attentats. Dans la manif de demain, on ne dira surtout pas que tous ces problèmes n’existeraient pas s’il n’y avait pas eu l’immigration massive de ces 40 dernières années. Ce sera finalement la manifestation des bisounours qui feindront de ne pas comprendre ce qui s’est passé cette semaine, le tout étant évidemment orchestré par les élites mondialistes, élites pour leur part conscientes de la réalité et qui osent tout. D’ailleurs, il est assez cocasse que la plupart des dignitaires musulmans manifesteront côte à côte avec Avigdor Lieberman, dirigeant d’extrême-droite en Israël, dans le but d’affirmer « le vivre ensemble » (sic) quand on sait comment ce pays ce comporte avec les Palestiniens, qui sont, eux, sur leur propre sol en Palestine. Mais, on le sait, le sort des Palestiniens n’est pas la priorité des mondialistes, bien au contraire…

    On voit donc que le Système sait très bien récupérer tous les événements, y compris ceux qui a priori pourraient lui être hostiles. C’est toujours de la même façon qu’il agit. Pour notre part, afin de montrer notre réprobation au terrorisme, tout en montrant que nous ne sommes pas dupes, nous faisons nôtre le bon mot de Jean-Marie Le Pen et demain nous serons « Charlie Martel ».

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    PS : On lira très avantageusement dans Rivarol de cette semaine un article de Jim Reeves qui montre comment le Système a récupéré la prise d’otage en Australie qui a eu lieu il y a moins d’un mois. Alors que, comme la France cette semaine, ce pays a été sidéré – cela ne s’était jamais vu là-bas -, et alors que le terroriste est un immigré mahométan, au final il se trouve foultitudes de bisounours qui se disent solidaires… des musulmans.

    article du 10 janvier 2015

     http://www.contre-info.com/comment-le-systeme-recupere-un-attentat-terroriste#more-36214