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magouille et compagnie - Page 2196

  • L’écotaxe cristallise les tensions en Bretagne où la révolte gronde

    La grogne des Bretons contre l’écotaxe est montée d’un cran lors d’une manifestation à la violence sans précédent, samedi dans le Finistère, et les opposants se sont donné rendez-vous samedi prochain à Quimper pour un rassemblement qui s’annonce comme le point culminant de la mobilisation.

    Moins de 24 heures après les affrontements qui ont fait une dizaine de blessés aux pieds du portique écotaxe de Pont-de-Buis, le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll a assuré dimanche avoir “parfaitement entendu” et “parfaitement compris” le message exprimé par les manifestants.

    Sur France 5, le ministre a affirmé qu’il remettrait des propositions au Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, lundi, comportant notamment des mesures pour l’agriculture et pour l’agroalimentaire. “Je ferai des propositions qui tiennent compte de ce que j’ai entendu et en même temps de ce que je sais être la situation en Bretagne et ailleurs“, a-t-il détaillé. Interrogé sur la possibilité d’augmenter la détaxe de 50% accordée à la Bretagne, M. Le Foll a estimé qu’il s’agissait d’”une bonne piste de réflexion“.

    Les manifestants avaient annoncé la couleur en se rendant samedi devant le dernier portique écotaxe finistérien encore en état de fonctionner coiffés de bonnets rouges, symbole de la révolution antifiscale en Bretagne sous l’Ancien Régime.

    Ils étaient un millier, au bas mot, avec 250 camions, des tracteurs aux remorques pleines de dizaines de tonnes de choux-fleurs, d’œufs, de bottes de paille et de pneus qu’ils ont enflammés.

    Les manifestants se sont heurtés à 150 gendarmes mobiles, renforcés en fin de journée par plus d’une centaine de CRS. “On fera tout, dans la limite du raisonnable, pour empêcher la destruction de ce portique“, a affirmé dimanche à l’AFP le préfet du Finistère, Jean-Luc Videlaine.

    Lors des affrontements, un manifestant a été grièvement blessé et deux autres légèrement, et côté gendarmes on dénombre six blessés légers, a-t-il précisé.

    C’est la première fois que ces manifestations contre l’écotaxe, qui durent depuis plusieurs mois en Bretagne, atteignent un tel niveau de violence. Dans les rangs des manifestants, on ne parlait même plus de manifestation mais de “révolte“.

    En Bretagne, depuis début août, trois portiques ont déjà été rendus inopérants, dont un abattu.

    Mais l’écotaxe cristallise aujourd’hui toute la grogne des Bretons qui voient l’agriculture et l’agroalimentaire, piliers de leur économie, s’effondrer, et les plans sociaux se multiplier comme chez le volailler Doux ou plus récemment chez Gad SAS où plus de 800 emplois ont été détruits.

    Les élus bretons, même socialistes, ne sont pas en reste pour demander au gouvernement de revoir sa copie sur l’écotaxe, ou tout bonnement son annulation. Le député PS du Finistère, Jean-Jacques Urvoas, a réitéré dimanche sur I>TELE la demande d’”ajournement” de l’écotaxe pour cette région que réclament “l’ensemble des députés de Bretagne et les collectivités bretonnes à majorité socialiste“.

    Si le gouvernement a promis de possibles ajustements d’ici la mise en service de l’écotaxe poids lourds, qui doit entrer en vigueur au 1er janvier, et un rabais de 50% pour la Bretagne, il refuse cependant de céder sur sa date de mise en application.

    Elle est prévue pour le 1er janvier“, a ainsi réaffirmé dimanche sur Europe 1 le ministre de l’Économie et des Finances, Pierre Moscovici, tout en ajoutant : “Nous entendons qu’il y a des crispations, voire des colères, des inquiétudes. C’est la raison pour laquelle nous avons fait des adaptations“.

    L’ex-ministre UMP Xavier Bertrand a appelé à “suspendre” l’entrée en vigueur de l’écotaxe prévue au 1er janvier 2014 “partout” en France, estimant sur “BFM Politique” RMC-Le Point que son application était en l’état “impensable“.

    Je comprends leur colère et je comprends qu’ils manifestent“, a commenté de son côté sur France 3 Marine Le Pen, présidente du Front national (FN).

    AFP (via La Dépêche)

    http://fortune.fdesouche.com/330417-lecotaxe-cristallise-les-tensions-en-bretagne-ou-la-revolte-gronde#more-330417

  • Libé, 40 balais et quelques casseroles

    Libération s'autocélèbre à l'occasion de ses 40 ans, en publiant un livre... qui fait glousser Marianne :

    Libé

    "Le 18 avril 1975, tandis que les Khmers rouges commencent à déporter l'entière population de Phnom Penh, Libération choisit de saluer avec enthousiasme l'entrée de ses frères « révolutionnaires » dans la capitale cambodgienne. Etrangement, on ne trouve aucune trace de cette une historique - « Phnom Penh : sept jours de fête pour une libération » - dans le livre collectif que Flammarion publie pour les 40 ans du journal. Qu'importe ! On sait tous que Libé a toujours raison, même lorsqu'il écrit une chose et son contraire, ou qu'il troque le maoïsme sénile de Sartre pour le sweat-capuche de Demorand.

    Libé a donc 40 ans (pardon, « 40 balais ») et il a tout compris à l'art de l'anniversaire réussi, s'offrant une autoapologie grand format sur papier luxueux, histoire de mieux célébrer son propre génie visionnaire... A l'adresse des grincheux et des bouseux qui en douteraient encore, ce « roman d'un journal, récit d'une époque », cherche donc à nous persuader que Libé est un « intellectuel collectif » depuis toujours à l'avant-garde de la dénonciation des « injustices, oppressions, violations», à jamais détenteur de la «liberté de [ses] choix éditoriaux »..."

    Les lecteurs de Libé ne lui font pas de cadeau : au premier semestre, les ventes en kiosque ont chuté d'un tiers par rapport à l'année précédente.

    Louise Tudy

  • PEA, PEL, assurances-vie : l’Etat socialiste s’attaque sauvagement à l’épargne des Français

    MAJ 27/10/13 : devant l’émoi suscité par cette loi, le ministre du Budget Bernard Cazeneuve a annoncé dimanche que le gouvernement allait extraire les plans d’épargne en actions (PEA), plans d’épargne-logement (PEL) et épargne salariale. Mais d’autres formes d’épargne restent frappées, et surtout, la préparation des esprits se poursuit.

    Les députés ont voté mercredi une hausse brutale du taux de «prélèvements sociaux », à 15,5 %, pour certains contrats d’assurance-vie, les plans d’épargne en actions (PEA) et plans d’épargne logement (Pel).

    Ils ont décidé que cette mesure s’appliquait dès le 26 septembre (avant le vote donc, pour empêcher les gens de réagir), sur les placements faits à partir de 1997 !
    Il s’agit donc bien d’une mesure rétroactive, prenant au piège les Français qui ont pu épargner .

    Ils n’osent pas encore taper directement dans les comptes bancaires, mais on y vient par étapes.

    Une mesure scandaleuse et injuste à l’encontre du peuple, votée par 64 voix contre 22 (sur 577 députés, payés une fortune)…

    Le gouvernement espère ainsi extorquer au peuple 600 millions d’euros.

    Le prétexte évoqué cette fois est le fameux trou de la sécurité sociale (creusé par l’Etat en bonne partie au profit des étrangers).

    Tiens, c’est le même montant que l’Aide médicale d’Etat (AME), versée gracieusement à tous les clandestins qui entrent en France en violant la loi !
    Ca nous rappelle aussi les 500 millions d’euros d’aide à la Tunisie islamisée promis par François Hollande en juillet dernier !

    Ou encore, la dette actuelle de l’Algérie antifrançaise envers la France, et qui s’élève à … 600 millions d’euros !

    http://www.contre-info.com/

  • Les Sentinelles reviennent sur leur action au domicile de Manuel Valls

    Sentinelles devant l'Elysée (c) cliché les Sentinelles

    Sentinelles devant l’Elysée
    (c) cliché les Sentinelles

    Via un communiqué de presse, les sentinelles ont tenu à apporter un éclairage suite à leur action au domicile de Manuel Valls mais aussi sur leurs motivations:

    « Vendredi 25 octobre soir onze Sentinelles sont allées monter la garde devant le domicile du ministre de l’Intérieur.

    Un important dispositif policier a immédiatement été mis en place et a chassé les Sentinelles.

    Quelques heures auparavant, place Vendôme, l’horloger Blancpain était victime d’une tentative de cambriolage (Le Parisien édition en ligne du 26 octobre 2013). Il s’agit du troisième acte de grand banditisme place Vendôme en quelques semaines, mais la Police préfère s’intéresser en priorité aux Sentinelles pourtant totalement pacifiques, postées devant le ministère de la Justice.

    Rappel historique :

    Le 31 août dernier la Préfecture de police de Paris a intimé l’ordre à un malheureux commissaire de police d’organiser une conférence de presse improvisée sur le Parvis de la Défense, pour rappeler l’arrêté préfectoral interdisant à la Marche des Veilleurs de se rassembler à la Défense, de rejoindre à pied la place de la Concorde et de s’y installer pour la dernière grande Veillée de la Marche.

    On connaît le succès de cet arrêté : les Veilleurs se sont rassemblés sur le Parvis de la Défense, ont rejoint à pied la place de la Concorde, et s’y sont retrouvés à plus de cinq mille pour la Veillée.

    C’est lors de cette Veillée que les Veilleurs Debout ont annoncé leur décision d’adopter leur nouveau nom de « Sentinelles ». Tous les mouvements spontanés et indépendants issus de La Manif Pour Tous cultivent une profonde solidarité. Et les Veilleurs Debout souhaitaient témoigner ainsi de leur volonté de ne pas brouiller l’image des Veilleurs en se distinguant mieux par un nom différent.

    Le mot « Sentinelles » avait en outre pour objet de faciliter l’internationalisation du mouvement.

    (c) cliché Les Sentinelles

    (c) cliché Les Sentinelles

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  • Ecotaxe : le feu sous la Breizh

    Le gouvernement a reporté au 1er janvier 2014 l'application (complexe et coûteuse) de l'écotaxe, cette transposition d'une directive européenne votée à l'unanimité par l'UMP et le PS en 2009. Il a promis un abattement de 50 % aux Bretons en raison de leur éloignement géographique. Exempté la route nationale 164 ainsi que les départementales et les communales. Mais les exploitants et transporteurs agricoles bretons, qui étaient un millier à manifester hier à Pont-de-Buis (Finistère), ne lâchent rien :

    Bretagne 3

    "Les manifestants, dont certains encagoulés, ont lancé l'assaut peu après 14h [hier], jetant des pneus en feu et d'autres projectiles, provoquant une réplique de lacrymogènes. Au milieu des fumées, des tracteurs se sont dirigés vers le barrage des forces de l'ordre, arrachant les traverses de la voie express. Des scènes de guérilla ont alors commencé sur les collines qui entourent le portique avec plusieurs blessés à déplorer du côté des manifestants, dont un homme qui a eu la main arrachée et a été évacué par hélicoptère, selon les pompiers. La préfecture du Finistère faisait état de deux blessés du côté des manifestants.

    L'autre cible des manifestants : le dernier des trois portiques écotaxe du Finistère encore en état de fonctionner. Les manifestants avaient déjà tenté de s'en prendre à ce portique il y a une semaine, en vain. Cette fois ils étaient venus en force avec environ 250 camions, des tracteurs et des remorques pleines de pneus, de choux-fleurs et de bottes de paille, selon la police.
    Ils avaient par ailleurs enfilé des bonnets rouges, 900 en tout, distribués par les organisateurs, le symbole de la révolution antifiscale en Bretagne au XVIIe siècle, sous l'Ancien Régime."
    Le portique a tenu bon. Suite le 2 novembre, avec un nouveau rassemblement à Quimper.

    Louise Tudy

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les Français refusent l'ouverture à gauche et ne sont pas dupes sur l'immigration

    Déjà, ils avaient été déçus par l'ouverture à gauche effectuée par Nicolas Sarkozy, qui en a payé le prix en 2012.

    Aujourd'hui, ils veulent que les Verts quittent le gouvernement. La droitisation se poursuit.

    Michel Janva


    Lu ici :

    "Si sept Français sur dix veulent une réforme du droit du sol, 76 % pensent que la proposition de Copé est une manoeuvre électoraliste."

    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les millions d’euros gaspillés par les mairies en congés supplémentaires offerts à leur personnel

    Didier Migaud, premier président de la Cour des comptes, a publié un intéressant rapport sur les collectivités locales.

    A six mois des élections municipales, il signale bien des dérapages commis par des maires.

    Ainsi à Toulouse, un régime particulier accordant des jours de congés supplémentaires aux employés de mairie  a coûté 8,6 millions d’euros pour l’année 2009. Et pour remplacer les agents en congés, la ville a du faire appel à 272 équivalents temps plein.

    A Strasbourg, le rapport constate que les jours de congés supplémentaires offerts aux employés de mairie ont coûté la bagatelle de 6 millions d’euros pour la seule année 2010 et que l’absentéisme pour maladie ordinaire y représentait l’équivalent de 378 emplois pour cette même année !

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  • Parlement européen : vote symbolique et basculement de civilisation

    Ce qui vient de se passer au Parlement européen est significatif d’une évolution culturelle profonde, et il me semble important de bien saisir la portée d’un évènement dont les médias n’ont pratiquement pas parlé.

    Mardi 22 octobre 2013, arrive en discussion plénière à Strasbourg une proposition de résolution préparée de longue date par la « commission des droits de la femme et de l’égalité des genres ». Le texte vise à faire la promotion, en Europe et dans le monde, des « droits sexuels et génésiques » (au passage, ces expressions révèlent que l’Europe est déjà très imprégnée du vocabulaire « Gender » qui se déploie dans les instances internationales depuis 10 ou 15 ans).

    Au moment de passer au vote, cette proposition de résolution fait alors l’objet d’un débat court mais animé. Un député demande d’emblée le renvoi en commission, considérant qu’il n’y a pas de position majoritaire sur ce texte controversé. Il demande ainsi que le texte ne soit pas soumis au vote, mais qu’il soit retravaillé dans la commission compétente, ce qui prendra sans doute plusieurs mois. S’en suit plusieurs rebondissements de procédure : la présidente de séance refuse au départ de faire voter sur la motion de renvoi en commission, puis commence à faire voter un amendement, puis se ravise et fait voter sur cette motion de renvoi à main levée ; devant l’incertitude du résultat, elle  décide de procéder à un vote électronique, qui donne 351 voix pour le renvoi en commission et 319 voix contre. Le président de la commission concernée et la rapporteure du texte sont furieux, étant auparavant persuadés que leur résolution serait votée sans difficulté.

    Comment expliquer ce revirement ? D’abord à cause du contenu du texte, qui traitait en majorité de sujets qui ne relèvent pas de la compétence de l’Union européenne. Au sein du Parlement européen, certaines minorités actives cherchent à obtenir des prises de position en leur faveur, qui serviront ensuite pour faire pression sur les Etats et obtenir des lois qui leur conviennent. C’est le cas de la promotion systématique de l’avortement, avec le paradoxe de la condamnation par ailleurs (résolution du 8 octobre 2013 sur le généricide : les femmes manquantes ?) des pays qui pratiquent l’avortement sélectif des fœtus féminins. C’est aussi le cas  de l’ouverture de la PMA aux couples de femmes homosexuelles, question si controversée en France depuis un an : il faudrait ainsi inviter « les Etats membres à permettre également aux femmes célibataires et lesbiennes de bénéficier de traitements de fertilité et de services de procréation médicalement assistée » (§8). Autre exemple : « l’éducation sexuelle doit inclure des informations non discriminatoires et donner une image positive des personnes LGBTI, afin de soutenir et de protéger effectivement les droits des personnes LGTBI » (§53). Une majorité de parlementaires européens a valablement considéré que ce n’était pas le rôle de l’Europe d’aller dans ce sens.

    Mais il y a plus, en particulier pour la France. A mon sens, cet épisode est significatif de l’évolution culturelle qui prend de l’ampleur depuis la « réforme de civilisation » de Mme Taubira. De très nombreux citoyens refusent désormais de subir passivement des évolutions sociétales qui ne leur conviennent pas. Alertés par diverses associations, ils ont appris très tardivement le contenu de la proposition de résolution. Eux qui d’habitude se contentent de soupirer ou maugréer, pensant qu’il n’y a rien à faire, se sont alors mobilisés en quelques jours, en particulier pour écrire à leurs députés et attirer leur attention sur les dangers du texte européen. Ils leur ont dit qu’ils tiendraient compte de leur position à Strasbourg, quand il s’agira de voter pour les élections du Parlement européen le 25 mai 2014. Nul doute que des députés se sont sentis confortés pour défendre leurs convictions profondes, ou pour approfondir un sujet dont ils n’avaient peut-être pas mesuré toute l’importance !

    Le vrai « basculement de civilisation », il est sans doute là. Il mettra des années à s’affirmer pleinement, comme les idées de mai 1968 ont aussi mis une ou deux générations pour imprégner toute la société, en positif comme en négatif. Aujourd’hui, une majorité de Français ne se retrouve pas dans les excès condamnables d’une conception trop libérale-libertaire de la société. Mais ce qui a changé en un an, c’est qu’ils sont de plus en plus nombreux à ne plus vouloir rester passifs. Ils veulent promouvoir un « vivre ensemble » qui valorise mieux le respect dû à l’enfant, la complémentarité homme-femme, la solidité des familles, l’attention aux plus fragiles du début à la fin de vie, la solidarité effective avec les personnes isolées en précarité… ces valeurs qui donnent tout son sens au mot le plus oublié de notre devise républicaine, le mot fraternité.

    http://www.alliancevita.org/?p=12637&preview=true

  • L'idéologie du genre : Najat Vallaud-Belkacem démasquée

    Un lecteur me signale un entretien donné par Najat Vallaud-Belkacem en août 2011, dans lequel elle déclare :

    "La théorie du genre, qui explique «l'identité sexuelle» des individus autant par le contexte socio-culturel que par la biologie, a pour vertu d'aborder la question des inadmissibles inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ou encore de l'homosexualité, et de faire œuvre de pédagogie [comprendre propagande, NDMJ] sur ces sujets."

    Et la même, le 6 juin 2013, sur son site :

    "La théorie du genre n’existe pas !"

    Depuis, on constate que le mot « genre » n’apparait dans plus aucun texte officiel. Alors qu’auparavant ils en étaient truffés :

    Michel Janv

  • Exclusif. Armées : l’effet choc des Sentinelles de l’Agora

    Armées. Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, s’inquiète de l’impact du message des Sentinelles de l’Agora, ce groupe d’officiers généraux et supérieurs qui sonnent l’alarme sur "le déclassement de nos armées" (Valeurs Actuelles du 10 octobre).

    Médiatisé par l’une de ses figures de proue, le général Jean-Claude Thomann, ce groupe va maintenant rendre public la quarantaine de noms qui l’anime. On y retrouve les plus éminents commandeurs de nos armées de ces vingt dernières années. Les Sentinelles ne désarment pas et annoncent de nouveaux documents, en liaison avec l’ASAF (Association de soutien à l’armée française) du général Henry Pinard Legry, devenue en quelques années le principal ’lobby" de défense de l’institution militaire. Le Drian a donc décidé de multiplier ses "immersions" dans les forces, pour prendre le pouls de l’active. Il réclame à ses services des visites plus longues et un contact plus direct avec les militaires, pour "libérer la parole" et mieux faire remonter les informations. [...]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Exclusif-Armees-l-effet-choc-des