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magouille et compagnie - Page 2192

  • Le troisième sexe

    Simone de Beauvoir avait-elle imaginé que la déviance de l'existentialisme conduirait à l'invention d'un troisième sexe ? Depuis aujourd'hui, les nouveaux-nés allemands hermaphrodites peuvent être inscrits sans mention de leur sexe sur leur état civil. Un premier pas vers la création d'un genre neutre (ou "intersexe"), la maladie n'étant qu'un prétexte pour imposer un nouvel avatar de la théorie du genre. Explications de l'Homme nouveau :

    "Certains enfants naissent « hermaphrodites », victimes d’une malformation physique qui fait que le bébé n’a pas de sexe biologique déterminé. Une épreuve terrible pour l’enfant et la plupart des parents que quelques discours imprégnés de la théorie du Genre n’aident pas à affronter la terrible réalité. Que faire ? Imposer à l’enfant un sexe déterminé ? Décider pour lui, parce que l’humanité est ainsi structurée et la vie en société avec elle, qu’il sera fille ou garçon et l’opérer en conséquence ? La difficulté est immense et les parents savent que quelque soit le choix qu’ils imposeront à ce bébé, il grandira avec une blessure profonde, comme tout autre personne née malade ou victime d’une malformation.

    En Allemagne entre en vigueur aujourd’hui une loi instituant un genre « neutre », qui fait suite à une déclaration de la Cour suprême reconnaissant à chaque individu le droit de vivre selon son « genre ressenti et vécu ». Le législateur entend répondre ainsi au problème de ces personnes dites « hermaphrodites » ou intersexuées, la loi n’autorisant pas pour l’instant les personnes sexuées normalement à faire usage de ce troisième genre. Nul doute que la France ira dans le même sens à plus ou moins long terme. En attendant, l’Allemagne vient de légiférer à partir d’une exception, de reconnaître l’hermaphrodisme comme un genre à part entière : le législateur considère donc la maladie – puisqu’il faut appeler les choses par leur nom – comme fondatrice de l’identité de la personne. Plus encore, si l’Allemagne entend aller jusqu’au bout de sa logique, il faudra ouvrir la possibilité de se déterminer comme neutre à tout le monde. Une personne née homme peut tout à fait se sentir un peu femme et un peu homme et revendiquer, au nom du « genre ressenti » qui fonde désormais la loi, de changer de genre administratif.

    Une véritable mascarade juridique qui, au delà de sa gravité sur le plan moral, rendra la vie en communauté de plus en plus complexe. Puisque l’on a imposé au nom de la parité des quotas de femmes aux entreprises, il faudra imposer aussi des quotas de « neutres ». Et tant pis pour les patrons qui refusent ce genre d’aberrations. Les choses pourraient être d’autant plus rocambolesques que le genre étant désormais fluctuant, un « neutre » pourra un beau jour se déclarer « femme » et bouleverser la politique de recrutement de l’entreprise. Cela aura le mérite de créer de l’emploi en psychologie et ressources humaines. Que les chantres de l’égalitarisme et du constructivisme réfléchissent également au congé « neutranité » qu’il faudra accorder en plus des congés paternité et maternité. Que les professionnels de la mode travaillent dès maintenant à la conception de collections neutres, que l’on s’empresse aussi d’installer dans les lieux publics des toilettes pour le troisième sexe et des piscines spéciales à Lourdes. Enfin, puissent les académiciens se mettre au travail au plus vite pour réformer la grammaire et créer un genre neutre.

    Bienvenue dans un Occident décadent, fier de retourner à l’état embryonnaire de l’indifférenciation sexuelle."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/le-troisi%C3%A8me-sexe.html

  • L’autorité du gouvernement affaiblie par ses reculades à répétition

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) - Les rétropédalages du gouvernement semblent devenir une habitude : après le revirement sur le projet de taxes sur les plus‑values grâce à l’action du collectif des « pigeons » ; le projet mort‑né de taxe sur l’excédent brut d’exploitation ; l’annulation de la réforme de la taxation sur les PEA et PEL annoncée par voie de presse ou dans un autre domaine le cas Leonarda, ce revirement sur l’écotaxe est une énième manifestation du manque d’autorité du gouvernement.

    Le gouvernement ne semble désormais plus tenir sa majorité parlementaire. La décision du Premier ministre de suspendre la taxe poids lourds avait été annoncée par le député PS Jean‑Jacques Urvoas avant même qu’il ne prenne la parole.

    C’est sous la pression des députés et des élus locaux que le gouvernement a cédé. De là penser qu’il craignent de perdre leurs sièges aux prochaines élections, à commencer par les municipales de mars 2014…

    L’affaire Leonarda a montré la fragilité de l’autorité du président de la République. L’intervention télévisée de François Hollande pour une telle histoire est apparue disproportionnée et ridicule. Il y avait fait la proposition, juridiquement incertaine, de laisser Leonarda Dibrani rentrer en France. Or sa proposition a immédiatement été contestée par Harlem Désir, premier secrétaire du parti socialiste, et d’autres caciques de la gauche. Plus encore, c’est la méthode même du président qui est mise en question et laisse perplexe ses conseillers élyséens, victimes des revirements permanents de la tête de l’exécutif, évoquant « un président à la fois solitaire et accessible (trop ?) qui ne sait pas dire non, entretient le flou et l’ambiguïté, jusqu’au dernier moment, au risque d’« insécuriser » toute la chaîne de commandement » (Le Figaro, 29 octobre 2013).

    Les reculades permettent‑elles de calmer la contestation ? Rien n’est moins sûr : la manifestation contre l’écotaxe prévue demain samedi à Quimper est maintenue. Pour le responsable d’extrême gauche Olivier Besancenot, « face à un rapport de force, le gouvernement peut faire machine arrière ». Dans le même registre, la CGPME a déclaré dans un communiqué que toute nouvelle taxe mise en place par le pouvoir connaîtrait le même sort que l’écotaxe. Par ses renoncements multiples, le gouvernement laisse entendre que toute contestation peut déboucher sur une victoire. Le pouvoir de la rue semble avoir de beaux jours devant lui.

    http://fr.novopress.info/143593/lautorite-du-gouvernement-affaiblie-ses-reculades-repetition/#more-143593

  • La rançon des otages ou le secret de Polichinelle

    La libération de quatre Français captifs des Barbaresques ne peut que réjouir leurs familles et rassurer les cœurs sensibles. Bon public on ne saurait s'en inquiéter sans passer pour un monstre, un odieux caillou dans l'omelette.

    Pourtant le devoir civique du chroniqueur l'oblige à s'interroger. Et dans notre époque de surinformation immédiate, on se trouve dès lors contraint à un exercice désagréable, avant même que le joyeux soufflé soit retombé.

    Nos maîtres classiques nous avaient appris à nous défier, peut-être même à rire, du "commentaire de commentaire" dans lequel sombrait la pensée scolastique. Il est devenu hélas impossible de ne pas s'y investir aujourd'hui.

    Ainsi les sondages en rafale façonnent-ils l'opinion qu'ils prétendent décrire. Ils nous disent ce que les Français pensent : gare à vous par conséquent mauvais citoyens si vous ne partagez pas l'avis des majoritaires.

    De la sorte l'équation "otages libérés" = "joie dans les chaumières" ne saurait souffrir de contestation.

    La cote de nos gouvernants continue-t-elle de baisser ? Aucun rapport bien sûr. Et le petit peuple refuserait de se faire berner par les "bonnes nouvelles" d'un soir au journal télévisé de 20 heures ?

    Allons donc : avec de tels sous-entendus vous allez faire baisser le prix des annonces publicitaires aux heures de grande écoute. Vous risquez inquiéter les marchés. Vous vous employez à retarder l'arrivée de la reprise : la croissance n'est-elle pas supposée franchir demain les frontières que le nuage de Tchernobyl n'a jamais pu surmonter ?

    La vérité, nous la connaissions déjà : le pouvoir recule sur tous les fronts, sauf sur l'esbroufe, sur le mariage pour-tous-sauf-pour-le-couple-présidentiel ou sur les taxations symboliques inventées le 27 février 2012 et qu'aucun économiste ne prenait alors au sérieux.

    Et puis voila qu'un énorme pavé a été lancé dans cette mare. Pas par le "Canard Enchaîné", pas par "Minute", mais par "Le Monde". Le quotidien de référence affirme à l'indicatif qu'une rançon a bel et bien été versée. Elle se monterait à quelque 20 millions d'euros. De quoi acheter aux mafieux albanais un bon paquet de kalachnikov A-47 pour le petit noël des ravisseurs. Un très bon outil de travail, un investissement fructueux, une promesse de dividendes qui sera sans doute tenue.

    À ce stade, les démentis ne servent plus à rien, sauf à enfoncer un peu plus les dé-menteurs.

    Gros malin, Fabius affirme le 30 octobre "qu'aucun argent public" n'a été déboursé. Seul le groupe Areva semble dès lors susceptible d'avoir ainsi subventionné les islamo-terroristes, soudoyé les intermédiaires et succombé au chantage. Mais enfin qu'est-ce qu'Areva sinon une filiale à 69 % du Commissariat à l'Énergie Atomique, 14 % à l'État, 2 % à EDF, soit un capital public à 85 %.

    Pis encore Mme Guigou, élue en Seine-Saint-Denis, présidente socialiste de la commission des affaires étrangères de l'Assemblée nationale déclarait ce 31 octobre (1)⇓ : "Nous pensons que c'est logique qu'il y ait des secrets d'État."

    Mais Fabius, comme Guigou, comme Hollande, jurent la main sur le cœur, comme les chiites iraniens et les francs-maçons du Lot-et-Garonne : "pas de rançon", "la France bla-bla-bla" etc.

    Qui donc peut les croire ? Leurs nez remuent.

    Remercions Guigou d'avoir, sans l'avoir voulu, lâché le morceau. Elle admet qu'en négociant avec les ravisseurs, on a nécessairement dû concéder une "contrepartie."

    Or, quelles que puissent se révéler ces "contreparties", elles se valent toutes, non seulement dans la lâcheté, mais dans l'encouragement à de futurs enlèvements.

    Si on sait que les dirigeants parisiens, par pure veulerie, cèdent toujours, pourquoi se gêner.

    Il convient donc de rendre hommage à Diane Lazarevic, fille d'un otage qui, lui, n'a pas été récupéré. Elle intervenait ce 30 octobre. (2)⇓ Certains ont cherché à mettre en exergue et ne retenir seulement que la distinction entre ceux qui bénéficient d'une "grosse société" et les petits, dans le cas de son père un modeste entrepreneur que personne ne soutient. Encore une manière de laisser entendre que "c'est la faute au capitalisme", etc. On aurait pu dire aussi dans le cas d'Areva qu'il s'agit d'un groupe de l'État, etc. Polémiques éventuellement stériles.

    Son propos le plus courageux se situait sur un autre terrain. Il consistait à dénoncer le scandale des négociations en elles-mêmes, de dire qu'elle ne voulait ni du paiement d'une rançon, ni de la libération d'autres terroristes, pour les raisons exposées plus haut.

    Mais cela ne sera certainement pas mis en valeur dans les archives.

    On comprenait d'ailleurs un peu mieux à l'entendre combien il ne faut pas plus croire un fonctionnaire du quai d'Orsay, qu'un ministre de la république sur paroles, pas plus qu'il ne faut céder au chantage.

    Les islamo-terroristes le savent : certains pays cèdent et payent pratiquement toujours. D'autres jamais.

    Il vaut donc mieux enlever les gens les plus innocents possibles dès lors que l'on sait que leur gouvernement s'aplatira comme une grosse crêpe.

    Un passeport français loin de se révéler une garantie de protection, voire de vengeance, loin de représenter le Civis romanus sum de l'Antiquité, devient dès lors un facteur aggravant du danger. Merci qui ?

    JG Malliarakishttp://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1 sur Radio classique à 8 h 20.⇑
    2 dans l'émission "C dans l'air".⇑

  • Le vieillard, une figure à abattre ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Christian Combaz, cueilli sur Atlantico et consacré au vieillard, comme figure symbolique de l'ordre patriarcal à abattre... Romancier, Christian Combaz a récemment publié Gens de Campagnol (Flammarion 2012), une chronique villageoise, nourrie par son observation attentive de la société. Qui tient tant à tuer la figure du vieillard ? Les gens irrités par la publicité récente où l'on voit un vieux monsieur, tout animé par la convoitise et l'égoïsme, faire trébucher sa femme, à coups de canne, sur le chemin d'un paquet de chips, ont bien raison de soupçonner ce film de manquer d'innocence : il s'agit de compromettre, dans l'esprit de la ménagère de moins de cinquante ans, l'image du vieillard qui résiste à ses pulsions, qui doute et qui reste digne au milieu de la folie consumériste. Nous le voyons donc saliver, s'agiter, pratiquer la ruse et la méchanceté, et sa femme ne vaut pas mieux que lui. Un autre exemple nous est fourni par le patriarche rouspéteur qui résiste à sa fille et à son épouse au moment d'acheter un forfait de téléphonie mobile. La production a imaginé pour lui le châtiment suprême : son chien le prend pour un crétin et se livre devant lui à une explication de texte. On peut également citer le vieux couple de Scènes de ménage, dont la puérilité et la vulgarité vous dissuaderaient, en moins d'une saison, d'atteindre l'âge de la retraite. Il est permis de croire que tout cela est le fuit du hasard mais rien n'interdit de penser le contraire. Par exemple l'omniprésence, sur nos écrans, de cet acteur barbu et lunetteux de la publicité SFR qui est désormais l'emblème du patriarcat dépassé, de la masculinité larguée, de la prétention bousculée, répond à une nécessité, celle de faire trébucher l'un des derniers bastions du pouvoir en Occident : le prestige de l'âge. Il y a trente ans, déjà, les adultes n'avaient pas bonne presse. Une génération plus tard il n'y a plus une plage de publicité qui ne comporte la descente en flammes d'un adulte au bénéfice de l'omniscience de ses enfants. Peu à peu, la première source de nullité et d'ignorance dans le foyer est devenue le père, qui n'est jamais au courant de rien, qui paye de mauvaise grâce, qui se comporte en macho, qui conduit trop vite, qui manque systématiquement de finesse, et qui se prévaut de qualités qu'il ne possède pas. Parallèlement on assiste à un déplacement du centre de gravité de la contestation domestique vers le camp féminin. Au début les petites filles haussaient les épaules avec leurs frères quand leur père ouvrait la bouche, ensuite ce fut principalement une conjuration mère-fille. Enfin, lorsque le grand-frère, le mari et le gendre ont été discrédités, on s'est attaqué au grand-père. La fadaise selon laquelle l'identité homme-femme résulte d'un conditionnement social sans fondement biologique en est le corollaire absolu. J'ai reçu, hier, le lien vers un blog nommé Homme, Culture, Identité dont je cite ici la dernière livraison : "L'idée qui fonde politiquement l'idéologie du genre professe que de tout temps la femme a été sous la domination de l'homme et qu'il est venu le temps de subvertir la société hétéro-patriarcale." Ce dernier terme illustre que, pour déconstruire la prétendue tyrannie des mâles sur les esprits, il faut s'attaquer à la clé de voûte, la cariatide classique, la lourde statue de l'ancêtre masculin. Du coup on le représentera sous les traits les plus frivoles et les plus détestables. Pour avoir publié il y a trente ans un Éloge de l'Age, souvent réédité mais à peine toléré, pour avoir été souvent agressé sur les plateaux, je témoigne que le thème reste sous la vigilance sourcilleuse des femmes, et je me plais à rappeler que Ségolène Royal publiait, la même année, chez le même éditeur, un livre appelé Le printemps des grands-parents, où elle illustrait une thèse exactement contraire à la mienne : il n'y a pas d'âge-limite pour se ridiculiser par la frivolité, la dignité du vieillard est une fable sexiste (on sent la fille de militaire), soixante ans est l'âge de toutes les audaces, etc. C'est une constante dans les sociétés décadentes comme celle du XVIIIème en France. A une période pré-révolutionnaire correspond toujours une mise en cause de l'image du vieillard classique. A une période révolutionnaire, un renversement des hiérarchies sur la base de ce discrédit préalable. La littérature libertine des Encyclopédistes est pleine de vieux financiers et d'ecclésiastiques qui n'ont rien à envier à la libido de Dominique Strauss-Kahn. Pour prévoir la suite de ce qui nous attend, il n'est donc probablement pas inutile de se pencher sur ce qui nous est arrivé : on a vu ressurgir un siècle plus tard le plus ardent, le plus délirant besoin d'autorité masculine qui se soit manifesté depuis l'Antiquité. La force a régné partout, et la figure du vieillard olympien a orné toutes les boîtes de gâteaux. Quand on voit le plébiscite dont les figures léonardiennes de Gandalf et Saruman (Le Seigneur des Anneaux) ont été l'objet il y a dix ans parmi la jeunesse de la planète, quand on mesure l'extraordinaire glorification de la force masculine que pratique, en ce moment-même l'heroic fantasy dans le dos des bo-bos féministes, on se demande si les théoriciens du genre et les pourfendeurs du patriarcat ont choisi les bonnes lunettes. Christian Combaz (Atlantico, 4 octobre 2013) http://fierteseuropeennes.hautetfort.com/archive/2013/10/31/le-vieillard-une-figure-a-abattre-5209610.html

  • Le CESE récompensé !

    Pour s’être moqué du peuple en refusant 700.000 pétitions et avoir montrer son inutilité constitutionnelle, le CESE ( le Conseil économique, social et environnemental) verra ses frais de fonctionnement augmenter de 500.000 euros en 2014. Cette hausse servira à payer les dépenses de personnel (156 agents ). On se moque de qui ? http://medias-presse.info/le-cese-recompense/

  • Dans la destruction de la famille, voici le "beau-parent"

    De Rémi Fontaine dans http://www.present.fr/ "Un enfant sur dix (11 %, soit 1 million et demi) vivait dans une famille recomposée en France métropolitaine en 2011, selon une étude de l’Insee diffusée la semaine dernière. [...] Ainsi, 1,5 million de jeunes de moins de 18 ans vivaient en famille recomposée en 2011 sur les 13,7 millions de Français de moins de 18 ans vivant alors en famille en France métropolitaine, écrit l’institut. [...] C’est sur ces chiffres encore minoritaires mais en lente et tragique progression que se fonde le projet de loi famille concoctée par Dominique Bertinotti pour proposer un statut de beau-parent, afin de « reconnaître des droits et des devoirs aux adultes qui élèvent des enfants qui ne sont pas les leurs ». Lorsque Nicolas Sarkozy y avait déjà songé en 2009, le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France avait alors justement dénoncé cette bonne intention dont l’enfer est pavé. En effet : « Si trois personnes ont une véritable autorité à l’égard de l’enfant, pourquoi pas quatre et plus, car il n’est pas garanti que la deuxième union des parents soit stable ? » On ne peut ainsi légiférer sur « toutes les situations qui découlent de l’instabilité de la cellule familiale » sans provoquer des « situations invivables ». Les évêques dénonçaient ainsi la finalité de ce projet de loi qui n’est « pas vraiment au bénéfice des enfants » malheureusement pris comme « otages dans les conflits conjugaux et les hostilités entre leurs parents eux-mêmes, ou entre leurs parents et leurs nouveaux ou leurs anciens conjoints »… Sous cette ingérence apparemment aimable mais indue dans l’exercice déjà délicat du partage de l’autorité parentale entre les parents séparés, ils désignaient également le cheval de Troie de cette mesure indigne de la politique : « Remplacer dans un texte de loi “père et mère” par “parents” est loin d’être anodin ! Il est particulièrement malvenu d’utiliser le détour de ce projet de loi, en brandissant l’argument du bien de l’enfant, pour introduire la possibilité d’étendre la responsabilité parentale au partenaire du même sexe que l’un des parents. L’étape suivante ne sera-t-elle pas d’autoriser l’adoption pour les personnes qui sont dans ces situations ? » Dans la dénaturation concertée du mariage et de la famille, tout se tient. En renfort du « pacs » et du « mariage » gay, ce statut apparemment généreux de beau-parent dissimule idéologiquement un statut de faux-parent, une arme par destination contre le mariage indissoluble et la vraie famille." http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Hollande assassine des maires place du Palais Royal

    C'est la dernière action des Hommen. ici http://hommen-officiel.fr/?p=435 "La semaine dernière, la liberté de conscience a été arrachée aux maires de France. Aujourd'hui, le président Hollande assassine place du Palais Royal des maires de toutes les régions de France. La Liberté est Assassinée." http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les tristes lendemains du mariage gay

    L'Assemblée nationale a adopté, le 23 avril 2013, le projet de loi ouvrant le mariage et l'adoption aux personnes de mêmes sexes, faisant de la France le 9e pays européen à l’autoriser et le 14e dans le monde. Ce vote a été précédé de nombreux mois de contestation, réunissant plus d’un million de personnes à chaque manifestation de rue.

    Quels sont les enjeux de la loi sur le « mariage pour tous » ? Peut-on dire que c’est une loi juste ? Pour répondre à ces questions fondamentales, reinformation.tv a interrogé un philosophe (Thibaud Collin), un juriste (Patrice André), un journaliste (Jacques de Guillebon), un essayiste (Philippe Arino) et un psychanalyste (Tony Anatrella). Ces intellectuels répondent à deux députés socialistes et nous éclairent sur les véritables objectifs de cette révolution sociétale sans précédent.



    http://www.youtube.com/watch?v=_fb0enZeEeQ

    http://www.youtube.com/watch?v=KlpD8P-9818

    http://www.youtube.com/watch?v=1KFLMR68bVE

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Vers un Hollandegate ?

    Dans son numéro qui paraît aujourd’hui, Valeurs Actuelles continue ses révélations sur un cabinet noir à l’Elysée qui serait chargé de faire des recherches sur les archives de l’ancien président. C’est Bernard Muenkel, chef du service transmissions et informatique de l’Elysée, qui en serait chargé. Les recherches cibleraient aussi plusieurs personnalités issues de l’entourage de Nicolas Sarkozy ainsi que plusieurs avocats. Dans son édition de ce jeudi, l’hebdomadaire apporte toutes les preuves de ce qu’il avance. La suite ici => http://medias-presse.info/vers-un-hollandegate/

  • Fin de quinquennat : Hollande a déjà achevé son action de président

    Article sans concession de Jean-Marc Vittori pour les Echos qui décrète la fin du quinquennat de François Hollande provoquée par trois facteurs : le jeu politique qui impose de dérouler ses grandes réformes dans les premiers mois de son quinquennat, les institutions françaises taillées pour des hommes forts et autoritaires et la gauche enfin, confinée depuis des années dans un rôle d'opposition et incapable du moindre projet constructif. Alors, à quand la prise de conscience par l'intéressé de cet état de fait et la décision qui en découle ? http://www.lesalonbeige.blogs.com/