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magouille et compagnie - Page 2213

  • La destruction de la famille est au programme de tous les totalitarismes

    Au Sénat se tenait le 27 septembre un colloque sur la famille organisé par l’Institut Ethique et Politique Montalembert en partenariat avec Famille & Liberté et Valeurs 2 Gauche. Le thème en était : « La Famille est-elle naturelle ou culturelle ? » Christian Vanneste en dresse un compte-rendu :

    "Après un rappel pédagogique et sémantique de Jean-Noel Dumont rappelant le sens des mots : « culturel », « conventionnel », « arbitraire », « construction » qui encadrent conceptuellement le débat, le philosophe Bertrand Vergely nous a fait entrer brillamment dans le vif du sujet. Il a d’abord souligné la vacuité intellectuelle des arguments en faveur du mariage unisexe : « faut être tolérant », « ça se fait », « faut évoluer », qui outre qu’ils manquent totalement de tolérance envers les opposants, témoignent d’une parfaite ignorance de ce qui est essentiellement en cause. « Nous sommes dans la nuit de la société » a-t-il lancé. En écoutant ce penseur orthodoxe, je reconnaissais en lui, ce sens du retour à l’essentiel qui caractérisait les paroles et les textes de Benoît XVI. On parle de mariage et on oublie le lien de cette institution avec ce qu’il y a d’essentiel dans la société et chez l’Homme. La famille est le lieu privilégié de l’initiation. Après avoir rappelé les critiques de la Famille, qui de Diderot à Derrida, ont dénoncé la « construction » familiale, oppressante, conservatrice, ethnocentrique, idéologie du père-propriétaire, B. Vergely a habilement retourné le soupçon du discours idéologique. La destruction de la Famille est au programme de tous les totalitarismes. Les philosophies « adolescentes » qui promeuvent le désir plus que la responsabilité, en étant des apologies de la régression, sont les complices inconscientes de la soumission à l’Etat protecteur. Dans le fond, la critique de la famille est plus construite et idéologique que sa défense puisqu’elle vient à nier cette évidence que la nature impose la complémentarité des sexes pour que naisse un humain. Mais, la Famille possède aussi une dimension spirituelle. Celle-ci se condense dans l’idée de transmission. Le père est celui qui donne et protège la semence. La mère est celle qui la fait croître. Le père donne un nom à l’enfant et la mère un visage. Il deviendra un adulte au nom du père et aura confiance en lui parce qu’il aura été aimé. La filiation est cette identification de soi qui permet de rencontrer l’autre sans frustration ni ressentiment. Il n’y a pas de fraternité sans père ni mère. On pourrait bien sûr accuser notre philosophe d’ethnocentrisme, de généraliser « notre » conception chrétienne de la Famille. Il en est conscient et il assume. « Le Christianisme est une ontologie de la sexualité », c’est-à-dire cette lecture, certes relative, de la sexualité, mais qui révèle ce qu’a d’essentiel la sexualité humaine.

    Jean-Didier Lecaillon nous a ensuite fait redescendre sur les terres plus prosaïques, mais tout aussi nécessaires de l’économie. Evidemment, les politiques familiales sont indispensables. Apparemment, la Famille n’est pas un concept économique. L’économie n’envisage que des « ménages » destinés à consommer les produits des entreprises, et qui peuvent être des célibataires vivant seuls. En réalité, la Famille est avant tout un lieu de production indispensable. La Famille engendre des enfants, elle les éduque, transmet des valeurs et des modèles de comportement sans lesquels une société ne peut ni se développer, ni même survivre. C’est pourquoi la politique familiale ne peut-être une politique sociale, un instrument de redistribution. Il s’agit d’une politique en-soi, qui, comme l’ont pensé les industriels qui sont à l’origine des prestations familiales, rémunère des éducateurs essentiels pour une société, les parents. [Lire la suite]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Sur les questions de société, Hollande verrouille insidieusement le débat démocratique

    Président exécutif du SIEL, Administrateur du RBM

    hollande photo_officielleSans crier gare, le gouvernement Hollande vient de prendre deux initiatives peu spectaculaires certes mais dont les conséquences inédites risquent de mettre à mal l'avenir des libertés publiques en France.

    À l'occasion du renouvellement de sept des 39 membres qui composent le Comité consultatif national d'éthique (CCNE), le chef de l'Etat a décidé d'en changer 22 ! Outre l'ampleur de ce changement au sein d'une instance dont la mission est d'éclairer les pouvoirs publics sur les enjeux soulevés par les progrès de la science, il est frappant de constater le profil politique de nombre de ces nouveaux venus, marqués par leur proximité avec la gauche, à l'instar de l'avocat Jean-Pierre Mignard, ami personnel du locataire de l'Elysée ; dans le même temps, les représentants des différentes religions qui y siégeaient ont été évincés.... D'aucuns voient dans ce rééquilibrage politique la volonté du gouvernement de faire payer à cet organisme ses positions plutôt hostiles au mariage pour tous. En tous les cas, avec ce coup de barre à gauche, le gouvernement assure politiquement ses arrières alors que le CCNE est appelé à se pencher prochainement sur des dossiers particulièrement sensibles : PMA, fin de vie, don de sang par les homosexuels...

    Depuis plusieurs mois, le Haut Conseil à l'intégration ne peut plus fonctionner, faute de disposer d'un budget et d'être saisi par les pouvoirs publics pour émettre de nouveaux avis. On sait que cette instance officielle, chargée de réfléchir sur la question de l'intégration des étrangers en France, était dans le collimateur de l'Elysée depuis la diffusion en avril dernier d'un rapport controversé dans lequel le HCI préconisait l'interdiction du port du voile à l'université : cet avis avait soulevé à l'époque l'ire du Premier ministre et de Jean-Louis Bianco, président du nouvel Observatoire de la laïcité. Avec la fin programmée du HCI, qui disparaîtra au profit probablement d'un Observatoire de la laïcité plus accommodant, c'est une approche stricte de la laïcité, tournée vers un renforcement de la législation, qui est aujourd'hui éliminée.

    Ces deux instances ont déplu au gouvernement. Le gouvernement décide donc, en catimini, de les mettre au pas. Sur les questions de société, François Hollande a fait le choix, dans le plus grand secret, de verrouiller la composition et le fonctionnement des instances institutionnelles dont les avis sont de nature à peser sur le débat démocratique. Parce qu'elles portent manifestement atteinte à l'exercice des libertés démocratiques élémentaires, ces initiatives méprisables, toutes deux frappées du sceau du sectarisme idéologique, doivent être condamnées et dénoncées avec la plus grande vigueur.

    http://www.siel-souverainete.fr/actualite/366-sur-les-questions-de-societe-hollande-verrouille-insidieusement-le-debat-democratique.html

  • Il faut riposter aux propos antichrétiens de Pierre Bergé !

        « Je suis pour la suppression intégrale de toutes les fêtes chrétiennes en France », déclarait hier soir Pierre Bergé sur les antennes de RTL France, dans l’émission « On refait le monde ». Des propos inadmissibles qui surviennent quelques jours après la provocation de Dounia Bouzar qui, à peine nommée à l’Observatoire de la laïcité par le Premier ministre, revendiquait la suppression de deux fêtes chrétiennes parmi les jours fériés reconnus par l’Etat et leur remplacement par Yom Kippour et l’Aïd. Ajoutez à cela les propos récurrents du ministre Vincent Peillon voulant « éradiquer » le christianisme en France et vous avez quelques indices d’une volonté manifeste de mener une nouvelle offensive antichrétienne avec le concours des plus hautes autorités de l’Etat et des puissances d’argent.

    La réaction des catholiques de France – ainsi que de toutes celles et ceux qui, ayant perdu la pratique de la Foi, n’en reconnaissent pas moins les bienfaits de la civilisation chrétienne – doit être sans appel et immédiate. Il faut stopper net cette surenchère destinée à accentuer la déchristianisation de la France.

    Que le changement de saison soit l’occasion de faire souffler un vent d’automne catholique ! Assez de mollesse, assez de tiédeur, assez de « politiquement correct », assez d’enfouissement de notre Foi au nom de stratégies consensuelles qui n’ont jamais apporté aucune victoire !

    Pierre Bergé a mis sa fortune, depuis des décennies, au service du vice, de l’anti-France et de l’antichristianisme. Ripostons en ciblant ses intérêts financiers.

    Cet appel s’adresse à toutes les forces de résistance qui ont émergé au cours des douze derniers mois et à cette génération qui a su faire preuve d’inventivité et de courage pour faire face aux destructeurs de la Famille. Que nos veilles et nos rondes de sentinelles se placent prochainement devant ces lieux chers à Pierre Bergé :

    -      la société de vente aux enchères Pierre Bergé & Associés ;
    -      la brasserie parisienne de luxe Prunier spécialisée dans le caviar et dont Pierre Bergé est PDG ;
    -      la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent.

    Que nos voix se fassent entendre également devant ces médias dans lesquels Pierre Bergé a des capitaux - le journal Le Monde, le journal Libération, le magazine La Vie – ainsi que devant le siège de la radio RTL France qui se plaît à laisser ce personnage viscéralement antichrétien déverser sa bile sur ses ondes.

    Qu’à ces occasions, notre attachement à la Foi catholique soit fièrement affirmé. Christus vincit. Christus regnat. Christus imperat.

    Que ceux qui ne peuvent se déplacer devant ces lieux n’en prennent pas moins la peine de saisir leur téléphone, leur stylo ou leur clavier d’ordinateur pour adresser par toutes les voies envisageables des messages polis mais déterminés signifiant notre colère et notre mobilisation farouche.

    Il ne s’agit en aucune façon d’un appel à la violence. Mais il convient de rappeler cette vertu de force dont les catholiques doivent faire preuve lorsque les situations l’exigent.

    En avant ! L’automne catholique est de retour !

    Alain Escada,
    président de CIVITAS
    Civitas  -  France Jeunesse Civitas

  • Drogues : “Les banques blanchissent des milliards de dollars provenant des trafics”

    Peter Dale Scott, professeur émérite de Littérature anglaise à l’Université de Berkeley, Californie, a travaillé durant quatre ans (1957-1961) pour le service diplomatique canadien. Expert dans les domaines des opérations secrètes et du trafic de drogue international. Il est connu pour ses positions anti-guerre et ses critiques à l’encontre de la politique étrangère des États-Unis.

    Le premier produit agronome de la Californie est la Marijuana, une culture illégale et donc non-taxée. Les grands profits réalisés par la consommation de l’héroïne sont réalisés dans les pays de consommation (comme les États-Unis) et non dans ceux de production (comme l’Afghanistan)

  • Programmes d’Histoire : « Au roman national a succédé le fantasme trans-national »

    Quelques extraits d’un article sur les nouveaux programmes d’histoire de Jean-Paul Brighelli, enseignant et essayiste.

    L’insistance sur les colonies (en quatrième, en troisième, et à nouveau en première) tient davantage de l’intoxication face aux «nouveaux publics», comme on dit quand on s’interdit de dire «enfants issus de l’immigration», que de l’intérêt bien compris du récit historique.

    La polémique enfle à nouveau. Les programmes d’histoire sont allégés en troisième et en terminale, et aussitôt les discours s’enflamment, les invectives volent. Et d’un aménagement somme toute mineur, divers polémistes tirent des conclusions radicales sur le projet global de décérébration de nos jeunes têtes blondes (ou brunes…). Les uns se font les propagandistes du tout-chronologique, les apologistes du «roman national», les autres s’arc-boutent sur une conception plus critique de l’enseignement de l’histoire. […]

    Le fait même que la polémique soit si vive signifie d’abord que l’histoire est en France un sujet sensible et qu’elle est en danger. Tout comme le manifeste laïque de Vincent Peillon : son existence même témoigne d’une menace. […]

    L’histoire telle qu’elle s’enseignait sous Lavisse, en pleine IIIe République triomphante, n’est plus celle de notre Ve République pourrissante.

     

    Un exemple – mais bien sûr, je ne le prends pas au hasard : l’enseignement de la colonisation (et de la décolonisation). Certitudes du colonisateur qui apporte la civilisation aux barbares en 1880-1930 ; émergence de la parole des colonisés après les années 1960 (2) et culpabilisation rampante des anciens colonisés. […] Bien sûr, il était intéressant d’expliquer les mécanismes de l’esclavage au XVIIIe siècle (actuel programme de quatrième). Mais pourquoi passer sous silence l’immense responsabilité des Arabes dans l’esclavagisme, qu’il s’agisse de fournir des Noirs aux navires européens ou de mettre en esclavage pour eux-mêmes des millions d’êtres humains, y compris, pour le seul XVIIIe siècle, des centaines de milliers d’Européens ? […]

    « L’histoire est le produit le plus dangereux que la chimie de l’intellect ait élaboré », disait avec pertinence Paul Valéry. Chacun, en fonction de ses intérêts idéologiques, s’annexe son enseignement, en se prétendant objectif. Au roman national a succédé le fantasme trans-national. Il est temps de bien former les enseignants et de leur faire confiance pour narrer une histoire qui nous a construits. […]

    Le Point

    http://histoire.fdesouche.com/3321-programmes-dhistoire-au-roman-national-a-succede-le-fantasme-trans-national#more-3321

  • Désabusé

    Samedi soir, j'ai innové. J'ai voulu voir ce que c'était que de passer une soirée avec des jeunes branchés. Avec deux compagnons d'infortune, nous nous sommes donc fait inviter par le biais du cousin de la belle-sœur du chien de sa mère à la soirée "hype" d'un type en école de médecine. Nous arrivons donc à 22H pour profiter du frigo de nôtre hôte. Malheur ! A peine quelques bières, et beaucoup de boissons de "hipsters" plus dégueu' les unes que les autres. Après deux heures passées avec 20 mecs et 6 gonzesses (après on ira encore se plaindre du nombre de femmes dans le milieu nationaliste) la troupe d'huluberlus à mèches et Pataugas décide qu'il est temps d'aller se montrer dans les bars pour claquer le pognon à papa et maman. Nous voilà donc arrivés dans un bar où tous les types ressemblent à des gonzesses, et où les gonzesses n'ont plus aucune dignité depuis bien longtemps du haut de leurs 16/17 ans... (Dites-vous bien qu'arriver à ce stade de la soirée, mon seuil de tolérance a explosé depuis au moins 1h30). Partout des blanches qui raffolent des chances pour la France, quelques saletés cherchant à tripoter de la petite blanche écervelée et des résidus d'hommes blancs qui n'osent pas regarder en face les allogènes, car ils manquent cruellement de virilité.

    Petite anecdote, en arrivant au lieu où se déroulait la petite sauterie, nous apprenons qu'il y a 15 minutes la sœur du mec qui organisait la soirée s'est faite frappée à la sortie du métro, elle l'a appelé, il n'y a pas été, ni aucun de ses potes ayant une voiture...

    Arrive tant bien que mal l'heure de fermeture des bars. Comme tous les jeunes cools et branchés, nous allons faire un tour en boite... le calvaire n'est pas fini, et non ! Dans la file d'entrée, des odeurs aigres se dégagent d'un peu partout, effectivement, nous sommes fort mal entourés… Et là encore, des petites blanches qui, décidément ont l'air d'apprécier l'exotisme accompagnent une fort sale faune... Celle-ci cherche, comme à son habitude, à foutre la merde, prétextant tout et n'importe quoi (surtout) pour se battre et montrer qu'ils n'ont pas peur de faire face en étant en supériorité numérique (chose que les petits blancs émasculés n'osent même plus faire...). Nous voilà enfin dans l'antre de la folie jusqu'au bout de la nuit ! Il est environ 3H. Mes compagnons et moi-même abandonnons les petits bourgeois en recherche de reconnaissance pour nous rendre dans la salle "années 80". Quitte à se faire chier, autant se marrer ! Sauf que non... Quand les petites blanches ne sont pas avec des « chances pour la France », elles sont avec des êtres d’origines indéterminées, au physique souvent répugnant… A croire qu'elles ont toutes la fibre sociale ! Des cougars de 40 ans cherchant à vivre une nouvelle jeunesse viennent se frotter à ce qui leur semble être le plus viril dans cet espace restreint (Vous l'aurez compris, je suis pris d'assaut !)… Et là encore, les racailles cherchent à se battre avec tout le monde. Au bout d'une heure à suer tout ce qu'il pouvait être possible de suer, nous nous décidons à quitter ce lieu. A l'extérieur, les CRS sont déployés... Une bagarre a éclaté. Des femmes sont blessées. Des racailles courent dans tous les sens et provoquent les flics (Ha... Si seulement j'avais le droit de porter une arme à feu...). Nous rentrons chez celui qui nous héberge. Il n’est pas loin de 5H. Des envies de meurtres plein la tête.

    Cette société n'est vraiment pas faite pour moi.

    Tolbiac http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • L’effort contraceptif contre la France de toujours

    La fête fut éphémère et d’intensité modérée, pour ne pas dire un peu tristounette. Les cotillons, les confettis et les langues de belle-mère étaient, semble-t-il, remisés au placard. Le magazine Elle a, pendant que d’autres soufflaient péniblement les bougies, fermé son clapet puant. Les féministes qui avaient commémoré en 2010 les 50 ans de la commercialisation de la pilule contraceptive aux Etats-Unis, berceau de la dégénérescence sociétale, n’étaient pas d’humeur à fanfaronner : l’anniversaire de la commercialisation légale d’hormones permettant une contraception de fait dans les pharmacies hexagonales en 1963 était à peine évoquée dans les mass media, alors que sans cette distribution semi-clandestine (semi-clandestine aux yeux de la loi, puisque les produits vendus n’étaient pas destinés, disait-on, à engendrer volontairement une infertilité concomitante), jamais l’Etat n’aurait eu l’outrecuidance d’instituer la loi Neuwirth en 1967, préalable paradoxal de la génocidaire loi Veil de 1975. Oubliée ou presque l’anniversaire de la légalisation de la vente de produits si féministes… Mais qui tuent ! Entre temps (de 2010 à 2013), les promoteurs frénétiques de la pilule contraceptive ont dû admettre que leurs cachetons “miracle” pouvaient constituer un réel danger pour les consommatrices. Les pilules de troisième et de quatrième générations ont particulièrement fait la preuve de la nocivité de cette chimie vouée à l’infertilité. (Les pilules de troisième génération, triphasiques ou monophasiques, ont été mises sur le marché au cours des années 1990 avec de nouveaux progestatifs — gestodène, norgestimate, désogestrel —  ; les pilules de quatrième génération comportent le drospirénone et sont vendus sous les noms de Jasmine, Rimendia, Yaz ou Convuline). Problèmes cardiovasculaires graves entraînant la mort de certaines consommatrices. On parle de dizaines de morts mais serait-il imprudent d’imputer à la pilule de la société décadente beaucoup plus de décès que l’“on” met bien rapidement et opportunément sur le compte d’accidents imprévisibles comme d’hypothétiques ruptures d’anévrisme ? Des ruptures d’anévrisme qui touchent en premier lieu des femmes, sous pilules stérilisatrices, et tabagiques (l’association nicotine et pilule est en effet dévastatrice à plus d’un titre). En tout cas, à la suite de morts suspectes enfin médiatisées, les consommatrices de contraception tous azimuts s’inquiètent visiblement un peu plus pour leur santé et un peu moins pour leurs performances sexuelles réalisées d’ailleurs souvent avec des partenaires vaporeux. Les pilules de 3ème et de 4ème générations ne sont plus remboursées par la Sécurité Sociale mais toujours commercialisées sous la pression ou plutôt le diktat des autorités européistes ne jugeant pas ces petits poisons suffisamment toxiques pour être retirés du marché, et le marché, c’est sacré.
    UN PETIT GRAIN DE SABLE DANS LA PROPAGANDE SYSTEMIQUE
    Mais beaucoup de femmes ont abandonné récemment la pratique de l’absorption quotidienne de la pilule, terrorisées à l’idée d’être à leur tour foudroyées par l’un de ses effets morbides. L’élite en place s’en inquiète, et en vient à mettre en exergue bien imprudemment les conséquences directes de ce sevrage contraceptif brutal : les avortements auraient bondi de plus de 5 % depuis le début de l’année 2013. Les néo-trouillardes de la pilule utilisant pour un laps de temps indéterminé l’horreur abortive comme moyen de contraception de secours… Remarquons au passage que les commentateurs du media conforme font mine de s’attrister de ce phénomène de compensation contraceptive alors qu’ils sont habituellement les premiers propagandistes de l’assassinat intra-utérin ! Argumentant sur le caractère « absolument normal » de ladite intervention mortelle, affirmant que tout va bien, que l’aspiration du petit être est une bonne chose pour la femme libérée, insoumise, évidemment, à l’homme (blanc) détestable, niant hystériquement la vie même du bébé dans le ventre normalement protecteur de sa mère… Mais là, bizarrerie du discours conforme, il semblerait regrettable que les avortements croissent en nombre… A moins qu’il ne s’agisse d’un aveu involontaire de leur part : l’avortement, malgré les kilotonnes de blablas angéliques recouvrant sa réalité, constitue (quand même !) une monstruosité froidement exécutée. Hé oui, tous les moyens sont bons pour inciter les femmes occidentales (et franco-françaises en particulier) à assurer leur infertilité chronique ! Tel est l’objectif absolu des fonctionnaires de notre Indigénat. Les Françaises peuvent bien se transformer les unes après les autres en gaupes moites, l’important sera qu’aucun enfant ne naisse de “leur” déluge luxurieux. A ce propos n’est-il pas normal de se demander si la spectaculaire et hollywoodienne campagne de publicité pour les préservatifs déclenchée à la fin des années 1980 sous le prétexte d’une prétendue épidémie sidaïque n’était pas en réalité destinée à limiter encore un peu plus les naissances dans notre pays ? Avortement, stérilet, spermicide, condoms et l’incontournable pilule… Que les autorités (s’assurant de la bonne chute de la démographie autochtone vers un crash démographique qu’elles aimeraient irréversible) promeuvent malgré tout et de toutes leurs forces, faisant fi si ostensiblement de sa nocivité intrinsèque.
    UN DEMI-SIECLE DE BOBARDS
    Dans un tout récent ouvrage consacré à notre sujet, intitulé sobrement La pilule contraceptive, les auteurs Henri Joyeux (professeur en médecine et chirurgien cancérologue) et Dominique Vialard montrent bien que la dangerosité morbide de ces cachetons est tue aujourd’hui par l’immense majorité des media qui, au contraire, dans le même temps, en font une « publicité monstre ». Evoquant les dernières affaires mortelles (affaires parties des Etats-Unis où le débat est beaucoup plus bouillant qu’en France) des pilules de 3e et de 4e générations, nos auteurs présentent la réaction de la grosse industrie pharmaceutique à dégueulis contraceptif. […]
    François-Xavier ROCHETTE. http://rivarol.com/Billet.html
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  • 2 hommes "mariés" divorcent et se partagent des jumeaux

    En Californie, deux hommes "mariés" ont eu recours à une insémination artificielle et à une mère porteuse pour avoir des enfants. Mais les deux ont finalement annoncé leur divorce avant que les bébés ne naissent… et ont décidé de se partager les jumeaux. A l’un la petite fille, à l’autre le petit garçon.

    Les deux hommes ont fertilisé deux ovules d’une femme tandis qu’une autre a loué son ventre pendant neuf mois. Un acte que Pierre Bergé souhaite légaliser en France.

    Chacun est le père biologique de l’un des enfants (qui ont chacun 4 parents !) et à l’heure du divorce personne ne souhaite se faire de cadeaux.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/09/2-hommes-mari%C3%A9s-divorcent-et-se-partagent-des-jumeaux.html

  • "La loi Taubira est homophobe"

    Ce n’est pas nous qui le disons mais un homosexuel, Philippe Arino qui, après avoir écrit "L’homosexualité en vérité" vient de sortir chez Frédéric Aimard Editeur un nouveau livre : "L’homophobie en vérité"... où on apprend que les homophobes et l’homophobie ne seraient pas ce qu’une certaine loi veut nous faire croire...

    Il a donné à France Catholique du 13 septembre dernier un excellent entretien dont nous retenons ce court passage :

    "Vous diriez que le " mariage pour tous " est une loi homophobe ?

    Oui. Et pour deux raisons majeures. D’une part, parce que la société bisexuelle donne le mariage aux personnes homosexuelles pile au moment où il n’a plus de sens ni de valeur à ses yeux, où elle divorce à gogo, où l’adultère devient banal, où les violences conjugales battent leur plein et les gens ne se marient plus. Elle refourgue ce qu’elle ne veut plus. Merci du cadeau ! D’autre part, parce que cette loi ne reconnaît pas la singularité du couple homosexuel. Elle donne à croire que ce dernier pourra singer le couple femme-homme + enfant grâce à un droit législatif, ce qui est purement et simplement faux. Elle ne respecte donc ni la réalité du mariage (qui structure par définition la différence des sexes et, si c’est donné, la procréation), ni la réalité conjugale du couple homosexuel (qui, par nature, n’intègre pas la différence des sexes, et n’est pas procréatif). "

    Le moins qu’on puisse dire est que notre auteur ne manie pas la langue de bois !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-loi-Taubira-est-homophobe

  • Grèce : le Système veut éliminer le mouvement nationaliste Aube dorée

    La police antiterroriste grecque a arrêté ce samedi le dirigeant du parti Aube dorée, Nikos Michaloliakos.
    Le député et porte-parole du parti Ilias Kassidiairis et aux moins dix autres membres du parti, accusé pour le coup d’être «une organisation criminelle», ont été également arrêtés, selon une source policière.

    Des mandats d’arrêt concernant 30 autres personnes ont été lancés à travers le pays par la Cour suprême grecque.

    Celle-ci prétexte d’une enquête sur la mort d’un antifa grec. La ressemblance avec les manipulations politiques françaises est patente.

    Le 18 septembre en effet, un activiste d’extrême-gauche, Pavlos Fyssas, trouvait la mort lors d’un affrontement que des groupes gauchistes avaient déclenchés contre des patriotes. L’individu avait participé à l’attaque d’un bar où des Grecs regardaient un match de football et, en agressant quelqu’un, avait reçu un coup de couteau fatal de la part d’un homme voulant défendre sa vie.
    Évidemment, les médias occidentaux ont présenté cela d’une toute autre manière, évoquant les hordes nazies grecques attaquant des innocents…

    Depuis la mort de cet extrémiste belliqueux, les autorités ont lancé une vaste « enquête » sur le parti nationaliste accusé de violences contre des envahisseurs clandestins et des extrémistes de gauche.

    «La démocratie a les moyens de se défendre» (à défaut d’aider le peuple), a indiqué le porte-parole du gouvernement, Simos Kédikoglou, à la télévision Skaï, quelques minutes après l’arrestation de ces députés…

    http://www.contre-info.com/grece-le-systeme-veut-eliminer-le-mouvement-nationaliste-aube-doree