Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 2234

  • Contre la culture du mensonge, la culture de la France !

    Une nouvelle fois, après l’Irak, la Yougoslavie et la Libye, l’Occident a recours au mensonge le plus grossier qui puisse être : l’accusation d’usage d’armes de destruction massive.

    La vérité est que le régime syrien est en train de gagner la bataille contre les terroristes islamistes et qu’il n’a pas besoin d’armes chimiques pour cela. Fort du soutien de l’Iran, du Hezbollah libanais et de la Russie (soutien politique sans failles), il est en train d’écraser son opposition islamiste, minoritaire dans le pays (bien que les sunnites soient majoritaires) et cela face à une rébellion islamiste internationale qui n’a plus d’autre issue que de tenter d’impliquer la France, le Royaume-Uni et les États-Unis dans la guerre.

    Il faut dénoncer avec la plus grande fermeté ce mensonge de la rébellion islamiste et son soutien par le gouvernement français, soutien qui s’apparente autant à une trahison des intérêts de la France qu’à un crime contre la paix internationale.

    Plus que jamais, il devient urgent de libérer la France des forces hostiles qui se sont installées au sommet de l’État, alors même que l’immense majorité de ceux qui servent cet État, dans les échelons subalternes, sont restés loyaux à la France et au Bien commun des Français.

    J’appelle donc tous les patriotes français, de droite comme de gauche, à démonter ce mensonge et à rallier le projet d’un monde multipolaire fondé sur la souveraineté des peuples et le dialogue des civilisations, projet porté avec force par le Président Poutine en Russie, et soutenu par la Chine, l’Inde, l’Iran et bien d’autres pays émergents. C’est avec le soutien de ces pays que tous les patriotes européens contribueront à l’éviction de cette oligarchie mondialiste, arrogante et cynique. Cette oligarchie financière et ses serviteurs dévoués, placés à la tête des partis de gouvernement, qui a laissé partir l’or des banques centrale américaine et européennes en Asie, qui détruit la monnaie par une politique folle de la planche à billets, qui a soumis les peuples américain et européens à un hyper-endettement ne laissant aucun espoir d’inversion, qui plonge les pays d’Europe les uns après les autres dans la banqueroute (Grèce…) pour mieux piller leurs actifs stratégiques (pétrole, gaz, or, minerais…), qui ment aux peuples sur la réalité de la situation économique, sur le déclin évident de puissance, sur la nouvelle hiérarchie mondiale. Pour survivre aux terribles bilans que finiront par dresser les peuples, cette oligarchie là semble n’avoir plus d’autre échappatoire que la guerre.

    Le scénario des guerres mondiales du XXe siècle peut hélas se répéter : la même oligarchie est en train de dresser les mêmes peuples les uns contre les autres – les peuples d’Europe du Nord contre ceux du Sud mais aussi les peuples d’Europe de l’Ouest contre la Russie - toujours avec la même stratégie : promouvoir les idéologies de destruction, hier le bolchévisme et le nazisme (pour anéantir l’Europe), aujourd’hui le nihilisme gauchiste (Femen, “théorie du genre”) et l’islamisme, lequel, avec l’appui des États-Unis et de leur jouet européen (la “diplomatie” de l’Union européenne), a créé le chaos en Tunisie, en Libye, en Syrie et maintenant en Égypte.

    Le temps des choix est venu. Et choisir c’est abandonner le monde idéal sans tache des adolescents. Il est en effet facile de tout condamner pour ne pas avoir à choisir, au motif d’insatisfactions idéologiques ou d’excès. Il est plus difficile d’avoir le courage de choisir son camp quand on sait que celui-ci est loin d’être exempt de tout reproche.

    En Syrie comme en Égypte, il faut choisir les gouvernements patriotiques contre les islamistes. Certes ces gouvernements patriotiques répriment violemment, mais lorsqu’un pays sombre dans le chaos, c’est violence contre violence. Il suffit d’ailleurs de voir comment le Ministre Valls a fait récemment usage de la violence, de manière totalement disproportionnée, contre des familles catholiques qui manifestaient pacifiquement, pour imaginer ce qui pourrait se passer en France si l’État sombrait dans le chaos ! Mais nous savons qu’en France, depuis longtemps et bien avant le retour des socialistes, nous avons quitté l’État de droit pour entrer dans l’État du “deux poids deux mesures” (aux anciens Français, surtout quand ils sont catholiques, la sévérité implacable, aux nouveaux, l’excuse et l’impunité permanentes…).

    En France, ces barrières idéologiques qui séparent encore partisans d’une économie libre sans dirigisme et partisans d’une économie libre avec dirigisme, partisans de la laïcité républicaine orthodoxe et partisans de l’identité chrétienne, devront tomber au profit de la seule réalité charnelle qui vaille le combat et l’unité : la France, sa civilisation menacée par l’islamisation et l’africanisation, son État menacé par la banqueroute, sa place dans le monde effacée par le mondialisme, sa prospérité fragilisée par la montée des économies asiatiques. Le principe de réalité devra s’imposer : sacrifier son petit parti “pur”, sa petite mouvance “idéalement conforme” à ce dont on rêve, au profit de la seule dynamique politique capable, autour d’une personnalité forte et légitime, héritière d’un demi-siècle de combat national et d’annonces visionnaires, de coaliser des forces venant d’horizons différents, de sensibilités variées, mais mues par un seul impératif : empêcher la disparition de la France dans ce qu’elle est (son identité) et dans ce qu’elle a (sa puissance économique, géopolitique, culturelle…).

    C’est désormais ce principe de réalité qui commandera mes choix à venir, et qui m’amènera, sans jamais me renier, à me séparer du “monde idéal où l’on est toujours d’accord avec soi-même” pour entrer dans le monde du choix et donc aussi du sacrifice.

    Le temps presse. Chaque année qui passe, la réalité démographique intérieure et extérieure atténue davantage l’espoir que la France puisse reprendre en main son destin. Il ne suffit plus de comprendre le monde et d’en dénoncer le mensonge (économique, sociétal, géopolitique…) imposé par les “troupes d’occupation mentale” (les médias), il faut passer à l’action politique! Il n’y a d’autre issue que de favoriser le plus rapidement possible le retour à un projet national, souverain, défenseur de notre identité et des valeurs qui fondent notre civilisation.

    Aymeric Chauprade http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

    Source: Realpolitik.tv

  • Retraite des fonctionnaires: l’Ifrap accuse

    + DOCUMENT - Le think tank libéral dénonce des écarts «considérables» entre le public et le privé. Il accuse le gouvernement et le Conseil d’orientation des retraites de «camoufler» les déficits des régimes publics.

    DR
    DR

    La fondation Ifrap veut peser dans le débat sur la réforme des retraites. Le think tank libéral publie ce lundi une série de recommandations (voir document ci-dessous) qui se focalisent sur un sujet particulièrement controversé, les différences entre le public et le privé. « Les régimes de retraite publics sont les plus coûteux, ce sont aussi ceux qui ont repoussé les réformes indispensables  », critique l’Ifrap. Les réformes successives ont harmonisé de nombreux paramètres (durée de cotisation, revalorisation des pensions, taux de cotisation...), mais les catégories actives de la fonction publique et certains salariés des régimes spéciaux (SNCF, RATP...) peuvent toujours partir plus tôt.

    Modifier progressivement le mode de calcul

    Les réformes «  restent progressives sans s’attaquer à la principale différence, le mode de calcul : 75 % du traitement des six derniers mois pour le secteur public contre les 25 meilleures années pour le privé, et même la carrière complète pour les complémentaires Agirc-Arrco ». L’Ifrap propose de modifier le mode de calcul. En 2015, on prendrait en compte les salaires, primes comprises, des trois dernières années. La montée en charge serait ensuite progressive, en prenant en compte deux années de plus tous les ans, de façon à arriver aux 25 meilleures années comme dans le privé.

    Lire la suite :

  • Marseille est l'avenir de la France : plus belle la vie ?

    Nouvelles de France a retrsancrit l'intervention d'Eric Zemmour sur RTL :

    "Ce fut Marseille, super-star de l’été, mais enfin, pas comme capitale européenne de la culture ou pour les exploits de l’OM. Non, comme capitale du crime et de l’impuissance de l’État. Les meurtres en série et les défilés de ministres se sont enchaînés dans une sarabande médiatisée qui exposait alternativement la férocité des uns et le ridicule des autres. [...]

    Il est cruellement paradoxal de voir les socialistes s’en prendre à Jean-Claude Gaudin alors que le maire de Marseille s’est depuis vingt ans, sous l’influence de l’Église, humblement soumis à toutes les injonctions de la gauche, renonçant à son alliance des années 80 avec le Front national, se couchant devant les syndicats du port et des éboueurs, repoussant les mesures ostensiblement sécuritaires et chantant les louanges de l’immigration, chance pour Marseille et chance pour la France. Il est allé jusqu’à imiter tardivement les maires de Paris et de Lyon, s’efforçant à coups de campagnes de com’ et de grands travaux d’urbanisme, de boboïser une ville populaire afin de la mettre au diapason des grandes métropoles européennes. La ville a gardé quand même une part de sa magie, elle a absorbé les vagues d’immigrants depuis les colonies grecques de l’Antiquité jusqu’aux Comoriens d’aujourd’hui. Mais la cité cosmopolite d’antan n’est plus, les quartiers nord sont uniformisés par des populations qui ont repoussé les Marseillais arrivés avant dans le Sud de la ville, les enfermant dans un ghetto d’Européens assiégés. L’identité des enfants des quartiers nord de la ville est à la fois marseillaise et musulmane, mais elle n’est plus française. La série télévisée « Plus belle la vie » n’est pas tournée à Marseille par hasard, elle est une réécriture en rose de la réalité, un village Potemkine sur écran, une réinvention à la manière stalinienne de l’utopie multiculturaliste. La trilogie de Marseille n’est plus Marius, Fanny, César mais désindustrialisation, décentralisation, défrancisation. La trilogie noire de Marseille est la pointe émergée du malheur français, Marseille est l’avenir de la France."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • FEU VERT POUR LES OGM (arch 2003)

    Une fois de plus, l'Europe cède à la pression américaine. En effet, le Parlement européen a adopté le 2 juillet dernier deux nouveaux règlements sur les organismes génétiquement modifiés, ouvrant la voie à la levée du moratoire demandé il y quatre ans par sept États, dont la France, pour répondre aux inquiétudes croissantes des consommateurs. Avec cette législation, toute présence de plus de 0,9 % d'OGM autorisés par l'UE dans l'alimentation humaine ou animale devra être signalée par une étiquette appropriée et sa traçabilité assurée. De même qu'un seuil de 0,5 % a été toléré pour les OGM non autorisés.
    Même si elle fait l'unanimité, cette législation ne règle pas le problème technique du dépistage des OGM (non identifiables dès que les produits sont chauffés). Elle n'oblige pas à indiquer que les animaux ont été nourris aux OGM et pose le problème de la survie de l'agriculture biologique.
    C'est une victoire à la Pyrrhus car :
    - d'une part, l'Europe cède face à la menace d'une sanction de l'OMC. En voulant préserver l'essentiel (encadrement de la production d'OGM), elle cède sur le principe : elle reconnaît l'OMC comme législateur suprême du commerce mondial et remet en des mains étrangères et non démocratiques le soin de déterminer ses intérêts vitaux et son destin. L'OMC devra juger si cette nouvelle législation levant le moratoire de 1999 n'entrave pas la liberté du commerce, ce que s'efforcerons de démontrer à coup de milliards les États-Unis ;
    - d'autre part, c'est l'aboutissement et le dépassement du projet cartésien de « devenir maître et possesseur de la nature » en s'érigeant créateur d'une « contre-nature » conforme aux intérêts idéologiques et marchands des élites qui nous gouvernent. C'est la réalisation pratique par la technique de tous les projets totalitaires du XXe siècle : bâtir un homme nouveau.
    Sylvie Goddyn FDA août 2003

  • Un adjoint du maire de Bollène sacrifie sa liberté de conscience

    Communiqué de Marie-Claude Bompard :

    "J'ai reçu, vendredi dernier, à ma demande, deux jeunes femmes qui souhaitaient célébrer leur « mariage », le 10 septembre prochain, à Bollène. Cette demande est régulière au regard de la loi Taubira. Elle me pose, cependant, en ma qualité d'officier d'Etat civil, un douloureux problème de conscience. C'est ce que j'ai expliqué à mes interlocutrices.

    Je leur ai donc affirmé que j'étais moi-même dans l'impossibilité de procéder à cette cérémonie, et qu'il m'est également impossible de déléguer mon pouvoir et ma responsabilité à un conseiller municipal.

    Je leur ai réaffirmé mon attachement au mariage, union d'un homme et d'une femme, qui a pour première finalité l'accueil et l'éducation d'enfants, dont la conception relève, naturellement de l'altérité sexuelle des époux.

    Avec la loi Taubira, les maires réfractaires sont aujourd'hui sous la menace de sanctions lourdes, disproportionnées et illégitimes. Pourtant, la liberté de conscience est garantie par notre Constitution. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que François Hollande avait déclaré « il y a toujours la liberté de conscience », lors du congrès des maires, à l'automne 2012, porte de Versailles. C'est en ce sens que j'ai écrit, ce matin, à Manuel Valls, ministre de l'intérieur.

    Aujourd'hui, le respect de mon droit constitutionnel est bafoué. Depuis samedi dernier, les pressions se succèdent : pression médiatique, pression politique (notamment de la part du parti au pouvoir), pression administrative, pression judiciaire, puisque j'ai appris qu'une enquête préliminaire avait été ouverte, à la demande de la Chancellerie. Des gendarmes se sont d'ailleurs présentés en mairie de Bollène cette après-midi, exigeant une copie du dossier de mariage.

    Ne pouvant m'opposer à l'application de la loi sur le territoire de ma commune, j'ai, par ailleurs, demandé à monsieur le Préfet de Vaucluse, en tant que représentant de l'Etat, de procéder lui-même à cette cérémonie ou de désigner une personne de son choix, comme le prévoit l'article L2122-34 du Code Général des Collectivités Territoriales.

    Cette proposition a été refusée, montrant ainsi que l'Etat préfère que les cérémonies n'aient pas lieu, afin de mieux trainer les maires réfractaires devant les tribunaux ! Outre la destruction du mariage et de la famille, un des objectifs de la loi Taubira est clairement d'écarter les maires libres, réfractaires au Système. Nous en avons un exemple flagrant aujourd'hui, à Bollène.

    En ce qui concerne les demanderesses, c'est un de mes adjoints, lui-même opposé à la loi, qui, à son initiative et pour m'éviter des sanctions, s'est porté volontaire et qui accepte de procéder à cette cérémonie. Je ne peux m'opposer à cette initiative, je n'en délègue pas pour autant mon pouvoir, puisque pour marier, un adjoint n'a nullement besoin d'une délégation spéciale du maire, puisqu'il la détient depuis sa prise de fonction.

    Pour ma part, et avec les nombreuses personnes qui m'ont soutenue, avec de nombreux élus, je continuerai à prendre une part active aux actions organisées afin que la liberté de conscience soit reconnue et mise en œuvre."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • [Vendée militaire] La destruction de l’église de Gesté en Anjou entre dans le cadre d’un nouveau mémoricide

    "Il faut [...] noter que l’une des régions les plus touchées par les destructions est l’Anjou, et plus particulièrement les Mauges, à savoir un des territoires de la Vendée militaire, très touchés par les persécutions anti-catholiques lors de la révolution. C’est ce qui explique que la plupart des églises de la région furent reconstruites dans les années 1840-1890."

    PATRIMOINE - À Gesté (2 600 habitants), la mobilisation continue pour empêcher la destruction de l’église St-Pierre-aux-liens. Sur le terrain de nombreuses associations de défense se relaient pour empêcher la destruction.

    Dernière initiative en date, une manifestation organisée dimanche 25 août par le collectif St Jacques d’Abbeville et par le Souvenir Chouan de Bretagne :

    Et le reportage du Courier de l’Ouest

    La suite sur NdF

  • Thierry Meyssan - " la guerre imminente contre la Syrie?"


    Thierry Meyssan - " la guerre imminente contre... par zapataguevara

  • 2012 : 193 000 immigrés en France dont 17 000 pour travailler

    Lu dans Les 4 Vérités :

    "En 2012, 193 655 personnes ont immigré légalement en France : 86777 au titre du regroupement familial, 59152 pour étudier, 18842 pour raisons humanitaires, 16921 seulement pour travailler et 11 963 pour d’autres motifs."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La Réserve Fédérale des Etats-Unis empêche l’Allemagne de rapatrier son or

    Ex: Telesur
    Les Etats-Unis refusent de rendre l’or que l’Allemagne a mis à l’abri dans la Réserve Fédérale des USA et a, par ailleurs, empêché les représentants allemands de visiter le coffre de la Banque Centrale de ce pays pour vérifier l’état des tonnes d’or entreposées.
    La méfiance par rapport au dollar pourrait s’intensifier après que la Bundesbank allemande ait demandé le rapatriement de son or entreposé dans la Réserve Fédérale des États-Unis, mais que Washington ait refusé de le faire avant 2020.
    L’agence d’information russe, RT, a publié que les représentants allemands se sont vus refuser le permis de visiter le coffre de la Banque Centrale des États-Unis.
    « L’Allemagne, qui y a entreposé près de la moitié de ses réserves en or, a de bonnes raisons de s’inquiéter. En général, les institutions financières des USA sont connues pour vendre ce qui n’existe pas réellement », écrit RT sur la publication de son portail Web.
    Ils citent l’exemple de 2012, lorsque la banque Goldman Sachs vendait des certificats d’or en assurant qu’ils étaient garantis par l’or authentique de ses coffres. Cependant, comme cela s’est su par après, il n’y avait pas d’or dans ces coffres, et la banque travaillait sur base d’un système de réserve fractionnaire, en supposant que peu de dépositaires exigeraient de récupérer leur or.
    Le fondateur et président de l’Association Allemande de Métaux Précieux, Peter Boehringer, considère que ce refus des États-Unis est un mauvais signe.
    « Nous avons exercé beaucoup de pression sur la Bundesbank, nous lui avons envoyé énormément de questions, ainsi que d’autres entités. Nous voulons savoir pourquoi elle n’agit pas en tant qu’audit approprié, pourquoi ils ne font pas pression sur la banque centrale de son partenaire, tout particulièrement sur la Réserve Fédérale, pour qu’elle soit un audit adéquat. Pourquoi n’est-il pas possible de rapatrier cet or ? Il y a donc énormément de questions sans réponses », dit-il.
    « Les USA et la Réserve Fédérale financent actuellement entre 60 et 80% de la dette fédérale récemment publiée, les bons du Trésor. Et son achat libre est une mauvaise nouvelle pour la dette des USA. Cela met en évidence que quelque chose va mal pour la qualité du dollar des États-Unis comme monnaie de réserve. La Chine et l’Inde vont probablement consommer 2.300 tonnes d’or conjointement cette année, ce qui équivaut presque à 100% de la production mondiale », explique-t’il.
    La Réserve Fédérale des États-Unis est une des organisations les plus secrètes au monde. Depuis bien des années, elle entrepose de grandes quantités d’or de différents pays. Si auparavant elle était considérée comme l’endroit le plus sûr pour les réserves de beaucoup de pays, maintenant la situation a changé, puisque l’or qui y est entreposé s’épuise du fait de sa vente, son cautionnement ou son utilisation comme garantie financière.
    En janvier de cette année, la Bundesbank allemande a informé de sa décision de rapatrier 674 tonnes des réserves officielles d’or déposées à l’étranger d’ici 2020.
    Jusqu’au 31 décembre 2012, la banque allemande conservait 31% de son or sur le sol allemand. Avec cette mesure, ils estiment que cette quantité s’élève à 50% avant le 31 décembre 2020.
    « Les réserves d’or d’une banque centrale créent de la confiance », indique l’entité financière dans un communiqué qui assure que cette mesure augmentera la confiance en sa propre économie.
    L’Allemagne possède la seconde plus grande réserve d’or au monde ; 3.396 tonnes. Au cours des prochaines huit années, 674 tonnes vont être rapatriées depuis New-York et Paris, avec pour objectif que 50% de cet or soit entreposé sur le sol allemand. 13% des réserves d’or allemandes sont entreposée à Londres et y resteront entreposées. Les réserves d’or déposées à New-York devraient passer de 45% à 37%. Les 374 tonnes actuellement entreposées à la Banque de France à Paris retourneront sur le sol allemand.
    Source : Telesur
    Traduit par SanFelice pour Investig'Action
    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Mariage gay : M.-C. Bompard, le maire qui dit non !

    Marie-Claude Bompard, maire de Bollène, dans le Vaucluse, refuse de célébrer le mariage de deux personnes homosexuelles dans sa commune. Elle n’est pas le premier maire à faire de la résistance. Ils sont même singulièrement nombreux, rapportés au nombre plus que modeste – de l’aveu même de Libération, qui s’est livré à un rapide calcul depuis la promulgation de la loi – de demandes déposées.

    Pourquoi s’inquiéterait-on en haut lieu ? Les bougres renâclent, se font tirer l’oreille, freinent des quatre fers ; mais à force d’intimidations, de menaces et de chantage, on finit toujours, n’est-ce pas, par leur faire plier l’échine et les mettre à genoux.
    C’est la menace d’une astreinte de 1.000 euros par jour pour lui et ses adjoints qui a fait rendre les armes au maire d’Arcangues, même s’il clame toujours son opposition. C’est sans doute pour les mêmes raisons que le maire de Mésanger a lui aussi capitulé. Que celui qui peut débourser 1.000 euros par jour leur jette la première pierre. N’est pas Thomas More qui veut, et nous autres n’avons sans doute aucune idée de la pression qui s’est abattue, pour paraphraser Alain Sanders, journaliste à Présent, sur ces braves maires devenus des maires braves. Et cette somme n’est encore pas grand-chose comparée aux trois ans de prison et aux 45.000 euros d’amende que, le 7 novembre dernier, Christiane Taubira avait agités comme un épouvantail dans une interview à Ouest-France. Sans parler d’une possible suspension par le préfet ou, allons-y, une révocation en Conseil des ministres.

    Sauf qu’avec Marie-Claude Bompard, le gouvernement est tombé sur un os. Bollène, c’est mauvaise pioche. Car la dame, qui en a vu d’autres, n’est pas du genre impressionnable et, sous des allures fragiles, a la couenne plus dure que bien des édiles de campagne gaulés comme des tracteurs agricoles.

    Dans son refus, rien d’épidermique, d’impulsif ou de personnel, comme le montre le soin qu’elle a pris de recevoir les deux administrées concernées, Amandine Gilles et Angélique Leroux, pour leur en expliquer les motifs. « Marie-Claude Bompard nous a dit qu’elle respectait les couples homosexuels, mais que par rapport à ses convictions religieuses, il lui était impossible de nous unir », a rapporté l’une d’entre elles. Le maire de Bollène se situe donc dans le registre de « l’impossibilité » et non pas seulement de « l’opposition ». La nuance, pour le combat qui s’annonce, est de taille. Elle l’a d’ores et déjà annoncé : qu’on n’attende pas d’elle qu’en s’en lavant les mains, elle refile le bébé – si l’on peut dire – à un de ses adjoints moins regardants. Alors quoi ?

    Alors, la suite promet d’être particulièrement palpitante, le gouvernement n’ayant aucune issue dans ce bras de fer. S’il ferme les yeux sur le refus de Marie-Claude Bompard, c’est l’objection de conscience qu’il reconnaît de fait, et un boulevard qu’il ouvre pour tous ceux – et on ne les compte pas – qui voudront s’en prévaloir. S’il sanctionne Marie-Claude Bompard, il en fait aussitôt un exemple, un emblème, un étendard et surtout un casus belli susceptible de réveiller, d’un coup pour la rentrée, les ardeurs que même les grandes vacances n’ont manifestement pas suffi à éteindre.

    Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire

    http://fr.altermedia.info/decadence/mariage-gay-m-c-bompard-le-maire-qui-dit-non_50434.html