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magouille et compagnie - Page 2235

  • Copé a retourné sa veste

    Il a été de toutes les manifs, il s’est montré au premier rang devant toutes les caméras mais il est politique et là est toute la différence. Monsieur Copé a déclaré hier soir lors de l’émission des Paroles et des Actes qu’il n’avait jamais eû d’opposition à l’idée de mariage homosexuel. Preuve, il a défendu l’union civique. Néanmoins il reste opposé à l’adoption car l’enfant a besoin de l’altérité d’un père et d’une mère. De même, il ne reviendra pas sur la loi Taubira. Tout ça pour ça ? C’est bien les premiers mots qui nous viennent à l’esprit. Si certains croyaient encore qu’un politique pouvait être sincère ou que l’UMP allait se battre jusqu’au bout, c’est raté !  C’est toute la différence d’avec le PS qui ose revenir en arrière et d’une droite timide qui ne défait jamais. Pourtant, Copé comme tous les députés UMP, on l’a vu s’opposer au gouvernement sur le mariage homosexuel mais seulement pour un temps car c’était le bon moment pour revenir sur le devant de la scène. Fillon n’y est jamais venu. On sortait d’une lutte à mort entre les deux pour la présidence de l’UMP. C’était une bonne publicité ! Il s’agissait aussi de ne pas perdre toute une partie de l’électorat de droite qui s’est retrouvé dans les rangs de la Manif Pour Tous.

    Monsieur Copé n’est donc qu’un opportuniste qui ne sait pas avoir des convictions jusqu’au bout. Il sait qu’aujourd’hui la loi Taubira n’est plus d’actualité politique. Il faut passer à autre chose qui sera vendeur. Cependant il a tort de croire que l’opposition à cette loi n’a pas d’avenir. L’ardeur est un peu retombée mais il y a toujours une persistance d’opposition. Un petit rien suffira à tout embraser. Une jeune génération arrive aussi. Le gender est en ligne de mire. Monsieur Copé vient donc de perdre toute une partie de son électorat.  Y gagnera-t-il au change ?

    Maintenant, les manifestants savent ce qu’il leur reste à faire pour les prochaines élections : demander des garanties et sanctionner les autres !

    http://medias-presse.info/?p=1009

  • Le "mariage homo" toujours illégal en France : le vote truqué à l’Assemblée nationale

    Les apparences sont parfois trompeuses, et elles trompent parfois tout le monde. Qui sait aujourd’hui que le « mariage homosexuel » est en fait encore illégal en France ? Qui sait aujourd’hui que la loi Taubira n’a pas été votée ? Qui sait aujourd’hui que des fraudes prouvées et reconnues ont eu lieu pendant le processus électoral de la loi Taubira à l’Assemblée nationale, annulant de facto la légalité et la légitimité du vote ?

     

    Avec ce genre d’information, il y a de quoi non seulement faire tomber le gouvernement, mais surtout de quoi mettre un coup d’arrêt à la marchandisation de l’humain qui se prépare : PMA, GPA, commerce des enfants et « location du ventre des femmes » (dixit Pierre Bergé). Toute affirmation réclame des preuves. Quelles sont-elles ? On les trouve étalées aux yeux de tous dans les comptes-rendus officiels des séances à l’Assemblée nationale des 3 et 5 février 2013.

     

    Une vidéo de l’Assemblée et quelques articles de presse les rapportent également. Qu’y lit-on, qu’y voit-on ? Les interventions de Christian Jacob, président du groupe UMP à l’Assemblée, et les réponses des présidents de séance, Claude Bartolone et Christophe Sirugue. Dans des « rappels au règlement », Christian Jacob signale avoir vu des parlementaires dans l’hémicycle appuyer sur plusieurs boîtiers de vote, ce qui revient à « bourrer les urnes », et les présidents de séance, loin de nier les faits, les reconnaissent volontiers.

     

    Nous proposons ci-dessous plusieurs pièces à conviction prouvant le trucage et le laisser-faire des présidents de séance :

     

    Mariage homosexuel : les députés trichent-ils en votant à plusieurs reprises ?

     

    Dénaturation du mariage : avec 60 députés présents, la gauche arrive à obtenir 148 votes favorables

     

     

    Assemblée nationale - XIVe législature – Session ordinaire de 2012-2013 :

     

    Extrait :

     

    Christian Jacob : Mon intervention se fonde sur l’article 58 du règlement. Monsieur le président, j’appelle votre attention sur le bon déroulement des votes par scrutin public. Je souhaite que vous puissiez le faire vérifier par le service de la séance, grâce notamment aux enregistrements vidéos. Ce n’est pas la première fois que j’ai compté quelque 60 députés de la majorité présents pour un total de 148 votes. Je voudrais qu’on reste très attentif au fait que chacun vote uniquement à partir de son propre boîtier et seulement celui-ci.

     

    (Exclamations sur les bancs du groupe SRC)

     

    Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale : Je demande à chacun des présents de n’appuyer que sur le bouton de son boîtier. (…)

     

    Christian Jacob : …et vous l’aurez noté, monsieur le président : depuis que vous avez invité chacun à ne voter que sur son boîtier, les votes de la majorité ont singulièrement baissé.

     

    - Troisième séance du dimanche 3 février 2013 – Article 1er quater (partie 1)

     

    - Troisième séance du dimanche 3 février 2013 – Article 1er quater (partie 2)

     

     

    Extrait :

     

    Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale : La parole est à M. Christian Jacob, pour un rappel au règlement.

     

    Christian Jacob : Il a trait au bon déroulement de nos travaux, sur la base de l’article 58 alinéa 1. Dimanche, j’ai signalé au président de notre assemblée que certains collègues de la majorité utilisaient plusieurs boîtiers de vote.

     

    Pascal Deguilhem : Cela ne se fait pas de votre côté, bien sûr !

     

    Christian Jacob : Le président a fait remarquer que chacun devait se concentrer et ne voter que sur un seul boîtier, le sien. Le vote suivant, les résultats ont chuté d’une vingtaine de voix.

     

    (Protestations sur les bancs du groupe SRC)

     

    Vous vérifierez cela dans le compte rendu. À nouveau, lors du dernier vote, l’un de mes collègues a vu un député de la majorité appuyer sur trois boîtiers.

     

    (Vives protestations sur les bancs du groupe SRC)

     

    Marie-Françoise Clergeau, rapporteure pour avis :C’est acrobatique !

     

    Audrey Linkenheld : Nous n’avons que deux mains ?

     

    Christian Jacob : Monsieur le président, je vous demande officiellement de saisir le bureau afin qu’il puisse visionner le dernier vote, pour s’assurer qu’aucun député n’a appuyé sur trois boîtiers. Si les couplages sont bien faits – et je fais confiance au groupe SRC sur ce point –, cela représente un écart de six voix pour un seul député, ce qui peut être très grave pour les résultats.

     

    (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP – Protestations sur les bancs du groupe SRC)

     

    Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale : Monsieur le président Jacob, la demande sera transmise au bureau. Je me suis permis de faire la remarque tout à l’heure, pour avoir observé de chacun des côtés ce type de pratique, que je trouve déplorable. J’observe néanmoins qu’un regard rapide sur les députés présents montre que, de toute façon, cela ne serait pas de nature à remettre en cause le sens du vote.

     

    – Deuxième séance du mardi 5 février 2013 – Article 4 (suite)

     

     

    Comment un tel scandale peut-il passer inaperçu ? La dernière phrase de l’extrait ci-dessus nous met sur la piste : le président de séance y reconnaît ouvertement les fraudes mais les tolère sous prétexte que cela ne remet pas en cause « le sens du vote ».

     

    Une décision jurisprudentielle du Conseil constitutionnel a rendu possible cette anomalie, la décision 86-225 DC publiée dans le JO du 25/01/1987, dont voici l’extrait litigieux sur Légifrance :

     

    « 4. Considérant que pour l’application de ces dispositions, la circonstance que, dans le cadre d’un scrutin public, le nombre de suffrages favorables à l’adoption d’un texte soit supérieur au nombre de députés effectivement présents au point de donner à penser que les délégations de vote utilisées, tant par leur nombre que par les justifications apportées, excèdent les limites prévues par l’article 27 précité, ne saurait entacher de nullité la procédure d’adoption de ce texte que s’il est établi, d’une part, qu’un ou des députés ont été portés comme ayant émis un vote contraire à leur opinion et, d’autre part, que, sans la prise en compte de ce ou ces votes, la majorité requise n’aurait pu être atteinte ; (…) »

     

     

    On trouve un commentaire critique de ce tour de passe-passe juridique dans un article titré « Que se passe-t-il en cas de fraude électorale ? » sur un site officiel consacré à la vie publique :

     

    « Un juge électoral, une fois saisi, peut sanctionner les fraudes, mais ce n’est pas systématique. En effet, la jurisprudence veut qu’une élection ne soit annulée, ou les résultats modifiés, que si les fraudes constatées ont eu pour effet de déplacer un nombre suffisant de voix pour fausser les résultats. Ainsi, des atteintes aux règles définies par le Code électoral peuvent rester impunies si elles n’ont pas eu pour conséquence de modifier les résultats. Certains spécialistes du droit électoral contestent cette ligne jurisprudentielle, qui ne participe pas, selon eux, à la moralisation des comportements à l’occasion des campagnes électorales. »

     

     

    Il y a donc un scandale dans le scandale : non seulement des fraudes électorales ont lieu en toute impunité à l’Assemblée nationale, mais encore une jurisprudence datant de 1987 rend ces tricheries « légales » sous certaines conditions, notamment « si elles n’ont pas eu pour conséquence de modifier les résultats ». Il faut certainement comprendre : les résultats prévisibles. La question qui se pose tout de suite : si le résultat d’un vote est à ce point prévisible, alors pourquoi tricher ?

     

    En outre, le bon sens le plus élémentaire veut que toute tricherie soit sanctionnée, quel que soit le résultat. Et un droit qui ne serait pas conforme au bon sens serait simplement illégitime. De plus, le droit et la philosophie du droit sont des disciplines précises du point de vue sémantique. Si, dans certaines circonstances, des fraudes électorales reconnues comme telles par le législateur ne sont pourtant pas dénoncées comme telles, avec pour conséquence l’annulation du scrutin, cela signifie que ces fraudes sont tolérées par le législateur et qu’elles sont donc devenues miraculeusement « légales ».

     

    Cette jurisprudence revient donc à introduire discrètement dans le droit français le concept de « fraude légale ». Ce concept de « fraude légale » étant contradictoire dans les termes, donc inconsistant du point de vue strictement logique et linguistique, donc vide de sens (comme le concept de « cercle carré »), il est aussi de valeur nulle en philosophie du droit, et donc irrecevable en pratique du droit. Sauf à frauder à son tour avec le sens des mots et la réalité. Mais ce n’est pas parce que le Conseil constitutionnel dit que 2+2=5 que cela devient vrai…

     

    Les faits sont là : la loi Taubira n’a pas été votée « légalement », c’est-à-dire sans fraude ; elle n’a donc pas été votée tout court. Au-delà des débats pour ou contre le « mariage homo », pour ou contre l’objection de conscience des maires, pour ou contre l’abrogation de la loi Taubira ou son remplacement par un pacte d’union civile, il faut donc rappeler simplement que la loi Taubira n’a pas été votée, et que le « mariage homosexuel » est en fait encore et toujours hors la loi dans notre pays.

     

    La diffusion maximum de la vérité sur le non-vote de la loi Taubira pourrait bien être l’une des priorités de l’époque. Cette vérité encore confidentielle doit être rendue publique sur la plus large échelle, afin de l’ancrer dans les esprits et qu’elle devienne une vérité commune et sue de tous. Conserver présent à l’esprit qu’il y a eu des fraudes et que la loi autorisant le « mariage homo » n’est donc pas votée en France ne pourra que renforcer la détermination de tous les militants qui luttent contre la dénaturation et l’artificialisation du vivant. La révélation des fraudes à l’Assemblée permettra de déstabiliser profondément le mondialisme et ses représentants en France, le lobby LGBT et les idéologues de la confusion des genres et du pinkwashing (tactique d’influence israélienne consistant à porter des jugements de valeurs politiques sur la base du clivage (gay friendly or not).

     

    Pour conclure, lançons un avis à tous les maires de France : en 2013, il vous est toujours interdit de « marier des homosexuels » car aucune loi n’a été votée qui l’autorise ; invoquer l’objection de conscience pour refuser de « marier des homosexuels » est donc superflu car les homosexuels n’ont pas le droit de se marier en France.

     

    Et un avis à la population française et à tous ceux qui luttent pour l’humain, le mariage, la famille et la protection de l’enfance (Manif pour tous, Civitas, Printemps français, Fils de France, Veilleurs et Sentinelles, Hommen et Antigones, Avenir pour tous, Radio Courtoisie, etc.) : la loi Taubira sur le « mariage homo » n’a pas à être abrogée, ni annulée, ni remplacée par un pacte d’union civile car la loi Taubira autorisant le « mariage homo » n’a pas été votée.

     

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-mariage-homo-toujours-illegal-en-France-le-vote-truque-a-l-Assemblee-nationale-20599.html

     

  • Jean-François Copé passe un sale quart d’heure à la télévision, face à la France d’en bas

    Invité jeudi soir de l’émission « Des Paroles et des actes », Jean-François Copé a du faire face à une Alsacienne qui lui a rappelé (ou appris) le sort économique de nombreux Français.

  • Communiqué du Printemps Français (9 oct 2013)

    Rythmes scolaires, gender à l’école : nos enfants ne sont pas des cobayes ! C’est le message affiché cette nuit par le Printemps Français devant les écoles primaires des vingt arrondissements parisiens.

    Le Printemps Français appelle à résister contre la pénétration de l’idéologie dans les écoles. Vincent Peillon prétend aménager les rythmes scolaires, mais il vise à détruire les rythmes familiaux. Vincent Peillon prétend favoriser la tolérance, mais il veut imposer le gender à l’école. NON, nos enfants ne sont pas de cobayes ! Pas question de nous voir imposer une réforme qui nie les rythmes biologiques des enfants pour en faire des zombies. Pas question de nous voir imposer l’enseignement d’une idéologie qui nie la différence entre garçons et filles, pour créer une société de robots indifférenciés.

    L’objectif de la réforme Peillon est clair : il s’agit de casser le rythme biologique des enfants pour les épuiser et les rendre malléables à tout endoctrinement, et de les arracher à leur famille en systématisant des activités extra-scolaires encadrées par les syndicalistes de l’Education Nationale. Créer un mouvement de jeunesse obligatoire a toujours été une priorité dans les dictatures. Avec ses changements de rythme, son enseignement de l’idéologie du genre et sa religion laïque à l’école, la réforme Peillon prépare-t-elle le terrain à la « Hollande Jügen » ?

    Hier, la constitution de la République Française a été mise à l’épreuve d’une tentation dictatoriale : peut-elle interdire une clause de conscience aux officiers d’Etat Civil opposés à la dénaturation du mariage ? Cette question engage notre démocratie. Aujourd’hui, après la circulaire Valls menaçant de prison les maires opposés au mariage unisexe, c’est la réforme Peillon qui s’attaque aux familles. Les apprentis dictateurs avancent leurs pions. Le Printemps Français appelle à leur résister.

    Tous avec le Printemps Français, pour la Liberté, la Justice et la Vérité ! On ne lâche rien !

    http://www.printempsfrancais.fr/3663/communique-du-9-octobre-2013/

  • La Qatarstrophe

    Soucieux de ne pas  « désespérer Billancourt », Jean-François Copé a refusé de répondre à la question qui lui était posée hier sur France 2, au sujet du  vote qui serait le sien en cas de duel François Hollande-Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2017. Si  Harlem Désir a déclaré  qu’il voterait pour Nicolas Sarkozy dans l’hypothèse d’un face-à-face de celui-ci avec la présidente du FN, M. Copé a encore affirmé  que  «le programme (de Marine Le Pen, NDLR)  est un copier-coller de celui des communistes» (sic).  Le « programme du FN », « parti extrémiste » « est absurde » a-t-il encore affirmé. Significativement, il a  notamment  cité   à l’appui de sa démonstration « l’immigration zéro » prônée  par l’opposition  nationale (en l’espèce très drastiquement réduite par la mise en place d’une politique vigoureuse d’inversion des flux migratoires),  plaidant  lui  pour sa poursuite, pour  « une nouvelle politique d’immigration »…

     Hier soir Jean-François Copé  a avoué  qu’il était  prêt à s’effacer devant la candidature de Nicolas  Sarkozy en 2017, répétant qu’il sera « à ses côtés ». Il n’a pas été pour autant interrogé sur les accusations de son ami, le   sulfureux homme d’affaires franco-libanais  Ziad Takieddine,  dont il barbotait dans  la piscine,  l’un des protagonistes de tout premier plan de l’affaire Karachi.

     Mis en examen dans l’enquête sur le financement de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007,  M. Takiedinne avait réitéré en avril dernier  ses accusations contre l’ex-président de la  République, avançant que ce dernier aurait touché 300 millions d’euros du Qatar.

     Un émirat également  en pointe dans le financement du djihadisme, également  en Syrie où une ONG,  Human Rights Watch,  vient  de dénoncer  les crimes contre l’humanité,  les atrocités commises par les miliciens des brigades internationales islamistes en lutte contre le régime laïc de Damas. Les  terroristes  soutenus de facto   notamment par  MM. Fabius,  Hollande  et les Etats-Unis,  auraient exécuté  au moins 190 civils lors d’une attaque en août dernier dans la province alaouite de Lattaquié.

     Un émirat qui est aussi pointé du doigt dans la cadre de sa préparation  de la coupe de monde de football qu’elle accueillera en 2022. Une délégation syndicale internationale s’est vue ainsi refusée mercredi l’accès à un chantier près de Doha, dans le cadre d’une enquête au sur le conditions de travailleurs immigrés dans ce pays.

     Selon un reportage publié cette semaine par le quotidien britannique The Guardian, des ouvriers (esclaves) népalais travaillant au Qatar sont morts par dizaines ces dernières semaines, et des milliers d’autres endurent des conditions de travail épouvantables. Et ce journal, citant des  documents fournis aux journalistes du Guardian par l’ambassade népalaise à Doha, affirme qu’ au moins 44 travailleurs sont morts entre le 4 juin et le 8 août.

     Interrogé sur cette question,  la Fédération internationale de foot (Fifa), qui a confié l’organisation du Mondial 2022 à l’émirat, s’est déclarée «très préoccupée à propos des rapports dans les médias faisant état d’abus en matière de droit du travail et des conditions des travailleurs de la construction des projets menés à Lusail City, au Qatar».

     Sepp Blatter, président de la fédération internationale, a même parlé  d’une «erreur» à propos de cette désignation. Silence assourdissant en revanche de  la  France autoproclamée  championne des   droits de l’homme.

     Même le site de Libération (le 26 septembre) a   « osé » rappeler qu’en «  novembre 2010, un mois avant la désignation du Qatar, une réunion à l’Elysée aurait réuni Nicolas Sarkozy, l’émir du Qatar et Michel Platini. En échange du rachat du PSG et du lancement de BeInSports, l’émirat aurait obtenu que la France, par l’intermédiaire de Michel Platini, membre influent de la Fifa, soutienne le dossier qatari. »

     Le Qatar, nous l’avons déjà souligné sur ce blog,  se voit aussi dérouler le tapis rouge en France,  notamment dans le cadre de son offensive dans nos banlieues. Le  fonds  initié par cet émirat  (d’un montant de 100 millions d’euros croyait savoir Libération) , pour financer des projets économiques dans les quartiers pluriels,  fut approuvé en son temps par Sarkozy et le gouvernement UMP.

     Il  fut  avalisé dès l’arrivée  à l’Elysée de François Hollande , officiellement par   le  ministère  du Redressement productif d’Arnaud Montebourg . Un fonds était-il annoncé,    cofinancé par l’État français et par des entreprises privées, afin de faire taire les accusations formulées selon lesquelles le Qatar cherche à prendre pied dans les quartiers  sensibles à des fins de prosélytisme islamiste.

     Marine Le Pen rappelait alors que  cet OPA du Qatar, «  cheval de Troie de l’islamisme », avec  la complicité de M. Montebourg,  « (démontrait)  que notre pays est bel et bien à vendre aux monarchies pétrolières qui soutiennent par ailleurs, partout dans le monde, l’islamisme radical et le djihadisme ».

     Sur le site de France 24, il était rappelé que le  Qatar étant «suspecté  de soutenir des mouvements islamistes radicaux », l’ancien président Nicolas Sarkozy avait mis le projet en veilleuse au mois de mars dernier ». Mais « les élections passées, le Qatar peut repasser à l’offensive, estime Karim Sader, politologue et spécialiste des pays de la péninsule arabique. »

     Or note-t-il encore, « de la part du Qatar, rien n’est gratuit. Et beaucoup ont été assez naïfs pour ne pas voir la main du Qatar derrière les révolutions arabes et l’établissement de gouvernements proches des Frères musulmans ».

     Pourtant Laurent Fabius  et Arnaud Montebourg s’étaient rendus à Doha au cours de la campagne présidentielle, émirat qui avait pris soin d’inviter  au cours de ces dernières  années « Manuel Valls, François Hollande, Ségolène Royal, Fadela Amara et Rachida Dati »,  «rapporte une source anonyme qui les a rencontrés tour à tour autour de la piscine d’un des somptueux palaces de l’émir. Depuis mai 2012, les délégations de Doha ont plus souvent été reçues sous les ors de la République françaises que toute autre puissance étrangère. »

     Là encore, gauche et droite mondialistes naviguent de concert constate Bruno Gollnisch.  Une politique  de compromission, soumise au veau d’or,  qui pour le coup, et pour reprendre la formule de M. Copé , n’est pas seulement absurde mais assurément dangereuse et  peu soucieuse de nos intérêts nationaux  bien compris.

    http://www.gollnisch.com/2013/10/11/qatarstrophe/

  • Ludovine de La Rochère rencontre la Présidente de la CNCDH

    Communiqué de LMPT :

    "Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, a rencontré cet après-midi Christine Lazerges, Présidente de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH). Objectif : échanger sur la primauté des droits de l’enfant et rappeler l’opposition de La Manif Pour Tous à la libéralisation pour les couples de femmes de la PMA (Procréation Médicalement Assistée).

    La Manif Pour Tous a rappelé les droits de l’enfant à connaître sa filiation et, dans la mesure du possible, à être élevé par son père et sa mère. C’est-à-dire qu’il existe, de fait, des situations dans lesquelles un enfant n’est pas élevé par ses deux parents, ou même aucun des deux. Mais, pour La Manif Pour Tous, il est inacceptable que des enfants soient délibérément privés de père ou de mère, qui plus est par la loi !

    C’est pourquoi La Manif Pour Tous, avec la majorité du peuple français, condamne l’ouverture de l’adoption aux couples de même sexe rendue possible par la loi Taubira dont elle demande l’abrogation (sans réatroactivité). C’est aussi la raison pour laquelle elle se prépare à mobiliser à nouveau les citoyens français face au risque évident d’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes, nouvelle revendication de l’ultra-minoritaire lobby LGBT (Lesbiennes Gays, Bisexuels et Transexuels). Ce projet irait ainsi clairement à l’encontre des droits de l’enfant puisqu’il reviendrait à considérer qu’il existe un « droit à l’enfant », ce qui n’est pas le cas, ainsi que l’affirme la CNCDH elle-même. Il serait injuste de privilégier le désir de l’adulte à avoir un enfant – aussi compréhensible soit-il – plutôt que de reconnaître le besoin primordial de l’enfant d’avoir un père et une mère et d’y répondre. Autoriser la PMA aux couples de femmes, c’est créer une nouvelle inégalité entre enfants, ceux qui ont un père et une mère et ceux que l’on prive délibérément de père. La Manif Pour Tous rappelle qu’aujourd’hui la pratique de la PMA est encadrée et qu’elle n’est autorisée que pour les couples homme-femme dont la stérilité est médicalement reconnue.

    Sur ce sujet de la libéralisation de la PMA, la CNCDH attend l’avis du CCNE (Comité Consultatif National d’Ethique) pour reprendre sa réflexion. Ludovine de La Rochère a rappelé que le CCNE avait été entièrement renouvelé quelques semaines après que M. Hollande ait déclaré qu’il s’en tiendrait à l’avis de ce comité sur l’ouverture de la PMA aux couples de même sexe et aux célibataires…

    De son côté, Christine Lazerges s’est engagée à auditionner La Manif Pour Tous le moment venu. Le collectif a pris bonne note de cet engagement, dont elle remercie la Présidente de la CNCDH."

    Michel Janva

  • L'UIMM arrosait les syndicats, les politiques, les journalistes

    Au troisième jour du procès de l'UIMM devant le tribunal correctionnel de Paris - qui s'interroge sur l'utilisation de 16 millions d'euros en liquide retirés entre 2000 et 2007-, Arnaud Leenhardt qui a présidé l'UIMM entre 1985 et 1999, a déclaré :

    «C'étaient les cinq syndicats représentatifs. Le patronat avait besoin de syndicats qui soient solides. Quand on a des grèves avec séquestration, on est bien content d'avoir un syndicat capable de canaliser ces débordements et de favoriser une reprise du travail.»

    Selon lui, le CNPF (l'ancêtre du Medef), mais aussi des journalistes, des sociologues ou des bureaux d'études auraient également bénéficié pendant des décennies. Si Arnaud Leenhardt ne peut rien dire sur un éventuel financement politique occulte, il est en revanche affirmatif sur le fait que des députés et des sénateurs ont été destinataires d'enveloppes bourrées de billets de banque.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • C’est dimanche, je prends ma bagnole : faut que je bricole

    La polémique du mois, c’est donc « pourquoi empêche-t-on les gentils étudiants de travailler le dimanche » ? Comme d’habitude, on n’a pas besoin d’allumer sa télé ou d’écouter sa radio pour entendre le ramassis intellectuel récurrent « c’est bon pour l’emploi, c’est bon pour la croissance ».

     

    Personne ne se posera donc les bonnes questions :

     

    Pourquoi si le commerce est bon pour l’emploi et pourquoi si les grandes surfaces aiment tant les étudiants, trouve-t-on autant de caisses automatiques ?

     

    N’est-ce pas dans ces mêmes magasins que l’emploi est devenu si précaire, les horaires complétement absurdes, que les caméras de surveillance surveillent plus le personnel que les clients ?

     

    N’est-ce pas ces mêmes grandes structures qui ont bousillé plus d’emplois qu’ils n’en ont créé au cours des 50 dernières années ?

     

    N’est-ce pas ces mêmes grandes structures qui détruisent la planète pour nous vendre du bois exotique sous forme de parquet, et qui fabriquent des produits en Chine sous leur marque enseigne sans se poser aucune question sur ce que cela provoque sur les usines françaises ?

     

     

     

    N’est-ce pas ce même système qui pousse à la périphérie de chaque ville et qui ne vit que grâce à la bagnole ? La sacro-sainte bagnole et la publicité en 4x3m qui nous vend un monde qui n’existe pas ?

     

    Qui se pose la question dans ce pays, la fameuse question: « pourquoi les étudiants doivent-ils travailler le dimanche ? » alors que c’est ce même pays qu’on vante dans les pays étrangers comme « chez nous, l’enseignement est gratuit ».

     

    Qui demandera combien coûte un missile M51 et combien cela nourrirait d’étudiants si on arrêtait d’en fabriquer car « Dans ce monde, en vérité, la haine ne se détruit pas par la haine. C’est seulement par la compassion que la haine s’éteint. Ceci est un principe ancien. » (Enseignement du Dhammapada)

     

    Comment se fait-il qu’on envoie des camions remplis de CRS à chaque manifestation anti-nucléaire, anti-OGM parce que tous ces méchants extrémistes ne respectent pas la loi ? Comment se fait-il que des gérants de supermarchés avides de vendre leur merde pour augmenter leur chiffre d’affaire ne subissent pas le même sort quand ils ne respectent pas la loi ?

     

    Qui gagne dans l’affaire ? Les étudiants à qui ont donne des miettes qu’ils s’empressent de manger dans la servitude volontaire la plus basse ? VRAIMENT ?

     

    Dans cette affaire, il n’y a que deux gagnants :

     

    - Les grands groupes qui vont continuer de s’empiffrer les poches.
    - La bagnole qui à défaut de rouler 6 jours sur 7, roulera maintenant 7 jours sur 7 car… « Chérie, je prends la bagnole. Je cours à Leroy-Merlin, faut que j’aille chercher un paquet de clous pour accrocher l’armoire IKEA dans la chambre du petit ».

     

    Le triptyque de la croissance est donc bien d’actualité dans cette affaire : ma voiture, mon supermarché, mon ignorance !

     

    PS : Chérie, je suis revenu. Ils étaient en rupture de stock. Ils seront livrés mardi. Si j’avais su je l’aurais commandé sur Ebay.

     

    PS2 : Chérie, il est 3 heures du matin, je regardais Nabilla à la télé mais elle vient de tomber en panne. Comment ça se fait que ce pays qui se dit moderne ne permet pas d’aller à 3 heures du matin avec ma voiture chez Darty pour acheter une nouvelle télé ? C’est pas normal !!! En plus, y’a des étudiants et des chômeurs qui veulent travailler !!

     

    Carefree

      http://fortune.fdesouche.com/326849-cest-dimanche-je-prends-ma-bagnole-faut-que-je-bricole

  • Un projet de Résolution du Parlement européen promeut l’avortement et s’attaque à l’objection de conscience

    Une proposition de résolution « sur la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) sera débattue et votée le 22 octobre prochain au Parlement européen.

    Cette résolution, introduite par la députée portugaise socialiste Edite Estrela a été adoptée par la Commission « Droits de la femme et égalité des genres » le 18 septembre dernier.

    Le texte aurait été rédigé par Vicky Claeys, la Présidente de la section européenne de la Fédération Internationale du Planning familial (IPPF EN). Elle a revendiqué publiquement en avoir fait le « drafting » le 19 juin 2013, lors de la présentation au Parlement européen d’un rapport de l’IPPF sur l’accès des femmes aux nouvelles méthodes de contraception.

    Cette résolution promeut l’avortement comme un droit fondamental, s’attaque au droit à l’objection de conscience et aux droits des parents, et demande à l’Union européenne de financer l’avortement dans sa politique extérieure d’aide au développement. Ce texte veut plus d’avortements et moins de droits pour les objecteurs et les parents ; il ne recommande rien pour prévenir l’avortement ni pour soutenir les femmes enceintes.

    Ce projet de résolution s’oppose frontalement à l’Initiative Citoyenne Européenne Un de Nous soutenue déjà par plus de 1.200.000 personnes en Europe qui demandent précisément l’arrêt du financement par l’Union européenne de l’avortement et des pratiques industrielles et scientifiques impliquant la destruction d’embryons humains. [...]

    La suite sur France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Un-projet-de-Resolution-du