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magouille et compagnie - Page 2410

  • Proposition de loi pour supprimer le CESE

    Les députés UMP Marc Le Fur et Franck Gilard souhaitent déposer une proposition de loi constitutionnelle « visant à supprimer le Conseil économique, social et environnemental ». Ils expliquent :

    « le CESE n’a été saisi par le gouvernement qu’à deux reprises en 2009 et pour les années 2010, 2011 et 2012 aucun chiffre n’est disponible dans les documents budgétaires au titre des indicateurs de performance ».

    Cela permettrait déconomiser 40 millions d’euros par an.

     Le Salon Beige

  • Jacques Bompard dénonce la partialité du CESE

    “Alors que plus de 700.000 Français ont demandé la saisine du Conseil économique, social et environnemental, celui-ci a jugé que leur pétition était irrecevable. On apprend aujourd’hui, que discrètement, le 18 février dernier, la troisième assemblée de France avait sollicité l’avis / les ordres du gouvernement sur la recevabilité de cette pétition, au mépris le plus total du principe fondamental de séparation des pouvoirs. Par ailleurs, la saisine du Conseil par voie de pétition doit remplir quatre conditions formelles. Ces quatre conditions étant en l’espèce remplies, le Conseil n’avait pas le pouvoir de refuser d’examiner au fond cette pétition dont il a été légalement saisi. Un des membres du CESE, Jean-François Bernardin, a d’ailleurs démissionné pour protester contre cette décision qu’il perçoit comme «une insulte contre les 700.000 pétitionnaires».

    Ce refus du CESE est donc non seulement un déni de démocratie mais également un acte anticonstitutionnel. Il confirme, par ailleurs, l’inutilité de cet organe coûteux et non démocratique, qui est aujourd’hui définitivement discrédité. En ces temps d’économies budgétaires, le gouvernement devrait tirer les conséquences de l’inutilité de cette assemblée couteuse et non démocratique et la supprimer purement et simplement.

    Face à ce blocage institutionnel, Jacques Bompard est convaincu que le seul moyen pour les Français de faire entendre leur voix est de descendre massivement dans la rue. Il sera donc présent à Paris à la manifestation du 24 mars prochain, accompagné de nombreux élus et habitants du Vaucluse et appelle tous les Français à s’y rendre en nombre pour défendre la démocratie et la famille, fondement de notre société.”

    source: Le Salon Beige

    http://fr.altermedia.info

  • Qui a tué l'Université française ?

    Que reste-t-il de l'université française, quand les meilleurs élèves du secondaire préfèrent aujourd'hui à ses diplômes un bon Brevet de Technicien Supérieur ? Réflexion sur un assassinat et ses mobiles.
    La crise de 2007 au moment de l'adoption de la loi LRU aura eu entre autres choses un mérite : celui de manifester au grand jour le désarroi des chercheurs et des enseignants-chercheurs. C'est peu de dire que nombre d'entre eux éprouvent aujourd'hui un réel malaise par rapport à leur propre métier et aux conditions dans lesquelles on leur demande de l'exercer. Peu de dire aussi que nombre d'entre eux se sentent déconsidérés. Il existe en effet aujourd'hui chez les universitaires en poste un réel sentiment de déclassement.
    Le drame de l'université française aujourd'hui tient à son explosion démographique et à son effondrement qualitatif. Il tient au fait que l'on a voulu multiplier à l'infini une élite qui, par essence, ne peut être qu'extrêmement rare et réduite.
    La massification et la promesse faite à travers cette dernière de permettre à une quantité toujours plus grande d'étudiants d'accéder à des diplômes jusqu'alors réservés à une toute petite élite n'a pas seulement démonétisé la plupart de ces titres universitaires. Elle a surtout contribué à ruiner la qualité même de l'enseignement dispensé.
    Un professeur à qui l'on n'offre l'occasion d'enseigner qu'à la condition expresse de ne jamais sanctionner ses élèves, de ne point pouvoir opérer de tri entre les meilleurs et les moins bons, de ne jamais sélectionner ses étudiants - le mot lui-même étant honni de l'institution - ne peut que se sentir inutile et au fil des années développer une sorte de sentiment d'impuissance que le sentiment de déclassement ne vient que renforcer encore.
    La massification, de ce point de vue, n'a conduit qu'à des catastrophes. Elle a littéralement détruit l'université. Il est vain de prétendre amender le système en y introduisant mesures palliatives et systèmes d'accompagnement - tutorat, heures de soutien, individualisation des parcours. Le vice est au départ. Il réside dans la démocratisation de l'enseignement supérieur elle-même.
    L'idée de démocratisation de l'enseignement supérieur est en effet une contradiction dans les termes. L'enseignement supérieur est élitiste où il n'est pas. Tout simplement parce que l'intelligence est élitiste - la nature l'a voulu ainsi.
    La massification de l'enseignement supérieur a, de ce point de vue, constitué un véritable meurtre : celui d'une institution vieille de près de 800 ans, qui avait traversé sans sourciller les guerres civiles religieuses, les reprises en main par le pouvoir royal, les épisodes révolutionnaires, le contrôle impérial, les basculements successifs de régime du XIXe siècle, la guerre civile de 1870-1871, les deux guerres mondiales de 1914-1918 et de 1939-1945.
    Après avoir tué l'Université, on a tué le professorat
    Ce que six siècles de violence n'avaient point réussi à faire, deux décennies de démagogie à outrance l'ont obtenu. L'université française est morte et enterrée. Gauche et droite ont dans ce meurtre une responsabilité partagée. Toutes deux ont en effet communié de concert dans cette haine du savoir, de l'aristocratie universitaire, de l'élitisme fondé sur la connaissance, de la sélection, de la méritocratie, de la justice. Et gauche et droite se sont attachées dans un effort poursuivi sans relâche et avec un zèle obstiné à détruire l'un après l'autre ces piliers qui faisaient l'ossature du temple universitaire.
    Par démagogie, on a fini par étendre le professorat à tous. Par démagogie, on a offert la titulature de chaire universitaire à tous - et surtout à ceux qui relevaient de la bonne obédience maçonnique ou du bon courant politique, à ceux qui avaient au moment opportun su choisir la bonne carte politique, ou à ceux qui avaient fait commerce de leurs charmes auprès du « bon » professeur - c'est-à-dire de celui qui était suffisamment puissant pour pouvoir garantir à celles (ou ceux) qui acceptaient de céder à ses caprices ou à ses propositions graveleuses une place de titulaire à l'université.
    Ainsi, à force de lâchetés, de prévarications, de concussions, on a attribué le titre de professeur titulaire de chaire, avec tout ce qu'il comportait d'aristocratique et de noble, à des individus qui ne méritaient pas même d'avoir le baccalauréat.
    On a fait du titre de professeur d'université une fonction flexible, malléable à l'envi, indéfiniment distribuable. On a distribué à l'envi les prébendes et les privilèges qui se trouvaient statutairement associés à ce titre - et qui étaient jadis réservés à une élite infiniment peu nombreuse - à une infinité d'incapables incompétents.
    Et c'est ainsi qu'après avoir tué l'université, on a tué le professorat
    La question dès lors se trouve posée de savoir s'il est encore possible de rétablir une véritable aristocratie du savoir. La réponse là encore est plus que décevante. A la faveur de l'autonomie des facultés, on pouvait espérer que certaines universités pilotes prendraient quelques longueurs d'avance sur les autres et que cette prééminence leur donnerait ainsi les moyens de créer une véritable élite enseignante.
    Mais cela eût supposé que l'on leur laissât le libre choix des axes de recherche, du contenu des enseignements, de la pédagogie adaptée, de la nature des examens et de la forme du diplôme. Ce ne fut nullement le cas. Et ce ne l'est pas davantage aujourd'hui.
    La raison en est simple : la cause principale de la dégradation de l'université n'a pas été la centralisation mais la massification et corrélativement la suppression de la sélection.
    Il faudrait au contraire que l'institution soit confiée à quelques individus, à quelques maîtres dignes de ce nom qui organiseraient une sélection draconienne à l'entrée, et contribueraient ainsi à rehausser la qualité des maîtres de conférence et des professeurs d'université.
    Daniel Aman monde & vie  27 août 2011

  • L'Assemblée Nationale roule sur l'or – par Ligne de mire

    Je vous résume ce que j'ai lu il y a deux jours, dans un article de Christelle Bertrand pour VSD. Hé bien figurez-vous  que les huissiers et secrétaires de l'Assemblée gagnent plus que les collaborateurs des députés. Elle n'est pas belle la vie à l'Assemblée.
    Alors que tous les ministères doivent se serrer la ceinture, à les entendre, et les Français aussi doivent se la serrer un peu plus chaque année qui passe, voilà donc que ces messieurs les huissiers et secrétaires qui font partie du simple corps des agents, finissent leurs carrières à plus de 5000 euros. Les secrétaires de services perçoivent 2800 euros net au début et peuvent finir à 5000 euros en fin de carrière.
    Les collaborateurs des députés font figure de parents pauvres : les élus disposent de 9138 euros par mois pour les payer. Chacun d'eux gagne en moyenne 2000 ou 2500 euros net alors qu'ils sortent pour la plupart de science-po. Les deux secrétaires généraux disposent chacun d'un magnifique 400m2.
    Autres découvertes : la politique de « mécénat artistique » pour laquelle 313 188 euros ont été dépensés en œuvres et objets d'art et en 2010.
    Et ce n'est pas fini. Voilà encore à quoi servent nos impôts : aménagement de nouvelles salles de commissions, achat de 55 véhicules et 6 monospaces, 14 véhicules de services, 11 véhicules de réserve garées dans l'un des parkings récemment rénovés pour 4 millions d'euros. Et que dire des facture de taxi ont atteint en 2010 la somme de 1,28 millions d'euros. De plus, l'assemblée règle chaque année à la RATP 230 000  euros pour les « pass navigo ».
    Et ce n'est pas tout chers amis Gaulois. Cette vénérable assemblée réalise chaque année un bénéfice de 26,56 millions d'euros, que le palais Bourbon se garde bien de restituer à Bercy au titre de trop perçu , alors que le trésor public lui verse chaque année plus de 500 millions d'euros en une fois, qui sont placés de suite et qui leurs rapportent plusieurs millions d'intérêts. Au total le Palais Bourbon dispose d'un tas d'or de 300 millions.
    La crise ce n'est pas pour tout le monde, alors que le Français de souche se levant tous les matins pour aller bosser et gagner le SMIC ou à peine et ayant bien du mal à boucler les fins de mois, elle est belle notre démocratie, notre république qui dilapide le fruit du labeur des honnêtes citoyens, permettant à certains de gagner  des salaires au-delà du raisonnable.
    Allez une bonne révolution, histoire de remettre tout cela à plat et de chasser tous ces parasites. Oui car se sont bien des parasites bouffant le gâteau France. Ils sont comparables aux autres allogènes qui ne produisent rien mais qui finissent par nous coûter très cher.
    Allez, les Patriotes il est temps de se réveiller et de se bouger.
    Vive la France et Vive les Vrais Patriotes.

  • Les Français ne condamnent pas la peine de mort…la France oui – par Manuel Gomez

     « La France condamne l’exécution survenue aujourd’hui au Japon de trois détenus. Ces exécutions vont à l’encontre de l’évolution mondiale en faveur de l’abolition de ce châtiment inhumain et dont la valeur dissuasive n’a jamais été établie ».
    Le Japon a procédé en 2012 à des exécutions capitales et s’est attiré ainsi la réprobation des « donneurs de leçons » français, par l’intermédiaire du ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius (France diplomatie). Ce châtiment est-il plus inhumain que celui qu’ont fait subir à leurs victimes ces trois monstres exécutés ?
     Yasuaki Uwabe a poignardé au hasard, en 1999, des passagers d’une gare ferroviaire. Bilan 5 morts et 10 blessés.
     Tomoyuki Furusawa a tué ses beaux-parents et le fils de 12 ans de sa femme, qui l’avait quitté parce qu’elle n’en pouvait plus d’être battue.
     Le dernier condamné à mort exécuté, un homme de 44 ans, avait violé et assassiné sauvagement en 2004 une petite fille de 7 ans, puis avait pris des photos du corps et les avait envoyé aux parents accompagnées du message suivant : « Maintenant je vais venir prendre votre deuxième enfant et le tuer aussi. »(cf. Le monde du 21.02.2013)

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Les beaux jours de l’anti-France : Taubira recrute Sihem Souid

    Fonctionnaire, journaliste et socialiste, Sihem Souid, auteur du livre polémique « Omerta dans la police », gravite dans les réseaux PS depuis son éviction du ministère de l'intérieur sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Proche d'Arnaud Montebourg et de Yamina Benguigui, elle vient de rejoindre Christiane Taubira au ministère de la justice. L’anti-France se la pète dans ce « gouvernement »… qu’ils en profitent : ça ne durera pas !

    Contractuelle du ministère de l’Intérieur, elle est l’auteur du livre « Omerta dans la police », paru en 2010, dans lequel elle décrit des actes graves (délits) et des manquements importants à l’éthique et la déontologie professionnelle qui se produiraient, selon ses dires, au sein de la Police nationale : sexisme, racisme, homophobie, atteinte à la dignité humaine, harcèlement, abus de pouvoir, déni de droit, politique du chiffre. Rien que ça !... Vraiment méchants, les Policiers !..

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Qu'est-ce que l'homophobie ? Tout ce qui critique le lobby gay…

    Carlos Leon Moya est un homme de gauche, sympathisant du marxisme-léninisme, favorable à la cause gay. Il est aussi politologue à l'ex-Université pontificale catholique du Pérou (qui entre-temps a perdu son label catholique). Et il vient de s'offrir, dans les colonnes du quotidien péruvien Diario 16, une tribune qui accuse le Mouvement homosexuel de Lima (MHOL) de traiter « tout ce qui est critique à son égard d'homophobe ».

    « Sa nécessaire agressivité frise un dangereux sectarisme. Ils considèrent leurs actions comme les seules appropriées, même lorsqu'elles sont assez osées », explique-t-il.

    Le MHOL avait organisé samedi une manifestation près de la cathédrale, cette « Eglise catholique qui nie les droits » des homosexuels : ils n'avaient pu accéder à la place protégée par des barrières tandis que, regrette Moya, des catholiques conservateurs purent manifester librement sur la place.

    En fait : échaudé par des débordements l'an dernier, des catholiques s'étaient retrouvés sur le parvis de la cathédrale pour prier pacifiquement et empêcher toute attaque contre l'édifice. Quant à la manif du MHOL, C'était un « kiss-in » avec des militantes déguisées en religieuses.

    Moya regrette la répression qui a accueilli la manifestation du MHOL – mais il s'insurge. Leur manifestation était-elle opportune ? Politiquement payante ? De nature à les rendre sympathiques ? Et de souligner que certains sympathisants avaient demandé que l'événement fût remis à plus tard dans un contexte électoral où certaines actions des pro-gay pouvaient causer du tort à la mairesse de gauche de Lima.

    Le MHOL sort alors la grosse artillerie. La gauche l'avait trahi. Le cynisme l'avait emporté au nom des intérêts électoralistes. Homophobie ! Les droits des homosexuels n'attendent pas, ne se remettent pas à plus tard : homophobie ! « Si quelqu'un souligne le prix que pourront coûter leurs actions, comme l'isolement ou l'éloignement d'une base qui peut être scandalisée par leur comportement, on les accuse encore d'homophobie. (…) Comme s'il fallait toujours les soutenir parce qu'ils ne se trompent jamais. Ils  traitent tous ceux qui les critiquent d'homophobes. C'est un évident et vulgaire abus du concept d'homophobie : tu me demandes de retarder un événement, c'est homophobe ; tu critiques ceux qui font scandale : homophobe ; les élections d'intéressent davantage, c'est homophobe ; tu es gay mais tu te caches : tu es encore homophobe. »

    Nous n'allons pas nous intéresser davantage à cette querelle interne. Elle aura du moins le mérite de montrer que pour le lobby gay, le mot « homophobie » est une arme de destruction de l'adversaire, qu'il soit proche ou lointain, et quelles que soient ses motivations. « On tombe ainsi dans une victimisation excessive, quasi pathologique », assure Carlos Leon Moya.

    Notez qu'en France toute critique et surtout toute action contre un événement « LGBT » est évidemment « homophobe » et forcément d'« extrême droite ». Il nous manque un politologue marxiste-léniniste pour dénoncer cette « victimisation excessive, quasi pathologique » !

    http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/

  • L'EDF, UN CONTE FANTASTIQUE

    La Cour des Comptes vient de jeter tout tranquillement un pavé dans la mare à l'occasion de son rapport annuel paru le mardi 12 février. C'est la totale. L’EDF est théoriquement privée et cotée en bourse. Dans les faits, elle est jalousement gérée par l'État, lequel est rempli de camarades des dirigeants. Or le rapport est très critique sur les pratiques de ces dirigeants. Les salariés bénéficient de salaires et d'avantages très généreux sans lien évident avec la performance de l'entreprise. De ce fait et contrairement aux salariés du secteur privé, ils n'ont pas subi de ralentissement de la progression de leur rémunération globale depuis 2008 en dépit des résultats contrastés d'EDF. Parmi les heureux bénéficiaires de ce généreux mouvement, il est évident que le groupe des hauts dirigeants est amplement gâté. Il se trouve aussi que de proche en proche tout le personnel se trouve favorisé. Parmi les avantages divers se trouvent de fastueuses retraites. Parmi les coûts, ne pas oublier les niches confortables offertes à des camarades en panne dans leur carrière.
    La Cour pousse son analyse dans le détail. Elle pointe de nombreux avantages pour les salariés comme des tarifs avantageux ou des abonnements gratuits. Espérons modestement que cette possibilité pour une dépense essentielle ne conduit pas certains agents particulièrement serviables et peu scrupuleux à faire bénéficier leurs gentils voisins de cette aubaine !

    LES ORIGINES HISTORIQUES
    Le conte fantastique a des racines historiques profondes. Après la guerre, le premier acte fut une opération de banditisme d'État, par laquelle le pouvoir politique nationalisa les diverses compagnies d’électricité qui remplissaient parfaitement leur office et auraient pu continuer ainsi à la satisfaction générale.
    Malgré l’ambiance révolutionnaire de l’époque, une indemnisation des actionnaires fut prévue sous forme d'un titre donnant droit à 1% du chiffre d'affaires pendant de longues années. Le banditisme initial conduisait inévitablement à des problèmes, car on n’imagine pas facilement une entreprise rembourser ses actionnaires par un pourcentage sur le chiffre d'affaires tout en continuant son développement. Les titres spéciaux ont été considérés longtemps comme des placements de pères de famille atteignant des valeurs inattendues : pour certains, la rapine initiale fut une véritable chance !
    Parallèlement, un autre 1% du chiffre d’affaires était dévié vers les syndicats sous couleur d'action sociale. Ces sommes énormes ont été captées, illico presto, par la CGT et ont servi clairement à l'enrichissement des syndicats et donc des chefs syndicalistes et de leur entourage. Le comité d'entreprise, plaque tournante de cet argent avait été accroché durement pat la Cour des comptes en 1990 et 2007. La richesse du syndicat lui a permis d'acheter et d'entretenir plusieurs luxueux châteaux dans la France profonde. Les camarades qui dirigent ces demeures doivent bénéficier de jobs fort sympathiques !
    Au premier acte de banditisme, il s'en est ajouté un deuxième par un prélèvement abusif de 2% du chiffre d'affaires. L'énormité des sommes a pesé pendant des années sur les utilisateurs du courant, donc sur toute la France : un calcul honnête devrait tenir compte des intérêts composés et des variations monétaires ; il est impossible à faire mais il montrerait sur des décennies l'immense déperdition de richesse qui en est résulté. Un principe financier veut que les dégâts initiaux ne se réparent jamais. C'est comme si des paquets de billets avaient été déchirés.

    LE MONOPOLE
    De toute façon, la brutalité du monopole assurait les arrières. Bien sûr et, mensongèrement, la propagande dira que la France fut ainsi équipée et que sa technique était « enviée dans le monde entier ». L'information dans le cadre du monopole étant télécommandée par EDF, personne ne saura jamais la vérité.
    Pendant des lustres, les pouvoirs successifs logèrent dans ce fromage très républicain leurs amis et connaissances. C'était la belle époque où, à l’échelon d’en-dessous, les fils d'EDF devenaient facilement EDF. Nous ignorons si ce système perdure.
    Il faut rappeler le temps pas si lointain où les énarchos-socialos au pouvoir avaient imaginé investir en Amérique latine. L'idée géniale consistait à se rattraper sur les populations de ces pays en leur faisant supporter la mauvaise gestion de l'EDF en France. Trois pays d'Amérique latine furent visés : Brésil, Mexique, Argentine ; Il a fallu plier bagage après des milliards d'euros de pertes.
    L'action EDF fut introduite à la cotation en novembre 2005 au cours de 25, 54 et se retrouve aujourd'hui à 14,65. Si l'on tient compte de la dépréciation monétaire la chute est sévère.
    Pour les économistes, une nationalisation ouvre dès le début la porte à diverses causes de ruine. Quand, plus tard, un autre pouvoir veut légitimement dénationaliser, la ruine s'inscrit dans les faits. Des exemples de ce type ont foisonné dans les pays de l'Est !
    Michel de Poncins http://libeco.net

  • " La fausse définition du mariage " selon le président Hollande

    La Fondation Polémia est très sensible au sens des mots et à leur usage (1). Or on assiste aujourd’hui à un appauvrissement fulgurant du langage, dû entre autres au « parler jeune des banlieues », qui se généralise dans les nouvelles générations et paradoxalement dans les cours d’écoles maternelles, des collèges et des lycées pour ensuite contaminer l’entourage. On aurait pu penser que le mal n’aurait pas atteint certaines catégories de notre société, auxquelles appartiennent ceux que l’on désigne comme nos élites, ceux qui ont entre leurs mains le sort de la France… La meuf, le keuf, le keum, les remps n’écorchent plus la langue du cadre supérieur ou de l’homme politique. On voit même notre président de la République et son garde des Sceaux vouloir « imposer une fausse définition du mariage » pour faire voter une loi hors du commun.
    Polémia a reçu d’un correspondant une lettre ouverte, signée du président de l’Union nationale des écrivains de France, adressée au secrétaire perpétuel de l’Académie française aux fins de saisir l’Académie qui, en ne se manifestant pas, dérogerait, selon l’Union nationale des écrivains de France, à la souveraineté qui lui est conférée. C’est un document qui rejoint sur le site de Polémia plusieurs autres contributions contre le « Mariage pour tous ». Nos lecteurs en prendront connaissance ci-après.
    Polémia


    Union Nationale des Ecrivains de France
    Coordination Défense de Versailles
    8, rue d’Anjou, 75008 Paris
    Le Président
    Lettre ouverte

    Madame Hélène Carrère d’Encausse
    Secrétaire perpétuel de l’Académie française
    23, Quai de Conti, 75006 Paris

    Objet : Saisine de l’Académie française sur la fausse définition du mariage de l’article 1 du projet de loi Taubira-Hollande

    Versailles, ce 24 février 2013

    Madame le Secrétaire perpétuel,

    Dans l’actuel bras de fer opposant la Nation et le Président de la République voulant lui imposer une fausse définition du mariage, le silence de l’Académie française ne saurait durer ! C’est l’archevêque d’Albi, Mgr Jean Legrez, et non l’Académie française, qui a soulevé le problème en disant : «La première chose que le gouvernement doit faire est de convoquer l’Académie française pour changer le sens des mots !» Dès lors, toute la question est donc de savoir qui, du Gouvernement, du Peuple ou de l’Académie française, a le droit d’obliger les enfants à donner au mot mariage un sens inverse de celui de leurs parents ? Qui, comme l’a suggéré le Député Azérot, aurait le droit de trainer devant les tribunaux toute personne refusant la fausse définition du mariage que F. Hollande veut imposer au nom de «la force injuste de la loi» dénoncée par son mentor F. Mitterrand ? Qui est souverain maître de la langue, du sens des mots et du dictionnaire ?

    C’est l’Académie qui détient le pouvoir souverain

    La souveraineté de l’Académie est inscrite au principe même de sa devise, de son histoire, de ses statuts et de sa mission :

    -      Sa devise  «A l’immortalité», inscrite sur le sceau de Richelieu, dicte sa finalité aux académiciens, ainsi faits «immortels», d’assurer la stabilité de la langue française du Siècle de Louis XIV en la fixant pour l’éternité ;
    -       Son histoire prescrit le cap de service public : «Si la fondation de l’Académie française par Richelieu en 1635» est une date clef de l’histoire de France moderne, «c’est parce que, pour la première fois, les débats d’une assemblée de lettrés ont été considérés comme pouvant jouer un rôle éminent dans le devenir de la société et de la nation» ;
    -       Ses statuts, depuis 1635, ont la particularité de lier l’autorité de la Compagnie au magistère intellectuel qu’ils lui confèrent sur la langue pour lui «donner des règles certaines». «L’Académie est ainsi assimilée aux cours supérieures, comme instance suprême en matière de langue» : c’est-à-dire à une Cour souveraine, scénarisée par son cérémonial, ses costumes d’apparat et son palais Mazarin à l’architecture de prestige grand siècle ;
    -       Sa mission est la défense de la langue française, depuis qu’après avoir fait du français la langue administrative et judiciaire commune à l’ensemble du royaume, le roi en fera, à travers le gouvernement de Richelieu, l’instrument de sa politique d’unification du royaume, de rayonnement culturel et diplomatique, et la langue commune de l’Europe. «La principale mission de l’Académie sera de travailler, avec tout le soin et toute la diligence possibles, à donner des règles certaines à notre langue et à la rendre pure, éloquente et capable de traiter les arts et les sciences.» (Article XXIV) ;
    Dépositaire de la doctrine de Malherbe, (…) l’Académie a reçu une mission dont on mesure mieux aujourd’hui la profonde originalité : constituer avec sagesse et économie une langue qui ne fût pas celle des spécialistes, des érudits, ni celle des corporations, qui eût la clarté et l’élégance qu’on accorde au latin, où ne fût pas accentué l’écart entre langue écrite et langue parlée, qui tînt enfin sa force de son double attachement à l’usage et à la norme1»

    L’article 1 viole la souveraineté de l’Académie

    Mais, aujourd’hui, l’Académie voit sa souveraineté effrontément violée par l’article 1 du projet Hollande prétendant se substituer à elle pour infliger aux vrais couples mariés le symbole inversé d’une paire d’homosexuels inféconds. Car dit bien C. Taubira «il ne s’agit pas d’une ruse, pas d’une entourloupe, il s’agit d’un mariage avec toute sa charge symbolique». La double atteinte au droit de la langue, de sens et de symbole, est manifeste :

    1. L’art. 1 du projet de Loi Hollande viole outrageusement la règle d’or, de clarté non équivoque, ayant assuré au français sa suprématie internationale pendant quatre siècles, en donnant du mariage une définition absurde ; un même mot (mariage) ne pouvant désigner à la fois une chose et son inverse : le « différent » ou le « même » (sexe) !

    Qu’on en juge par l’incompatibilité radicale des deux définitions de :

    -       l’Académie : MARIAGE. Union d’un homme et d’une femme par le lien conjugal
    -       l’Art. 1 du projet de loi : Le mariage est contracté par deux personnes de sexe différent ou de même sexe.

    2.     Comment imaginer défi plus symbolique au génie du français et à sa règle d’or – de clarté, de pureté et de probitéque cette antidéfinition du «mariage» confondant outrageusement un «chose» et son «inverse», le «normal» et l’«anormal», le «vrai» et le «faux» ?

    Symbole ignominieux de confusion des contradictoires Molière verra même dans l’inclusion des contraires dans un même mot, la cause de tous nos maux ! – que Richelieu fustigera en termes sans appel en disant : «Le bien et le mal sont en effet si différents et contraires qu’ils ne doivent point être mis en commerce l’un avec l’autre ; ce sont deux ennemis entre lesquels il ne se doit faire ni quartier ni échange».

    Le mot le plus chargé de sens immortel

    Le 6 avril 2000, l’Académie s’est alarmée de «la politique d’amenuisement des filières littéraires …sur le point de parvenir à éliminer presque complètement de notre enseignement la connaissance et le goût de la littérature» jusqu’à interdire «la compréhension du langage scientifique comme des structures politiques et juridiques de notre civilisation.» Si bien qu’ «aujourd’hui, la langue et la littérature elles-mêmes… semblent être devenues les ennemis à détruire.»

    Aujourd’hui, avec l’article 1 du projet Hollande, c’est le mot  mariage  qui est devenu l’ennemi à abattre! Et si le succès de coup d’État sémantique de la loi Hollande réussissait, il priverait les Français du mot le plus chargé d’humanite, d’intelligence du monde et de sens polysémique de la langue. Avec toutes ses réalités et repères – intellectuels, identitaires, symboliques, artistiques, religieux, politiques, sociaux, biologiques, généalogiques, affectifs, psychologiques, historiques familiaux, sexuels – attachés à ce mot « magique », un tel rapt dépossèderait les Français de leur droit constitutionnel à leur langue, l’Académie de sa souveraine raison d’être, et frapperait d’illégitimité et d’imposture le Régime qui oserait se livrer ainsi à une telle oppression de la langue, radicalement antidémocratique

    L’Académie française ne peut pas ne pas relever le défi de l’article 1

    En réponse au projet du Gouvernement de détruire le mot le plus chargé de sens de la langue universelle, l’Académie – responsable de la défense de la langue la plus claire, élégante et universelle, de sa règle d’or de précision non équivoque – ne saurait sans se déjuger ne pas relever le défi lancé à son pouvoir souverain sur la langue.

    Depuis sa déclaration du 6 avril 2000, c’est bien dans cette Résistance à la destruction du français que l’Académie s’est déjà engagée, assurément guidée dans cette voie par cette sorte d’instinct « académique », hérité de Richelieu qui ne cessait de proclamer : «La lumière naturelle fait connaître à un chacun que l’homme ayant été fait raisonnable il ne doit rien faire que par raison» ; «qu’il ne doit rien vouloir qui ne soit raisonnable et juste» ; que « les Intérêts publics doivent être l’unique fin de ceux qui gouvernent les Etats et leurs conseillers et être préférés aux particuliers».

    C’est sur ce principe de défense que, dans sa séance du 12 juin 2008, elle a adopté à l’unanimité une déclaration s’opposant à la reconnaissance constitutionnelle des langues régionales dont la mention dans l’article 1 de la Constitution constitue, selon elle, «un déni de la République». En relevant le défi de la fausse définition du mariage, elle ne fera que faire suite à l’avis du 21 janvier 2013 de l’Académie des sciences morales et politiques sur le projet de loi ouvrant le mariage aux personnes du même sexe et appelant «l’attention des pouvoirs publics sur la nécessité de respecter, dans la loi et ses textes d’application, le droit des couples hétérosexuels à demeurer mari et femme et père et mère de leurs enfants ( sic).» La rupture envisagée sur la filiation est plus profonde encore. Le projet «tend à promouvoir un droit à l’enfant qui fait passer celui-ci de sujet à objet de droit. Il conduit à nier la différence biologique entre les sexes (…).»

    Mais l’article 1 du projet de loi Hollande est une définition de mot relevant du magistère intellectuel de l’Académie française qui, contrairement à l’Académie des sciences morales et politiques – n’ayant qu’une voix consultative – est assimilée à une Cour souveraine dont le Président de la République assure d’ailleurs la fonction de Chef et Protecteur héritée de Richelieu. A l’image du pouvoir souverain des Cours supérieures sa souveraineté sur la langue est sans appel !

    Saisine de l’Académie Française

    Sauf à accepter d’être ridiculisé aux yeux du monde entier dans le principe même de sa devise « A l’immortalité » (de la langue française) par un Gouvernement ultra-minoritaire :

    • - niant sa raison d’être de faire le dictionnaire et d’y donner la vraie définition des mots en prétendant lui imposer une fausse définition du mot mariage inverse de son sens immortel et universel ;

    • - niant sa vocation de défense de la langue commune du peuple contre tout empiètement partisan d’une tyrannie prétendant déposséder le Peuple de la définition commune et symbolique du mot immémorial la plus chargée de sens auquel il droit ;

    • - niant le principe même de sa souveraineté datant de Richelieu ; sauf à accepter de faire rétrograder la langue française et démissionner l’Académie française du 1er rang à celui d’un Institution discréditée dont le prestige de façade, non défendu les armes à la main, ne serait plus qu’une coquille vide de sens, ayant fait son temps, dénuée de toute légitimité et respectabilité ; sauf à se nier elle-même, l’Académie doit rejeter le dictat du Gouvernement !

    C’est pourquoi, au nom de la vocation de l’Académie d’assurer l’immortalité de la langue française, de son devoir de fidélité à l’œuvre de son fondateur Richelieu et à sa Mission de Défense de la langue française ; au nom de son Pouvoir souverain en matière de langue ; au nom de l’Union Nationale des Ecrivains de France ( UNIEF) et de la Coordination Défense de Versailles (CDV) ; nous vous saisissons de notre demande de tout mettre en œuvre pour faire opposition à l’adoption de la fausse définition du « mariage » de l’art. 1 du projet de loi Hollande qui viole le principe même de clarté non contradictoire, d’universalité souveraine de la langue française, et la raison d’être de l’Académie aux yeux de tous !

    Dans cette attente, et dans celle de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Madame le Secrétaire perpétuel, l’assurance de notre haute considération.

            Pierre CHARIE-MARSAINES                                                 Arnaud-Aaron UPINSKY

    Président d’honneur, Commandeur de la Légion d’Honneur                                          Président

    Notes :

    (1) La Fondation Polémia a édité deux brochures : (a) Dictionnaire de novlangue, suivi de La Bataille du vocabulaure et (b) Dictionnaire de la réinformation – Cinq cents mots pour la dissidence
    (2) Site de l’Académie française

    Correspondance Polémia – 1/03/2013

  • Seulement deux perspectives, hélas ! par Le Crieur du Cœur

    J’ai essayé d’imaginer ce que pourrait devenir une société totalement égalitariste – c’est-à-dire « débarrassée » de toutes les différences possibles entre ses composants, donc totalement uniformisée.
    Tout d’abord, elle serait appelée « société égalitaire », ce qui serait un titre absolument incomplet, car elle aurait négligé, dès sa fondation, la vérité de sa dénomination, qui en réalité aurait dû être « société d’égalité des droits ». Mais ne perdons pas de temps en nous laissant détourner par ce détail évident de subversion anti-logique.
    Pour égaliser les différences entre les composants d’une société, l’action la plus simple, intellectuellement et pratiquement, a déjà été expérimentée, et bien plus énergiquement que par les famines d’épurations ethniques organisées par Staline en Ukraine dans les années 1920-1930, pour supprimer tous les paysans.
    Une tentative du même genre criminel a été effectuée de manière encore plus radicale par les Khmers rouges, dans le but d’éliminer les « parasites  intellectuels hostiles ». Il suffisait de ne pas avoir les mains calleuses pour être supprimé... Ainsi, rapidement, après trois millions de morts (près du tiers de la population), le pays s’était trouvé réduit à des masses populaires dont l’ignorance était le plus beau fleuron. C’était là un parfait exemple de rétablissement de l’égalité (l’uniformité) vers le bas.
    La seconde méthode, que Staline a tenté mais partiellement de mettre en œuvre, est à l’opposé. Il suffirait d’éliminer toute personne ayant échoué au baccalauréat (pas les certificats automatiques actuels) pour se retrouver avec une société très égale et très intellectuelle, jouissant d’une splendide uniformité de prétendus génies ; qui serait cependant, selon le sens exact de l’expression populaire, « la fin des haricots » !!! car pour cultiver la terre, il faut être capable de se livrer à une activité riche de calme, de persévérance, de prévoyance, d’analyse pratique, toutes qualités pas tellement répandues dans une masse d’intellectuels théoriciens, fussent-ils les meilleurs bobos, cocos, cucultistes,  et autres spécimens. Car pour faire pousser le blé qui donnera le pain du peuple, ou les salades des « pépés caviar », il faut se salir les mains (pas les morales...) !!!
    Alors, quelles possibilités reste-t-il ? C’est très clair : une seule : revenir à la raison, et cesser de ressasser les mensonges égalitaires : il n’y a pas, il n’y a jamais eu, il n’y aura jamais, il ne pourra jamais y avoir sur cette planète, la moindre « égalité totale » sinon devant la mort (et encore !!!).
    Il s’avère donc indispensable et urgent de revenir à la vérité des mots qui expriment la réalité » des faits réels : oui à l’égalité des droits, non à toute forme d’égalitarisme fiévreux et exacerbé, stupide, dont l’application ne peut mener qu’à des catastrophes, sociales, morales, psychologiques, voire même biologiques. Un homme n’aura jamais d’utérus, une femme homo n’aura jamais de pénis dispensateur de sperme ; et des orgasmes par substitution ne peuvent qu’évoquer une masturbation réciproque. Tout « mariage » de ce genre ne peut être qu’une parodie d’un mariage naturel, que l’amour « flaconique » ne pourra jamais remplacer dans la mentalité des gosses.
    De même, l’égalité topographique entre des naissances, stupidité criminelle, ne fera jamais, en dépit de toutes les arguties, ne fera jamais qu’un kangourou né dans une étable près du village  Camembert puisse devenir, par la volonté surgonflée d’un législateur démentiel, une vache normande !!!

    Mais surtout, il n’y aucune égalité, ni identité, ni uniformité, entre la « rose » idéale des symboles, et la rose réelle. La vraie rose, elle, a des épines ! Il faut le rappeler, comme le fait Le Crieur du Cœur.

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