En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Synthèse de la décision – Cour d’appel d’Aix-en-Provence (17 février 2025, N° 25/00309)
Contexte de l’affaire
Monsieur [J] [S], de nationalité tunisienne, a été placé en rétention administrative par le Préfet de Haute-Corse suite à une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Cette mesure a été confirmée par une ordonnance du 15 février 2025, rendue par le magistrat chargé du contrôle des mesures d’éloignement et de rétention à Marseille. Monsieur [S] a fait appel de cette décision, sollicitant sa remise en liberté ou, à défaut, son assignation à résidence.
Sinistre et terrible anniversaire que ce 19 mars !
Comme l’a écrit Etienne de VIGNOLES, dit La Hire, Compagnon de Jeanne d’Arc
« J’ai fait ce qu’un Soldat a l’habitude de faire. Pour le reste, j’ai fait ce que j’ai pu ! »
Mais, cela n’a pas été assez et si je croyais encore, il y a déjà longtemps que j’aurais demandé à Dieu qu’il me pardonne. Alors, aujourd’hui et jusqu’à mon dernier jour, je continue et continuerai à faire ce que je peux, car je ne peux ni ne veux oublier les Harkis, mes Frères d’arme !
Les Pays-Bas ont décidé de relever la limitation de vitesse sur autoroute de 100 à 130 km/h, une mesure, fondée sur des études approfondies, qui semble aller à l’encontre des idées reçues sur la réduction de la vitesse pour protéger l’environnement. La vitesse sur route reste fixée à 80 km/h.
C’est trop tard. Les apprentis va-t-en-guerre ont tout fait pour piéger l’Europe.
Ils ont tous trahi les peuples européens et sont complices de l’hécatombe inutile.
Aussi incompétents que menteurs, ils ont tous relayé la propagande otanienne et kiévienne, entraînant l’Europe dans une guerre qui n’est pas la sienne mais qui se solde par un désastre historique. Des millions de morts, de blessés, de veuves et d’orphelins pour rien !
Lu dans le JDNews du 19 février, un article de Vincent Hervouët, journaliste spécialisé en matière de politique étrangère, qui, évoquant la disparition de l’Europe et la négociation directe de Donald Trump avec Vladimir Poutine pour la paix en Ukraine, se conclut ainsi:
Ce n’est pas un de ces articles que l’on lit distraitement le week-end, mais il faut que cette affaire soit connue. Le journal Le Parisien, dans son édition du 21 février, livre des informations particulièrement atroces, que les lecteurs de BV doivent connaître jusqu’au bout pour ouvrir les yeux sur les réseaux pédocriminels. L’Office mineurs (OFMIN), service de police spécialisé dans ce genre d’affaires, a mené une série d’interpellations, au cours du mois de février.
À Oudon, près de Nantes, les habitants sont estomaqués par les dernières révélations sur les agissements de cet assistant familial, engagé en politique chez LFI et dans le milieu LGBTXYZ, suspecté d’avoir mis des enfants en très bas âge dont il avait la responsabilité à la disposition de pédocriminels.
Avec le travail de l’équipe Trump, les édifices commencent à se fissurer, aux Etats-Unis, comme en Europe. L’examen des comptes fait apparaître des irrégularités de toutes sortes. Aux Etats-Unis, on s’aperçoit que de prestations sociales sont payées à des gens morts depuis longtemps, selon un système qui profite à quantité de parasites redevables au système qui les nourrit, entendre, qui avaient intérêt à voter démocrate pour ne pas tuer la poule aux œufs d’or. Un peu comme la France qui continue à payer des retraites à des Algériens âgés de plus de cent ans et dont personne ne retrouve la trace, ou plusieurs RSA à une même personne sous plusieurs identités. Plus largement, les périodes Covid et Ukraine apparaissent avec des dimensions non plus sanitaire et guerrière, mais purement financières et surtout parfaitement scénarisées. L’épisode Covid a justifié des opérations financières opaques, sur lesquelles, on l’a largement vu, Von-der-Leyen refuse de fournir explications et justificatifs pour les achats liés à la pandémie. Mais également, l’affaire toute entière s’est soldée par des gestions sanitaires et financières surréalistes, des prêts, des compensations, qui ont abouti tout de même à des milliers de dépôts de bilans et des montagnes de dettes, alors que les opérations de confinement n’avaient strictement aucun fondement scientifique.
Avec le travail de l’équipe Trump, les édifices commencent à se fissurer, aux Etats-Unis, comme en Europe. L’examen des comptes fait apparaître des irrégularités de toutes sortes. Aux Etats-Unis, on s’aperçoit que de prestations sociales sont payées à des gens morts depuis longtemps, selon un système qui profite à quantité de parasites redevables au système qui les nourrit, entendre, qui avaient intérêt à voter démocrate pour ne pas tuer la poule aux œufs d’or. Un peu comme la France qui continue à payer des retraites à des Algériens âgés de plus de cent ans et dont personne ne retrouve la trace, ou plusieurs RSA à une même personne sous plusieurs identités. Plus largement, les périodes Covid et Ukraine apparaissent avec des dimensions non plus sanitaire et guerrière, mais purement financières et surtout parfaitement scénarisées. L’épisode Covid a justifié des opérations financières opaques, sur lesquelles, on l’a largement vu, Von-der-Leyen refuse de fournir explications et justificatifs pour les achats liés à la pandémie. Mais également, l’affaire toute entière s’est soldée par des gestions sanitaires et financières surréalistes, des prêts, des compensations, qui ont abouti tout de même à des milliers de dépôts de bilans et des montagnes de dettes, alors que les opérations de confinement n’avaient strictement aucun fondement scientifique.
De Jean-Frédéric Poisson, président de Via, sur Bd Voltaire, à propos des poursuites contre Robert Ménard (qui avait refusé de marier une personne sous OQTF):
Pour commencer, il faut rappeler ce qu’est un mariage civil. L’amour n’y tient aucune place. L’officier d’état civil, en l’occurrence le maire, est là pour enregistrer le consentement des deux époux à respecter les engagements qui leur sont imposés par le droit : la vie commune, la prise en charge réciproque, l’éducation des enfants.