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Sébastien Lecornu, secrétaire d‘État auprès du ministre de la Transition écologique, dresse le bilan de la première année de Nicolas Hulot au gouvernement, et s’attarde sur le dossier de la centrale de Fessenheim. « Je me suis rendu par deux fois, la troisième fois au mois de septembre à Fessenheim » indique-t-il avant de déclarer : « L’irréversibilité de la fermeture de cette centrale, c’était un commentaire politique sous le quinquennat précédent, aujourd’hui il y a un process qui est irréversible ».
Il aura tenu 9 mois, le temps d’une grossesse qui se termine par l’accouchement dans la douleur, d’un bébé mort-né. Bayrou est tombé assez largement, 363 voix contre lui, seulement 13 députés LR ont voté les autres se sont abstenus, marquant une fois de plus l’ambiguïté de leurs positions. Ce parti n’en finit pas de s’effriter au gré des échéances et les caciques ne s’en rendent pas compte, préférant jouer sur les deux tableaux au détriment d’une ligne claire et honnête envers leurs électeurs. Retailleau est désavoué, lui qui appelait à voter la confiance n’a pas été entendu et il aurait dû garder le silence au lieu de se précipiter devant le premier micro tendu, histoire de montrer qu’il existe encore. Sa seule préoccupation, que Macron nomme très vite un Premier ministre, avec lui à l’Intérieur,oui mais qui ? De quel rang ? On les sent arriver, avec un Lecornu ou une Vautrin en premier ministre, suivi des mêmes, façon chaises musicales… Et de poursuivre en excluant une démission du président de la République, tout en réaffirmant sa volonté de « travailler dans un futur gouvernement pour moins d’immigration », soulignant s’il en était besoin son allégeance à la Macronie et son impuissance à prendre de la hauteur.
C’est l’éternelle histoire de l’arroseur arrosé, du prêcheur puritain poissé au bordel, du donneur de leçons contraint de subir à son tour des leçons de morale. C’est celle de Patrick Cohen et Thomas Legrand, deux « autorités intellectuelles » de France Inter.
Le temps d'un reportage sur les tribulations de Mohamed Amra, France 2 se remémore le vieux français. À la rédaction, un journaliste maîtrise les « saperlipopette », les « fichtre » et les « diantre ». L'expert va pouvoir livrer un aperçu de sa culture au travers d'un reportage consacré aux tribulations du responsable de la mort de deux agents pénitentiaires. Ce dernier a été arrêté par la police roumaine. Se voyant perdu, il offre un million d'euros à l'un de ses gardiens en échange de sa liberté. Pour réunir les fonds, Mohamed Amra appelle la garde, sonne le tocsin de la dernière manœuvre avant incarcération définitive. « À moi, chevaliers et damoiseaux, à vos pièces d'or pour me sauver ! »
Le Royaume-Uni un canari dans la mine (Source WSJ ici) selon la référence de la presse économique mondiale ! On s’attendait à ce que le Wall Street Journal soit inquiet de la situation économique de la France, mais ce qui semble alarmer outre Atlantique, c’est la situation de la perfide Albion, ce dont nous ne nous plaindrons pas ! Vive la diversion anglaise.
Un sondage Toluna Harris Interactive pour Challenges montre que le Rassemblement national et ses alliés atteindraient 33 % des intentions de vote en cas de nouvelles législatives, loin devant la gauche (19-26 %) et le camp présidentiel (15-16 %, contre 23 % en 2024).
Le 10 novembre 2012, Résistance républicaine et Riposte Laïque, soutenus par une vingtaine d’associations, organisaient dans les rues de Paris la première manifestation contre l’islam. Un an et demi plus tard, se tenait une autre marche, avec le Bloc Identitaire…
Au programme de cette édition, la chute en cours du premier ministre Bayrou. Après avoir tenté un coup de force en sollicitant la confiance des députés pour faire avancer son budget, le Béarnais locataire de Matignon semble avoir signé sa mort politique… ou sa résurrection.
Après l’impuissance républicaine, voire la trahison en Outre-Mer, de la Nouvelle-Calédonie à Mayotte, le pays réel s’effare du rôle croissant du Conseil constitutionnel dans le pouvoir. Prenant une place prépondérante dans l’élaboration des lois, il détourne l’État de droit pour imposer les préférences du pôle idéologique progressiste, c’est-à-dire des « élites » du « camp du bien » que sont l’Université et la classe médiatique… La formule « gouvernement des juges » désigne ainsi le transfert du pouvoir parlementaire. Par exemple, à travers l’intervention du Conseil constitutionnel dans le débat sur la loi sur la rétention des étrangers. Le Conseil constitutionnel, en censurant cette loi, se place en maître du pays légal parlementaire. Il interprète la loi de manière idéologique et non pas juridique.
Il règne, en ce lundi 8 septembre à l’Assemblée nationale, l’ambiance électrique des journées parlementaires qui marquent un mandat. Tous les projecteurs sont braqués sur le palais Bourbon où le sort du Premier ministre et de son gouvernement est quasiment scellé. La presse étrangère a fait le déplacement. « Je n’ai jamais vu autant de médias présents », nous glisse un collaborateur parlementaire expérimenté.