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La nuit de ce jeudi 17 au vendredi 18 juillet a été marquée par des violences dans le quartier de la Houillère à Charleville-Mézières. Cinq personnes ont été interpellées. Des événements qui interviennent après la fermeture mouvementée d’un café du quartier mercredi.
Ce rendez-vous du 15 juillet à 16 heures était attendu de longue date. Il était supposé marquer le commencement du début de l'esquisse, sans doute en trompe l’œil, d’un programme, probablement factice, destiné à rassurer les marchés financiers.
Si la doctrine et le discours, du moins la première partie dénonçant le danger du déficit annuel et de la dette qu’il engendre, peuvent être repris presque intégralement on ne peut que regretter le flou et le mou des remèdes envisagés. À très juste titre, l’économiste Jean-Philippe Feldman ironise : « l’Himalaya accouche d’une souris ».(1)⇓
Lorsque le gouvernement évoque a suppression de la 5ème semaine de congés payés, je ne sais pas si c’est pour aller jusqu’au bout de la logique ou si c’est pour tellement effrayer les mères Michu que la suppression de deux jours fériés semblera nettement plus « douce » ou acceptable, de même qu’une année blanche. Est-ce juste de la manipulation politique ou une vraie volonté de réduire les congés ?
Charles de Courson, mardi, était formel : supprimer l’AME ne serait « pas raisonnable », cette suppression coûterait finalement plus cher, à long terme, car l’AME, explique-t-il, évite les épidémies que pourraient propager les migrants arrivant chez nous.
L’agression décrite par cet homme d’une quarantaine d’années a pour cadre le quartier de Bellevue, mardi 24 juin 2025. Rue du Dauphiné, ce Brestois se rend à vélo au bureau de tabac, quand il croise un jeune homme de 14 ans à trottinette, refusant de le laisser passer. Au retour, il aperçoit, au même endroit, la même personne qui, une nouvelle fois, ne s’écarte pas.
La préparation du budget 2026 promet d’être chaotique, voire pathétique, pour un résultat que l’on peut parier désastreux et très loin des réalités des Français qui souhaitent à 90 % que le gouvernement cesse de gaspiller leur argent. Mais tout cela nous ne le découvrons pas au RPF, nous l’avions même annoncé lors du vote du budget 2025. Obtenu aux forceps avec force intimidation et procès d’intention, accusant ceux qui voulaient une censure, d’attiser le désordre, de provoquer l’instabilité politique : il fallait sortir de l’impasse et voter ! Donc toute la classe politique, RN en tête, s’est couchée devant cette injonction sous peine de vindicte médiatique. Les tenants du budget à tout prix pouvaient se réjouir, l’illusion d’une continuité et d’une sérénité politique pouvait continuer à s’étaler, l’important était que le fantasme de l’équilibre et de la stabilité soient assurés. Bien entendu, le budget étant largement en deçà des attentes et besoins que réclame la situation, nous arrivons au terme de la duperie et voilà Bayrou qui cherche de l’argent partout.
La dentition de Moriba Konte est définitivement gravée. Dans le tissu du siège conducteur d’une Peugeot 3008 de la police nationale qu’il a mordu samedi 13 juillet en fin d’après-midi. Vers 17 heures ce jour-là en effet, des policiers en patrouille dans le quartier Mistral de Grenoble avaient vu un homme passer devant eux au guidon d’une petite moto de cross. Un jeune homme sans casque, sur cette moto dépourvue de plaque d’immatriculation et qui faisait des roues arrière sur la piste cyclable et le trottoir qui longent l’avenue Rhin-et-Danube. Dans leur procès-verbal, ces policiers expliquent avoir vu des passants s’écarter et des mères de famille saisir brusquement leur enfant par le bras pour éviter une collision avec le motard.
A la une de cette édition : le budget européen pour 2028-2034 présenté par Ursula von der Leyen qui provoque la défiance politique et la colère des agriculteurs.
Lundi 14 juillet, aux alentours de 21 h, devant un snack situé Grand-Rue, à Florange, une jeune femme aurait été violemment agressée par un homme armé. Selon un témoin, il « aurait d’abord tenté de violer la victime dans la rue, avant de la frapper violemment au visage, de lui donner des coups de poing et de lui tirer les cheveux ». Il aurait ensuite quitté les lieux… pour revenir armé d’un couteau, menaçant de s’en prendre à d’autres personnes.
Les artistes ne devraient-ils pas se contenter… de pratiquer leur art ? La question semble anodine, mais elle résume à elle seule toute la complexité de notre époque. En 2025, l’artiste se veut avant tout un militant et son activisme consiste à se parer des bons sentiments du moment et à fustiger ceux qui refusent de hurler avec la meute. Aux Francofolies de Spa, le chanteur franco-israélien Amir en fait les frais avec, à ses trousses, les chiens enragés de l’extrême gauche qui réclament sa déprogrammation.