En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
On peut dire que Bayrou, part la queue basse mais la dette haute, très haute la dette. Effroyablement haute même. 3 350 milliards d’euros ce qui fait un peu de sous, et c’est encore sans compter ce que l’on appelle le « hors bilan ». Quand on additionne les deux, on est assez proche des 10 000 milliards d’euros. Considérable. Impayable ou presque.
Macron soutenu par seulement 15% des citoyens. À quel niveau faut-il qu’il arrive pour que nos parlementaires s’interrogent sur sa légitimité à rester à la tête de l’État ? On va nous rétorquer qu’on ne gouverne pas avec des sondages, certes, mais peut-on se voiler la face à ce point et faire comme si cette photographie de l’opinion publique ne comptait pas ? On le pourrait si derrière ce sondage n’était révélé quelque chose de plus inquiétant. 15% c’est peu mais ce qui est plus grave c’est que la part des très mécontents est très majoritaire et que 80% souhaitent son départ. La côte de désamour a basculé, l’homme est détesté… c’est là une première, car lorsque Hollande atteignait 12% il n’avait pas à faire à cette haine qui ne se cache presque plus à l’encontre du personnage Macron. Peut-on espérer que l’homme change ? Non, sa structure mentale est faite ainsi, jamais il ne se remettra en question parce qu’il n’a jamais demandé pardon, ne s’est jamais excusé, pour ses infamies et il y en a eu, il est certain d’être toujours dans le vrai, auto centré, il ne fait jamais d’erreur, ce sont les autres le problème, pas lui.
La politique ne survivra pas à son monde fictif. Depuis des décennies, elle navigue dans le virtuel, prend ses rêves pour des réalités, ignore les faits. Emmanuel Macron, enivré de ses seules certitudes, crut ainsi sortir vainqueur de sa dissolution irréfléchie de l’Assemblée en juin 2024. François Bayrou va tomber ce lundi pour ce même péché d’orgueil : le Premier ministre n’aura pas la confiance des députés, qu’il a cru pouvoir obtenir en prenant, le 25 août, cette option irréaliste. Son échec actera la fin du « bloc central » et du macronisme.
Nous sommes bénis. Vraiment. Je ne sais pas si vous pensez à remercier Dieu, la Providence, la Nature, l’Univers, le Hasard, enfin tout ce qui, selon vous, préside à nos destinées, pour les dirigeants admirables qui gèrent chaque jour, avec un dévouement sans borne, notre cher pays. Car même dans la tempête, même quand la maison brûle et que le bateau prend l’eau, même quand la foudre menace et que le tonnerre gronde, ils travaillent, proposent, réfléchissent. En un mot, ils veillent sur nous.
Un détenu de la prison de Lyon Corbas a été mis en examen dans l’enquête sur le meurtre d’un jeune guetteur survenue en plein jour et devant une école, au mois d’avril dernier, à Vaulx-en-Velin.
ALERTE DETTE PUBLIQUE : La France au bord de la faillite ?
Découvrez pourquoi la dette publique française dépasse les 3 400 milliards d’euros, et ce que cela signifie pour notre avenir économique. Pour comprendre cette crise majeure et ses responsabilités, nous recevons l’économiste Alain Le Bihan, auteur de "Macron, le grand liquidateur".
Lorsque trois imams de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem (Khaled Al-Mughrabi, Issam Amira et Abd Al Salam Abou Al Izz) appellent à combattre les infidèles (Juifs et chrétiens) qui refusent de se convertir, ils ne font que rappeler une évidence islamique qui considère que l’islam est la seule idéologie qu’Allah a agréée depuis le VIIIe siècle.
En effet, il est prescrit dans la sourate 3, versets 19 et 85 : « Certes, la religion acceptée d’Allah, c’est l’Islam. Ceux auxquels le Livre a été apporté ne se sont disputés, par agressivité entre eux, qu’après avoir reçu la science. Et quiconque ne croit pas aux signes d’Allah… alors Allah est prompt à demander des comptes ! »
À votre arrivée à Hayange, les « cathédrales d’acier » vous accueillent. Dans cette commune de Moselle de 16.000 habitants, les hauts-fourneaux étaient le fleuron de la sidérurgie lorraine depuis le XVIIIe siècle. Leur fermeture en 2011 fut un drame que le grand public assimila à la commune voisine de Florange, où se trouvait l’entrée de l’usine, propriété d’ArcelorMittal, et une partie de la production. Désormais, l’ombre de ces géants plane sur la ville qui attend leur démantèlement programmé. C’est dans ce contexte de détresse et de colère sociale qu’en 2014, le Rassemblement national s’empare de la mairie après dix-sept ans de socialisme.
On constate aujourd’hui, avec une certaine amertume, les dommages causés par le grand remplacement islamique et l’importation des conflits du Moyen-Orient ainsi qu’une accélération sensible, depuis le massacre du 7 octobre perpétré en Israël par le Hamas, de la désinhibition antisémite en France et dans toute l’Europe.
Ce qui est bien avec notre Bayrou national, c’est que la fin de son CDD semble lui donner de la liberté de parole, et ses propos sont assez clairs et assez justes même si cela va forcément déplaire.