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France's President Emmanuel Macron and his wife Brigitte Macron walk along a street in Hanoi on May 26, 2025. (Photo by Nhac NGUYEN / AFP)
Un jeune professionnel tombe mercredi soir dans Paris sur Emmanuel Macron en goguette avec son épouse. Conversation.
C’est un moment amusant, comme il en arrive dans la vie parisienne. Ce 17 septembre, aux alentours de 23h30, une bande de jeunes professionnels sort d’un restaurant dans le chic VIIe arrondissement, près de la station Duroc. Et tombe sur Emmanuel Macron en goguette avec son épouse. L’un d’eux, plus hardi que les autres, s’approche du chef de l’État et le salue poliment.
Il est curieux de faire le parallèle entre des manifestations de pays voisins, la Grande-Bretagne et la France, à quelques jours d’intervalle.
À Londres, derrière Tommy Robinson, les médias ont annoncé 110.000 manifestants, alors que nous avons assisté à la plus grande manifestation anglaise de tous les temps et que le chiffre de 1 million, donné par les organisateurs, ne paraît absolument pas exagéré. Et cela dans une seule ville, suite à une montée nationale.
À Dinan (Côtes-d’Armor), l’élu municipal Erwan Beaudouin a été surpris en juillet 2025 en train de prendre des photos d’une personne dans les toilettes d’un supermarché. Les vigiles ont alerté la gendarmerie, confirmant l’intervention auprès du procureur de la République de Saint-Malo. Une enquête judiciaire a été ouverte.
Mes amis ne vous trompez pas « d’ennemi » et celui que la paresse de gauche aime à vous désigner c’est le riche de la même manière que l’on vous désigne l’immigré… Mais si le riche est riche c’est parce que le système a créé les conditions pour qu’il le devienne. L’ennemi ici n’est pas le riche mais les conditions économiques impliquées par l’européisme et le mondialisme. Le problème de l’immigré qui est là ce n’est pas lui en soi, ce sont les conditions qui ont créée cette immigration incontrôlée et l’ennemi n’est pas l’immigré mais comme pour les riches les conditions migratoires impliquées par l’européisme et le mondialisme !
Quand l’argument, « extrême droite », est l’ultime parade pour ternir la réputation d’honnêtes personnes, ou disqualifier une idée, c’est que le combat idéologique est sur le point de basculer dans le sectarisme. Il n’y a plus alors que l’intolérance vis-à-vis de ceux qui refusent de disparaître en temps que personne, avec une histoire et un passé qui peut être mis en avant. Des drapeaux qui sont brandis, une volonté de protéger sa patrie contre une submersion migratoire, il n’en faut pas plus pour être catalogué d’extrême droite. Le terme est choisi à desseins, pour faire peur et réclamer le rejet sans concession d’une pensée qui ramène « aux années noires de la guerre ». L’extrême est par définition dévitalisé de raison, du bons sens, de la mesure qui prévaut dans une situation, puisqu’il s’appuie sur la stigmatisation d’une population, d’une ethnie. Agiter un drapeau, comme c’est le cas au Royaume-Uni en ce moment, est donc un acte fasciste ! C’est d’ailleurs quasiment ainsi que les journalistes décrivent les manifestants. On se pince, mais c’est là le raccourci que la gauche n’hésite pas à employer pour dénigrer un mouvement patriotique et dénier au commun des mortels le droit d’aimer un pays, le sien, qu’il désire seulement le protéger d’une entrée illégale et massive d’étrangers.
Vive émotion devant l’école Pierre Sémart à la sortie en milieu d’après-midi quand plusieurs enfants auraient été la cible d’un individu qui a croisé leur chemin. L’homme s’en serait pris verbalement à eux. “Il n’y a pas d’enfants qui seraient des victimes directes, pas de blessures. Il se serait montré menaçant ” indique une source, évoquant le début de l’enquête.
Au programme de cette édition, retour sur cette mobilisation du 18 septembre. Après un échec relatif de l’opération “Bloquons tout”, cette journée de manifestation plus classique ne devrait pas avoir davantage d’impact sur la politique d’Emmanuel Macron. Une action basée sur un mépris total à l’égard des Français.
Le traditionnel clivage entre la Droite et la Gauche a longtemps fait partie de notre histoire politique pratiquement depuis la Révolution. Assez arbitraire dans ses débuts, il ne faisait que reprendre la composition et la répartition de l’assemblée du 28 août 1789.
Sans refaire toute l’histoire de l’évolution de la pensée de la gauche, on peut noter qu’elle s’est écartée au fil du temps de ses fondamentaux et particulièrement ces dernières décennies. L’un de ces changements les plus marquants réside dans son attitude par rapport à la nation.
Communiqué de Riposte laïque (cliquez ici) et de Résistance républicaine (cliquez là)
Nous avons appris avec colère l'annulation de la fête du cochon, organisée ce dimanche à Treffendel par le Parti de la France, suite à la demande du député LFI Mathilde Hignet, et aux graves menaces qui ont frappé les propriétaires du lieu. Pourtant, cette fête, populaire, se déroulait en ce lieu privé depuis des années. Il est inadmissible que des commissaires politiques demandent l'interdiction de fêtes populaires, qui plus est dans des lieux privés, et envoient leurs nervis menacer les paisibles citoyens qui veulent y participer. Il y a quelques mois, les mêmes avaient demandé, et parfois obtenu, l'interdiction de la projection du film Silenced, de Tommy Robinson, qui vient de faire défiler 1 million d'Anglais dans les rues de Londres, pour mettre fin à l'invasion migratoire que connaît le pays.
La France va donner à nouveau, ce 18 septembre, pour la deuxième fois ce mois-ci, le spectacle d’un pays à l’arrêt, envahi par un million de manifestants aux revendications multiples alors que le pouvoir vacille comme jamais. Face aux revendications longues comme un jour sans pain, on verra un Premier ministre à peine nommé, isolé et précaire, appuyé sur un gouvernement démissionnaire et soutenu par un président de la République qui a depuis longtemps perdu le soutien populaire. Tandis que les Macron font leur valise pour une visite au grand-duché de Luxembourg, le macronisme sûr de lui et méprisant s’effondre et entraîne la France dans sa chute.