Ceux qui me connaissent savent que je déteste la moraline et que j’affectionne particulièrement soulever les paradoxes de ceux qui généralement nous font de la moraline à longueur de journée.
Nous avons d’ailleurs à la fin de ce reportage le spécimen typique du jeune bobo qui ne veut pas se faire livrer sauf quand il pleut et qu’il est tard le soir, et qui nous explique doctement que c’est une « question d’effort collectif et que sinon on s’en sortira pas » et que c’est comme pour la viande qu’il faut cesser de manger… alors qu’elle est en train de manger de la viande ce qu’elle confesse.






