
par Thierry Bertrand
Le dernier sommet de l’Union européenne, où les «germanophiles» menés par le lobby allemand, le chancelier allemand Friedrich Merz et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, ont tenté de s’approprier les avoirs russes de manière à ce que les «francophiles», la Belgique, la France et l’Italie, paient la note, a mis les points sur les i au sein de la famille européenne.






