
Les individus, trois hommes et deux femmes, sont soupçonnés de poursuivre les activités du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) pourtant dissout par décret en 2020 pour provocation à des actes de terrorisme et à la discrimination.
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Les individus, trois hommes et deux femmes, sont soupçonnés de poursuivre les activités du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) pourtant dissout par décret en 2020 pour provocation à des actes de terrorisme et à la discrimination.
14/05/25
Selon Le Parisien, un homme a été grièvement blessé de trois coups de couteau dans la nuit du 25 avril 2025 sur la dalle de la Gare du Nord à Paris, après avoir refusé une cigarette. Le suspect principal, Saïd, 34 ans, sans domicile fixe et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), a été mis en examen pour tentative de meurtre et placé en détention.
Le microcosme politico-médiatique a parfois des émerveillements d’enfant, telle qu’en témoigne la sortie de La Meute, l’essai de Charlotte Belaïch et Olivier Perou (Flammarion), consacré à Jean-Luc Mélenchon et à la manière dont il dirige son parti « gazeux », La France insoumise. Ainsi y apprend-t-on que la Méluche se comporterait en autocrate et que les insoumis n’auraient que cette alternative : se démettre ou se… soumettre. Le trotskisme serait donc violent, surtout dans sa variante lambertiste ? Décidément, on nous cache tout et on ne nous dit rien.
Déception d’abord concernant la cgtiste boycotteuse de CNews (qui voit l’extrême droite partout sauf dans son camp (en matière d’intolérance et de racisme inversé) car là elle était bien besogneuse, là dis donc, hormis bien sûr question retraite (de Russie) et oulala “la” taxation des “riches” alors que son mouvement soutient précisément le même modèle que Picrochole II (le premier Picrochole étant été Giscard) qui détruit tout sur son passage en vraie sauterelle du désert, une vraie plaie d’Égypte…
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
N’oublions jamais que ce qui fonde la justification première de l’impôt en France, c’est la sécurité que l’Etat doit nous garantir.
Lorsque l’Etat n’est plus en mesure de garantir notre sécurité alors l’Etat ne mérite plus notre consentement à l’impôt ! Je ne parle pas de ne pas payer vos impôts bien évidemment, la loi s’applique toujours avec une grande sévérité à ceux qui ne respectent pas les lois. Je vous parle de cette notion de consentement.
En avril dernier, les préfectures de Corse ont appelé la population à « déposer les armes », via une opération d’abandon simplifié d’armes dans une île où leur taux de détention est plus de deux fois supérieur à la moyenne nationale. Etonnante initiative qu’on aurait plutôt vue dans le 93 ou dans les quartiers Nord de Marseille, où le « taux de détention » serait à priori encore plus élevé et sert ouvertement en plein jour, pour des règlements de compte au fusil d’assaut. Là curieusement, point d’appel à cette population qui aurait donc une autorisation plus ou moins tacite pour garder les fameuses armes, plus nombreuses sans doute qu’en Corse et encore moins légales car encore moins déclarées.
Les acteurs ne sont pas seulement des artistes, ce sont les grandes consciences de notre temps, des citoyens engagés, des militants ! Ils ne se bornent pas à incarner des rôles, encaisser des cachets mirobolants et vivre dans le luxe et la désinvolture, ils dénoncent, ils s’indignent, se scandalisent, se révoltent… mais toujours dans le sens du vent, du côté du manche et des tenants du tiroir-caisse. Nicolas Gauthier nous plonge dans l’historique du concept de « résistance » en milieu cinématographique.
Riposte Laïque : Vous venez de publier un livre au titre choc « Le racisme antiblanc », sous-titré « L’enquête interdite ». Avant d’évoquer cet ouvrage, pourriez-vous vous présenter à nos lecteurs, même si nous avons déjà relayé quelques-uns de vos écrits ?
La Clinique Sainte-Elisabeth, à Marseille, est l’un des deux établissements spécialisés en soins palliatifs de la région Sud. Elle a envoyé un argumentaire aux parlementaires pour les informer sur la fin de vie et les soins palliatifs et répondre à quelques idées reçues :