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France et politique française - Page 1329

  • Déchéance de nationalité pour les terroristes immigré(e)s : d'accord avec Gilbert Collard !

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    Gilbert Collard
    Pendant qu'on bombarde les #djihadistes en #Syrie#Erdogan nous oblige à accueillir leurs femmes en France, des bombes ambulantes. Comment sortir du piège d'Erdogan et des veuves sanglantes sinon par la fermeté de la déchéance de nationalité.
    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/08/20/decheance-de-nationalite-pour-les-terroristes-immigre-e-s-d-6258551.html

  • L’été meurtrier – La voiture, une nouvelle arme pour tuer en France, par Paul Vermeulen

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    Les actes se suivent et se ressemblent : des conducteurs sans permis, sans assurance, parfois sans papiers, souvent alcoolisés ou drogués percutent des personnes qui se trouvent au mauvais endroit, au mauvais moment. Retraités, femmes, enfants. Ils tuent aussi des policiers en essayant d’échapper à des contrôles routiers. Dernière occurrence dramatique en date ? Jeudi 13 août 2020 à Saint Malo, un policier a été volontairement percuté par le conducteur d’une voiture – et non par « un véhicule ». Les voitures ne tentent pas de tuer d’elles-mêmes, elles sont l’outil de tentatives meurtrières et c’est bien la récurrence de ces actes criminels qui inquiète. Ces actes ne sont pas le fait de chauffards. Un chauffard est un individu qui conduit mal, ne sait pas conduire, ne respecte pas le code de la route ou bien multiplie les fautes de conduite. Là, les victimes percutées le sont par des assassins à la voiture, nouvelle arme d’une violence extrême.

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  • Didier Raoult “je ne sais pas qui voudra se vacciner contre une maladie qui ne tue pas”

    Didier Raoult “je ne sais pas qui voudra se vacciner contre une maladie qui ne tue pas”

    Le professeur Raoult était l’invité de CNews le 19 août.  “Plus vous testez, plus vous trouvez de cas”, a-t-il affirmé. Les cas

    “qu’on trouve maintenant et ceux que l’on trouvait en février ou en mars, ce n’est plus la même maladie”.

    En effet, les formes actuelles des cas de nouveau coronavirus sont davantage “bénignes”. Il n’y a “plus du tout de troubles de la coagulation” et “la proportion des gens hospitalisés est beaucoup plus faible”.

    “Plus on s’affole, moins on soigne bien”. “On n’organise pas de lutte en ayant peur. Il faut enlever ceux qui ont peur et mettre ceux qui ont du courage devant”.

    Pour Didier Raoult, l’augmentation du nombre de cas est une conséquence directe de l’augmentation des dépistages. Cette maladie

     “va rentrer dans le paysage […] cette maladie n’est pas plus mortelle que les autres, son taux de mortalité est bien en dessous des 2% […] Le souci vient de notre manque de connaissance vis-à-vis du coronavirus”.

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  • Le masque imposé défie la révolte

    Le masque imposé complète, opportunément, la grande mascarade macronienne : elle est dénoncée ici depuis les premiers pas présidentiels d’Emmanuel Macron, metteur en scène d’un “monde d’après” vide de sens, de vision, de projets, de dépassements. Tout cet été, le discours dominant a martelé que l’épidémie de Covid-19 restait active et que la deuxième vague se profilait : un alarmisme ne reposant, jusqu’à présent, sur aucun fait à ce point dramatique.

    Mais fabriquer des peurs, avec l’appui d’experts choisis, est la pente du pouvoir qui perd pied et de médias moutonniers. Après avoir entendu Olivier Véran, ministre de la Santé, déclarer solennellement ce mois d’août qu’il fallait “rechercher la fraîcheur à tout prix” quand il faisait chaud, voici le premier ministre, Jean Castex, qui envisage d’étendre le port du masque dans l’espace public, dans une même dramatisation de la vie quotidienne. A Paris comme ailleurs, le masque à l’extérieur devient obligatoire en certains quartiers. L’Occident dévisse, la France s’effondre, la violence se généralise, mais les idées fixes du gouvernement restent le populisme, le réchauffement climatique et le coronavirus. Cette démission est celle d’”élites” dépassées, qui se rassurent en expérimentant la docilité de citoyens terrorisés. Toutefois, l’apparente soumission du peuple reste trompeuse.

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  • En chiffres, la barbarisation de la France, par l'immigration...

    D'un côté, il y a ceux qui nient l'insécurité ou, pire, parlent d' "ensauvagement".

    De l'autre, il y a la réalité :

    • 3411 pompiers agressés en 2018 (hausse de 280% en 10 ans)...

    • 233 élus agressés physiquement depuis janvier...

    • 260 000 victimes de coups et blessures volontaires ( hausse de 8%)

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • « Le système libéral généralise l’empreinte matérialiste sur les esprits »

    Le système libéral généralise l'emprunte matérialiste sur les esprits.jpegAlain de Benoist inlassable guetteur à la dentelle du rempart, nous propose cette année un livre sobrement intitulé Contre le libéralisme. Le moins que l'on puisse en dire, c'est que, par les temps qui courent, c'est un combat courageux. Le combat de notre époque…

    Propos recueillis par l'abbé G. de Tanoüarn

    Alain de Benoist, vous insistez sur le fait que le libéralisme est un système de pensée global, pas seulement un modèle économique. Vous citez Jean-Claude Michéa qui dit que le libéralisme s'en prend a « la substance même de l'âme humaine »...

    Il ne vous aura pas échappé qu’après soixante-dix ans de communisme soviétique, les églises sont pleines dans la Russie de Poutine, alors qu'elles sont désertées dans ce qu'on appelait naguère « le monde libre ». Le système libéral s'est ainsi révélé beaucoup plus efficace que le système communiste pour généraliser l'emprise du matérialisme pratique sur les esprits. Le totalitarisme « dur » détruisait souvent les corps, le totalitarisme « doux » s'en prend à la « substance même de l'âme humaine ». L'histoire est faite de ce genre de paradoxes.

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  • Zoom – Jean-Marc Daniel : Un libéral déçu du macronisme

    Economiste et professeur émérite à l’ESCP, Jean-Marc Daniel est un libéral partisan de l’Union européenne. Dans cet entretien, il explique son opposition au protectionnisme, le rôle de la concurrence dans une économie capitaliste, sa déception pour la politique d’Emmanuel Macron… Et face à la perte de compétitivité, une récession à 15%, une dette à 120% du PIB, Jean-Marc Daniel propose quelques grands axes pour relancer l’économie.


    https://www.tvlibertes.com/zoom-jean-marc-daniel-un-liberal-decu-du-macronisme

  • Maurrassisme « intra-muros » et maurrassisme « hors les murs »

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    Voici la troisième des cinq rubriques extraites de l’éditorial de CHRISTIAN FRANCHET D’ESPÈREY, du n° 58 de la Nouvelle Revue Universelle, fondée par Jacques Bainville en 1920.

    Il y a d’abord ce que Philippe Lallement appelle l’extension du maurrassisme “intra-muros”, qui correspond au travail effectué à l’intérieur de la mouvance maurrassienne, dans le sillage de Boutang et de Debray. Dans ce registre, au premier rang des noms à citer, vient Gérard Leclerc. A plus d’un titre : d’abord pour son rôle dans les instances des organisations héritières de l’Action française ; également pour ses chroniques depuis un demi-siècle dans la presse royaliste, qui constituent une véritable encyclopédie critique des idées contemporaines ; enfin comme auteur, dès 1974, d’Un autre Maurras, un ouvrage qui pour la première fois faisait ressortir l’existence d’une anthropologie maurrassienne, et dont on espère – pardon, dont on attend non sans impatience ! – une prochaine réédition ! Motif supplémentaire de citer Gérard Leclerc : c’est lui qui ouvre notre dossier sur le nouvel âge du maurrassisme, avec une étude historique truffée de souvenirs personnels sur le legs de l’Action française. Il y montre que ce n’était pas un mouvement politique comme les autres : pour l’Action française, la politique, c’est beaucoup plus que la politique – pour la raison même qui faisait dire à Pascal que l’homme passe infiniment l’homme. La politique de l’Action française, c’est la défense de la civilisation, c’est la défense de l’homme.

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  • La République a besoin de sacrifices humains

    La République a besoin de sacrifices humains

    Communiqué de l’Association catholique des infirmières et professionnels de santé :

    1)    ABOLITION DE LA CLAUSE DE CONSCIENCE des médecins et soignants ; laquelle leur permet de refuser de pratiquer un avortement ou l’euthanasie. C’est certainement pour les services médicaux la clause la plus sensible. Il s’agit d’obliger notamment les médecins, les sages-femmes et infirmières à faire des actes contre leur conscience. C’est ce que Hitler avait exigé notamment dans les camps de concentration où il y avait des femmes prisonnières enceintes, sans parler des éliminations physiques notamment des malades. Le tout se situant dans le cadre de l’eugénisme afin de purifier la race.

    Or le droit à l’objection de conscience existe dans la loi Veil art. 8, le code de la Santé publique, le code de déontologie. Le Conseil de l’Europe a finalement adopté une résolution n°1763 intitulée « Le droit à l’objection de conscience dans le cadre des soins médicaux légaux »De plus, par la loi du 9 décembre 1905 et l’article 1er de sa CONSTITUTION (1958 et 2008), la FRANCE reconnaît de la même manière la LIBERTÉ DE CONSCIENCE et de CULTE et la neutralité de l’État et des personnes publiques en matière religieuse.

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  • Superstition et irrationnel dans la gestion de la crise sanitaire

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    Avec la crise volontairement surmédiatisée du SARS-CoV-2 (communément appelé Covid-19), sommes-nous entrés dans l’ère de la superstition scientifique ?

    Qu’est-ce qu’une superstition ? Au XIVe siècle, Raoul de Presles, dans La Cité de Dieu, la définit comme une « déviation du sentiment religieux, fondée sur la crainte ou l’ignorance, et prêtant abusivement un caractère sacré à des croyances » ou à des pratiques. De nos jours, on l’utilise même au sens général pour désigner un « attachement excessif », un « soin trop méticuleux porté à quelque chose ». N’assistons-nous donc pas, aujourd’hui, au détournement de la science, fondé sur la peur et la confusion, pour prêter abusivement un caractère salvateur au  ?

     

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