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La population immigrée aux États-Unis a baissé pour la première fois depuis cinquante ans, selon des données issues du dernier recensement fédéral, analysées par le Pew Research Center. Le nombre de personnes nées à l’étranger a diminué de 1,4 million entre janvier et juin 2025, soit depuis le retour au pouvoir de Donald Trump. En juin, 51,9 millions d’immigrants vivaient aux États-Unis (15,4% de la population totale). Il s’agit du “premier déclin depuis les années 1960”, selon le Pew Research Center.
La guerre n’est pas une fatalité, mais tous les signes montrent que la menace se précise. Cet article reprend l’information du Canard enchaîné dont nous avons déjà fait état sur ce blog il y a quelques jours, et montre qu’elle entre dans une logique à l’œuvre dans toute l’Europe. Pendant que nos médias nous baladent avec leurs fariboles sur «les dictateurs» réunis à Pékin, et que ces mêmes «dictateurs», qui ne le sont pas plus sinon moins que Macron, Trump, Zelensky et Ursula (ceux-là totalement illégitimes), font tout leur possible pour préserver la voie de la paix, de la sécurité et du développement en nous rappelant les leçons amères de l’histoire, nos dirigeants à nous nous entraînent sur la voie de la guerre, seule issue pour eux mais catastrophe pour les peuples. Les mouvements sociaux qui s’annoncent en France sauront-ils faire le lien entre leurs revendications et la lutte pour la paix, ou se laisseront-ils endormir une fois de plus par la propagande ?
Auteur d’une étude sur le gouvernement des juges, Frédéric Rouvillois revient pour Le Bien commun sur cette notion et son lien avec la récente condamnation de Marine Le Pen.
propos recueillis par Hélène Chaprais pour Le Bien Commun
Le Bien commun : La condamnation de Marine Le Pen a remis la question du gouvernement des juges au premier plan. D’où vient cette notion et comment le gouvernement des juges s’est-il manifesté dans l’histoire ? Comment évolue-t-il aujourd’hui ?
Le mercredi 10 septembre, la France sera-t-elle complètement bloquée ? C’est l’objectif de ce mystérieux appel répercuté sur les réseaux sociaux depuis le printemps et désormais récupéré par la Gauche radicale autour de M. Mélenchon, représentant autoproclamé de celle-ci et adepte du rapport de force, voire (diraient certains) du chaos, dans une logique qui se veut révolutionnaire à défaut de l’être véritablement… Né à droite (voire très à droite…), ce mouvement ne peut plus jouer l’effet de surprise comme cela avait été le cas avec la révolte des Gilets jaunes qui, bien qu’annoncée quelques semaines auparavant, avait pris de court toute la classe politique et son pays légal par son ampleur et sa profondeur, plus encore que par sa violence qui traduisait une colère jusque-là ignorée ou mésestimée par les princes qui nous gouvernent. Sans doute est-ce ce qui a permis ces jours-ci la récupération éhontée et hautement revendiquée du « 10 septembre » par une Gauche qui, à défaut de propositions concrètes et de souffle politique, cherche à se refaire une santé et à occuper des rues qui paraissent plus faciles à remplir que les urnes.
La propriété privée est un concept central du droit civil et constitue un pilier essentiel de l’économie moderne. Pour autant on se demande si cet état gauchisant ne rêve pas de la supprimer et à l’évidence, ce n’est pas qu’un rêve. Il y a des clignotants qui s’allument : restreindre arbitrairement la surface de vie d’un individu à 22 mètres carrés, sous prétexte écologique, ou l’instauration d’un loyer pour les propriétaires en nationalisant le sol, ou des spoliations, qui sont déjà possible, afin d’instaurer un droit de passage ou même de préemption, pour des prétextes d’utilité publique. Depuis plusieurs années, factuellement, des gens peuvent rentrer chez vous, changer les serrures et se croire chez eux, et curieusement, c’est aux propriétaires d’engager des démarches, de prouver qu’ils sont bien propriétaires, une procédure qui prend des années, alors que les occupants illégaux ont des « droits » et que le propriétaire continue à payer l’eau, le gaz et l’électricité, alors qu’il est spolié. Le tout avec des prétextes humanitaires, cependant que l’humanité envers le propriétaire qui vit un cauchemar juridique n’a pas l’air d’intéresser un gouvernement qui lui prélève tout de même force impôt. Au RPF, nous avons déjà expliqué qu’une de nos premières mesures serait de mettre fin à cette infamie et de faire vider les lieux privés occupés illégalement, de force si besoin, sans jugement, sur simple présentation d’un titre de propriété.
Les paysages de l’Aude ont été dévastés par les incendies cet été, et cela a aussi entraîné la destruction de nombreux vignobles qui ne seront pas remplacés avant de nombreuses années. Les spécialistes expliquent aussi que les 16.000 hectares ravagés par le feu constituent la plus grande catastrophe de ce genre en France depuis la fin des années 1940. De nombreuses habitations ont été carbonisées, des animaux brûlés vifs, une femme morte chez elle… Les cendres sont encore chaudes, et les larmes des populations locales n’ont pas eu le temps de sécher que, pourtant et déjà, quelques fêtards ont décidé de danser là où les flammes ont noirci les terres et tout à côté, là où quelques terrains ont juste été frôlés par l’incendie : une attitude irrespectueuse encore plus qu’irresponsable, et qui scandalise autant qu’elle interroge.