Ils croyaient que l’élection d’une majorité de députés RN aurait pour conséquence l’expression d’un racisme décomplexé, mais c’est l’inverse : pas de majorité RN et un racisme décomplexé à gauche :
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Ils croyaient que l’élection d’une majorité de députés RN aurait pour conséquence l’expression d’un racisme décomplexé, mais c’est l’inverse : pas de majorité RN et un racisme décomplexé à gauche :
Un sondage révèle que 74% des Français se disent insatisfaits du résultat des élections législatives. Le seraient-ils moins s’ils avaient voté en leur âme et conscience au lieu de suivre dociles les consignes des partis ? Certainement, car lorsque l’on reste libre de son choix on peut être déçu, mais on ne nourrit pas un sentiment de frustration. Ce mécontentement traduit peut-être aussi le réveil douloureux des électeurs, constatant que la gauche en tête de sièges, ne l’est pas en voix, loin s’en faut. Dépossédé volontairement par le jeu des alliances, l’électeur qui s’est laissé guider plus qu’il n’a été acteur ne peut que s’étonner à présent, mais c’est bien là son unique faute et la lettre de Macron conforte cette impression. Un président qui affirme que personne n’a gagné au motif qu’il n’a pas, lui, de majorité absolue, berne les Français. Macron fait une nouvelle fois une lecture de la constitution très « Fabusiomacronienne ». À aucun moment il n’est dit qu’un parti l’emporte seulement s’il a 289 députés. En définitive Macron prend ce prétexte pour s’affranchir de choisir un Premier ministre dans le groupe le plus nombreux, comme il est de coutume sous la Vème république, en clair il ne reconnaît pas le résultat des urnes, qui lui est très défavorable et appelle à une entente large, façon de transformer un massif rejet des français à son encontre, en une splendide victoire tactique.
“Comment avons-nous pu autant nous tromper” se demande bien trop tard et une fois dans le mur Gilles le Gendre grognard de la macronie après sa Bérézina.
Simple cher Monsieur le Gendre.
Par arrogance.
Par suffisance.
Parce que vous pensiez tous savoir bien mieux que les autres.
Parce que vous pensiez pouvoir faire sans les autres et contre les autres.
Alors, oui, au bout de 7 ans, c’est un champ de ruine qui est laissé par le Mozarillon du Palais.
Les citoyens veulent moins d’immigration, moins d’impôts ? Ils en auront plus encore. Ils veulent s’inscrire dans la continuité historique de leur nation millénaire ? Ils subiront davantage les assauts de la nouvelle France multiculturelle et de ses minorités quérulentes. Ils veulent la droite ? Ils auront la gauche. Ainsi fonctionne, cul par-dessus tête, la démocratie française. Le RN a rassemblé hier soir, à l’issue du second tour des législatives, 8,7 millions de voix et la formation d’Eric Ciotti 1,3 million, tandis que le NFP en a aligné 7 millions et Ensemble 6,3 millions. Mais c’est l’extrême gauche (NFP) qui engrange 182 députés, la macronie (Ensemble) 163 et le bloc national…143. Jean-Luc Mélenchon, immédiatement après 20 heures et au nom de LFI (70 députés), s’est même précipité devant les télévisions pour s’approprier la victoire, en oubliant de la partager avec les socialistes et les verts.
Plus d’un spécialiste, à l’issue des dernières législatives, renvoie dos à dos plus ou moins toutes les formations politiques, pour leur impéritie, mélange d’incompétence de certitudes fragiles. Au Rassemblement National, Bardella a esquissé un début de constat sur la légèreté avec laquelle ils ont sélectionné leurs candidats. Mais il n’y a pas que cela. Ce débat sur les postes interdits aux binationaux est une question parfaitement légitime, mais qui n’a rien à faire dans un débat électoral. Les raisons sont très nombreuses pour sanctuariser certains postes à responsabilités pour des Français dont on est parfaitement sûr. L’affaire Harpon, avec un musulman radical au sein même de la préfecture de police et plus loin, l’affaire de la bombe atomique pakistanaise, construite par un ingénieur musulman formé en Europe et avec qui justement, on avait laissé accès aux informations les plus secrètes. La France détient une force de dissuasion nucléaire et il est bien entendu qu’on ne saurait prendre le risque de la laisser à des binationaux dont on n’est pas sûr de la loyauté. On a bien un fiché S à l’assemblée nationale. Sans parler des responsables et élus qui font du communautarisme à tour de bras. D’ailleurs en Algérie et partout ailleurs aussi, certains postes ne sont pas ouverts aux binationaux, mais en Algérie, cela ne semble pas poser de problème aux gauchistes d’ici, ouvertement soutiens des terroristes musulmans, palestiniens par exemple. Mais c’est le genre de question sensible qui s’aborde en sous main, une fois élu, et pas dans le cadre d’une campagne électorale.
12/07/2024
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Mais qui imaginerait que l’ancienne star du groupe NTM se retrouverait treize ans plus tard dans le collimateur de ces flics aguerris pour des accusations bien réelles et infamantes ?
La composition du groupe NFP ne finit pas de faire polémique.
Entre les nouveaux entrants comme le fiché S Raphaël Arnault, le soutien à l’imam Iquioussen Aly Diouara et les vieux briscards de retour comme François Hollande, il y en a pour tous les goûts…
Photo d'illustrationn
Alors que l’attente se prolonge pour la nomination d’un nouveau Premier ministre, le secrétaire général du groupe RN à l’Assemblée nationale, Renaud Labaye, a récemment affirmé que son parti ne s’opposerait pas systématiquement à un gouvernement de gauche. Cependant, Marine Le Pen a rapidement nuancé ces propos.
Si Jordan Bardella avait été anglais, il serait Premier ministre. S’il avait été italien, il serait président du Conseil. Mais Jordan Bardella est français et il a donc été écarté par un mode de scrutin qui a toujours été utilisé en faveur du système.
Le « front républicain » toujours puissant
On pouvait en douter, mais on avait tort, le front républicain fonctionne encore. Présenté comme rempart des démocrates face à un retour du fascisme, ça marche encore.
La magouille politicienne a permis au parti ayant reçu le plus grand nombre de suffrages de n’être que troisième en nombre d’élus.
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François Lenglet revient très justement sur les menaces des agences de notation de nous dégrader.