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Pour la camarade Mathilde Panot déjà membre du Politburo et du comité central et en lice pour le titre de camarade Secrétaire Général (1er ministre dans les démocratie de l’ouest) le SMIC à 1 600 euros va de soi et comme tous les idéologues, c’est à la réalité de se plier aux désirs de nos communistes de salons.
“Je n’accepte pas qu’on nous explique à chaque fois, qu’il serait impossible de vivre mieux dans ce pays, qu’il serait impossible de partager les richesses” nous dit-elle.
Et c’est là que l’on voit toute la profondeur de la compétence économique de notre Mathilde nationale.
Personne pour lui dire que pour partager les richesses, il faut pouvoir créer des richesses.
L’affaire des 19 militants de Génération Identitaire, qui avaient revendiqué la préférence nationale dans l’attribution des aides sociales en montant sur le toit de la CAF de Bobigny le 29 mars 2019, a pris une tournure dingue.
Ce groupe avait déployé une banderole revendiquant la priorité nationale, une préférence souhaitée par au moins 12 millions d’électeurs ayant voté RN lors des dernières élections législatives et Européennes.
Pourquoi le Rassemblement national n'a-t-il pas suivi sa courbe ascendante après un premier tour triomphal, bien qu'il ait finalement obtenu davantage de sièges ? La raison principale semble en être la diabolisation à marche forcée qui s'est de nouveau mise en route. Passe encore que des dirigeants politiques utilisent cette vieille ficelle pour empêcher leurs adversaires d'arriver au pouvoir : c'est, somme toute, de bonne guerre, même si c'est intellectuellement malhonnête. Mais quand toute la société civile s'y met, organisations syndicales, médias, personnalités du spectacle et du sport... il y a de quoi s'interroger.
Apologie du terrorisme, maltraitance sur un chat et outrage contre des policiers, un sans-abri condamné 36 fois et interdit de séjour, écroué jusqu’à son procès
Barbe hirsute poivre et sel, lunettes cerclées sur le nez et une parka marron clair tachée, Moktar B., un sans-abri de 52 ans, est un habitué du tribunal correctionnel de Montauban.
Poursuivi notamment pour apologie publique d’un acte de terrorisme et maltraitance sur un animal domestique, ce ressortissant marocain, né en Algérie, est jugé en comparution immédiate, vendredi 12 juillet 2024.
Les Parisiens n’en sont pas revenus, notamment place de l’Alma hier 11 juillet en cours d’après-midi, place qui a été traversée par un cortège des plus exotiques… plus d’une dizaine de véhicules des forces de sécurité du Qatar. Que faisaient-ils là ?
Ils sont venus à la demande du gouvernement français pour contribuer à la protection des jeux olympiques.
Le Qatar n’est d’ailleurs pas le seul pays à avoir dépêché des forces de police en France pour les JO. Il y a également des Polonais, des Allemands, des Marocains,... au total 46 États partenaires enverront environ 2.500 hommes qui seront aux côtés des 45.000 forces de sécurité françaises (gendarmes et policiers).
Cette semaine, Joe Biden se prend pour une afro-féministe, Rokhaya Diallo trouve qu'il y a trop de Blancs dans les rangs de la gauche et Jean-Philippe Tanguy détruit le « Front républicain ».
La « clarification » obscure, cette coquecigrue produite par Emmanuel Macron en dissolvant l’Assemblée nationale, reflète la confusion intellectuelle qui s’est installée au cœur du Système qui s’effondre. Le pouvoir se comporte comme un canard sans tête. Une bêtise collective s’est emparée des élites en chaises longues. Celles-ci ont unanimement réduit le débat politique à des postures irréfléchies contre le RN, rendant infertile le champ des idées. Rien ne pousse sous les tas de pierres lancées depuis des lustres par des Jean Moulin d’opérette contre le fascisme que représenterait Marine Le Pen. Mais si Le Pen est le fascisme, le fascisme n’était-t-il donc que cela ? Les résistants du nouveau « No pasaran ! » se flattent, derrière le chef de l’Etat, d’avoir écarté « l’extrême droite » de Matignon en la personne de Jordan Bardella.
Ils croyaient que l’élection d’une majorité de députés RN aurait pour conséquence l’expression d’un racisme décomplexé, mais c’est l’inverse : pas de majorité RN et un racisme décomplexé à gauche :
Un sondage révèle que 74% des Français se disent insatisfaits du résultat des élections législatives. Le seraient-ils moins s’ils avaient voté en leur âme et conscience au lieu de suivre dociles les consignes des partis ? Certainement, car lorsque l’on reste libre de son choix on peut être déçu, mais on ne nourrit pas un sentiment de frustration. Ce mécontentement traduit peut-être aussi le réveil douloureux des électeurs, constatant que la gauche en tête de sièges, ne l’est pas en voix, loin s’en faut. Dépossédé volontairement par le jeu des alliances, l’électeur qui s’est laissé guider plus qu’il n’a été acteur ne peut que s’étonner à présent, mais c’est bien là son unique faute et la lettre de Macron conforte cette impression. Un président qui affirme que personne n’a gagné au motif qu’il n’a pas, lui, de majorité absolue, berne les Français. Macron fait une nouvelle fois une lecture de la constitution très « Fabusiomacronienne ». À aucun moment il n’est dit qu’un parti l’emporte seulement s’il a 289 députés. En définitive Macron prend ce prétexte pour s’affranchir de choisir un Premier ministre dans le groupe le plus nombreux, comme il est de coutume sous la Vème république, en clair il ne reconnaît pas le résultat des urnes, qui lui est très défavorable et appelle à une entente large, façon de transformer un massif rejet des français à son encontre, en une splendide victoire tactique.