L’affaire du gendarme tué à Mougins met la nation à mal et révèle ce que le pouvoir tente de cacher en permanence, alors que ce n’est plus possible : les méfaits d’une immigration de masse, avec des gens qui n’ont pas l’ombre d’une quelconque compatibilité avec la vie en Occident. Ils s’en sortent souvent avec une appréciation judiciaire du style « Il ne connaît pas nos codes », laquelle vient contredire une autre appréciation judiciaire ; « Nul n’est censé ignorer la loi ». Et cette loi a lentement glissé vers une ethnicisation de son application, devenue très différente selon l’origine ethnique et la couleur du délinquant. Ethnicisation également des commentaires de la presse, qui matraque des jours sur Nahel, la mort d’un jeune défavorablement connu des services de police, mineur, non encadré par ses parents, qui sont tout juste responsables de leur progéniture, et relativise à outrance la mort d’un gendarme, un fonctionnaire et un honnête homme, allant jusqu’à considérer ce qui a toute l’apparence d’un meurtre, comme un banal fait divers. Manque de chance pour le délinquant capverdien, des images de vidéosurveillance mettent à mal sa version du « je l’ai pas fait exprès, je ne l’ai pas vu ». Et donc quoi, il ne faudrait rien lui dire, puis qu’il ne l’a pas fait exprès ?
France et politique française - Page 130
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Eric Comyn : la France en a marre…
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France : démocratie, droits de l’Homme, libertés, en péril ?
Lucie Castets dénonce « un déni de démocratie » en France concernant le choix d’un Premier ministre. Avec la détention du fondateur de la messagerie Telegram, Pavel Durov, les Français, mais aussi les observateurs internationaux s’interrogent sur la situation des droits fondamentaux dans le pays. Avec les législatives, un « coup d'État démocratique » se confirme. Les divers responsables politiques opposés à Macron évoquent une dérive illibérale. De nouveau, la destitution du président français est brandie.
Pour la recherche d'un gouvernement, Lucie Castets dénonce « un déni de démocratie », stipule France Info. Résultat, « les écologistes et le PS boycottent les nouvelles consultations à l'Elysée ».
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Chemin de croix
Gaëtan de Capèle
Cela fait maintenant quarante-six jours qu’Emmanuel Macron est à la recherche d’un mouton à cinq pattes pour Matignon. Un extraterrestre qui mènerait une politique à la fois de droite - mais point trop - et de gauche - point trop non plus - pour espérer coaliser un bloc central jusqu’ici introuvable. Et dont la première priorité serait d’établir un budget pour l’an prochain. Souhaitons-lui bon courage ! Alors qu’il ne reste que quelques jours pour boucler cet exercice, aux dernières nouvelles, la situation, déjà critique, ne fait qu’empirer : les recettes attendues ne sont pas au rendez-vous et les dépenses des collectivités territoriales s’envolent. Résultat, l’objectif de ramener le déficit de 5,5 % du PIB à 5,1 % - chiffres déjà cauchemardesques - ne sera pas atteint.
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Moi et le chaos : Macron à la manœuvre
Notre pays s’enfonce dans le chaos politique. La France n’a plus qu’un gouvernement démissionnaire et fait pire que sous la IVe République, avec cette différence qu’à cette époque il y avait encore un État et une industrie pour faire fonctionner le pays. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Macron le destructeur peut désormais ajouter à son tableau de chasse un nouveau massacre : celui de la Ve République.
Le grenadier de la république
Macron a tué la Ve République en dissolvant l’Assemblée nationale au lendemain de sa défaite aux élections européennes et en organisant des législatives dans la précipitation, sinon en violation du code électoral. Des législatives dont il refuse ensuite les résultats.
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Paris (18e) : violent affrontement entre des dizaines de migrants afghans en pleine rue sous les yeux de riverains et d’automobilistes
[Info Valeurs] Une rixe entre 40 migrants afghans a fait 4 blessés à l’arme blanche secteur Marx Dormoy dans le 18e arrondissement de Paris, ce samedi, indique une source policière. Les victimes ont été prises en charge en urgences absolue et relative. Six interpellés.
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En passant…
Par Rodolf Hertig
L’été s’achève et nous regardons en arrière comme envieux du temps qui a passé. Ces beaux instants… Mais la rentrée arrive et, avec elle, c’est la réalité qui nous écrase. Qu’il est éprouvant d’y revenir.
Devoir se taire car la liberté d’expression n’est plus en Europe. En témoigne la brutalité du traitement des Britanniques légitimement abasourdis par l’assassinat de fillettes par l’un des fils d’Islam. Se demander quand les autorités françaises se laisseront aller aux mêmes abus. Peut-être est-ce déjà le cas…
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[MIEUX VAUT EN RIRE] La théorie de Lucie Castets pour vaincre le racisme
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Législatives 2024 : 62% des électeurs LR/DVD et près de 50% des électeurs macronistes regrettent d’avoir fait barrage au RN en faveur du NFP…
(…) Quasiment deux mois après les élections législatives anticipées, l’institut de sondage Ipsos a publié une enquête pour Le Monde, la Fondation Jean Jaurès, le Cevipof et l’Institut Montaigne, portant sur le climat politique en France. Dans celle-ci, une partie est consacrée aux regrets du choix de vote durant les législatives. Ainsi, parmi les électeurs des Républicains ou Divers droite au premier tour, qui ont voté NFP au second dans un duel avec le Rassemblement national, 62 % disent regretter leur choix (38 % ont moyennement des regrets, et 24 % ont des regrets importants). Chez les électeurs Ensemble au premier, ces chiffres sont moindres : 28 % ont moyennement des regrets, et 18 % ont des regrets importants.
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Pavel Durov, mille mercis Monsieur le Président
Merci monsieur le président pour cette arrestation ! Pour tout ceux qui depuis des années s’opposent à votre politique et aux révolutions de couleurs, vous venez de nous rendre le plus immense des services et confirmer ce que j’affirme depuis des années : Nous ne gagnons pas, car nous sommes bons, nous gagnons car vous êtes mauvais et l’histoire porte nos positions.
L’arrestation de Pavel Durov est bien évidemment l’histoire d’un abus de pouvoir comme la France sait régulièrement nous en régaler. Elle est aussi un mauvais coup porté à votre politique du business dans les secteurs les plus favorables à la finance mondialisée. Mais, sa conséquence, particulièrement funeste pour les thèses que vous défendez se fera sentir autour du monde, car vous venez d’anéantir les révolutions de couleur !
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Le consensus de la démission
L’éditorial de François Marcilhac
Comment ne pas comprendre le cri de douleur de la veuve de l’adjudant Comyn, accusant « la France » d’être responsable de la mort de son mari, tué en service commandé par une chance pour la France multirécidiviste ? Oui, « la France » l’a tué si on entend par là un pays et ses lois, ou plutôt la non-application de ses lois. Comme l’a fort bien résumé Vincent Trémolet de Villers dans Le Figaro de ce jeudi 29 août, mort non pas « pour la France », mais « par la France », ou plutôt mort pour les citoyens d’un pays indifférent au sacrifice de ceux qui risquent et, parfois, donnent leur vie pour eux – et donc mort aussi de cette indifférence, comme si ce risque allait de soi.