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France et politique française - Page 1433

  • Les députés autorisent la mise à mort des bébés jusqu’à 9 mois de grossesse au prétexte de « détresse psychosociale »

    un bébé à 8 mois. Un bébé, entièrement formé et prêt à découvrir la vie.

    Dans la nuit du vendredi 31 août au samedi 1er août, les députés ont adopté en seconde lecture le projet de loi bioéthique [sic], légalisant notamment la « PMA pour toutes » (« pour toutes » les égoïstes ou même les dépravées).
    Comme le souligne l’association pro-vie Alliance Vita, l’amendement a été adopté « à la sauvette en pleine nuit à la fin de l’examen du projet de loi bioéthique ».

    Cet amendement, porté par plusieurs élus socialistes dont le secrétaire général du PS Olivier Faure, autorise en effet l’interruption médicale de grossesse (IMG), permis pendant neuf moispour cause de « détresse psychosociale ».
    On imagine bien que cette notion floue et subjective sera facilement le prétexte à ce qui n’est – camouflé en acte « médical » [sic] – ni plus ni moins qu’un meurtre, et ce jusqu’à 9 mois de grossesse !

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  • Philippe de Villiers : “La France avance masquée vers les Ténèbres”

    Cette petite phrase lue sur le compte Twitter de Philippe de Villiers mérite d’être soulignée :

    La psychose autour de la deuxième vague cache le passage en force pour faire voter une loi insidieuse sur l’eugénisme et le post-humanisme. Transgression criminelle. La France avance masquée vers les Ténèbres.

    https://www.medias-presse.info/philippe-de-villiers-la-france-avance-masquee-vers-les-tenebres/123059/

  • IVG/IMG : désinformation médiatique

    IVG/IMG : désinformation médiatique

    Exemple avec LCI, qui revient sur le vote de la loi de bioéthique :

    Titre manipulateur en forme de déni.

    • Il s’agit de l’IMG et non de l’IVG, même si les deux actes sont un meurtre
    • Le critère de détresse a été abandonné pour l’IVG. Considéré comme intrusif et invérifiable, il n’était jamais vérifié.
    • Les débats évoquent “toute forme de détresse” pour légitimer l’IMG.

    Appelons un chat un chat : en France, certains de nos députés ont voté le 1er août, l’assassinat d’enfants dans le ventre de leur mère jusqu’à 9 mois! C’est un infanticide ! N’ayons pas peur des mots !

    https://www.lesalonbeige.fr/ivg-img-desinformation-mediatique/

  • La fraude sociale ? Un « pillage en règle » impossible à chiffrer … (novembre 2019)

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    C’est une question qui revient régulièrement dans le débat, sujette à fantasmes, nous dit-on, car toujours sans réponse, un peu comme l’Arlésienne ou le monstre du Loch Ness : quel est le coût réel de la fraude sociale ?

    Les Français honnêtes réclamant une réponse, le gouvernement a commandé à la sénatrice de l’Orne  (UDI) et à la députée de Meurthe-et-Moselle Carole Grandjean (LREM) un rapport pour tenter d’y voir clair. Leur mission : « procéder à une évaluation robuste et objective du coût de la fraude aux prestations sociales ». Le rapport a atterri mardi dernier sur le bureau du Premier ministre.

    Sa conclusion robuste et objective : le coût réel de la  est impossible à chiffrer !

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  • LOI BIOÉTHIQUE 2020 : UN PAS DE PLUS VERS LA FOLIE (PMA, CHIMÈRES...)

  • Clemenceau : la raison de l’État est toujours la meilleure

    Clémenceau  la raison d'État est toujours la meilleure.jpeg« Rendez à César ce qu est à César, mais tout est à César ». Ce trait d'humour grinçant résume la pensée de Georges Clemenceau, grand serviteur de l’État sans doute, mais qui s'en faisait une idée si haute qu'il n'a pas hésité à faire tirer sur des grévistes. À balles réelles

    C’est dans une tranquille « bicoque » de pécheur vendéen, à Saint-Vincent-sur-Jard, que Georges Clemenceau (1841 1929) a passé le crépuscule de sa vie. Loin, bien loin des lieux qu'il enflamma : la Chambre, Beauvau, Matignon, les tranchées. Sur le lit de la cabane, l'œil est attiré par un grand aplat de couleur ambre une majestueuse peau de tigre.

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  • Un procureur d'Evry a "couvert" quatre racailles qui ont violé/torturé une Française "parce que" française...

    L' "affaire" est évidemment sordide et monstrueuse. Nous partageons - une fois de plus - la saine réaction de révolte, d'indignation et d'accusation de Goldnadel :

    3197086703.jpgG-William Goldnadel
    Une affaire d’une immense gravité. Bravo au Parisien. Un procureur a trahi les devoirs de sa charge. Ainsi, en France, la justice dissimule le racisme anti français tandis qu’un gang porté par les médias diffame la France, sa police et son peuple en les taxant de racistes.

    les faits, ici :

    https://www.leparisien.fr/essonne-91/evry-91000/evry-un-ado-violeur-recidiviste-juge-pour-des-sevices-d-une-violence-inouie-30-05-2017-6999996.php

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    CE PROCUREUR DOIT ETRE DESTITUÉ ET CHASSÉ DE LA MAGISTRATURE !

    Mais, pour les parents de cette victime, qui n'ont pas voulu que "l'affaire" puisse être récupérée par l'extrême-droite" (!) que dire ?

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  • Pour une pédagogie de la personne

    Le Père Yannik bonnet, connu pour ses livres sur l’entreprise et l'éducation( Les neuf fondamentaux de l'éducation) a développé sur la pédagogie une pensée originale, nourrie de son expérience de père de sept enfants, de professionnel de l’industrie et de directeur de grande école. Ordonné prêtre après le décès de sa femme, il s'est beaucoup investi pour les écoles hors contrat. Nous l’avons retrouvé dans sa "base arrière" de Carnac, pour l’interroger sur l’avenir de l’instruction en France.

    Entretien avec le Père Yannik Bonnet

    Père Bonnet, certains sont tentés de penser que la question de l'éducation et de l'instruction va être réglée. Le nouveau ministre, Jean-Michel Manquer a bonne presse... Qu'en pensez-vous ?

    Je suis très sceptique, parce que jusqu'à présent, aucun ministre n’a pu faire bouger Grenelle. C'est une véritable institution, un État dans l'État. Cela n’empêche pas certains professeurs, y compris dans le public de mener leur classe à leur manière. Mais l'institution est figée dans une manière de ne pas faire réfléchir les enfants, de les gaver et non pas de les nourrir. Il y a une véritable révolution à faire dans l'Éducation nationale. Mais peut-on faire une révolution avec un système aussi massif ? Personnellement, je ne le crois pas. Mais alors il faudra mettre en place un contrôle de qualité (comme on le fait pour les voitures) pas du tout directif sur les méthodes, seulement sur le résultat.

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  • Dogmatisme écolo, l’été meurtrier

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    Par Emmanuelle Ducros

    « Vous votez un texte dont nous ne mesurerons l’importance que dans quelques années. Quel autre pays se dote d’un dispositif qui concerne tous les néonicotinoïdes et a posé le principe général d’une interdiction dès 2018 ? », pavoisait Barbara Pompili, alors secrétaire d’Etat chargée de la Biodiversité, en août 2016, lors du vote de la loi du même nom.

    Un boomerang politique qui revient à grande vitesse au visage de la ministre de la Transition écologique. Quatre ans plus tard, une infestation de pucerons s’abat sur la France, démontrant en un temps record l’absurdité de se substituer aux scientifiques et d’inscrire dans la loi une décision qui est, normalement, du ressort des agences sanitaire, Efsa pour l’Europe et Anses pour la France.

    La betterave à sucre est la première culture touchée. Les 26 000 planteurs n’ont plus de solution pour traiter leurs cultures alors que les insectes suceurs de sève transmettent aux plantes des jaunisses qui les atrophient. Résultat : 40 % à 50 % de la récolte sera perdue. Toute une filière – 21 sucreries et 45 000 emplois directs – est aux abois. La France, premier producteur européen de sucre et de bioéthanol, pour plus d’un milliard d’euros d’excédent commercial, va rendre sa couronne. Sans oublier que de cette industrie dépend aussi notre production de gel hydroalcoolique.

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  • Dette publique française et crise sanitaire : encore plus d’impôts ? D’autres solutions existent !

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    Question de lucidité et de volonté uniquement…

    La grande question du moment pour l’État dont le chef démagogue a fait preuve, ces derniers mois, d’une inconséquente largesse politique supposée voler au secours économique de ses citoyens-contributeurs, est de savoir comment il va éponger la dette publique. Celle-ci a atteint des montants faramineux, représentant, à ce jour, 121 % du PIB.

    La crise du Covid-19 a bon dos ! Elle permet de faire passer cette dette comme inévitable et salutaire, alors qu’elle ne fait qu’ajouter et amalgamer les dettes accumulées récemment, au prétexte d’une crise sanitaire gérée avec incompétence et malhonnêteté, avec celles, plus anciennes, accumulées par mauvaise gestion publique et choix idéologiques antifrançais.

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