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France et politique française - Page 1432

  • Le jour de la fête nationale, ils agressent sauvagement les forces de l’ordre

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    Accordons-nous quelques lignes de fiction pour commencer notre édito.

    Ce 14 juillet, installé chez vous avec vos enfants, vous êtes très heureux de partager ce moment en famille. Vous vous plongez dans ce moment de solennité avec fierté tout en essayant d’expliquer aux plus jeunes la symbolique de ce temps d’union nationale. Sous vos yeux, le drapeau tricolore, ce pavillon qui représente les couleurs de la France dans le monde entier depuis 1830.

    Sous vos yeux défilent également nos forces armées, nos forces de sécurité, nos forces de secours, et comme chaque année, vous avez la petite larme à l’œil en entendant chanter « La Marseillaise ». Fiers d’avoir transmis à vos enfants ce moment de patriotisme, vous êtes loin de vous douter qu’en fin de journée, le mythe tissé dans la matinée allait s’effondrer.

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  • Rues débaptisées, histoire défigurée !, par Clément Martin (Les Identitaires)

    La réponse à Black Lives Matter, vient d’expliquer Emmanuel Macron, ne sera pas le déboulonnage : « Plutôt que de déboulonner, je vous propose de construire ». Cent noms de soldats africains ont été référencés par la secrétaire d’Etat aux Armées, Geneviève Darrieussecq : « Les noms, les visages, les vies de ces héros d’Afrique doivent faire partie de nos vies de citoyen libres parce que sans eux, nous ne le serions pas ».

    Des villes, comme Bandol, avaient déjà commencé : le maire a inauguré en janvier la première « Place des Libérateurs-africains », en hommage à cinq combattants d’Algérie morts en 1944. Cette tendance ne date pas du mouvement BLM mais de l’idéologie de la discrimination positive mise en place sous Nicolas Sarkozy, servile plagieur de l’affirmative action américaine. « La France sait ce qu’elle doit à l’Afrique, elle lui exprimera sa gratitude », avait-il déclaré en annonçant que les contingents des pays d’Afrique noire défileront le 14 juillet 2010 sur les Champs Élysées.

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  • Paris: la peinture verte à 125.000€ du kilomètre utilisée pour coloriser les pistes cyclables avant le second tour s’en va déjà

    Un article du Parisien révèle que le coup de peinture verte de la piste cyclable du boulevard Magenta à Paris, effectué juste avant le second tour des élections municipales, coûte 125.000€ par kilomètre. Etant donné qu’au bout de 2 semaines la peinture s’en va déjà et que ledit boulevard fait près de 3.8 km de piste cyclable, quel sera le bilan de cette colorisation ? Anne Hidalgo espère en tout cas « généraliser la colorisation des pistes cyclables ».

    Au total, en 2015, le linéaire cyclable parisien s’élève à 740 km (y compris les double-sens cyclables). Le plan vélo 2020 de la mairie prévoit d’atteindre les 1400 km.

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    Le Parisien

    via Fdesouche / Illustration : @vincentm

  • Instructif ! A Méditer...

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    (Document transmis par Jacques Davin)

    Liste des 13 professeurs payés par Gilead. Responsables des études sur le covid 19, ils sont tous contre la chloroquine et contre le professeur Raoult…

    N°1. La Palme d’Or revient au Pr François Raffi de Nantes. 541.729 €, dont 52.812 € de Gilead. Est-ce un hasard si on nous apprend que le coup de téléphone anonyme pour menacer Didier Raoult, s’il persistait avec l’hydroxychloroquine, est parti du téléphone portable du service d’infectiologie du CHU de Nantes, dont François Raffi est chef de service ? Sûrement une pure coïncidence.

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  • Nicolas Dupont-Aignan : « Un Président narcissique interviewé par deux journalistes complaisants »

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    Nicolas Dupont-Aignan : « Un Président narcissique interviewé par deux journalistes complaisants »

    Réaction du président de Debout la France à l’interview du 14 Juillet d’ par Léa Salamé et Gilles Bouleau. Il dénonce la complaisance des deux journalistes. Pour lui, il n’y a eu aucune question sur les enjeux fondamentaux.

    Aujourd’hui, Emmanuel Macron s’est exprimé pendant plus d’une heure face à Léa Salamé et Gilles Bouleau. Son discours a été critiqué par l’opposition, qui y voit une absence de cap. Qu’avez-vous retiré des propos du président de la République ?

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  • Au lendemain du 14 juillet

    6a00d8341c715453ef0263e956720c200b-320wiBeaucoup de Français ont été doublement déçus en ce 14 juillet macronien.

    Certains, de moins en moins nombreux sans doute, confondent encore l'État, l'État-Providence l'appellent-ils en rêve, et le Père Noël. Englués dans cette illusion si destructrice, ils croyaient peut-être en la promesse présidentielle d'une réinvention. Elle leur avait été annoncée le 13 avril. Le discours prononcé par le chef de cet État, à 3 mois de distance, les a une fois de plus dégrisés.

    Mais pour d'autres, depuis le passage du général Boulanger au ministère de la guerre en 1880, il s'agit toujours d'un de ces jours fériés dont il convient d'oublier la symbolique. Longtemps militaire, elle donnait l'occasion au bon peuple de voir défiler ce qui reste des forces de défense d'un pays par ailleurs en déliquescence. "Fiers et contents, chantait-on à l'époque du général Revanche, nous allions à Longchamp le cœur à l'aise... car nous allions fêter, voir et complimenter l'armée française".

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  • Thomas, Philippe, Mélanie et l’immigration : Brigitte Bardot met les pieds dans le plat !

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    Brigitte Bardot, questionnée par André Bercoff – j’étais présent dans le studio – s’est déchaînée, au téléphone, sur l’insécurité de la France, les « lâches » qui nous gouvernent et les affaires graves qui, depuis quelques jours, assombrissent et indignent la France (Sud Radio).

    Pour ne parler que de Thomas, poignardé par un homme sorti de prison par anticipation à la suite du Covid-19. De la gendarme de 26 ans tuée par un chauffard, sous l’empire de la drogue et de l’alcool, au casier judiciaire bien pourvu dans le domaine de cette délinquance automobile. Du chauffeur d’autobus à  dans un coma profond parce qu’il avait accompli son travail à l’égard d’une personne sans masque et avec un chien. Agressé violemment par un groupe dont quatre ont été interpellés.

    J’entends bien que réunir ainsi trois tragédies, au fil de l’actualité, pourrait donner l’impression d’une focalisation abusive au regard de l’état quotidien de la France.

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  • Le plus désolant du discours d’Emmanuel Macron, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés

    Le plus désolant du discours d’Emmanuel Macron, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés

    Dans Le Figaro, Vincent Trémolet de Villers revient sur l’intervention médiatique du président hier, lors de la fête nationale :

    Mais le plus frappant, le plus désolant aussi, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés. Quelques heures plus tôt, des gendarmes avaient défilé place de la Concorde, des soldats et des soignants avaient déplié un drapeau français. Trois couleurs qui disent la noblesse du service de l’État. Il y a quelques jours, Mélanie Lemée, gendarme de 25 ans, est morte pour avoir voulu, simplement, faire respecter la loi. Philippe Monguillot, chauffeur de bus, a perdu la vie pour avoir exercé l’autorité la plus infime : celle qui consiste à demander un ticket, le port d’un masque. Ni les journalistes ni le président n’ont songé à évoquer, hier, ces drames, symboles alarmants d’une violence qui partout s’installe, précipités tragiques de nos renoncements. Dans la surréalité médiatique, pas une minute pour cette réalité criante. La seule évocation de l’ordre public a concerné le délit de faciès. Comment s’étonner alors que la défiance redouble, que l’abstention galope ?

    https://www.lesalonbeige.fr/le-plus-desolant-du-discours-demmanuel-macron-ce-sont-les-mots-qui-nont-pas-ete-prononces/

  • Relocalisation : renverser le rapport de force ?

    Si l’idée de relocaliser la production est portée depuis longtemps par des intellectuels et des militants, elle a pris un nouvel élan dans la population à la faveur de la crise sanitaire. Mais l’État peut-il retrouver un rôle de stratège sans reprendre en main le secteur-clé de l’énergie, ce qui entrerait en contradiction avec la logique de l’UE ?

    Dans cette émission de Russeurope Express, Jacques Sapir et Clément Ollivier reçoivent Aurélien Bernier, journaliste et essayiste, auteur des « Voleurs d’énergie » (éd. Utopia, 2018) et de la note « Démondialisation, relocalisation et régulation publique : pourquoi et comment », publiée en juin dernier par l’Institut Rousseau.

    https://fr.novopress.info/