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INFO LA PROVENCE. Cinq Algériens se sont enfuis du CRA du Canet à Marseille dans la nuit du vendredi 4 au samedi 5 avril. Une évasion qui pourrait avoir été facilitée par du matériel jeté deux jours plus tôt par-dessus les barbelés du centre de rétention. Trois ont été repris, mais deux des fuyards sont toujours activement recherchés.
La Justice, avec un J majuscule, celle de Saint Louis, ne devait pas subir de procédures d’appel. Dans une conception chrétienne, n’est-elle pas par essence au-dessus des clans et des copinages, des opinions et de la moindre contradiction. Elle suppose l’aveu de ses fautes en confession ou en public pour les réparer si besoin est. Quant à celle de nos jours, ne dit-on pas qu’on n’en commente pas les décisions ? Du moins il devrait en être ainsi. Imagine-t-on le condamné, ou le plaignant refoulé revenir autrefois vers St Louis ? Oui, peut-être, notamment si des faits nouveaux ou des preuves nouvelles se faisaient jour. Mais sinon ? Pourtant, en France l’appel est autorisé, généralisé même. Je le regrette.
Ces 25 minutes qu’on passe en écoutant Jean Messiha, sur Radio Courtoisie, dans la matinale « La Ligne Droite », animée par Richard de Seze et Liselotte Dutreuil, jeune rédactrice en chef de 24 ans, sont un véritable régal.
Partout en France, le nombre des nouveaux baptisés de Pâques dépasse les records des années précédentes. Une telle réalité devrait nous interroger, au-delà même des sentiments de joie qu’ils inspirent. La décision des catéchumènes adultes se réfère à une démarche vraiment personnelle, à une adhésion profonde de l’esprit et du cœur. Souvent, elle intervient dans un milieu indifférent, sinon hostile à toute culture chrétienne. Elle suppose ainsi de la part des intéressés une vraie rupture, un détachement par rapport aux préjugés de l’époque, aux idées toutes faites qu’ils avaient pu se forger à travers les médias. En effet, on est souvent effaré par l’image véhiculée de l’Église dans l’esprit de nos contemporains qui reprennent, sans y voir malice, des accusations qui valent condamnation.
Le vent serait-il en train de tourner ? Pour le tout éolien porté par l'UE, le gouvernement et l'idéologie verte ? Et peut-être, aussi, pour la Justice, généralement assez peu à l'écoute des recours formulés par des riverains contre ces projets éoliens imposés par une programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) qui a fixé un objectif de 34 GW en 2028, soit un doublement par rapport à la puissance installée, fin 2019 : 16,5 GW ! Pour atteindre cet objectif, les projets se sont donc multipliés, sans rencontrer d'obstacle majeur jusqu'en ce début d'avril 2025 où viennent de tomber, dans une relative indifférence, deux décisions de niveau inégal, mais qui marquent un tournant.
Ca chauffait entre Paris et Alger et d’un coup, plus rien. Les présidents français et algérien ont décidé de « renouer le dialogue et d’engager une reprise de la coopération sécuritaire et migratoire »… mais encore ? Boualem Sansal, attentat de Mulhouse, « souveraineté marocaine » sur le Sahara occidental, arrestation d’influenceurs algériens, reprise des OQTF délinquants… ils ont avancé sur quoi ? Ils ont marqué la fin du ramadan, exprimé « leur volonté de renouer le dialogue fructueux »… ça veut dire quoi ? C’est du verbiage comme d’habitude. Retailleau promettait une riposte proportionnée et graduelle. Rappelons que le fait qu’un pays ne reprenne pas ses ressortissants est contraire au droit international, mais l’Algérie peut le faire sans risque avec la France et la France ne doit rien dire, sinon, ce doit être raciste, comme d’habitude. On devait suspendre l’absence de visa pour les diplomates, la plus petite des mesures de rétorsions, ce ne sera même pas le cas.
Si l'arrêt prononcé le 31 mars par la XIe chambre, condamnant Marine Le Pen à l'inéligibilité, n'en finit pas de faire des vagues, cette affaire qui cristallise les tensions de l'opinion n'est malheureusement pas le seul problème français.
Une greffière d’une trentaine d’années a été « mise en examen pour complicité de trafic de stupéfiants, association de malfaiteurs, non justification de ressources, violation du secret professionnel et consultation illicite de fichiers judiciaires ».