
Les autorités françaises ont procédé à 26 arrestations et saisi l’équivalent de 11 millions d’euros, investis par le groupe criminel dans des voitures de luxe, des bijoux, de la cryptomonnaie… et des titres-restaurant. Les passeurs, issus de multiples groupuscules versés dans diverses activités criminelles, obtenaient de faux visas de travail, touristiques ou médicaux pour permettre aux migrants d’atteindre l’Union européenne. Depuis le début de ses activités en 2022, le groupe a facilité l’entrée sur le territoire français de plusieurs milliers de personnes, toutes venues du sous-continent indien (Inde, Sri Lanka et Népal).