
Une peine de 8 mois de prison ferme, assortie d’une interdiction de territoire français pour 3 ans, a été prononcée à l’encontre d’Ahmed Boumaza, Algérien de 23 ans en situation irrégulière.
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Une peine de 8 mois de prison ferme, assortie d’une interdiction de territoire français pour 3 ans, a été prononcée à l’encontre d’Ahmed Boumaza, Algérien de 23 ans en situation irrégulière.
Un homme raconte avoir trouvé, dimanche 20 avril, la maison de son défunt père, située à Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, occupée par deux individus, originaires d’Algérie, sous l’obligation de quitter le territoire français (OQTF).
La scène, filmée par les caméras de vidéosurveillance urbaine ce mardi vers 13 h à Besançon, a de quoi faire bouillir de rage et d’incompréhension. Alors qu’il déambulait paisiblement avec sa fille septuagénaire, un homme âgé de 101 ans a été agressé près de la place de la Révolution. L’assaillant était, visiblement, déterminé à lui voler le sac qu’il portait en bandoulière.
Ce premier mai déchire, entre ceux qui voudraient le maintenir férié et les autres, qui voudraient en faire un jour comme un autre, revendiquant le droit de travailler. Au RPF, le travail est l’une de nos valeurs fondamentales et profitons de ce jour pour dresser quelques constats. La valeur travail justement disparaît, travail au sens de « production de richesses ». Car c’est bien cette considération qu’il faut prendre en compte si nous voulons que la France retrouve à la fois du rayonnement et des finances. Il faut bien différencier ces emplois de ceux qui sont créés en masse actuellement : des gestionnaires et des contrôleurs. Nous pondons des normes, avec des gens pour les appliquer, des gens pour les contrôler, d’autres gens qui supervisent les contrôleurs, des conseilleurs pour que tout le monde se retrouve dans le fatras. Mais encore, des surveillants, puisque désormais tout est soumis à la délinquance galopante et qu’il est désormais impensable d’envisager le moindre travail sans système de contrôle des locaux, des employés, sans avoir de vigile… La charge sur le travail a augmenté sans limite, d’impôts, de normes, de taxes, de surveillance, de contrôle, fruits d’une politique qui a conduit à la perte de la conscience professionnelle et de la rigueur.
La salle Coluche, remplie à ras-bord, ne contenait pas assez de places assises pour accueillir tout le monde, ce mardi. (…) Ils étaient plus de 400, essentiellement des Loonois, à avoir fait le déplacement ce mardi pour une première réunion publique organisée par le maire de Loon-Plage en présence de représentants de l’État pour évoquer les problématiques soulevées par la présence de migrants dans la commune (…)
Malgré sa récente condamnation à 5 ans d’inéligibilité et 4 ans de prison dans l’affaire des assistants parlementaires, Marine Le Pen reste largement en tête au premier tour de la présidentielle 2027 avec 32 % des intentions de vote, selon un sondage Odoxa pour Public Sénat. Jordan Bardella obtiendrait des résultats similaires s’il la remplaçait.
Depuis 1941 en France, la fête du Premier mai est supposée rendre hommage au Travail. Les disciples de Nathalie Arthaud et autres nostalgiques d'Arlette Laguiller contestent fortement cette interprétation légale, car elle remonte au gouvernement de l'État français. Elle leur paraît trahir la tradition des luttes syndicales ouvrières. C'est en 1856, en Australie, qu’est née, en effet, la revendication d’une journée ouvrière de repos, comme un moyen d’obtenir la journée de 8 heures. La date était alors fixée alors au 21 avril. Ce n'est qu'en 1889, que les socialistes de la IIe Internationale décidèrent de fixer leur mobilisation au 1er mai, en référence aux violences répressives lors des manifestations de 1886.