Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 183

  • La racaillisation de la vie politique…

    On aurait tort d’incriminer ce malheureux Kerbrat, pris en flagrant délit d’achat de drogue. Il n’est pas le seul élu à consommer des psychotropes, l’exemple vient d’en haut, c’est un secret de Polichinelle, mais ce n’est pas tout. Ce qu’on peut appeler la « racaillisation » des parlementaires est un processus lourd, qui passe par plusieurs composantes. Le langage, de plus en plus familier, voire ordurier, insultant provocateur, jusque dans l’hémicycle. Les mêmes, sur les plateaux de télévision, confrontés à des questions complexes, passent dans le bafouillage, la mauvaise foi, l’insulte, tant ils ne peuvent et ne savent argumenter contre la réalité évidente. Mais en plus, ils en sont fiers, des députés LFI n’hésitant même plus à assimiler la qualité du langage et les bonnes aptitudes à parler en public, à une appartenance à la droite.

    Lire la suite

  • Tollé à Poitiers : des plaques de rue rebaptisées aux noms de leaders du Hamas dont celui de l’islamiste Ahmed Yassine, fondateur du mouvement et Frère Musulman. L’action relayée par… les Jeunes Communistes locaux

    Ce jour, des plaques de rue du centre-ville de Poitiers (Vienne) ont été rebaptisées par une action de collage aux noms de leaders du mouvement terroriste Hamas ainsi que de leurs relais entre autres.

    Une rue a ainsi été rebaptisée du nom d’Ahmed Yassine, fondateur du Hamas.

    Lire la suite

  • « Pour le FMI il faut un effort significatif et un sacrifice nécessaire pour le budget de la France ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Il est rare que je sois d’accord avec le FMI, mais il est clair qu’un effort considérable est nécessaire, non pas sur la pression fiscale et les hausses d’impôts mais sur les baisses de dépenses, car nos élites ont totalement perdu la raison sur la manière de dépenser les deniers publics. Mais revenons à ce que vient de dire le FMI dont un article du Figaro (source ici) reprend les principales déclarations.

    Lire la suite

  • Y a-t-il eu une tentation fasciste en Corse ?

    Y a-t-il eu une tentation fasciste en Corse ?

    L’anachronisme et l’amalgame condamnent à ne rien comprendre au passé. Jean-Pierre Poli, dans un livre sans complaisance paru en 2007, explique le positionnement des autonomistes corses, certains d’entre eux en tout cas, dans la période 1926-1946. Le titre de son ouvrage fouillé est éclairant : Autonomistes corses et irrédentisme fasciste.

    De l’autonomisme au fascisme ?

    Le mouvement autonomiste dont il est question est celui d’un « corsisme » qui s’est développé autour d’un mouvement culturel, A Muvra, et de son leader, Petru Rocca. « Paradoxalement, A Muvra, “bulletin régionaliste de l’île de Corse”, naquit en mai 1920 à Paris, où son fondateur Petru Rocca était arrivé vers 1910 et où, ancien soldat exemplaire, il s’était réinstallé après la fin de la Grande Guerre. »

    Lire la suite

  • Samedi 19 octobre à Rouen : c'était la Marche de la fierté normande

    FB_IMG_1729354840393.jpg

    Franck Buleux

    Ancien conseiller municipal de Vernon (27)

    Le 19 octobre 2024, dans la capitale historique et régionale normande, fondée par Rollon, premier duc de Normandie entre 911 et 932, s’est déroulée la Marche des Normands, autrement dénommée parfois « Marche de la fierté normande ».

    Cette Marche organisée par une jeunesse qui souhaite incarnée une identité régionale, celle de la conquête, avait fait l’objet, l’an passé, d’une interdiction préfectorale par un arrêté pris le 13 octobre 2023. Pourquoi ? Il s’agissait d’une mesure administrative préventive car cette Marche de la fierté normande « aurait rassemblé des personnes issues de mouvements militants d’extrême droite ». La préfecture de Seine-Maritime, bras armé et docile à l’époque de Gérald Moussa Darmanin (qui fut portant proche de mouvements royalistes), ministre de l’Intérieur, citait le « contexte international qui entraîne un phénomène de menace contre les États ayant dénoncé les attentats du Hamas » (du 7 octobre 2023). Ce sont donc des évènements internationaux au Proche-Orient qui furent à l’origine de l’interdiction d’une marche consacrée à la célébration de la Normandie. Ce ministre était-il sérieux, lui qui se sentait obligé de cacher son second prénom pour accéder aux plus hautes responsabilités ?

    Lire la suite

  • Marseille: le tribunal administratif annule une subvention de 30.000 euros versée par la ville à SOS Méditerranée

    Marseille: le tribunal administratif annule une subvention de 30.000 euros versée par la ville à SOS Méditerranée

    Le tribunal administratif a annulé une subvention de 30.000€ attribuée par la ville de Marseille à SOS Méditerranée en 2021. En jeu, notamment, l’intérêt public local et le montant de cette subvention.

    Lire la suite

  • Est-il légal de rester député et voter des lois quand on est toxico et reconnu grand malade ?

    Nos élus, on les veut stupéfiants par actions, non par addictions ! Dehors Andy Kerbrat !

    Encore un « Insoumis » gratiné … à ce stade leur service casting est un vrai petit bijou …

    Dans ce foutoir à ciel ouvert qu’est devenue la France de Macron, s’acharnant à assassiner celle des Patriotes et de leurs valeureux ancêtres, il n’est guère un mois, une semaine, quelques jours… sans un nouveau scandale, toujours plus exécrable, en provenance de cette prétendue gauche virant de plus en plus en une secte de gravissimes malades mentaux, se voulant toujours totalement irresponsable des maux qu’elle produit par la crétinerie avérée de ses « têtes pensantes » !

    Lire la suite

  • Cotisation à l’étranger, indemnisation en France. Les scandales de la dépense publique !

    Tout ceci est délirant.

    Nous vivons dans un monde où le bon sens a totalement disparu de l’action et de la décision publique.

    Nous payons des sommes folles et entretenons des situations ubuesques.

    Rien n’est logique là dedans.

    Il est parfaitement logique d’être indemnisé par le système dans lequel on a cotisé. Ceux qui font le choix de travailler en Suisse ou en Belgique sont libres de le faire, mais ce n’est pas à la France d’assumer le coût de leur indemnisation chômage puisqu’ils sont “hors” système français.

    Lire la suite

  • [POINT DE VUE] L’« arc républicain » ? C’est nous, les « nationistes » !

    © Samuel Martin
    © Samuel Martin
    La gauche est captive depuis longtemps de l'extrême gauche. Par lâcheté et par sottise. Il n'en fut pas toujours ainsi : il y eut une gauche sociale, digne, patriote, courageuse, face à l'extrême gauche antirépublicaine, tentée par la dictature, la violence. Les gauchistes agressifs contre Jean Jaurès, puis les communistes contre Léon Blum, Mendès France. L'histoire de l'extrême gauche commence dans le sang avec la Terreur et Robespierre, et reprend, dans le sang et l'incendie de Paris, avec l'insurrection communarde. Puis la trahison des communazis de 1939 à 1941 ; de 1945 à nos jours la complicité avec Staline, le Viet Cong, le FLN, Mao, Castro, Che Guevara, Pol Pot, les Kim, Ceaușescu, Mengistu Haile Mariam, Maduro… Bref, avec des tyrans sanguinaires. Désormais, la gauche de Hollande et Faure est inerte. Plus de pensée : une fade logorrhée et une soumission à Mélenchon, lui même dépendant des islamistes qui grand-remplacent, dans ses scores électoraux, les classes populaires passées au RN.

    Lire la suite

  • TRIBUNE LIBRE - Prise de conscience, effort et redressement, ou renoncement, immobilisme et chute : il n’y a pas d’autre alternative !

    8723806-13780232.jpg

    Didier Lecerf

    Bien que le gouvernement Barnier soit loin d’être idéal, il a de bonnes chances de durer plus longtemps que d’aucuns peuvent le penser.

    Rappelons brièvement la situation.

    D’abord, à l’issue des dernières législatives, les profondes fragmentation et division de la population ont trouvé tout naturellement leur traduction, sur le plan politique, dans l’atomisation de la représentation nationale et, conséquemment, l’absence de majorité de gouvernement. Ainsi, le palais Bourbon compte désormais onze groupes politiques (auxquels il faut ajouter les non-inscrits) et trois grands blocs, parmi lesquels aucun n’atteint la majorité absolue de 289 députés : le bloc de gauche, 192 élus ; le bloc centriste (du centre-gauche au centre-droit), 206 ; le bloc de droite nationale, 141. Résultat : jusqu’en juillet prochain, le pays se trouve, de fait, dans une impasse politique qui, de plus, pourrait bien déboucher, à terme, sur une crise institutionnelle…

    Lire la suite