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« S’ils m’avaient tous les deux présenté leurs excuses dès le début je ne serais peut-être pas allée si loin mais elle a toujours nié et ça, ça m’a mis en rogne, explique-t-elle. Et quand on voit leur casier on se dit qu’ils vont recommencer. » (…)
S’accoquiner avec des gens douteux a toujours été un travers de nos politicards. Une dérive favorisée sinon encouragée par l’atonie des corps intermédiaires, la connivence des juges, l’apathie de l’opposition et le fatalisme des électeurs. Puisque, dans ce grand foutoir, tout le monde a quelque chose à se reprocher, autant en prendre son parti et faire avec.
Je te tiens, tu me tiens, par la barbichette, la règle du jeu est simple.
La fin du macronisme annoncée par Bruno Retailleau suscite un message mégalomaniaque de #GénérationMacron. L'empreinte de l'actuel Président serait appelée à traverser les siècles.
Un grave incident a impacté les esprits des jeunes du mouvement #GénérationMacron. À la lecture de la déclaration de Bruno Retailleau dans Valeurs actuelles, leurs neurones entrent en surchauffe, un faux contact avec la réalité s'enflamme et c'est le drame. Dans la fumée, l'origine du court-circuit émerge : « Le macronisme s'achèvera avec Emmanuel Macron, tout simplement. » Le « tout simplement » final du ministre fut l'étincelle qui fit déborder le vase. Le répertoire des expressions françaises est atteint. Plus rien ne marche.
« Vous avez l’occasion de tarir le point de deal historique de Méru. » C’est par ces mots que la procureure a commencé ses réquisitions dans le cadre du procès d’un important trafic de stupéfiants démantelé par les gendarmes de Méru qui se tenait ce mercredi 23 juillet devant le tribunal correctionnel de Beauvais (Oise).
Mettons de côté un instant le triste symbole, où moins de deux ans après les atrocités commises par le Hamas le 7 octobre, il se voit offrir la reconnaissance d’un État par un grand pays comme le nôtre. Étudions les conséquences de ce choix.
L’église Notre-Dame-des-Champs, dans le 6e arrondissement de Paris, a été victime, pour la deuxième fois en 48 heures, d’un incendie qui paraît criminel, alors que le premier avait été présenté comme accidentel… comme il y a six ans pour la cathédrale Notre-Dame de Paris, ce que certains n’ont jamais cru, en l’exprimant dès le lendemain.
Après la polémique autour de la nomination de Najat Vallaud-Belkacem à la Cour des comptes, on apprend par Mediapart que Philippe Gustin, ex-directeur de cabinet de Sébastien Lecornu, y est entré lui aussi au printemps dernier, nommé conseiller maître par décret du 26 mars 2025. Comme l’écrit Nicolas Dupont-Aignan, sur son compte X, « ils n'ont vraiment honte de rien ! »
L’enchaînement commence par un contrôle routier classique. Vers 16 heures, des gendarmes motards repèrent un 4×4 Mercedes immatriculé en Allemagne circulant à vive allure sur le périphérique toulousain. Le radar enregistre un excès de vitesse significatif.
Etonnant, ces « études » qui sortent, les unes derrière les autres, pour expliquer que non, on n’est pas spécialement malade dans une voiture électrique, que oui, elles sont encore plus économiques et plus écologiques que ce que l’on pensait, que oui encore, elles coûtent encore moins cher à l’utilisation que ce qu’on pensait, que non, les temps de recharge ne plombent pas les temps de trajet. En gros, ça doit vouloir dire qu’on est malade dedans, qu’elles coûtent plus cher que prévu et que les temps de trajet sont interminables. Il faut bien bien développer une contre information pour essayer d’obliger les gens à les acheter étant donné qu’ils s’en détournent massivement. Il est vrai que quand on voit ce que devient la batterie d’un simple téléphone portable au bout de trois ans, ça ne donne pas trop envie d’acquérir un ordinateur à roulettes. D’ailleurs, une autre « étude », plus confidentielle celle là, montre que les propriétaires de voitures électriques les gardent en moyenne trois ans et que cela va générer des tonnes de carcasses pas trop recyclables, en gros un désastre écologique n’est pas bien loin. On peut ajouter qu’elles peuvent prendre feu de manière intempestive et mettent en échec les techniques habituelles des pompiers.
Le prévenu, jugé vendredi par le tribunal de Lyon, a été identifié via une analyse génétique de sperme. Son ADN était présent dans les fichiers de police, après de précédentes infractions. L’homme de 23 ans, un Algérien aux cheveux longs, en situation irrégulière et sous le coup d’une OQTF, a clamé son innocence.