
France et politique française - Page 1846
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Open Arms: Pour Eric Ciotti, Emmanuel Macron « trahit les Français » en acceptant les clandestins
Éric Ciotti refuse l’ouverture des ports français aux clandestins de l’Open Arms « aucun bateau ne doit accoster en France. Emmanuel Macron trahit les Français en acceptant que des clandestins soient répartis sur notre sol sans aucune concertation parlementaire et populaire. »
L’équipage illégal de l’Open Arms a débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île de Lampedusa avec, à son bord, plusieurs clandestins.Au nom de la France Emmanuel Macron, tout comme cinq autres pays européens, s’est engagé à les accueillir alors même que la crise migratoire frappe l’Europe depuis plusieurs années. Cette position de pseudo solidarité est irresponsable et trahit les Français qui refusent cette immigration massive pour laquelle ils n’ont jamais été consultés. C’est cette fausse générosité qui est à l’origine de tels drames alors que seule la fermeté peut être gage d’humanité. Le rôle des États est de sauver des vies mais pas de se faire les complices répétés et aveugles des passeurs.Un an après le chantage de l’Aquarius le problème reste entier : des clandestins sont accueillis en Europe alors que nos capacités d’intégration sont largement saturés et sans aucun consentement populaire et parlementaire. Je regrette que le projet de hotspots promis par Emmanuel Macron pour étudier les demandes d’asiles dans les pays d’origines soit toujours lettre morte.Les associations d’extrême gauche qui réclament que les maires des villes portuaires ouvrent leurs ports aux migrants font preuve d’une irresponsabilité confinant à l’inconscience. Les ports français ne doivent pas devenir de nouveaux Lampedusa. Je m’y refuse. Ce sont en priorité les ports d’Afrique du Nord qui doivent accueillir ces clandestins. Ceux qui se félicitent de l’arrivée en Europe de clandestins sont les complices des passeurs.Cet édito est à titre informatif seulement. Les points de vue exposés dans ce texte représentent uniquement l'opinion de l'auteur et nullement la rédaction de peupledefrance.com -
Aude Mirkovic : « Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet. »
Boulevard Voltaire vient de publier un entretien intéressant avec Aude Mirkovic qui dénonce le projet de remboursement de la PMA – par la Sécurité sociale – à toutes les femmes.
1) Le ministre de la Santé Agnès Buzyn a confirmé, fin juin, que la PMA, qui sera ouverte à toutes les femmes, serait remboursée à toutes. Les députés Valérie Boyer et Pierre-Henri Dumont (LR) dénoncent un dévoiement des principes de la Sécurité sociale. Partagez-vous leur avis ?
Tout à fait. Le but de l’assurance maladie est de permettre aux assurés de faire face à des maladies, des pathologies. Déjà, parmi les soins pris en charge, il est nécessaire d’opérer une hiérarchisation des dépenses en raison de la croissance des dépenses et du déficit récurrent : on assiste à une baisse tous azimuts de l’offre de soins au fil des années. Demandez, par exemple, aux parents des enfants autistes s’ils ont de quoi payer l’ergothérapie dont leurs enfants ont besoin, aux personnes âgées qui n’ont pas de mutuelle complémentaire si elles peuvent remplacer leurs lunettes, et à de nombreuses personnes pourquoi elles ne remplacent pas les dents qui leur manquent. Autant de soins que l’assurance maladie ne prend pas ou peu en charge, faute de moyens. En dernier lieu, la fin du remboursement de l’homéopathie vient d’être décidée au motif que l’efficacité thérapeutique de l’homéopathie ne serait pas prouvée. Je ne me prononce pas sur le point de savoir si l’homéopathie est efficace ou pas, ce n’est pas de ma compétence. En revanche, chacun peut percevoir l’injustice qu’il y a à dérembourser des médicaments au motif que leur efficacité thérapeutique n’est pas prouvée, tout en prévoyant le remboursement total de PMA qui ne s’inscrivent dans aucune démarche thérapeutique, ni prouvée ni même alléguée, puisque les intéressés ne souffrent pas d’infertilité.
2) Le remboursement de la PMA à toutes les femmes susciterait-il d’autres problèmes que cette dérive de la fonction de la Sécurité sociale ?
Il y aurait, notamment, un détournement du rôle de la médecine, dénoncé par plus de 1.700 médecins dans une tribune en ce sens (https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Ethique/petition-contre-PMA-signee-1-700-medecins-2018-06-01-1200943665). Les médecins deviennent des prestataires de service, sans compter qu’inséminer une femme fertile par un donneur fertile ne requiert aucune compétence médicale : la blouse blanche ne suffit pas à donner un caractère médical à une prestation devenue un business. Et cela ne concerne pas seulement les femmes seules ou en couple de femmes : le projet de loi offre la PMA non seulement à toutes mais à tous, y compris les couples fertiles qui pourront recourir à la PMA et au don de gamètes dans une branche ou les deux si tel est leur choix. La PMA pour les femmes est l’arbre qui cache la forêt : le projet est celui de la « procréation sans sexe pour tous », comme le dit explicitement le rapport parlementaire du député Jean-Louis Touraine. Le but est d’organiser la production industrielle de l’humain avec, bien entendu, programmation et sélection des enfants pour réaliser le projet du ou des adultes en désir d’enfant. En effet, si un couple fertile recourt à la PMA, ce n’est pas pour avoir un enfant sans plus – ce qu’ils peuvent faire tout seuls. C’est pour avoir tel enfant qui correspond à tel projet. Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet.
3) Une manifestation nationale unitaire contre le projet de loi bioéthique est prévue, le 6 octobre 2019, à Paris. Pensez-vous que cette mobilisation puisse contribuer à enrayer le mouvement « progressiste » qui nous entraîne aujourd’hui vers la PMA pour toutes remboursée par la Sécurité sociale, demain vers la GPA ?
Bien sûr qu’elle le peut ! Ce projet va à l’encontre de la justice en privant légalement certains enfants de père, et de la dignité humaine par la programmation et sélection des enfants en fonction du projet parental qu’ils sont sommés de satisfaire ou de telle ou telle préférence personnelle recherchée par les adultes. Il est encore possible de contribuer à une prise de conscience, encore faut-il que chacun s’y mette : il est possible, par exemple, de commander gratuitement un petit livret explicatif sur le site www.pmagpa.fr. À chacun de le lire et de le donner ensuite à quelqu’un. C’est à la portée de tous ! Et offrir ne serait-ce qu’un seul livret à une seule personne sera plus efficace que des heures de lamentations !
Tribune reprise de Boulevard Voltaire
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Youtube veut faire taire la Dissidence française
Communiqué de la Dissidence Française
Le 14 août dernier, nous avons été informé de la suspension de notre chaîne YouTube. Sans avertissement préalable ni justification claire, YouTube a ainsi délibérément fait le choix de censurer la chaîne officielle de la Dissidence Française qui comptait plusieurs milliers d’abonnés et des dizaines de vidéos auxquelles nous n’avons désormais plus accès.
Les motifs invoqués par YouTube pour justifier cette décision sont flous et mensongers : en aucun cas la Dissidence Française n’a publié un contenu qui « encourage ou glorifie la violence ou la haine contre une personne ou un groupe de personnes ». D’ailleurs, notre organisation n’a jamais fait l’objet de poursuites ou de condamnations pour ces faits, ni pour aucun autre.
Ces dérives témoignent des ingérences de plus en plus nombreuses des multinationales étrangères dans la vie politique des États souverains. Il s’agit donc là d’atteintes graves aux libertés constitutionnelles d’expression et d’opinion.
En effet, au nom de quoi une entreprise privée – a fortiori une entreprise étrangère – s’arroge-t-elle le droit de décider si un parti politique français officiel et déclaré, qui représente plusieurs milliers d’électeurs et siège au sein d’assemblées locales, a le droit de s’exprimer ou non ? Au nom de quoi une entreprise privée s’arroge-t-elle le droit de mettre une oeuvre une discrimination pour des motifs politiques, et faire ainsi le choix de favoriser un courant d’idée plutôt qu’un autre ?
La décision de YouTube est inique, mais elle est aussi illégale à plusieurs titres :
- Les dispositions légales relatives au financement des partis politiques indiquent clairement qu’une entreprise privée n’a pas le droit d’intervenir dans le financement d’un parti politique ou d’une campagne électorale, soit directement soit en nature (Art. 11-4 de la loi du 11 mars 1988). Or, en empêchant la Dissidence Française d’utiliser sa plate-forme, YouTube favorise de fait l’audience des autres partis politiques, ce qui s’apparente un financement illégal de partis politiques.
- L’article 225-1 du Code Pénal, régissant les relations entre personnes morales, précise qu’une entreprise n’a pas le droit d’opérer une discrimination sur le fondement des opinions ou orientations politiques.
Nous avons fait appel de cette suspension, et n’avons reçu pour le moment aucune réponse de la part de YouTube. En l’absence de réponse et conformément à la Loi, la Dissidence Française se réserve donc le droit d’ester en justice et de poursuivre YouTube au titre des articles pré-cités.
Nous appelons tous nos militants et sympathisants, et de manière générale tous les Français attachés à la liberté d’expression et au pluralisme démocratique, à nous soutenir en signant la pétition que nous avons mis en ligne.
Afin de nous prémunir contre d’autres tentatives de déstabilisation et de censure, nous vous invitons également à nous suivre sur Telegram et à vous inscrire à notre newsletter.
On ne lâche rien !
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby 0 commentaire -
Marlène Schiappa et l’affaire Epstein
Lorsque, le 12 août dernier, deux jours après la mort de Jeffrey Epstein, Marlène Schiappa, avec son collègue Adrien Taquet, secrétaire d’État chargé de la Protection de l’enfance, a réclamé l’ouverture d’une enquête en France car « l’enquête américaine a mis en lumière des liens avec la France », on a disserté sur la légitimité de cette demande : un membre du gouvernement est-il dans son rôle en demandant l’ouverture d’un enquête ?
Le garde des Sceaux, Nicole Belloubet, tacla « gentiment » les deux secrétaires d’État en rappelant les principes de séparation des pouvoirs et d’indépendance de la Justice. Certes. Et on a pu sourire, aussi, de l’apparente cacophonie du gouvernement : la très professorale Nicole Belloubet tapant sur les doigts des deux gamins.
Bien sûr, il y a sans doute beaucoup à dire et redire sur ce personnage clé de la Macronie qu’est Marlène Schiappa. Si elle a demandé cette enquête, c’est pour se faire remarquer, faire parler d’elle – cela faisait longtemps ! -, c’est évident, diront certains. Peut-être, peut-être pas. Mais sur le fond, quelle mère digne de ce nom – mais aussi, quel père digne de ce nom ! – ne s’est pas senti, instinctivement, un petit peu en accord avec Marlène Schiappa ?
Rappelons que, le 12 août, l’association Innocence en danger publiait, dans L’Obs, une lettre envoyée le jour-même au procureur de la République de Paris, dans laquelle elle affirmait que « de source fiable », elle avait eu « confirmation récemment que plusieurs victimes du réseau prostitutionnel, créé par Jeffrey Epstein et ses complices, sont également de nationalité française ». Alors, certes, on peut disserter à l’envi sur la question de la séparation des pouvoirs (d’ailleurs, soyons puriste, il n’y a pas de pouvoir judiciaire mais une autorité judiciaire !) comme on dissertait sur le sexe des anges à Constantinople. Entre nous, Mme Belloubet ne semblait pas avoir une approche aussi stricte de cette sacro-sainte séparation des pouvoirs lorsqu’elle parcourait, sous les regards des caméras, au plus fort des manifestations des gilets jaunes, les couloirs de la permanence du parquet de Paris. Un précédent !
Au-delà du débat byzantin, il y a la réalité sordide et le Daily Mail, journal britannique, vient, en quelque sorte, d’étayer les allégations faites par Innocence en danger en révélant que des fillettes de douze ans, venues de France, auraient été offertes à Epstein comme cadeau d’anniversaire par le fameux Jean-Luc Brunel, patron d’une agence de mannequinat. Ces trois gamines, trois sœurs, issues d’un milieu pauvre, auraient été vendues par leurs parents. Des faits dont Epstein se serait, en quelque sorte, vanté en les racontant à une certaine Virginia Giuffre, l’une de ses anciennes victimes devenue, par la suite, sa complice, faits qu’elle aurait par la suite rapportés lors d’une audition par la Justice américaine en 2015.
Que Marlène Schiappa, mère de deux filles, comme elle se plaît à le mentionner sur son compte Twitter, ait pu, ou pas, déroger au principe de séparation des pouvoirs n’en devient que plus secondaire.
Précision : l’auteur de ces lignes n’est pas devenu schiappolâtre.
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Héléna Perroud : « La France et la Russie ont tout pour s’entendre »
Emmanuel Macron a reçu Vladimir Poutine au fort de Brégançon. Désaccords sur les manifestations des Gilets jaunes et à Moscou, sommet du G7 et crise ukrainienne…
Que retirer de cette rencontre au sommet ? Entretien avec Héléna Perroud, analyste et auteur de l’essai ‘Un Russe nommé Poutine‘ (Le Rocher, 2018).
https://fr.novopress.info/215205/helena-perroud-la-france-et-la-russie-ont-tout-pour-sentendre/
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A qui profite la crise ?
Contrairement à la raison, la crise est la chose du monde la moins bien partagée. En témoignent les montants records de dividendes versés aux actionnaires qui atteignent le chiffre vertigineux de 514 milliards de dollars au deuxième trimestre 2019.Le capitalisme, on le voit, se porte bien malgré la conjoncture internationale, et les entreprises françaises cotées en bourse, viennent, elles aussi, de franchir un nouveau record d'attribution de dividendes: 54 milliards, ce qui les place, et de loin, au rang de meilleurs payeurs d'Europe.On ne peut bien sûr que se féliciter de ce que nos entreprises dégagent bénéfices et profits.Mais l'on préférerait que ces profits soient, pour une part bien plus large quelle ne l'est, utilisés pour l'investissement et le développement technologique, et pour une autre part, certes plus minimes, redistribués aux salariés sous forme d'intéressement.En versant plus de 46 % de dividendes à leurs actionnaires, les entreprises hypercapitalisées du CAC 40 rémunèrent à la fois les sommes investies, ce qui est naturel mais devrait se faire sur le temps long, tout en versant une sorte de prime de risque immédiate aux actionnaires dont la voracité cupide va s'accroissant.En ces temps d'iniquité et de désarroi, pouvoirs publics et présidents de grandes sociétés devraient réfléchir aux moyens les plus sûrs de raffermir les liens sociaux entre français, liens qui garantissent seuls la cohésion nationale, tout en assurant l'avenir et l'essor de leurs entreprises.La prospérité nationale ne viendra que de la synergie des forces entrepreneuriales, de la sagesse des actionnaires et de l'énergie participative des salariés, sous la houlette d'un État fort.L'esprit national en matière économique et sociale est, lui aussi, à réinventer. -
G7 : un sommet contre les inégalités ? – Journal du jeudi 22 août 2019
G7 : un sommet contre les inégalités ?
Le sommet du G7 qui s’ouvre samedi à Biarritz a pour thème principal la lutte contre les inégalités. Un sujet qui devrait vite être éclipsé par une actualité internationale chargée.
Uber à l’assaut des transports publics
L’entreprise américaine Uber lorgne sur les services publics ! A la recherche de nouveaux débouchés pour maintenir son développement, l’application commerciale noue des partenariats avec des structures publiques… une approche qui suscite de vives inquiétudes.
Amazonie : le poumon part en fumée
La forêt amazonienne en proie à des incendies sans précédent. Depuis 17 jours un feu ronge la jungle devant l’impuissance des secours. Un drame qui s’inscrit dans une année particulièrement meurtrière pour le poumon de la planète.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/g7-un-sommet-contre-les-inegalites-journal-du-jeudi-22-aout-2019
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Dormez en paix, braves gens, tout va pour le mieux en France !
On ne vous dit pas tout et cela se passe pourtant en France.
*A Arras, dans le Pas de Calais, incarcéré dans le centre de détention de Bapeaume, un marocain, en situation irrégulière et âgé d’une quarantaine d’années, lourdement condamné pour viol et considéré comme extrêmement dangereux, s’est évadé en bousculant son escorte pénitentiaire, alors qu’il était menotté, et a pris la fuite en courant.
On peut vraiment se poser la question : à quoi servait cette escorte pénitentiaire incapable de d’empêcher un prisonnier, dangereux et menotté, de s’enfuir, après les avoir bousculé ? Vraiment des incapables !)
Un important dispositif a été mis en place pour palier au manque de professionnalisme de ces « surveillants » et l’individu a été appréhendé quelques heures plus tard alors qu’il cherchait à retirer ses menottes.
C’est là que l’on ne comprend plus ! On expulse de France, sans délai, un Mohammed, qui vit à Roubaix depuis 2012 et qui n’a rien à se reprocher, et à qui on ne reproche d’ailleurs rien, bien au contraire, et on « conserve » un migrant clandestin très dangereux et condamné pour viol !
Décidément l’administration marche complètement sur la tête à un moment où il faudrait surtout qu’elle ait les pieds bien sur terre !
*A Saint-Amans-Sault, dans le département du Tarn, dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2 h du matin, alors que la fête se déroulait dans la joie, un individu âgé de 21 ans, fortement alcoolisé et d’origine haïtienne, a poignardé très violemment un père de famille, Florent Basso, 30 ans, qui se trouvait en compagnie de sa fille, âgée de six ans, et de sa compagne, Céline, et cela sans aucune raison apparente.
Cela s’est passé derrière l’orchestre du bal et près des manèges.
Florent est mort des suites de ses blessures.
De courageux témoins de ce drame ont pu maîtriser ce voyou, quelques uns ont été blessés durant l’altercation, et l’ont remis aux gendarmes qui l’ont placé en garde à vue.
Florent était très apprécié de toute la commune. Ancien joueur de foot de Saint-Amans et assidu à la pétanque le dimanche, il était salarié à l’entreprise Terreal.
« Florent a voulu défendre des personnes dès qu’il a aperçu le couteau à la main du Haïtien, et constaté qu’il était déterminé à faire du mal. Il a certainement sauvé la vie à quelques personnes présentes. C’est un héros », a déclaré, très émue, sa compagne, Céline.
Le meurtrier résidait à Albi (Tarn).
*A Nantes (44), c’est un migrant clandestin âgé de 20 ans et d’origine guinéenne, qui est monté à bord d’un bus avec un couteau de boucher à la main, dans la nuit du mardi 20 août.
Les policiers de la BAC prévenus ont fait descendre tous les passagers du bus avant d’interpeller l’individu menaçant.
C’est alors qu’il a tenté de s’échapper par la porte du milieu en blessant profondément au front (plaie ouverte) l’un des policiers qui s’interposait.
*A Aulnay-sous-Bois, dans le 93, dans la nuit du 20 au 21 août, une bande d’une quinzaine d’individus, armés d’armes à feu, a envahi le tournage d’un clip de la vedette du rap Booba, qui se filmait dans un entrepôt désaffecté, 50 rue Becquerel.
Ils ont ouvert le feu sur un spectateur qui assistait au tournage. Blessé aux jambes il a dû être hospitalisé, puis ils ont agressés et blessés à coups de battes de base-ball deux autres membre de l’équipe de tournage, dont le réalisateur du clip et un technicien, qui ont pu se réfugier dans une petite épicerie toute proche.
Aucune interpellation sur place puisqu’ils ont pris la fuite.
Des douilles de calibre 9m/m ont été découvertes sur les lieux.
*C’est dans la nuit de lundi 19 à mardi 20, dans la cité universitaire Vauban, à Guyancourt, où une trentaine d’étudiants organisaient une soirée, que trois jeunes filles âgées d’environ 19 ans, ont été agressées sexuellement, et l’une d’elles violée (conduite à l’hôpital André-Mignot du Chesnay-Rocquencourt, pour y subir des examens et un prélèvement d’adn).
Les agresseurs, dont on ignore les origines, âgés d’une vingtaine d’années et reconnus pour avoir traîné dans le secteur, sont activement recherchés.
*Mardi après-midi, un peu avant 14 h, à Cournon, une dame octogénaire a été violentée et blessée à l’arme blanche par deux individus qui sont repartis avec un très maigre butin (le portefeuille et quelques dizaines d’euros).
Une voisine, Madeleine, qui se trouvait dans son jardin, rue des Coquelicots, et a entendu les appels au secours, s’est précipitée et a trouvé cette pauvre femme en état de choc, avant qu’elle ne soit hospitalisée.
*Dimanche c’est à Lille, en plein centre-ville, rue des Tanneurs, zone piétonnière, vers 5 h 30, qu’une jeune femme a été violemment agressée sexuellement. Saisie par les chevaux et jetée au sol.
Quelques minutes plus tard un suspect, correspondant au signalement fourni par la victime, a été interpellé dans le vieux-Lille.
*A Rennes (35), mardi après-midi au supermarché « U Express » de la rue Saint-Hélier, un individu âgé de 35 ans est entré muni d’une hache.
Pris de panique une douzaine de clients sont sortis en courant.
L’individu, déjà connu des services de police pour des actes de violence, avait déjà eu un différent avec le gérant du magasin, notamment sur un problème de stationnement non autorisé.
Il a pris la fuite avant l’arrivée des policiers de la BAC.
*A Maing (59), c’est une nouvelle fois un maire qui a été agressé et menacé.
Philippe Baudrin s’opposait à l’installation d’un campement sauvage par les gens du voyage.
Menacé à l’aide d’une tronçonneuse, il a porté plainte pour agression, menace de mort et dégradation de mobilier urbain, contre les membres de cette communauté particulièrement agressive depuis quelques temps.
*Un avion de la compagnie « Transavia » qui effectuait un vol Paris/Tunis a dû être dérouté sur Nice à cause d’un islamiste qui effectuait sa prière devant la cabine de pilotage et a frappé violemment une hôtesse de l’air qui s’y opposait.
A l’arrivée il s’est battu avec les policiers qui l’interpellaient en hurlant « Allahou Akbar ».
Voilà, c’est terminé pour aujourd’hui dans notre « Douce France » ! Dormez en paix, tout va pour le mieux « chez nous », Romain Goupil !
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Les malheurs de Greta (suite) : comment compenser ses grosses émissions ?
La vie est pleine de paradoxes. Tenez, prenons, par exemple, les empreintes. Des millions d’années qu’on court après. On en cherche, on les suit, on les trace, on les traque… bref, on en redemande. Ça a commencé à la sortie du jardin d’Éden, quand il a fallu suivre le serpent serpentant, puis on a reniflé les empreintes de l’ours et celles du tigre aux dents de sabre entre deux crottes de Sahelanthropus tchadensis. Puis sapiens a suivi Néandertal, qui pistait rudolfensis qui traçait ergaster…
L’empreinte, vous dis-je, a guidé les hommes. Elle leur a indiqué le chemin de la grotte où perpétuer l’espèce dans la chaleur du foyer magdalénien et s’adonner, sur le même, aux joies du barbecue primitif. Ah, la belle époque où l’on pouvait carboniser la viande sans mauvaise conscience…
Aux ères glaciaires ont succédé les ères brûlantes qui annonçaient d’autres glaciations. Et puis… et puis, Dieu merci, empruntant à Boileau, nous dirons tous en chœur :
« Enfin Greta vint, et, la première au monde,
Fit sentir dans ses tresses une juste cadence,
D’un mot mis en sa place enseigna le pouvoir,
Et réduisit la pollution aux règles du devoir. »Résultat : l’empreinte est, aujourd’hui, maudite. Il n’en faut point, il n’en faut plus. Sus à l’empreinte !
Il faut dire que, de trace objective, l’empreinte, aujourd’hui, s’est muée en un ennemi sournois : pour voir l’empreinte carbone, il faut lever le nez en l’air. Elle est volatile. Elle se sent. La trace est olfactivement insidieuse. Pouah !
Voilà pourquoi notre Greta, refusant de monter dans un avion, vogue sur les flots poissonneux à bord du Malizia II, un « voilier de course zéro carbone » qui la conduit au sommet mondial de l’ONU, à New York. De là, elle ira au Canada, au Mexique et au Chili. Comment ? Nul ne le sait encore. Peut-être à dos de mulet… quoique, le pet de l’Equus asinus est sans doute aussi polluant que celui des ovins et des bovins. Nous verrons.
Pour l’heure, la polémique, vous disais-je, tourne autour de l’empreinte, car si Greta ne crache rien à l’aller, sa petite balade va polluer grave au retour.
C’est la porte-parole du skipper Boris Herrmann qui a vendu la mèche au TAZ, un journal berlinois : cinq personnes, plus lui, vont prendre l’avion pour New York afin de ramener le bateau à son port d’attache (Monaco). Six billets, donc. C’est plus que si papa et sa fillette avaient traversé l’Atlantique en avion, même en comptant l’ami cinéaste et la marraine écolo. Du côté des armateurs, on conteste : « Je pose tout et ne retiens rien, le compte n’y est pas », dit la porte-parole, arguant du fait que deux personnes sur les cinq résident à New York. Soit, mais il leur faudra alors rentrer chez elles… Et puis il y a aussi l’autre skipper, la tête semi-couronnée, Pierre Casiraghi, qui a « des obligations » et doit rentrer dare-dare. Un bal sur le Rocher, une soirée au Casino, le survol de la baie en hélicoptère pour ses clients VIP…
Aucune importance, assure la dame : « Tous les vols de l’équipe sont compensés. » Compensés comment ? Mystère.
La question demeure donc pour l’heure insoluble : comment compenser toutes ces grosses émissions ?
« Je ne sais pas encore comment je vais rentrer à la maison », dit la gentille Greta.
À la nage, peut-être, ou en pédalo ?
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Immigrés clandestins : l’invasion continue en Italie avec la complicité de la France
Les migrants recueillis en Méditerranée par l’Open Arms ont débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île italienne de Lampedusa, en application d’une décision de justice prise compte tenu des fortes tensions à bord après des jours de sur-place à quelques encâblures de la côte. Ils étaient 147 à bord à l’arrivée du navire humanitaire près de Lampedusa jeudi, et un peu plus de 80 après l’évacuation vers l’île de plusieurs personnes ayant sauté à l’eau mardi et de plusieurs dizaines de mineurs ou de malades ces derniers jours.
Paris s’est engagé à accueillir «une quarantaine de personnes qui pourront demander l’asile en France», a rappelé Sibeth Ndiaye lors du compte-rendu du conseil des ministres, et «a envoyé sur place ou va le faire dans les tous prochains moments une délégation de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides, NDLR) qui permettra d’examiner les situations».
Texte repris du site lesalonbeige.fr