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France et politique française - Page 1842

  • « Que l’on soit d’accord ou pas avec Eric Zemmour, il doit avoir le droit de s’exprimer » – Jordan Bardella

    « Que l’on soit d’accord ou pas avec Eric Zemmour, il doit avoir le droit de s’exprimer et d’exprimer une pensée politique. Que l’on soit d’accord ou non, c’est un fait. Je préfèrerais, que dans ce pays où nous étions tous Charlie il y a quelques années, que ceux qui sont en désaccord avec lui lui apportent une contradiction sur le fond, plutôt que d’appeler à la censure dans tous les sens ! »
    Jordan Bardella (RN) sur LCI à propos du discours d’Eric Zemmour à la Convention de la droite

  • Marine Le Pen appelle à la mobilisation pour les Municipales 2020 !

  • Bien ! Pas bien ! La grande hypocrisie des journalistes et chroniqueurs !

    Bien ! Pas bien ! La grande hypocrisie des journalistes et chroniqueurs !

    Pas bien : Diffusion par LCI du discours de 30 minutes d’Eric Zemmour (à revoir ici) lors de la convention de la Droite. Vous vous rendez compte : plus de 400 saisines du CSA !

    Tandis que Télérama nazifie Zemmour, le CSA décerne un brevet obligatoire de résistance au PCF [source]

    Bien : Diffusion en direct sur de nombreuses chaînes d’information durant le soi-disant “grand débat” de plus de 30 heures de monologue d’Emmanuel Macron :

    Dans le cadre du Grand débat, Emmanuel Macron a participé à plusieurs séances de questions-réponses avec des maires, certains de plus de six heures, retransmis en intégralité par des chaînes d’informations en continue. Une situation qui irrite plusieurs membres de l’opposition, alors que nous sommes à trois mois d’une échéance électorale importante, avec les Européennes du 26 mai. Mine de rien, Emmanuel Macron n’est-il pas en train de faire campagne au travers du Grand débat ?, s’interrogent-ils en substance (…) Le CSA assure que tout est comptabilisé. [source]

    Pas bien : François Fillon soupçonné d’emplois fictifs concernant Penelope Fillon, son épouse. C’est tout juste si les médias ne souhaitaient pas la suppression de la nationalité française de François Fillon et sa déportation en Guyane…

    Bien : L’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris pour laquelle Jacques Chirac a été condamné (44 emplois fictifs dont 23 retenus). Cela ne dérange visiblement pas les Français qui étaient si prompts à foudroyer François Fillon il y a deux ans…

    https://www.lesalonbeige.fr/bien-pas-bien-la-grande-hypocrisie-des-medias/

  • Rouen, l’une des capitales de l’islam, en France

    conf-islamique.png

    Zineb El Rhazoui, ex-journaliste de l’équipe de Charlie Hebdo, aujourd’hui très mobilisée dans la lutte contre la percée de l’islam en France, nous alertait, ces jours-ci, sur les réseaux sociaux, sur ce qu’il convient d’appeler « une déviance majeure de la laïcité en France ».

    Ainsi, le 28 septembre, en France, à la mairie de Rouen, l’Union des musulmans de France tenait une conférence animée par le Frère musulman Otman Iquioussen, « Les Chemins de l’éducation ». Otman Iquioussen est le fils d’Hassan Iquioussen, prédicateur musulman controversé très actif sur Internet, prosélyte musulman porteur des opinions les plus rétrogrades et liberticides pour la société occidentale.

    C’est donc le maire – socialiste – qui permet à un islamiste de prêcher dans ses murs, apparemment en contravention avec la loi de 1905. Peu de citoyens s’inquiètent de ce fait qui semble, pour beaucoup d’entre eux, insignifiant, au nom d’un angélisme pluriculturel souvent primaire et d’une tolérance malsaine à l’islam.

    Mais pour le maire de Rouen, ce n’est pas une première. Depuis de nombreuses années, sa complaisance à l’islam est récurrente, particulièrement depuis 2008, année qui a vu les socialistes arriver à la mairie de Rouen. Par exemple, fait marquant, Hani Ramadan, le prêcheur, frère (musulman) de Tariq Ramadan, s’est investi de nombreuses fois pour offrir aux Rouennais ses idées « progressistes » sur « Le Fondement de la famille », « Les Maladies de l’âme et leur remède » ou encore – c’est sérieux – « Islam, source de liberté ».

    À la Halle aux Toiles de Rouen, propriété de la commune, l’espace municipal laïque est familier de l’accueil des prêcheurs musulmans qui bafouent systématiquement la loi de 1905. Ainsi peut-on lire sur le site de l’UMR (Union des musulmans de Rouen) à propos des « Jeudis du Savoir [qui] sont une approche thématique de l’islam : Ces sessions d’enseignement ont lieu les jeudis de chaque quinzaine à la Halle aux Toiles de Rouen et sont ouvertes à un large public : musulmans, non musulmans, personnes portant un intérêt à l’islam, à toute personne désireuse d’en approfondir la connaissance. »

    Cette « conférence » sur l’éducation qui s’est tenue dans les locaux de la mairie de Rouen, le 28 septembre, autorisée pour des raisons probablement électoralistes et idéologiques, n’est-elle pas le signe d’une intrusion de plus en plus prégnante de l’islam politique dans notre espace public ?

    Mais Rouen n’est pas la seule ville de France à se commettre avec l’islam en prenant des libertés avec les principes de la laïcité. Bien sûr, cela se manifeste le plus souvent – au nom, justement, de la laïcité – par l’autorisation de construire un « centre culturel » ou une mosquée, qui abritent dans la quasi-totalité des cas une mouvance cultuelle. Il en est ainsi des villes de Marseille, Roubaix, Rennes, Lyon, Bordeaux. Soulignons que toutes, pourtant, ne sont pas dirigées par des maires socialistes. À l’approche des élections municipales, qui se tiendront en 2020, il convient d’être de plus en plus vigilant sur les atteintes majeures à la laïcité, en France, portées par ceux-là mêmes qui devraient en être ses plus farouches défenseurs.

    Jean-Louis Chollet

    https://www.bvoltaire.fr/rouen-lune-des-capitales-de-lislam-en-france/

  • Dans une plongée au cœur de la gabegie, Jean-Baptiste Léon dresse un inventaire hallucinant des pires gaspillages payés par l’argent des Français.

    Des trains sans voyageurs, des musées sans visiteurs, des routes qui ne mènent nulle part…
    Jean-Baptiste Leon, directeur des publications de Contribuables Associés, édite Le livre noir des gaspillages 2019.
    Un ouvrage pour dénoncer les records français en termes de dépenses publiques, une gabegie financée par une fiscalité confiscatoire et depuis trop longtemps.
    Retrouvez cet enquêteur sur le plateau de TV Libertés.
     
    Voici la présentation du livre par Contribuables associés : La France bat des records en termes de dépenses publiques.
    Nos impôts, qui les financent, atteignent des taux confiscatoires car l’argent public est trop souvent jeté par les fenêtres.
    Trains sans voyageurs, musées sans visiteurs, « oeuvres d’art » ineptes sur les ronds-points, ponts ou routes qui ne mènent nulle part, bâtiments surdimensionnés, privilèges exorbitants des hauts fonctionnaires ou des anciens présidents de la République.
    Effectifs pléthoriques, sinécures dans l’administration et les collectivités locales, ou encore projets pharaoniques qui font flop…
    Ce Livre noir dresse le tableau de 100 gaspillages emblématiques.
    Ils ont coûté des milliards d’euros aux Français.
    Vous apprendrez notamment que les agents de l’Assemblée nationale sont mieux payés que les députés, que les ministères adorent les logiciels fous au coût sidérant, que beaucoup de fonctionnaires font moins de 35 heures sans réelle justification.
    Vous constaterez que le Conseil économique, social et environnemental est un excellent fromage où se réfugient recasés de la politique et du syndicalisme.
    Vous découvrirez qu’un Conseil régional finance la réinsertion d’anciens guérilleros colombiens.
    Et bien d’autres scandales encore…
    Ces gaspillages petits ou grands, du coin de la rue ou des palais de la République, tiennent pour certains du pittoresque, mais ils sont tous révoltants.
    Enquête au coeur de la gabegie, du clientélisme et de l’incompétence.


    Commandez Le Livre noir des gaspillages de l’argent public sur notre boutique en ligne sécurisée – 100 pages en couleur, infographies et dessins de Miège et Trez – 15 euros frais de port offerts en cliquant ici.
    Photos DR et CC via Flickr de Peter Linke
    juin 27, 2019 la-france-rebelle

  • Lubrizol : le gouvernement joue avec le feu – Journal du mardi 1er Octobre 2019

    1) Lubrizol : le gouvernement joue avec le feu

    Cinq jours après l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, le gouvernement multiplie les déclarations pour rassurer la population. Mais la défiance semble prendre le pas et la vérité se fait toujours attendre.

    2) Brexit : Boris Johnson présente un nouveau plan

    En difficulté sur le plan national, le premier ministre britannique Boris Johnson s’engage vers de nouvelles négociations sur le Brexit avec Bruxelles. Un nouveau rendez-vous crucial à moins d’un mois de la date butoir.

    3) Quand les banques mettent au chômage

    Licenciements en pagaille dans le domaine de la banque. Alors que la conjoncture se tend et qu’une nouvelle crise financière est annoncée par de nombreux observateurs, le secteur banquier enchaîne les plans de licenciement. Une tendance qui pourrait avoir des répercussions sur toute l’économie.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/lubrizol-le-gouvernement-joue-avec-le-feu-journal-du-mardi-1er-octobre-2019

  • Faut-il réformer l’Aide médicale d’État ?

    Selon-derniers-chiffres-connus-compterait-311-000-beneficiaires-800x445.jpg

    Objet récurrent de désirs de réforme, l’Aide médicale d’État (AME), qui permet aux migrants sans-papiers de se soigner, est à nouveau dans le collimateur. Bonne ou mauvaise idée ?

    Selon les derniers chiffres connus, on compterait 311 000 bénéficiaires de l’Aide médicale d’État (AME). / Jan Schmidt-Whitley/Le Pictorium/MaxPPP

    Le ministère de la santé n’est pas pour, mais le ministère de l’intérieur, si. Et Emmanuel Macron, qui avait pourtant promis pendant sa campagne qu’il ne toucherait pas à l’Aide médicale d’État (AME), serait gagné par l’idée, indiquent plusieurs sources. La volonté de réformer cette prestation, qui permet aux étrangers en situation irrégulière d’être soignés gratuitement, semble se confirmer, à l’approche du débat sur l’immigration au Parlement, attendu le 30 septembre.

    L’Aide médicale d’État à nouveau dans le collimateur

    Premier argument des pro-réforme : le coût. Alors que l’AME représentait moins de 500 millions d’euros par an avant 2010, « le dernier chiffre budgété, c’est 930 millions pour 2019, et on va sans doute dépasser le milliard », relève Pierre-Henri Dumont, député Les Républicains. Une hausse qui s’explique par la forte augmentation du nombre de migrants sans titre, deux tiers des demandeurs d’asile étant déboutés. Selon les derniers chiffres connus, on compterait 311 000 bénéficiaires de l’AME.

    Une question de santé publique

    « Globalement, ce sont des gens en précarité extrême, explique Delphine Fanget, responsable de plaidoyer à Médecins du monde. On estime que le taux de non-recours à l’AME, c’est-à-dire des gens qui y auraient droit mais n’en bénéficient pas, est de 88 %. 56 % des migrants dans nos centres de soins souffrent de pathologies chroniques (diabète, hépatite, hypertension…). 83 % nécessitent un suivi, et 50 % arrivent chez nous en retard de soins. D’autres études ont montré une prépondérance des infections respiratoires, de la gale et de certains épisodes épidémiques, comme la rougeole, la varicelle et la grippe. »

    Le rapport Goasguen-Sirugue, publié en 2015, estimait de son côté que 70 % des coûts résultaient de frais hospitaliers et mentionnait la tuberculose, le VIH, l’accouchement et l’hémodialyse comme principaux motifs de soinsDans ces conditions, reprend Delphine Fanget, « restreindre l’AME aurait des conséquences non seulement sur les patients mais aussi en termes de santé publique ».

    Néanmoins, le gouvernement semble estimer qu’il est difficilement soutenable de demander aux citoyens de cotiser à la Sécurité sociale tout en laissant filer des dépenses aux profits de patients clandestins. La piste de la création d’un ticket modérateur, comme cela avait été le cas entre 2011 et 2012 avec la mise en place d’un timbre de 30 €, ne semble plus envisagée.

    Réduire le panier de soins ?

    En revanche, la réduction du panier de soins couverts tient la corde. La droite propose régulièrement « un panier de soins limité aux risques de contamination de maladies graves ou aux soins urgents ou vitaux », résume Pierre-Henri Dumont. « Mais est-ce que ça veut dire qu’on refuse la prise en charge d’une bronchite ou d’une hypertension grave ? Est-ce que, après la tuerie de Villeurbanne, on va restreindre les soins psychiatriques ? », interroge Aurélien Taché, député LREM défavorable à une remise en cause de l’AME. « Globalement, sur le terrain, on voit plus de gens qui manquent de soins que de gens qui abusent », ajoute-t-il, estimant cependant qu’« on peut regarder les dérives, même si je trouve qu’il y a à ce sujet beaucoup de légendes urbaines ».

    « Il est indéniable qu’il existe des filières qui organisent la venue en France de patients qui viennent chercher des soins gratuits, estime-t-on à l’inverse, en haut lieu. On voit arriver des personnes avec des visas de tourisme et qui, une fois sur le territoire, demandent des soins et les obtiennent. »

    Les pays de l’Est sont cités. « Depuis quelques années, nous constatons l’afflux de patients réfugiés (Ukraine, Géorgie, Albanie, etc.) qui, amenés par des passeurs, arrivent dans nos services d’urgence en situation très précaire, nécessitant par exemple des séances de dialyse immédiate et désirant rapidement s’inscrire sur nos listes » de greffe du rein, s’alarme aussi la Société francophone de transplantation, dans une lettre au Comité consultatif national d’éthique. « Peut-être que des abus existent, reprend Aurélien Taché, mais est-ce qu’on va remettre en cause le cœur d’un dispositif utile pour régler quelque chose qui relève plutôt de la lutte contre les passeurs ? »

    ————————

    Les conditions d’accès de l’aide médicale d’État

    L’aide médicale d’État (AME) est accessible aux étrangers sans titre de séjour ni récépissé de demande (ce qui exclut les demandeurs d’asile), résidant en France depuis plus de trois mois (sauf pour les mineurs) et percevant moins de 8 951 € par an (pour une personne seule).

    L’admission se fait sur demande, renouvelée tous les ans.

    En dehors de ces critères, l’AME peut être accordée, exceptionnellement, « à titre humanitaire ».

    Les soins couverts

    Pour la personne et ses ayants droit, l’AME prend en charge, à 100 % mais dans les limites des tarifs de Sécurité sociale, les soins de médecine générale et spéciale, les frais dentaires, les médicaments remboursés à 100 %, 65 % ou 30 %, les frais d’analyses, d’hospitalisation et d’intervention chirurgicale, les frais afférents à certains dépistages et vaccinations, ceux liés à la contraception, à l’IVG.

    Nathalie Birchem

    Source : La Croix

    Merci à Jean Philippe Gaia

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/12/faut-il-reformer-laide-medicale-detat/

  • Convention de la droite : l’union des droites va-t-elle avancer ?

    01/10/2019 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    L’événement destiné à élaborer une alternative au prétendu progressisme s’est déroulé samedi dernier à la Palmeraie, dans le XVe arrondissement. En moins d’une semaine toutes les places étaient déjà vendues !

    Mais qui était à l’origine de ce forum politique ?

    Trois proches de Marion Maréchal : Erik Tegnèr militant des Républicains, François-Louis de Voyer, du Cercle Audace et Jacques de Guillebon, rédacteur en chef du mensuel L’incorrect.

    Et cette initiative semble avoir un peu bousculé les grands partis ?

    Oui et non. Les Républicains ont souhaité garder leurs distances, ainsi que le parti de Marine Le Pen, par la voix de son secrétaire Sébastien Chenu qui persiste à penser que « la convergence des droites est un fantasme ». Mais cela n’a pas empêché certains ténors de la politique de participer à l’événement. Ainsi Jean-Frédéric Poisson est intervenu sur la montée de l’islamisation, Gilbert Collard sur les questions de justice, Vijay Monany (un élu LR du 93) sur le coût de l’immigration, et Robert Ménard sur l’abandon des villes moyennes, pour ne citer qu’eux. Un seul contradicteur était présent, Raphaël Enthoven, car Aurélien Taché de la République en Marche s’était désisté. Enthoven s’est demandé avec ironie si « le retour en arrière faisait un programme politique ».

    Mais ce sont les déclarations d’Eric Zemmour qui ont fait grand bruit dans les médias ?

    Elles ont déclenché la colère du médiatiquement correct. L’essayiste s’est fendu de déclarations choc comme celle-ci : « l’Etat français est devenu l’arme de destruction de la nation et du remplacement de son peuple par un autre peuple, une autre civilisation ». Quant à Marion Maréchal, nul doute qu’après son éloignement, elle a bel et bien fait son retour en politique, allant jusqu’à affirmer lors de l’allocution de clôture : « demain nous serons au pouvoir ! ».

    https://fr.novopress.info/

  • Eric Zemmour : un statut de lanceur d’alerte – Le Zoom avec Jacques de Guillebon

    Jacques de Guillebon, directeur de la rédaction de L’Incorrect, est un des principaux organisateurs de la Convention de la Droite avec plus de 30 invités dont Marion Maréchal et Eric Zemmour. Le journaliste revient sur les différentes interventions des divers invités de la manifestation. Il prend la défense d’Eric Zemmour accusé d’avoir prononcé un discours radical. Il revendique un statut de lanceur d’alerte pour le journaliste, écrivain à succès.

    https://www.tvlibertes.com/eric-zemmour-un-statut-de-lanceur-dalerte-le-zoom-avec-jacques-de-guillebon

  • Alexandre Devecchio : « Mécaniquement, l’alternance sera plutôt souverainiste, protectionniste, populiste »

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    Le journaliste du Figaro Alexandre Devecchio vient de publier Recomposition, le nouveau monde populiste. Allons-nous vers une recomposition populiste ? Réponse au micro de Boulevard Voltaire.

    https://www.bvoltaire.fr/alexandre-devecchio-mecaniquement-lalternance-sera-plutot-souverainiste-protectionniste-populiste/