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« Il aurait reçu un coup de hache sur la route avant de venir s’écrouler sur le parking et de perdre tout son sang, soupire l’élu Moktar Allouache, adjoint au maire de Nogent-sur-Oise. C’est tellement choquant, rien que d’en parler j’en ai des frissons. » (…)
On a l’air de commencer à s’inquiéter de l’entrisme des Frères-Musulmans en France. Mais on prend garde de bien les séparer de l’islam, ce qui fait penser à l’islamisme, qui n’a rien à voir avec l’islam, évidemment, qui est une religion de paix et d’amour, tout le monde sait cela. Ainsi la mascarade peut continuer. Tout comme les attentats aux cris de Allah-Akbar n’ont rien à voir avec l’islam, les Frères Musulmans sont à bien distinguer de l’islam afin de ne pas froisser « l’immense majorité » qui s’intègre parfaitement à la République. Qui s’intégrerait plutôt, uniquement dans le discours, car en pratique, ce n’est pas l’impression qu’on en a en regardant nos rues, désormais bordées de commerces communautaires, coiffeurs, barbiers, épiceries, dont on sait pertinemment que ce sont les façades à peu près acceptables d’un large processus de blanchiment d’argent sale. Ces mêmes rues qui se constellent de femmes voilées, lesquelles font le forcing pour entrer avec leur accoutrement, dans les écoles et les sports de compétition.
Le 22 mars 2023, un coup de tonnerre éclatait dans le petit monde politico-médiatique. Les deux voitures de la maison du maire de Saint-Brevin, Yannick Morez, étaient incendiées, provoquant un début d’incendie, vite maîtrisé, devant sa maison. Nous étions alors, dans la foulée de la victoire de Callac, en pleine bataille contre l’installation d’un Cada dans le quartier de la Pierre Attelée, près d’une école maternelle et primaire.
«Je me suis évidemment interrogé car il est assez inédit qu’un préfet prenne la plume pour témoigner, explique Alexandre Brugère au Figaro. Mais je l’ai fait au regard de l’importance du sujet, car il est important que des acteurs de terrain s’expriment pour avoir une parole républicaine et rationnelle, expliquer la réalité de la menace et les moyens que nous mobilisons dans le cadre de cette lutte.»Son constat est sans appel : les islamistes prospèrent et s’attaquent «à tous les champs de notre vie collective».
À l’initiative de l’autrichien Martin Sellner et de nombreuses personnalités européennes, Remigration Summit 2025, un sommet de la remigration s’est tenu à Milan ce samedi le 17 mai 2025. Le thème, d’une importance vitale pour les Européens, semble faire peur à la bien-pensance à en juger par le délire qui a entouré l’événement. Les tentatives pour le censurer ont en effet été très nombreuses, le maire de Milan Giuseppe Sala allant jusqu’à saisir le préfet pour le faire interdire sur tout le territoire milanais, en réponse à l’appel du collectif « Nessuna persona è illegale » [Aucune personne n’est illégale].
La reconfiguration des trois pôles idéologiques – réactionnaire, progressiste et islamique – marque un changement d’époque. Celui du passage de l’actuel cycle historique progressiste, porteur de la civilisation des Lumières (trop souvent dite occidentale) au futur cycle historique post-progressiste, qui lui portera une civilisation nouvelle.
Alors que la droite institutionnelle se dilue dans le consensus mou et que la gauche radicale impose ses dogmes sociétaux, une autre France se rassemble, fidèle à ses racines, à ses héros et à sa mémoire. Face au mépris des élites, au matraquage idéologique des médias subventionnés et à la déconstruction méthodique de notre nation, les orphelins de la droite nationale n’ont pas dit leur dernier mot. Le 11 mai, sur les terres occitanes comme dans les rues de Paris, des patriotes de tous horizons ont prouvé qu’il existe encore une France debout, lucide, fière et décidée à défendre son identité et sa souveraineté. Polémia
Il n’aura pas fallu longtemps à la gauche pour trouver un nouveau bouc émissaire. Après Vincent Bolloré, c’est au tour du discret Pierre-Édouard Stérin de se trouver dans leur viseur. Riche, brillant, conservateur, catholique revendiqué et résolument de droite, Stérin cristallise les attaques. Le politologue d'extrême gauche Thomas Guénolé a donné le ton, sur X : il appelle ironiquement l’extrême droite à acheter des produits de la société Smartbox, dont Stérin est le cofondateur et le premier actionnaire, afin de financer la montée de l’extrême droite en France... Et il tourne en dérision le slogan de l'entreprise en évoquant « le fascisme à vivre ». Un appel au boycott pour attaquer Stérin et ce qu’il représente.
Le moins que l’on puisse dire c’est que Marc Fiorentino en a gros sur la patate économique et c’est assez logique ce qu’il dit étant juste.
Le président Macron a créé des conditions économiques épouvantables pour les TPE et PME françaises. L’économie est à l’arrêt depuis la dissolution ratée.
C’est probablement le mauvais sort qui guette tous les grands comédiens. Au début, ils émerveillent. Quel talent ! Portés par une criti- que enthousiaste, ébaubie, ils obtiennent rapidement les premiers rôles, avant de préciser leur manière de jouer, quel que soit le personnage qu’ils incarneront. C’est qu’ils ont trouvé leurs mimiques, leur manière de sourire, leur manière de se choquer. On sait quand ils veulent nous impressionner. On connaît leurs trucs. Et on applaudit. Mais un jour, sans qu’on ne sache trop pourquoi, ils en viennent à lasser. Ce qui amusait, désormais, agace. Ce qui faisait sourire exaspère. Alors ils s’acharnent - c’est bien normal. Et s’essaient une dernière fois à leur tour de charme. Mais le public n’en veut plus.